Hondschoote

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Hondschoote
Hondschoote
Blason de Hondschoote
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts de Flandre
Maire
Mandat
Hervé Saison
2014-2020
Code postal 59122
Code commune 59309
Démographie
Gentilé Hondschootois
Population
municipale
4 026 hab. (2021 en diminution de 1,71 % par rapport à 2015)
Densité 170 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 58′ 49″ nord, 2° 35′ 10″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 19 m
Superficie 23,66 km2
Élections
Départementales Wormhout
Localisation
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Hondschoote
Liens
Site web http://www.hondschoote.fr/

Hondschoote (Hondschote en flamand occidental / néerlandais)[1] est une commune française située dans le département du Nord (59) et la région Hauts-de-France.

Étymologie et prononciation

Hondschoote ne devrait en principe pas se prononcer comme pourrait le suggérer une lecture à la française de ce nom (qui correspond en fait à une graphie néerlandaise). Il devrait se prononcer à peu près « honne-ts-côte », conformément à la prononciation du néerlandais, ou « honne-ts-chaud-te » selon une prononciation flamande occidentale, se différenciant de la prononciation standard du néerlandais (A.N.).

Dès 1069, nous retrouvons un Hondescote.

Plusieurs traductions fantaisistes ont été proposées :

  • Hundo, nom d’homme germanique, Schot : « terrain clos » ;
  • « Enclos aux chiens » (de Hond : « chien » et de Schoot, Schoote, Scheute : « enclos » (Beschutting) ;
  • Huns Cota signifierait également enclos des Huns, lesquels auraient établi un camp au bord des Moëres lors de l’invasion de la Gaule.

Des recherches approfondies d'un spécialiste de la langue néerlandaise — Jacques Fermaut — sont plus vraisemblables ; « Hondschoote » correspond à une définition géographique : « éminence — 5 à 9 m — du chenal de marée ».

Géographie

Hondschoote dans son canton et son arrondissement.

Situation

-Située à 24 km de Dunkerque, 63 km de Lille, 11 km de Bergues.

Communes limitrophes

Héraldique

Les armes d'Hondschoote se blasonnent ainsi : « D'hermine à la bande de gueules chargée de 3 coquilles d'or ».

Voir également l'armorial du Tournoi de Chauvency    

Histoire

Avant 1789

Avant la Révolution française, Hondschoote relève de la châtellenie de Bergues. Celle ci s'étend sur tous les villages qui l'entourent mais doit partager le pouvoir avec la Cour féodale ou Peron de Bergues, propriété des souverains (comtes de Flandre puis rois de France) qui détient également certains droits et pouvoirs. La seigneurie d'Hondschoote relève ainsi de la Cour féodale[2]. Elle appartient au XVIIIe siècle au Comte de Hornes résidant à Douai puis à Mr Coppens d'Hersin[2].

En 1096-1099, Guillaume Moran de Honschoote, seigneur de Hondschoote, et Raoul de Lederzelle participent à la première croisade menée par Godefroy de Bouillon[3].

Baudouin de Hondescote, fils de Guillaume Moran, épouse Mahaut de Guînes, fille d'Arnould Ier de Guînes[4].

Au début du XIIIe siècle, Walter (dans les textes en latin, traduit par Gauthier dans les textes en français) de Hondschoote est un des meneurs d'un groupe nommé les Blavoetins qui s'opposaient aux Ingrekins. L'ancienne comtesse de Flandre Mathilde de Portugal, soutenant les Ingrekins, les Blavoetins vinrent en 1206 assiéger Bergues où se trouvait Mathilde, après avoir ravagé une de ses possessions à Furnes. Ils furent écrasés par le parti adverse. Le combat eut lieu un lundi qui porta ensuite dans la région le nom de lundi rouge (de rood maendag) en raison du sang versé[5].

En 1258, Jean de Hondschoote et Isabelle sa femme, passent un accord avec l'abbaye de Watten au sujet d'une redevance due par les tenanciers d'Hondschoote[6].

En 1263, Guillaume de Hondschoote est prévôt du chapitre de Sainte-Walburge de Furnes, et nomme avec le chapitre, un arbitre chargé de terminer le différend existant entre les habitants de Rubroc (Rubrouck) et l'abbaye de Watten[7].

Gautier de Hondschoote est présent aux festivités données par le comte de Chiny en 1285 et décrites par Jacques Bretel dans son Tournoi de Chauvency. Il s'y trouve aux côtés de Philippe de Flandres, de Florent de Hainaut, du châtelain de Bergues, des seigneurs de Haussy, Lalaing, Ligne, Fléchin, Montigny, Auberchicourt, etc.

Au Moyen Âge, Hondschoote prospère grâce à l'industrie du drap. Avec le lin cultivé dans les environs des centaines de petits ateliers fabriquent du tissu de serge. Ces fabrications étaient exportées jusqu'en Turquie[8]. Le Comte de Flandre Louis de Crécy (Louis Ier de Flandre) accorde au XIVe siècle plusieurs privilèges aux fabricants dont celui de marquer leurs étoffes d'une empreinte portant d'un côté les armes du Comte, de l'autre la marque particulière de chacun, marques dont certaines sont conservées dans les archives de la ville[9]. Deux foires annuelles à la Pentecôte et en juillet favorisaient les affaires[10].

En 1383, la ville est incendiée lorsque Charles VI chasse les Anglais de la région (croisade d'Henri Le Despenser)[9].

François de Hondschoote, seigneur d'Hondschoote, combat et trouve la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[11].

Au XVIe siècle, Hondschoote avait une chambre de rhétorique, De Persetreders, toujours opérationnelle en néerlandais au XIXe siècle. À partir du XVIe siècle, cependant, les malheurs s'acharnent sur la ville, devenue espagnole, plusieurs fois pillée au cours des guerres (ainsi en 1558, lors de l'expédition française en Flandres du Maréchal de Thermes terminée par la bataille de Gravelines), victime d'incendies dévastateurs (en 1576 où 600 ateliers furent brûlés dans la partie ouest de la ville, également en 1582 où 900 fabriques furent incendiées[9]) et touchée par la peste de surcroît en 1545 et 1578[10]. Au début du mois d'août 1566, les Gueux pillent l'église d'Hondschoote. Cet incident mineur donne le signal de la rébellion sur toute la côte et conduisit à des émeutes iconoclastes conduites par les calvinistes dans tous les Pays-Bas espagnols.

Hondschoote au XVIIe siècle (par Antoine Sandérus dans Flandria Illustrata - 1641)

Après chaque désastre, Hondschoote essaie de s'en remettre mais ne peut empêcher son déclin. Devenue française en 1658 après de nouveaux pillages,et de nouveaux incendies, elle succombe enfin après l'invasion hollandaise de 1708 [9] : toute production cesse bientôt et elle n'est plus qu'un village agricole. Les producteurs de tissu se sont enfuis pour se réfugier dans l'actuelle Belgique et en Angleterre, faisant profiter de leur savoir-faire les rivaux de la France.

Avant la Révolution française, Hondschoote compte quatre couvents : un de Trinitaires, un de Récollets, lesquels dirigent un collège, un de Sœurs grises et un de religieuses recollectines. Dans la ville se trouve également un hôpital pour les indigents[12].

Après 1789

La bataille d'Hondschoote du 6 au , au cours de la Révolution, est un événement majeur qui sauve la République française. Le roi d'Angleterre a envoyé à travers les Flandres une armée commandée par le duc d'York, pour s'emparer de Dunkerque, tête de pont à l'invasion du pays. Cette armée, renforcée par des troupes hanovriennes et autrichiennes sous les ordres du maréchal Wilhelm von Freytag, venues des Pays-Bas voisins, est battue par une armée de volontaires patriotes. Durant la bataille, le moulin à vent sert de poste de guet et d'infirmerie. Une grande partie des blessés pendant la bataille fut évacuée vers Saint-Omer dans les églises de Saint-Bertin et de Saint-Denis[10].

Les frères Herwyn, (Pierre-Antoine, comte Herwyn de Nevèle; Philippe Jacques, baron Herwyn), natifs d'Hondschoote, s'illustrent pendant la Révolution, le Premier Empire et la Restauration.

En , des Honsdchootois, Mr et Mme Coppens, donnent à l'hospice de Bergues, deux maisons et quatre hectares de terre. Mme Coppens n'est autre que la sœur d'Alphonse de Lamartine, le célèbre poète, député de Bergues de 1833 à 1837. La famille Coppens quant à elle est bien connue dans le canton : Laurent Coppens fut député du Nord en 1791-1792 puis de 1815 à 1818[13].

En 1895, avant le développement de l'automobile, et à l'époque des petits trains dans les campagnes, une voie ferrée dite des Flandres relie Bergues à Hondschoote via Warhem, Rexpoëde, Killem. Trois trains circulent par jour dans les deux sens, le trajet dure 45 minutes[14].

Le , un habitant d'Hondschoote, le maçon Émile Warin, connait une petite célébrité ː il est le vingt-cinq millionième visiteur de la Tour Eiffel et gagne une automobile[15].

Politique et administration

Entre 1853 et 1857, le maire est Mr Jean Delaroière, docteur en médecine, membre du Conseil général[16], membre correspondant de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts[17].

En 1883 le maire est Ch. Vanderheyde[18].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1814 André Gigaux   Général de brigade en retraite[19].
1885 1918 Alfred Outters Conservateur Conseiller général du canton d'Hondschoote de 1885 à 1918.
1919 1925 Henri Mallengier Entente républicaine Conseiller général du Canton d'Hondschoote de 1919 à 1933.
1925 1945 Pierre Mortier Républicain de gauche Conseiller général du Canton d'Hondschoote de 1934 à 1940.
1945 1981 Daniel Peene DVD puis UDF Conseiller général du Canton d'Hondschoote de 1949 à 1981.
1981 mars 2001 Claude Gosset UDF Vice-président du Conseil général,
Conseiller général du Canton d'Hondschoote de 1981 à 1994.
En cours Hervé Saison DVD Attaché territorial
Vice-président de la Communauté de communes des Hauts de Flandre (depuis le 17 avril 2014)[20],[21]
Les données manquantes sont à compléter.

La commune fait partie de la quatorzième circonscription du Nord qui a pour député Jean-Pierre Decool ; le conseiller général du canton est Patrick Valois.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 4 026 habitants[Note 1], en diminution de 1,71 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 3863 1683 2943 8233 8333 9033 9153 9713 800
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 7663 7573 7253 4723 5863 4723 4643 4473 315
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 3653 3243 3193 0133 0162 7882 7763 2152 767
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 7052 7222 9643 7163 6543 8153 7493 8034 033
2014 2019 2021 - - - - - -
4 0324 0604 026------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

Pyramide des âges à Hondschoote en 2007 en pourcentage[26].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ans ou +
1,6 
4,9 
75 à 89 ans
9,6 
11,8 
60 à 74 ans
12,0 
19,4 
45 à 59 ans
19,3 
21,8 
30 à 44 ans
19,5 
17,8 
15 à 29 ans
15,1 
23,8 
0 à 14 ans
22,9 
Pyramide des âges du département du Nord en 2007 en pourcentage[27].
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ans ou +
0,7 
4,6 
75 à 89 ans
8,2 
10,4 
60 à 74 ans
11,9 
19,8 
45 à 59 ans
19,5 
21,0 
30 à 44 ans
19,9 
22,5 
15 à 29 ans
20,9 
21,5 
0 à 14 ans
18,9 

Lieux et monuments

L'église Saint-Vaast

L'église Saint-Vaast
Dalle funéraire de Jacques-Josse Coppens et Marie Bart

(XVIe et XVIIe siècles - Monument historique).

Bâtie au XVIe siècle. La tour, haute de 82 mètres, construite en briques blanches du pays s'appelle De Witte torre (la tour Blanche). Cette tour préservée lors de l'incendie de 1582 porte dans l'un de ses piliers la date de 1513.

Ses autels

Dans la nef droite : l'autel Saint Sébastien. - Autel sculpté de style Louis XIV : On peut y remarquer les armoiries de la confrérie Saint Sébastien ou confrérie d'Archers, fondée en 1586, ayant pour charge la défense de la ville et de ses habitants.

Un autel moderne : l'autel du Sacré-Cœur.

À droite du chœur : l'autel des Âmes (1673) : style Louis XV ; le sujet principal du retable est un tableau peint représentant la descente du Saint-Esprit sur les apôtres. De chaque côté, des statues sculptées, l'une de saint Crépin (patron des cordonniers), l'autre de saint Séverin (patron des tisserands).

Au centre : le maître autel. Une dalle rappelle que la nièce de Jean Bart y est enterrée.

À gauche du chœur : l'autel de la Sainte Vierge. Le sujet principal représente l'Apparition de la Sainte Vierge à Saint Dominique.

L'autel Notre Dame des Sept Douleurs. Le sujet principal représente le Christ mort, étendu sur les genoux de sa mère.

La Chaire de 1755

Buffet d'orgue En chêne, style Louis XV et Renaissance, construit entre 1611 et 1613, le grand buffet a été remplacé en 1737.

Boiseries et confessionnaux tous en chêne sculpté, style Louis XV.

Hôtel de ville

L'Hôtel de ville

En grès et pierres blanches, il date de 1558. Sa façade avant comporte sept blasons, dont celui de la confrérie Saint-Sébastien, qui date du Moyen Âge. Sur sa façade arrière, on peut remarquer les motifs en forme de bouteille qui encadrent les fenêtres du pignon gauche et de la face latérale de la tour.

La cave de l'hôtel de ville servait d'ancien corps de garde.

Autres

  • Le Pays du Lin : surnommé ainsi car l'économie du lin y est importante, ce vaste territoire naturel s'étend de la vallée de l'Yser jusqu'au plages de sable fin de la côte d'Opale. Les nombreuses fermettes et maisons isolées donnent à cette campagne un caractère typique qu'il faut absolument découvrir à bicyclette ! En juin, la plaine devient toute bleue (c'est la floraison du lin) et l'odeur des blés qui mûrissent parfume l'air chaud de l'été qui arrive.

Deux paysages radicalement différents entourent Hondschoote : au sud de la ville, c'est le « Houtland » avec ses petits bois « déposés » çà et là reliés par les haies d'épines qui retiennent et abritent les animaux des fermes d'élevages. Au nord d'Hondschoote, c'est l'univers de l'eau, « une vraie petite Camargue » ! De nombreuses espèces d'oiseaux viennent nicher sur les berges des « watergang » (petits canaux qui quadrillent ce territoire situé à -2m sous le niveau de la mer). À voir absolument : l'atterrissage du cygne sur les étangs des Moëres...

  • Monument commémoratif de la bataille de 1793 : inauguré en 1890 et dû au statuaire lillois Darcq.
  • La fontaine : offerte à la ville en 1835 par Alphonse de Lamartine (dont la sœur résidait à Hondschoote).
  • Le Noordmeulen (moulin à vent) : restauré en 1988, porte la date de 1127. Sa cabine de bois repose sur un pivot de pierre. Sur les poutres ont été gravés les noms des meuniers, des dates. En 1982, il devient propriété communale. Il a cessé de tourner en 1959.
  • Le Spinnewyn (autre moulin à vent) : abattu en 1793 lors de la bataille d'Hondschoote, il a été reconstruit lors du bicentenaire, en 1993, à l'identique (en bois et sur un pivot de briques) car il fut le témoin privilégié de la bataille de 1793.

Personnalités liées à la commune

Jumelages

Drapeau de l'Allemagne Osterburken (Allemagne)[28]

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. http://proussel.voila.net/pages/noms_flamands.htm
  2. a et b Louis de Baecker, Recherches historiques sur la ville de Bergues (lire en ligne), p. 128 à 131
  3. Henri Piers, Histoire de la ville de Bergues-Saint-Winoc:notices historiques sur Hondschoote, Wormhoudt, Gravelines, Mardick, Bourbourg, Watten, etc., ,, Imprimerie de Vanelslandt, (lire en ligne), p. 90
  4. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 65, lire en ligne.
  5. Louis de Baecker, Recherches historiques sur la ville de Bergues (lire en ligne), p. 18 à 22
  6. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome V, Année 1258.
  7. A. Wauters, option citée, Tome V, Année 1263.
  8. Henri Piers option citée page 87
  9. a b c et d Henri Piers option citée page 88
  10. a b et c Henri Piers option citée page 89
  11. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? »
  12. Henri Piers option citée page 90
  13. Henri Piers option citée pages 91 et 92
  14. Le Journal de Bourbourg et du canton de Gravelines, n° 744 du 2 janvier 1895
  15. Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 59
  16. Almanach du commerce Département du Nord 1854
  17. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1855, p. 227, lire en ligne; Année 1857, p.334, lire en ligne
  18. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1883
  19. Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Dictionnaire historique et biographique des généraux français : depuis le onzième siècle jusqu'en 1820, , 506 p. (lire en ligne), p. 274.
  20. http://www.cc-hautsdeflandre.fr/?page_id=55
  21. http://cluster011.ovh.net/~cchautsdts/wp-content/uploads/2014/compterendu/CC14-01-14.pdf
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Évolution et structure de la population à Hondschoote en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le )
  27. « Résultats du recensement de la population du Nord en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le )
  28. Voir sur Osterburken.de & (de) Osterburken