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Groupe Rassemblement national

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Groupe Rassemblement national
Image illustrative de l’article Groupe Rassemblement national
Chambre Assemblée nationale
Législature(s) XVIe (Cinquième République)
Fondation
Président délégué Jean-Philippe Tanguy
Vice-présidents Bruno Bilde
Alexandre Loubet
Caroline Colombier
Caroline Parmentier
Yoann Gillet
Laurent Jacobelli
Porte-paroles Thomas Ménagé
Laure Lavalette
Franck Allisio
Kévin Mauvieux
Partis membres Rassemblement national
L'Avenir français
Présidente Marine Le Pen
(députée du Pas-de-Calais)
Secrétaire général Renaud Labaye
Représentation
125  /  577
Positionnement Extrême droite[1],[2],[3],[4],[5],[6],[7]
Idéologie Nationalisme[8]
National-populisme[9],[10]
Conservatisme social[11]
National-conservatisme[12]
Opposition à l'immigration[13]
Nationalisme économique[14]
Populisme de droite[11],[15],[16]
Opposition à la mondialisation[17],[18]
Protectionnisme[11]
Souverainisme[19]
Euroscepticisme[20]
Site Web deputes-rn.fr

Le groupe Rassemblement national (RN) est un groupe parlementaire de l'Assemblée nationale française fondé en 2022.

À la suite des élections législatives de 2022, le RN réalise une percée historique, avec 89 députés élus qui font leur entrée à l'Assemblée nationale[21]. Le RN devient ainsi le premier parti d'opposition[21].

Il est présidé par Marine Le Pen depuis le .

À la suite de la dissolution de l’assemblée nationale le 9 juin 2024 par Emmanuel Macron. Le président du Rassemblement national Jordan Bardella présente une nouvelle fois sa candidature au législatif comme étant le futur Premier ministre français. Victorieux lors des élection européenne du 9 juin 2024, il n’obtiendra pas la majorité absolue à l’assemblée nationale. Mais le Rassemblement national bat tout de même un record historique pour le partie politique en possédant le plus de siège à l’Assemblée nationale (France) depuis sa création avec 125 sièges sur 577[22].

Fondation[modifier | modifier le code]

Le groupe parlementaire est constitué au début de la XVIe législature après le succès du parti lors des élections législatives de 2022 et l'élection de 89 députés investis par le Rassemblement national. On trouve parmi ces députés une membre de la Ligue du Sud.

C'est la seconde fois que le parti constitue un groupe parlementaire, la première fois étant en 1986 après des élections utilisant le scrutin proportionnel.

Ancien logo du groupe jusqu'en 2022.

Direction[modifier | modifier le code]

Présidente[modifier | modifier le code]

Présidente Parti Début Fin Circonscription
Marine Le Pen RN 9 juin 2024 11e circonscription du Pas-de-Calais

Président délégué[modifier | modifier le code]

Présidente Parti Début Fin Circonscription
Jean-Philippe Tanguy RN 6 juillet 2022 9 juin 2024 4e circonscription de la Somme

Vice-présidents[modifier | modifier le code]

Vice-présidents Parti Début Fin Circonscription
Bruno Bilde RN 6 juillet 2022 9 juin 2024 12e circonscription du Pas-de-Calais
Alexandre Loubet 7e circonscription de la Moselle
Caroline Colombier 3e circonscription de la Charente
Caroline Parmentier 9e circonscription du Pas-de-Calais
Yoann Gillet 1re circonscription du Gard
Laurent Jacobelli 8e circonscription de la Moselle

Porte-paroles[modifier | modifier le code]

Porte-paroles Parti Début Fin Circonscription
Thomas Ménagé RN 6 juillet 2022 9 juin 2024 4e circonscription du Loiret
Laure Lavalette 2e circonscription du Var
Franck Allisio 12e circonscription des Bouches-du-Rhône
Kévin Mauvieux 15 septembre 2023 3e circonscription de l'Eure

Secrétaire général[modifier | modifier le code]

Le secrétaire général est Renaud Labaye[23].

Composition[modifier | modifier le code]

Liste des membres[modifier | modifier le code]

Député Parti Circonscriptions
Jérôme Buisson RN Ain, 4e
Nicolas Dragon Aisne, 1re
José Beaurain Aisne, 4e
Jocelyn Dessigny Aisne, 5e
Jorys Bovet Allier, 2e
Christian Girard Alpes-de-Haute-Provence, 1re
Lionel Tivoli Alpes-Maritimes, 2e
Alexandra Masson Alpes-Maritimes, 4e
Bryan Masson Alpes-Maritimes, 6e
Jordan Guitton Aube, 1re
Angélique Ranc Aube, 3e
Christophe Barthès Aude, 1re
Frédéric Falcon Aude, 2e
Julien Rancoule Aude, 3e
Gisèle Lelouis Bouches-du-Rhône, 3e
Joëlle Mélin Bouches-du-Rhône, 9e
José Gonzalez Bouches-du-Rhône, 10e
Franck Allisio Bouches-du-Rhône, 12e
Romain Baubry Bouches-du-Rhône, 15e
Emmanuel Taché Bouches-du-Rhône, 16e
Caroline Colombier Charente, 3e
Serge Muller Dordogne, 2e
Géraldine Grangier Doubs, 4e
Lisette Pollet Drôme, 2e
Christine Loir Eure, 1re
Katiana Levavasseur Eure, 2e
Kévin Mauvieux Eure, 3e
Timothée Houssin Eure, 5e
Yoann Gillet Gard, 1re
Nicolas Meizonnet Gard, 2e
Pascale Bordes Gard, 3e
Pierre Meurin Gard, 4e
Grégoire de Fournas Gironde, 5e
Edwige Diaz Gironde, 11e
Stéphanie Galzy Hérault, 5e
Aurélien Lopez-Liguori Hérault, 7e
Alexis Jolly Isère, 6e
Roger Chudeau Loir-et-Cher, 2e
Mathilde Paris Loiret, 3e
Thomas Ménagé Loiret, 4e
Hélène Laporte Lot-et-Garonne, 2e
Annick Cousin Lot-et-Garonne, 3e
Christophe Bentz Haute-Marne, 1re
Laurence Robert-Dehault Haute-Marne, 2e
Florence Goulet Meuse, 2e
Kévin Pfeffer Moselle, 6e
Alexandre Loubet Moselle, 7e
Laurent Jacobelli Moselle, 8e
Victor Catteau Nord, 5e
Michaël Taverne Nord, 12e
Pierrick Berteloot Nord, 15e
Matthieu Marchio Nord, 16e
Thibaut François Nord, 17e
Sébastien Chenu Nord, 19e
Philippe Ballard Oise, 2e
Alexandre Sabatou Oise, 3e
Michel Guiniot Oise, 6e
Emmanuel Blairy Pas-de-Calais, 1re
Christine Engrand Pas-de-Calais, 6e
Caroline Parmentier Pas-de-Calais, 9e
Thierry Frappé Pas-de-Calais, 10e
Marine Le Pen Pas-de-Calais, 11e
Bruno Bilde Pas-de-Calais, 12e
Sophie Blanc Pyrénées-Orientales, 1re
Anaïs Sabatini Pyrénées-Orientales, 2e
Sandrine Dogor-Such Pyrénées-Orientales, 3e
Michèle Martinez Pyrénées-Orientales, 4e
Antoine Villedieu Haute-Saône, 1re
Émeric Salmon Haute-Saône, 2e
Béatrice Roullaud Seine-et-Marne, 6e
Jean-Philippe Tanguy Somme, 4e
Yaël Menache Somme, 5e
Frédéric Cabrolier Tarn, 1re
Marine Hamelet Tarn-et-Garonne, 2e
Laure Lavalette Var, 2e
Stéphane Rambaud Var, 3e
Philippe Lottiaux Var, 4e
Julie Lechanteux Var, 5e
Frank Giletti Var, 6e
Frédéric Boccaletti Var, 7e
Philippe Schreck Var, 8e
Catherine Jaouen Vaucluse, 1re
Bénédicte Auzanot Vaucluse, 2e
Hervé de Lépinau Vaucluse, 3e
Daniel Grenon Yonne, 1re
Julien Odoul Yonne, 3e
Nathalie Da Conceicao Carvalho Essonne, 2e
Marie-France Lorho DXD Vaucluse, 4e

Répartition partisane[modifier | modifier le code]

Statut Parti Nombre
Membres Rassemblement national 82
L'Avenir français 5
Divers extrême droite 1
Total 88

Anciens membres[modifier | modifier le code]

Député Parti Circonscription Observation
Anne-Sophie Frigout LAF Marne, 2e Election invalidée par le Conseil Constitutionnel. Défaite lors d’une élection partielle
Joris Hébrard RN Vaucluse, 1re Élu maire du Pontet, il est remplacé par Catherine Jaouen

Actions[modifier | modifier le code]

Le groupe est représenté au bureau de l'Assemblée avec deux vice-présidents : Sébastien Chenu et Hélène Laporte[24].

Leur première action lors de la XVIe législature est de réclamer une commission d'enquête sur les causes de l'inflation, une mesure également réclamée par Michel-Édouard Leclerc[22].

Le groupe RN a présenté en un an 6 143 amendements, dont 123 ont été adoptés. Alors qu’il forme le deuxième groupe parlementaire de l’Assemblée, le RN n’est que quatrième par le nombre d’interventions en commission[25].

Relations avec le gouvernement et les autres groupes[modifier | modifier le code]

Soucieux de se poser en « parti de gouvernement », le RN entend se placer dans une « opposition ferme mais constructive ». Il a ainsi voté, dès les premières semaines de la mandature, régulièrement dans le sens du gouvernement, en particulier sur les questions économiques : refus d’augmenter le Smic et de bloquer les prix, maintien de la flat tax à 30 % sur les revenus du capital, suppression de la redevance audiovisuelle, etc[26]. Lors de l’examen de la réforme de l’assurance-chômage, les députés du RN votent, avec les LR, des amendements-clés et proposent de réduire les droits des travailleurs étrangers[27].

Après une année de mandature, le RN apparait comme une « opposition à deux visages » selon France Info, votant régulièrement en faveur des textes-clés présentés par le gouvernement. Sur les quatorze principales réformes du gouvernement, les députés du groupe RN ont voté, en moyenne, à 42 % pour et à 22 % contre (le reste correspondant aux abstentions et non-participations). Il constitue ainsi le deuxième groupe d'opposition le plus proche du gouvernement, après le groupe LR[28]. Ce dernier est celui dont le RN est le plus proche. Tous deux ont voté dans le même sens dans 56 % des cas, selon le site Datan[25].

Niche parlementaire[modifier | modifier le code]

Lors de la niche parlementaire du groupe, Marine Le Pen annonce reprendre une proposition de loi votée au Sénat en faveur de la lutte contre les violences faites aux femmes, créant une aide d’urgence pour les victimes de violences conjugales. Elle annonce également reproposer le texte de Caroline Fiat, députée LFI sur la réintégration des soignants non-vaccinés. Elle a d'ailleurs été nommée rapporteure du texte avant de le retirer le lendemain. Le groupe a également proposé ses propres textes notamment sur l’instauration de la proportionnelle à toutes les élections rapporté par Bruno Bilde, le port de l’uniforme à l’école porté par Roger Chudeau, la hausse des salaires de 10 % présenté par Jean-Philippe Tanguy, la suppression des ZFE ou encore la réforme de la taxe des ordures ménagères que porte Sébastien Chenu[29]. Finalement, le texte de la sénatrice Valérie Létard sur les violences conjugales sera examiné au titre de la « semaine de l’Assemblée » une semaine après la niche RN[30],[31].

Constitutionnalisation de l'IVG[modifier | modifier le code]

Après s'être d'abord opposé à l'inscription du droit à l'IVG dans la Constitution, le groupe propose la constitutionnalisation de la loi Veil sur l'IVG[32]. Finalement, 38 députés RN votent l'inscription du droit à l'avortement dans la Constitution proposée par la NUPES[33].

Positions économiques et sociales[modifier | modifier le code]

Sur les questions économiques et sociales, le groupe RN a au cours de la XVIe législature (2022-2024) prioritairement défendu les intérêts des grandes entreprises, des propriétaires immobiliers et des ménages aisés, tout en conservant l’essentiel de sa défense de l’État social, selon le quotidien Le Monde[34].

Ainsi, sur le logement, le groupe RN a prôné l’allègement de la fiscalité locative et des obligations de rénovation énergétique. Il s'est opposé à une proposition de loi visant à « remédier aux déséquilibres du marché locatif en zone tendue » en donnant davantage de pouvoirs de régulation aux maires ainsi qu'à l'allègement de la niche fiscale dite « Airbnb ». Les députés RN ont déposé une proposition de loi visant à détricoter la loi solidarité et renouvellement urbains (SRU), qui oblige les communes en zone urbaine à proposer un taux minimal de logements sociaux[34].

En matière de fiscalité, le RN a proposé la baisse de la TVA sur les carburants et sur les énergies, sans toutefois faire de distinction entre ménages populaires et ménages aisés, ainsi que l’exonération d’impôts sur le revenu pour les moins de 30 ans et pour leurs entreprises. Il s'est par ailleurs opposé au malus au poids pour les véhicules thermiques, qui devait viser les SUV. Le RN a également soumis des propositions propres à avantager les détenteurs de patrimoine, avec l’abrogation des droits de succession pour les héritages inférieurs à 150 000 euros et le remplacement de l’impôt sur la fortune immobilière par un impôt sur la fortune financière[34].

Sur l’agriculture, le parti s'est exprimé en soutien à l’agrandissement des exploitations et à l’intensification, et contre toute forme de contrainte. Ses élus ont voté contre l’inscription dans la loi d’objectifs à 2030 de surfaces en agriculture biologique, contre l’instauration de diagnostics climatiques lors de l’installation, contre la mise en place de stages de sensibilisation en cas d’atteintes à l’environnement, contre l’interdiction des nitrites dans les charcuteries, et contre un amendement du groupe écologiste proposant un approvisionnement 100 % français pour la viande servie en restauration collective[34].

Sur les questions liées à l'entreprise et au travail, le RN a soutenu la réforme de l’assurance-chômage de 2022 et défendu des amendements réclamant la fin de l’indemnisation des chômeurs ayant refusé un CDI à la fin d’un CDD et assimilant les abandons de poste à des démissions. Il s’est par ailleurs toujours opposé à une augmentation du smic ou à l’indexation des salaires sur l’inflation, proposant en revanche d'inciter les entreprises à augmenter les salaires par des exonérations de cotisations patronales. Il s'est opposé à la réforme du RSA qui instaure au moins quinze heures d’activité hebdomadaire en contrepartie du versement de l’allocation[34]. Opposé au projet de réforme des retraites, le RN a déposé une motion référendaire qui a été débattue à l'Assemblée nationale le [35]. Le RN a déposé une motion de censure afin de tenter de faire démissionner le gouvernement[36]. Lors du vote le , la motion a été rejetée ; elle a obtenu 89 voix favorables, soit les suffrages des 88 députés RN plus celui de Nicolas Dupont-Aignan[36]. Afin de favoriser la réindustrialisation, le groupe RN a proposé de poursuivre la baisse des impôts de production et la « simplification » des normes juridiques et environnementales. Le RN a également voté la loi « industrie verte » du gouvernement qui vise à simplifier entre autres les procédures pour installer des usines[34].

Polémique sur Grégoire de Fournas[modifier | modifier le code]

Lors des questions au gouvernement du 2 novembre 2022, le député Grégoire de Fournas crie « Qu'il retourne en Afrique » au moment où le député Carlos Martens Bilongo questionne le gouvernement au sujet du bateau Océan Viking en attente de pouvoir débarquer ses passagers dans un port. Ces propos jugés racistes suscitent une réaction très forte de tous les autres partis; de son côté, le groupe RN fait corps autour du député pour s'opposer à la demande qu'il quitte l'hémicycle et argue que le député évoquait le sort du bateau. A la suite de cet événement, le député De Fournas est exclu du parlement pour 15 jours et son indemnité parlementaire est diminuée de moitié pour deux mois[37].

Organisation[modifier | modifier le code]

En , L'Express dénombre 144 collaborateurs parlementaires de députés du groupe RN, essentiellement issus des militants locaux du parti, ce qui illustre, selon l'hebdomadaire, « la difficulté du parti à recruter en dehors de sa zone de confort ». L'Express identifie également « des profils radicaux » et « une dizaine de transfuges - venus pour l'essentiel du parti Les Républicains »[38].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Liste des circonscriptions législatives de la France » (voir la liste des auteurs).
  1. Mondon, A., 2015. "The French secular hypocrisy: the extreme right, the Republic and the battle for hegemony." Patterns of Prejudice, 49 (4), pp. 392–413.
  2. Anthony M. Messina (2015). "The political and policy impacts of extreme right parties in time and context." Ethnic and Racial Studies 2015; 38: 1355.
  3. Sonia Van, « France – A Guide to Europe's Right-Wing Parties and Extremist Groups », Time,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « Sénatoriales 2023 : il refusait d’être classé à l’extrême droite, le RN débouté par le Conseil d’État », sur Public Sénat (consulté le )
  5. « Decision n° 488379 du Conseil d’État datant du 21 septembre 2023 » (consulté le )
  6. « Conseil d'État, Juge des référés, formation collégiale, 10/03/2020, 439273, Inédit au recueil Lebon », sur Légifrance (consulté le )
  7. « Le Rassemblement national est bien d’extrême droite, confirme le Conseil d’État… Sur demande du RN » (consulté le )
  8. (en) Wolfram Nordsieck, « France », sur parties-and-elections.eu (consulté le ).
  9. Nicolas Lebourg, Marine Le Pen est-elle d'extrême droite ?, Le Nouvel Observteur, 2 mai 2012 « Malgré leur divergences, les Le Pen fille et père se rattachent au même courant interne de l'extrême droite : celui du national-populisme. »
  10. « Pourquoi dit-on que le Front national et Les Patriotes sont d'extrême droite ? », sur liberation.fr, 27 mai 2018.
  11. a b et c « Depuis 2011, le FN est devenu «protectionniste au sens large» », sur Libération.fr, (consulté le ).
  12. « Priorité nationale, identité: ces principes fondamentaux que Le Pen veut créer », sur lexpress.fr, (consulté le )
  13. « Immigration | Stopper l'immigration, renforcer l'identité française | Front National », sur Frontnational.fr (consulté le ).
  14. « Macron-Le Pen face-off: EU supporter vs. economic nationalist », CNN,‎ (lire en ligne)
  15. (en) « French far-right leader seeks to reintroduce death penalty after Charlie Hebdo attack », sur Washingtonpost.com, (consulté le ).
  16. Kyle Taylor, « Europeans favoring right-wing populist parties are more positive on Putin », Pew Research Center, (consulté le )
  17. (en) Andrej Zaslove, « Exclusion, Community, and a Populist Political Economy: The Radical Right as an Anti-Globalization Movement », Comparative European Politics, vol. 6,‎ , p. 169-189 (ISSN 1472-4790, DOI 10.1057/palgrave.cep.6110126, lire en ligne [archive du ], consulté le ).
  18. (en) John Lichfield, « European elections 2014: Marine Le Pen's Front National victory in France is based on anguish, rage and denial », The Independent,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. (en) Miroslav Mareš, « Transnational Networks of Extreme Right Parties in East Central Europe: Stimuli and Limits of Cross-Border Cooperation », 20th IPSA World Congress Fukuoka, vol. 9,‎ , p. 13 (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Qu'est-ce qui fait échouer le Front de gauche ? », sur Marianne.net, .
  21. a et b « Après l'élection de 89 députés, le Rassemblement national fait face au défi de la crédibilité », sur Europe 1, (consulté le )
  22. a et b P.S. et AFP, « Inflation: le RN demande une enquête parlementaire », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  23. Camille Vigogne Le Coat, « Renaud Labaye, le "catho tradi mili" qui commande les députés RN », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  24. Pierre Maurer, « Assemblée nationale : le Rassemblement national obtient deux vice-présidents, la gauche s’insurge », sur leparisien.fr, (consulté le )
  25. a et b « Le vrai bilan du RN à l'Assemblée nationale », sur lejdd.fr,
  26. Benjamin König, « À l'Assemblée : trois blocs, trois enjeux », sur L'Humanité, .
  27. Clément Guillou, « Assurance-chômage : discret, le Rassemblement national défend tout de même sa préférence nationale », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  28. « Soutien des LR, double jeu du RN, abstention des socialistes… Comment les députés des oppositions votent sur les textes phares du gouvernement », sur Franceinfo,
  29. « Marine Le Pen dévoile le contenu de la première niche parlementaire du RN », sur bfmtv.com, (consulté le )
  30. Simon Barbarit, « Violences faites aux femmes : le texte de Valérie Létard examiné en janvier à l’Assemblée, sous la pression du RN », sur publicsenat.fr, (consulté le )
  31. Clément Guillou, « Le Rassemblement national pose des pièges dans sa niche parlementaire, l’Assemblée réplique », sur lemonde.fr, (consulté le )
  32. Clément Guillou, « Sur l’IVG, Marine Le Pen change de position et propose de constitutionnaliser la loi Veil », sur Le Monde, (consulté le ).
  33. « Analyse du scrutin n° 629 Deuxième séance du 24/11/2022 », sur assemblee-nationale.fr, (consulté le ).
  34. a b c d e et f « Le RN à l’Assemblée : deux ans de défense des propriétaires, des ménages aisés et des grandes entreprises », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne)
  35. Marie-Pierre Haddad, « Réforme des retraites : 5 questions sur les enjeux du vote de la motion référendaire du RN », sur rtl.fr, (consulté le ).
  36. a et b « Réforme des retraites : la motion de censure du RN largement rejetée », sur rtl.fr, (consulté le ).
  37. Mariama Darame et Jérémie Lamothe, « A l’Assemblée nationale, la sanction prise contre le député RN Grégoire de Fournas fragilise la stratégie de normalisation du groupe d’extrême droite », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  38. Camille Vigogne Le Coat, « Cathos, radicaux, pizzaiolo... Qui sont les 144 nouveaux collaborateurs RN à l'Assemblée ? », sur lexpress.fr, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]