Aller au contenu

Steenbecque

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Steenbecque
Steenbecque
Mairie.
Blason de Steenbecque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté d'agglomération Cœur de Flandre
Maire
Mandat
Carole Delaire
2020-2026
Code postal 59189
Code commune 59578
Démographie
Gentilé Steenbecquois (es)
ou les Steenbekenaeren
Population
municipale
1 650 hab. (2021 en évolution de −4,51 % par rapport à 2015)
Densité 138 hab./km2
Population
agglomération
2 566 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 40′ 32″ nord, 2° 28′ 55″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 65 m
Superficie 11,96 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Steenbecque
(ville-centre)
Aire d'attraction Hazebrouck
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hazebrouck
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Steenbecque
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Steenbecque
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
Steenbecque
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Steenbecque
Liens
Site web steenbecque.fr

Steenbecque (prononcé [stɛ̃bɛk] ; Steenbeke en néerlandais[1]) est une commune de France située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Localisation

[modifier | modifier le code]
Commune dans l'arrondissement de Dunkerque

Le village est situé dans la région naturelle de l'Houtland, à 6,3 km de Isbergues, 6,5 km d'Hazebrouck, 13 km de Cassel, 19 km de Bailleul, 40 km de Lille, et 40,6 km de Dunkerque.

Les communes limitrophes sont Blaringhem, Boëseghem, Morbecque et Thiennes.

Communes limitrophes de Steenbecque
Morbecque
Blaringhem Steenbecque Morbecque
Boëseghem Thiennes

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par la Steen Becque, le canal de la Nieppe, la Becque des Clytes[2], la Thiennes[3] et le Bas[4],[5],[Carte 1].

La Steen Becque, d'une longueur de 10 km, prend sa source dans la commune de Sercus et se jette dans le canal de la Nieppe à Morbecque, après avoir traversé trois communes[6].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Steenbecque.

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Lys ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 835 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Lys. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte pour l'élaboration du SAGE de la Lys (SYMSAGEL)[7].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 755 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 12 km à vol d'oiseau[10], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Au , Steenbecque est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Steenbecque[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hazebrouck, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[16]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (96,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (89,5 %), prairies (5,7 %), zones urbanisées (4,6 %), forêts (0,2 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Steinbeke en 1184 (cartulaire de Bourbourg); Estainbeche en 1236 (cartulaire de l'abbaye de Marquette)[20].

Il s'agit d'un type toponymique germanique commun basé sur *steinaz « pierre » et *bakiz « cours d'eau, ruisseau », qui a donné l'ancien flamand stēn, stein « pierre » et bēke « ruisseau », d'où le sens global de « ruisseau pierreux ».

C'est en 1184 que le lieu a été mentionné pour la première fois sous le nom de Steinbeke dans le cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Bourbourg ; on le retrouve en 1236 sous le nom d'Estainbeche dans le cartulaire de l'abbaye du repos de Notre-Dame de Marquette.

Steenbecque était traversée par une voie romaine menant de Cassel à Mardyck, sur la côte[21].

La paroisse a donné son nom à une famille de la noblesse de Flandre, nom également noté Stiembecque.

Avant la Révolution française, la paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer[22].

En 1297, Philippe le Bel occupe toute la Flandre maritime, après avoir défait le comte de Flandres Gui de Dampierre. Le , Baudouin de la Planque, seigneur de Steenbecque et de Thiennes, reçoit toute la terre de Blaringhem, confisquée sur Thomas de Lille, resté fidèle au comte[23].

Jeanne, dame de Steenbecque, fonde en 1578 un oratoire en l'honneur de sainte Pharaïlde. En 1582, Jeanne de Steenbecque épouse le seigneur de (Mailly-)Mame(t)z..

Steenbecque a longtemps appartenu au comté de Flandre jusqu'à ce que, comme le reste de la Flandre française, elle fut annexée à la France par le traité de Nimègue en 1678. Pendant longtemps pourtant, la population a continué à parler flamand et aujourd'hui encore, le flamand reste répandu. A l'heure actuelle, Steenbecque est la commune la plus méridionale du Westhoek français où l'utilisation du flamand et du néerlandais est officiellement autorisée.

En 1745, les trois terres réunies de Thiennes, Steenbecque et Blaringhem sont érigées en comté au bénéfice de Jean-François Buisseret[23].

Famille de Steenbecque, Stiembecque

[modifier | modifier le code]
  • En 1169, Simon de Steenbecque est seigneur de Blaringhem, Ebblinghem, Nieles, Pradelles, Thiennes.
  • Henri de Stiembecque, chevalier, seigneur du lieu et de La Motte, a fait hommage en 1350 au duc de Bourgogne, à cause de son fief de La Motte tenu du château de Saint-Omer[24].
  • Jean de Stiembecque, écuyer, seigneur de La Motte, fils d'Henri de Stiembecque[24].
  • Nicolas de Stiembecque, fils de Jean, a épousé Catherine Bersacques[24].
  • Jérôme de Stiembecque, écuyer, fils de Nicolas, seigneur de Dicques (Isques) et de La Motte, a épousé Adrienne de Wasselin, fille et sœur de feus Hugues de Wasselin, père et fils, vivant chevaliers, seigneurs de Lannoy, prévôts héréditaires de la ville de La Gorgue. Jérôme de Stiembecque a servi ses anciens souverains (le roi d'Espagne) dès sa jeunesse, s'est trouvé aux sièges de Harlem, Zutphen, Ziriczée, Utrecht et Amsterdam, sous la conduite du duc d'Albe. En récompense de ses services, a eu une pension de 100 florins par an, toute sa vie durant, assignés sur le domaine de Saint-Omer[24].
  • Édouard (ou Oudart) de Stiembecque, fils de Jérôme, est cité le . Sont données à Molina (Molina de Aragón), des lettres de chevalerie pour Édouard (ou Oudart) de Stiembecque, (Steenbecque), écuyer, seigneur de Millemotte (sur Salperwick?), capitaine entretenu au régiment du comte de Grobbendonk, (Maison d'Ursel), lieutenant-général de la gouvernance de Douai et d'Orchies, et sergeant-major de la dite ville de Douai et des gens de guerre qui y sont en garnison. Né à Saint-Omer, suivant les traces de ses nobles prédécesseurs paternels et maternels, il est entré dans sa jeunesse, au service de son souverain, en qualité de gentilhomme de la compagnie colonelle de feu le sieur de Coin, au siège et à la prise de Verselles en Italie, puis fut pourvu d'une compagnie d'infanterie de 200 têtes wallonnes au régiment de feu le seigneur de Maisières, a assisté à la conquête du Palatinat inférieur sous le marquis Ambrogio Spinola, a fait partie de l'armée des Pays-Bas, et fut blessé à la défense d'Arras lors du siège d'Arras. Il est allié à Adrienne de Wancquelin, fille de Claude, chevalier, seigneur de Saint-Tol, grand bailli du pays de Cambrésis, d'ancienne et noble famille[24].

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Depuis 1789

[modifier | modifier le code]

Le , un forcené armé d'une carabine a détenu le maire, Claude Rahou, 72 ans[25], en otage. Après près de sept heures de négociations menées par le GIGN, le forcené s'est rendu en début de soirée. Pendant tout ce temps, le maire a été retenu dans sa mairie par un ancien employé municipal de 47 ans. Ce dernier, père de trois enfants, était en dépression. Un différend, vieux d'une quinzaine d'années l'opposait au maire. L'ancien employé municipal était tombé d'un échafaudage et avait reçu, selon lui, des indemnités insuffisantes pour ce qu'il considérait être un accident du travail. Il reprochait également au maire de ne pas l'avoir assez soutenu. Le forcené avait déjà été condamné en 1996 à un mois de prison avec sursis pour avoir menacé le maire avec un couteau[26],[27].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 : Alexis Roucou[28].

Maire en 1807 : Clep[29].

Maire en 1854 : P.F. Coubronne[30].

Maire en 1881 1883 et de 1887 à 1889 : Gve. Deram, notaire honoraire en 1888[31],[32].

Maire de 1889 à 1892 : Aug. Deroo[33].

Maire de 1892 à 1895 : Albert Deblonde[34].

Maire de 1895 à 1903 : Jules Lesage[35].

Maire de 1903 à 1925 : Victor Vandenbussche (Radical)[36].

Maire de 1925 à 1932 : Jules Lesage[37].

Maire de 1932 à 1934 : Emile Compignie[38].

Maire de 1934 à 1959 : Léon Macke[39].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1983 Jean Ruyssen    
mars 1989 Suzanne Bourteel    
mars 2008 Claude Rahou    
En cours Carole Delaire
Réélue pour le mandat 2020-2026[40]
DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].

En 2021, la commune comptait 1 650 habitants[Note 4], en évolution de −4,51 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2042 2602 3062 0582 1442 0902 0391 9611 941
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8561 8941 8961 9711 9671 9441 9021 8681 830
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8161 7471 7641 6331 6001 5881 5191 4651 455
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 4471 4971 4691 4851 5531 6121 6921 7141 739
2018 2021 - - - - - - -
1 6741 650-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 847 hommes pour 827 femmes, soit un taux de 50,6 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[45]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,8 
6,4 
75-89 ans
11,0 
16,9 
60-74 ans
16,0 
23,1 
45-59 ans
23,9 
16,2 
30-44 ans
15,0 
18,5 
15-29 ans
14,5 
18,2 
0-14 ans
16,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[46]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Culture locale et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
  • Église Saint Pierre, hallekerque du XIVe et XVIIe siècles.
  • La maison flamande, ancienne école
  • L'ancien hospice
  • Le monument Roucou
  • Le calvaire du chevet de l'église et des chapelles-oratoires

Patrimoine culturel

[modifier | modifier le code]

Steenbecque est un village en Flandre française et traditionnellement on y parle flamand occidental. Aujourd'hui, Steenbecque est la commune la plus méridionale qui permet l'usage du flamand/néerlandais en situations officielles.

  • Depuis 2009, Steenbecque fait partie du réseau Village Patrimoine, coordonné par les Pays de Flandre.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Les armes de Steenbecque se blasonnent ainsi : D'azur à trois coquilles d'argent.

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l'agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Steenbecque comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Steenbecque » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  2. Sandre, « la Becque des Clytes »
  3. Sandre, « la Thiennes »
  4. Sandre, « le Bas »
  5. « Fiche communale de Steenbecque », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  6. Sandre, « la Steen Becque »
  7. « SAGE Lys », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Steenbecque et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Steenbecque », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Steenbecque ».
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Hazebrouck », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Jean-Marie Cassagne et Mariola Korsak, Origine des noms de villes et villages Nord, Editions Bordessoules
  21. Mr Bergerot, <<Vie de Saint-Folquin>>, dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1855, p 90 à 131, lire en ligne
  22. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
  23. a et b Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1979 Tome III p. 9523.
  24. a b c d et e Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 261, lire en ligne.
  25. Prise d'otage à Steenbecque, avec vidéo :: LA VOIX DU NORD
  26. Le Figaro - Actualités : Le maire de Steenbecque pris en otage
  27. Nouvel Obs : la prise d'otage est terminée
  28. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  29. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807. », p. 150-151 (images 180-181)..
  30. Annuaire du commerce Département du Nord 1854
  31. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 3..
  32. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 1887 1888 1889
  33. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1890 à 1892
  34. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1893 à 1895
  35. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1896 à 1903
  36. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1904 à 1914 et 1922 à 1925
  37. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1926 à 1932
  38. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1933-1934
  39. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1935 à 1939 et 1952 à 1959
  40. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Steenbecque (59578) », (consulté le ).
  46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).