Liste des prieurés et celles grandmontaines

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La liste des prieurés et celles grandmontaines recense les maisons de l'ordre de Grandmont, ordre monastique fondé vers 1076 en Limousin et dissous en 1772.

À la fin du XIIIe siècle, l'ordre de Grandmont était organisé en France en 9 provinces (dites "nations" ou "visitations") totalisant, avec les 2 maisons espagnoles (11 clercs) et les 3 maisons anglaises (24 clercs), 149 maisons et 882 clercs. Les provinces ne correspondent pas exactement aux régions géographiques éponymes, mais se touchent presque toutes (sauf celles de Normandie et France) vers le chef d'ordre de Grandmont autour duquel elles sont disposées[1].

  • Nation de France : 15 maisons ou celles avec 87 clercs ;
  • Nation de Normandie : 15 maisons avec 92 clercs ;
  • Nation d’Anjou : 16 maisons et 2 léproseries avec 100 clercs ;
  • Nation de Poitou : 20 maisons avec 99 clercs ;
  • Nation de Saintonge : 16 maisons avec 98 clercs ;
  • Nation de Gascogne : 16 maisons avec 92 clercs ;
  • Nation de Provence : 13 maisons avec 66 clercs ;
  • Nation d’Auvergne : 15 maisons avec 68 clercs ;
  • Nation de Bourgogne : 18 maisons avec 105 clercs ;
  • Chef d’ordre à Grandmont avec 40 clercs.

L'organisation en prieurés et celles (dépendances) présentée dans les sections qui suivent est basée celle de la bulle papale Exigente debito du 15 décembre 1317[2] réorganisant l'ordre autour de l'abbaye et de 39 prieurés, et complétée des évolutions postérieures. Les numéros de chaque maison (indications "GEREG n°") sont ceux attribués par le GEREG (Groupe d'études et de recherches sur les Grandmontains) fondé par Gilles Bresson[note 1]. En fonction de l'intérêt grandmontain des vestiges et de leur mise en valeur, les notations en étoiles (de 0/6 étoiles à 6/6 étoiles) sont celles du site internet de Michel Fougerat, cofondateur des Cahiers Grandmontains du GEREG (l'abbaye de Grandmont n'est pas notée)[3].

Abbaye et chef d'ordre[modifier | modifier le code]

  • Abbaye de Grandmont (Grandismons, Grandimontum), à Saint-Sylvestre (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges, Logo monument historique Inscrit MH (2015, 2017). Fondée en 1125, église dédiée en 1166, elle avait plus de 40 religieux en 1295 (hors prêtres, novices et infirmes), 60 en 1317, 35 au xve siècle, 30 au xvie siècle et 10 en 1772. La visite des vestiges (ruines) est ouverte au public[4].
    • Celle Notre-Dame et Saint-Marc de Balesis dite "prieuré des Gondauds" (ou Balezis, Balazy, Balaz, Balais, de Balesis, de Balazis, GEREG no 133, 0/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Isle (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Fondée à la fin du xiie siècle, la chapelle est bâtie en 1227. Elle n'est pas mentionnée dans le dénombrement de 1295, ni en 1317, sans-doute déjà unie au chef d'ordre.[5],[6],[7]
    • Celle de Boisvert (ou Boisverd, GEREG no 134, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne[8],[9]
    • Celle des Bronzeaux (GEREG no 136, 4/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, Logo monument historique Classé MH (1999). Elle est ouverte au public[10],[11].
    • Celle de l'Escluse (GEREG no 141, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne
    • Celle d'Epaigne (GEREG no 142, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne[12]
    • Celle Notre-Dame et Saint-Pardoux d'Etricor (GEREG no 7, 4/6 étoiles) de la Nation de Poitou, Logo monument historique Inscrit MH (1987)[13].
    • Celle de La Forêt-de-Montsuclat (ou Bonneval-Monstusclat, de Bona-Valle, de Foresta, Bonae-Vallis de Monteusto, de Foresta de Monteusto, GEREG no 26, 1/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Soudeilles (Corrèze) dans le diocèse de Limoges puis de Tulle.[14]
    • Celle Notre-Dame de La Garde (ou La-Garde-en-Avert, de Garda, de Guarda, GEREG no 15, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à La Tremblade (Charente-Maritime) dans le diocèse de Saintes[14],[15].
    • Celle Sainte-Marguerite de Montmorillon (ou le Petit Grandmont, Beata Margarita Montis Maurilii, GEREG no 129, 3/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Montmorillon (Vienne) dans le diocèse de Poitiers. Elle n'est pas présente dans les écrits (annales, dénombrement de 1295 et bulle de 1317), mais il existe 20-25 actes la concernant dans les archives départementales de la Haute-Vienne entre 1250 et 1273. Appelée pressoir (torcular) du fait de son activité uniquement viticole et plus monastique, elle est unie au chef d'ordre avant 1295.[16],[17]
    • Celle de Muret (GEREG no 143, 2/6 étoiles) de la Nation de Provence[18],[9]
    • Celle Notre-Dame et Saint-Georges de Rousset (de Rosseto, GEREG no 144, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, près de Vaulry (Haute-Vienne). Elle existait en 1224 et avait 5 religieux en 1295.[19],[20]
    • Celle de La Serre de Bonneval (GEREG no 135, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne[21]
    • Celle de Trezen (GEREG no 146, 1/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne[22],[12]
    • Les celles d'Angleterre et de Navarre (voir section dédiée)
    • La grange de Coudier (3/6 étoiles), à Ambazac (Haute-Vienne), Logo monument historique Inscrit MH (1980)[23]. Grange dîmière.

Maisons en Angleterre et Espagne[modifier | modifier le code]

Ces maisons sont unies au chef d'ordre en 1317.

  • Celles de Navarre (Espagne) :
    • Prieuré Saint-Martial de Tulède (GEREG no 157, 0/6 étoiles)[26]
    • Celle de Stella (es) (ou Santa María Jus del Castillo d’Estella, GEREG no 156, 3/6 étoiles)[26]

Prieurés de la Nation de France[modifier | modifier le code]

Prieuré de 18 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré puis abbaye de Macheret (GEREG no 83, 0/6 étoiles) de la Nation de France, à Saint-Just-Sauvage (Marne) dans l'ancien diocèse de Troyes. Fondé en 1168 par Guillaume Ier de Dampierre et Hugues III de Plancy, il a 8 religieux en 1295, 18 en 1317. Un collège y est fondé en 1581 par 2 grandmontains et dura 23 ans. Il est érigé en abbaye en 1650. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance, qu'il rejoint en 1687. Il restait 5 religieux lors de la suppression de l'ordre[27],[28].
    • Celle Saint-Eutrope d'Arvy-les-Bons-Hommes (ou l'Isle-Aumont, de Arvico, de Insula, GEREG no 3, 3/6 étoiles) de la Nation de France, dans le bois d'Arvy à Cormost (Aube) dans le diocèse de Troyes. Fondé avant 1180 par Henri Ier comte de Champagne, il avait 6 religieux en 1295. Il n'en reste plus qu'une fontaine[27].,[29]
    • Celle de Chateauvillain (GEREG no 84, 2/6 étoiles) de la Nation de France[27]
    • Celle Saint-Fiacre de Mathons (dite "prieuré des Bonshommes", GEREG no 85, 3/6 étoiles) de la Nation de France, à Mathons (Haute-Marne)[27],[30]

Prieurés de 16 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré de l'Enfourchure (ou Dimont, de Dimone, de Infurcatura, GEREG no 148, 3/6 étoiles) de la Nation de France, à Dixmont (Yonne) dans le diocèse de Sens, Logo monument historique Inscrit MH (1926). Fondé en 1209, il comptait 8 religieux en 1295, 16 en 1317, 2 en 1641 et le prieur commendataire obtient à cette époque de l'abbaye de ne plus y entretenir de religieux. L'église menaçait de tomber en ruines en 1496 et est réparée au siècle suivant. Il est ouvert au public[31].,[32]
  • Prieuré de Notre-Dame du Meynel (ou Mesnel, Meynel-lez-Maffliers, Coudray-de-Grandmont, Notre-Dame du Coudray, Notre-Dame des Bonshommes, de Menello, GEREG no 152, 0/6 étoiles) de la Nation de France, à Maffliers (Val d'Oise) dans les diocèses successifs de Paris, Beauvais et de Versailles. Etabli en 1169 sur une terre donnée par Bouchard V de Montmorency, soutenu par Louis VII, il avait 8 religieux en 1295, 16 en 1317, 3 en 1768. Il est uni au collège de Grandmont (Paris) en 1711. Il est décrit dans le roman l'Adieu de Balzac en 1830, transformé en 1859 en une maison de campagne appelée "château des Bonshommes". Les bâtiments vétustes ont été rasés par l'ONF à la fin des années 1970 et le site est devenu une réserve ornithologique et faunistique[34].,[35]
  • Prieuré de Raroi (ou Ravoi, Razay, Resaye, de Reraio, de Rerayo, de Rezaio, de Rarezaio, GEREG no 107, 1/6 étoiles), à Crouy-sur-Ourcq (Seine-et-Marne) de la Nation de France, dans le diocèse de Meaux. Fondé en 1164 ou 1171, il avait 6 religieux en 1295, 16 en 1317, et seulement un au xve siècle. Les jésuites puis les feuillants s'y installèrent, puis Raroi fut uni à la maison de l'Oratoire[40].

Prieurés de la Nation de Normandie[modifier | modifier le code]

Prieuré de 18 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieurés de 16 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieurés de 14 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré Saint-Étienne de Beaumont-le-Roger dit "Grandmont-lez-Beaumont" (ou Grandmont-les-Noyer, Grandmont-les-Châtel-la-Lune, GEREG no 40, 1/6 étoiles) de la Nation de Normandie, au Noyer-en-Ouche (Eure) dans le diocèse d'Evreux. Fondé en 1181, il avait 7 religieux en 1295, 14 en 1317 et 3 en 1772. Il est uni au Petit séminaire d'Evreux en 1784.[49]
    • Celle Notre-Dame de La Bellière dite "Notre-Dame de Grandmont" (GEREG no 93, 2/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à La Bellière (Orne).[36]
  • Prieuré de Bercey (Bersay, prioratus de Burseyo, de Bersayo, GEREG no 102, 3/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Saint-Mars-d'Outillé (Sarthe) dans le diocèse du Mans. Il aurait été fondé en 1136 par Henri II Plantagenêt, avait 7 religieux en 1295, 14 en 1317, 4 en 1768. Il est uni en 1770 au séminaire diocésain.[49]
    • Celle de La Hubaudière (de Hubaudiera, GEREG no 65, 1/6 étoiles) de la Nation de Normandie[14]
  • Prieuré Notre-Dame-du-Parc (ou Grandmont-lez-Rouen, de Parco, de Rothomago,GEREG no 105, 4/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Rouen (Seine-Maritime) dans l'ancien diocèse de Lisieux, Logo monument historique Classé MH (1936). Fondé en 1156 par Henri II Plantagenêt aux portes de Rouen dans la forêt de Rouvray, c'était la maison la plus riche de l'ordre après Grandmont. Elle avait 10 religieux en 1295, 14 en 1317, 9 en 1768 puis est réunie en 1770 au séminaire de Lisieux[50],[51].
    • Celle d'Aubevoie (ou Grandmont-lès-Gaillon, de Albavia, de Albania, de Albaria, GEREG no 39, 0/6 étoiles) de la Nation de Normandie, à Gaillon (Eure) dans le diocèse d'Évreux. Elle avait 6 religieux en 1295. En 1748 les jésuites y faisaient encore célébrer 2 messes par semaine.

Prieurés de la Nation d'Anjou[modifier | modifier le code]

Prieurés de 18 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré Notre-Dame du Bois Rahier (ou Boisraiet-lez-Tours, Grandmont-lez-Tours, de Bosco Raherii, GEREG no 56, 0/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, au quartier Montjoyeux-Grandmont de Tours (Indre-et-Loire). Il s'agissait d'une des principales maisons de l'ordre, qui aurait été fondée en 1156 ou 1172 par Henri II Plantagenêt. Le prieuré avait 12 religieux en 1295, 18 en 1317, 4 en 1768. Il est unie en 1770 au séminaire de Tours.[52],[53]
    • Celle de Clairefeuille (GEREG no 57, 0/6 étoiles) de la Nation d'Anjou
    • Celle de Montoussan (ou Montaussan, GEREG no 59, 2/6 étoiles) de la Nation d'Anjou[30]
    • Une léproserie (du xiie siècle au xive siècle)[16]
  • Prieuré du Pommier-Aigre (ou Grandmont-lès-Chinon, de Pomerio acri, GEREG no 60, 3/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Saint-Benoît-la-Forêt (Indre-et-Loire) dans le diocèse de Tours. Il avait 6 religieux en 1295, 18 en 1317, et 2 lors de la suppression de l'ordre et l'union du prieuré au séminaire de Tours[51].
    • Celle du Bouchet en Berthegon (ou Boschet, de Boscheto, GEREG no 126, 0/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Berthegon (Vienne) dans le diocèse de Poitiers. Fondée vers la fin du xiie siècle, elle a 3 religieux en 1295[8].
    • Celle de Fontmaur (ou Fontmor, Fontaine-Meurier, de Fonte Moro, GEREG no 128, 2/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Vellèches (Vienne) dans le diocèse de Poitiers. Fondée sous le 4e prieur (1140-1163), elle avait 5 religieux en 1295.
  • Prieuré de Puychevrier (ou Puy-Chevrier, Puits-Chevrier, de Podio Caprarii, GEREG no 54, 5/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Mérigny (Indre) dans l'ancien diocèse de Poitiers puis de Tours, en Logo monument historique Classé MH (1979). La maison existait à la fin du xiie siècle et comptait parmi les plus anciennes de l'ordre. Elle avait 5 ou 6 religieux en 1295, puis 18 en 1317, et fut unie en 1771 au séminaire de Poitiers[54],[55].
    • Celle puis prieuré d'Entrefins (de Entrefis, de Trefis, de Interfines, GEREG no 127, 1/6 étoiles) de la Nation de Poitou, à Adriers (Vienne) dans le diocèse de Poitiers. Elle avait 6 religieux en 1295, la communauté de Puychevrier s'y transféra au début du xviie siècle.
    • Celle de l'Espau (ou Espaux, l'Epau, Lépaud, Espande, Bellabre, Bel-Arbre, de Espaudio, de Espaudia, de Pulchro Arbore, GEREG no 52, 0/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, à Belâbre (Indre) dans le diocèse de Poitiers.
    • Celle d'Hauterives (GEREG no 58, 2/6 étoiles) de la Nation d'Anjou, dans le diocèse de Tours[14].

Prieurés de 16 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieurés de 14 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieurés de la Nation de Poitou[modifier | modifier le code]

Prieurés de 18 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieurés de 16 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieurés de la Nation de Saintonge[modifier | modifier le code]

Prieuré de 20 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieuré de 16 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieuré de 13 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieurés de la Nation de Gascogne[modifier | modifier le code]

Prieurés de 22 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré de La Faye-de-Jumilhac (de Fagia-Jumiliaci, GEREG no 36, 2/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Jumilhac-le-Grand (Dordogne). Fondé en 1194 par Étienne Cortez et ses fils, il avait 7 religieux en 1295, 22 en 1317, et 2 en 1768. Il est évacué par mesure provisoire en 1778 et uni au séminaire de Périgueux.[84],[85]
  • Prieuré Notre-Dame de Francour (ou Francou, de Francorio, GEREG no 119, 4/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Lafrançaise (Tarn-et-Garonne) dans l'ancien diocèse de Cahors, Logo monument historique Classé MH (1991), Logo monument historique Inscrit MH (1989). Fondé de 1140 à 1163, il avait 8 religieux en 1295, 22 en 1317, 2 en 1768. Il est uni au séminaire de Cahors en 1770.[84],[87]
  • Prieuré de La Garrigue (de Garrigia, GEREG no 76, 2/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Saint-Pardoux-du-Breuil (Lot-et-Garonne) dans le diocèse d'Agen. Il avait 8 religieux en 1295, et 15 ou 22 en 1317. En décadence au xve siècle, il n'avait plus de communauté religieuse au xvie siècle.[84],[89]
    • Celle de Babeau (ou Barbeau, de Batbuo, GEREG no 46, 1/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, à Fargues-Saint-Hilaire (Gironde) dans le diocèse de Bordeaux. Elle comptait 4 religieux en 1295.[43]
    • Celle de La Brède (de Breda, GEREG no 35, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, dans le diocèse de Périgueux. Elle avait 5 religieux en 1295.[8]
    • Celle de La Lande (GEREG no 47, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge[30]
    • Celle Notre-Dame de Mériniac (ou Mérignac, de Marinhaco, GEREG no 77, 0/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Miramont-de-Guyenne (Lot-et-Garonne) dans le diocèse d'Agen. Fondée en 1278, elle avait 5 religieux en 1295. Sans-doute détruit pendant la Révolution, son église subsistait encore pendant la première moitié du xixe siècle mais n'en reste aucun vestige, et des bâtiments agricoles se trouvent à l'emplacement de l'ancien prieuré.[30],[90]
    • Celle de Verdelais (GEREG no 48, 2/6 étoiles) de la Nation de Gascogne

Prieuré de 16 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré de Paradou (ou Deffès, Deffech, Deffense, de Defenso, GEREG no 75, 1/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Bon-Encontre (Lot-et-Garonne) dans le diocèse d'Agen. Fondé avant 1220, il avait 8 religieux 1295, 16 en 1317. Clément V y fut élevé par le correcteur Pierre de Causac. Il n'y avait plus de religieux au xviie siècle.[47]
    • Celle de La Ribeyrolle (de Riberola, GEREG no 78, 0/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Bias (Lot-et-Garonne) dans le diocèse d'Agen. Il y avait 4 religieux en 1295. Elle est détruite pendant les guerres de religion et un manoir est construit sur son emplacement dans la seconde moitié du xviie siècle.[19]
    • Celle de Sainte-Rose (de Sancta Rosa, GEREG no 45, 0/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, dans le diocèse de Lectoure. Il avait 5 religieux en 1295.[19]

Prieuré de 15 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré de Pinel (ou Pinelly, de Pinello, GEREG no 44, 0/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, à Villariès (Haute-Garonne) dans le diocèse de Toulouse. Fondé par Henri II Plantagenêt après 1178, il avait 6 religieux en 1295, 15 ou 18 en 1317, et 2 à la suppression de l'ordre lorsqu'il est uni au séminaire de Tours. Il est ouvert au public[51].
    • Celle de Lo-Dieu (GEREG no 120) de la Nation de Gascogne[30]

Prieurés de la Nation de Provence[modifier | modifier le code]

Prieurés de 18 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré du Chatenêt (de Castaneto, GEREG no 137, 3/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Feytiat (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Fondé du vivant de saint Étienne de Muret vers 1120, il avait 18 religieux sous le 3e prieur, 5 en 1295, 18 en 1317. Il n'y avait plus de communauté religieuse au xvie siècle et en 1576 l'abbé de Neuville y installa une communauté de femmes suivant la règle de Grandmont. Leur nombre fut fixé à 30, il y en avait 27 en 1756 et le prieuré absorba la Drouille-Blanche à cette époque après avoir absorbé la Drouille-Noire.[91]
    • Celle du Cluzeau (GEREG no 138, 1/6 étoiles) de la Nation de Provence, unie avant 1317 au Chatenêt[92].
    • Celle de Malegorce (GEREG no 25, 0/6 étoiles) de la Nation de Provence[30]
    • Celle de Porrières (ou Pourrières, GEREG no 27, 0/6 étoiles) de la Nation de Provence
    • Celle de Saumur (ou Salmur, Sermur, de Salmurio, de Sammurio, GEREG no 145, 1/6 étoiles) de la Nation de Gascogne, entre Les Cars et Flavignac (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Elle existait avant 1224, et avait 4 religieux en 1295.[19]
  • Prieuré de Saint-Michel de Lodève dit "Saint-Michel de Grandmont" (GEREG no 50, 6/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Saint-Privat (Hérault), Logo monument historique Classé MH (1981, prieuré), Logo monument historique Inscrit MH (1953, terrains). Il avait 12 religieux en 1295 (une des plus nombreuses communautés), 18 en 1317, 2 en 1768. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance depuis 1679. À la dissolution de l'ordre, il est uni à la fabrique de l'église cathédrale de Lodève. Il est ouvert au public.[64],[93]

Prieuré de 17 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré Notre-Dame de Montaubérou (ou Mont-Herbedon, Monthelbedon, Monbédon, Montérée, de Monte Herbedonis, de Monte arbedone, GEREG no 49, 2/6 étoiles) de la Nation de Provence, à Montpellier (Hérault). Fondé vers 1180, il avait 12 religieux en 1295, 17 en 1317, et 4 en 1518. Au xviie siècle, la communauté se déplaça dans son annexe du Sauvage malgré la très vive opposition du prieur. Il est incorporé en 1704 au séminaire de Montpellier, vendu comme bien national en 1791.[64],[95]

Prieurés de la Nation d'Auvergne[modifier | modifier le code]

Prieurés de 18 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

Prieurés de la Nation de Bourgogne[modifier | modifier le code]

Prieurés de 18 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré de La Faye-de-Nevers (de Fagia Nivernensi, GEREG no 89, 2/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Sauvigny-les-Bois (Nièvre). Fondé probablement au xiiie siècle, il avait 6 religieux en 1295, 18 en 1317, et 2 en 1768. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance, et est évacué en 1768 par les réformés réduits à 4 maisons. Les biens furent plus tard unis au séminaire de Nevers.[84]
    • Celle de La Colombe (GEREG no 88, 2/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne
    • Celle de Fontenay (ou Fontenet, GEREG no 90, 3/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne[37]
    • Celle de Fontguédon (ou Fontgadon, de Fonte Gadonis, al. Guidonis, GEREG no 22, 3/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Thaumiers (Cher), dans le diocèse de Bourges.[37]

Prieurés de 16 religieux en 1317[modifier | modifier le code]

  • Prieuré d'Époisses (de Espessia, de Espechia, GEREG no 30, 3/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Bretenière (Côte d'Or) dans le diocèse de Châlon-sur-Saône. Fondé en 1189, il avait 9 religieux en 1295, 16 en 1317, 4 en 1768. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance, qu'il rejoint en premier car le réformateur Charles Frémon en avait été nommé prieur en 1643. Il est uni en 1772 au séminaire de Châlon. Depuis 1953 il est propriété de l'INRA.[84],[104]
  • Prieuré Saint-Maurice de Vieuxpou (ou Vieupou, Sanctus Mauricius de Veteri Periculo, de Veteri Puteo, GEREG no 150, 2/6 étoiles) de la Nation de Bourgogne, à Poilly-sur-Tholon (Yonne) dans l'ancien diocèse d'Auxerre. Fondé en 1173, il a 8 religieux en 1295, 16 religieux en 1317, et 2 religieux de l'Etroite observance (un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance) en 1768 lorsqu'il est évacué.[35]

Maisons fondées après 1317[modifier | modifier le code]

  • Collège Mignon (ou Collège Saint-Gilles de Grandmont, Collège de Grandmont, GEREG no 104, 0/6 étoiles), dans le 6e arrondissement de Paris. Il est donné à l'ordre en 1584 en échange du prieuré de Vincennes. L'abbé de Grandmont n'y entretint pas le nombre d'étudiants religieux que le collège devait avoir (7, réduits à 3 en 1637). Le collège est évacué et réuni en 1769 au collège Louis-le-Grand[107].
  • Prieuré de Thiers (GEREG no 98, 1/6 étoiles). Fondé en 1650 dans la région d'origine du fondateur de l'ordre Étienne de Muret par le réformateur Charles Frémon qui y fut enterré. C'est un des seuls 8 prieurés membres de l'Etroite observance, et en est le principal établissement ainsi que le noviciat jusqu'en 1770. Il y avait alors 10 religieux à Thiers.[29]

Prieurés féminins[modifier | modifier le code]

  • Le Chatenêt (à partir de 1576, ancien prieuré d'hommes de la Nation de Provence, de 18 religieux en 1317, voir ci-dessus, GEREG no 137)
  • Prieuré Saint-Cloud de la Drouille-Blanche (de Dralhia alba, GEREG no 139, 0/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Bonnac-la-Côte (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Elle était occupée dès 1212 par des femmes, elle aurait accueilli jusqu'à 30 femmes, en 1744 elle avait 7 religieuses et avait déjà l'interdiction de recevoir des novices, en 1756 elle ne comptait plus que 5 religieuses et fut réunie au Chatenêt. La prieuré de la Drouille-Blanche avait au xiiie siècle une maison à Limoges (rue Pennevayres) une maison pour laquelle elle payait encore en 1496 une rente à l'abbé de Grandmont (le chapelain de la Drouille en avait une dans la même rue). Plusieurs documents (dont un datant de 1514) donnent le titre d'abbaye au monastère[108],[109],[110].
  • Prieuré Saint-Capraise de la Drouille-Noire (de Drulhia nigra, GEREG no 140, 1/6 étoiles) de la Nation d'Auvergne, à Bonnac-la-Côte (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Situé à quelques centaines de mètres de la Drouille-Blanche, elle tombait en ruine en 1630 et n'avait plus de communauté religieuse (bénédictine). Elle fut unie au Chatenet en 1747.[108],[111],[112]
  • Les Pierres-Blanches (ou les Cailloux Blancs, Aubepierre, de Albis Petris, GEREG no 132, 0/6 étoiles) de la Nation de Saintonge, dans la forêt de Rochechouart (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. Cette maison fondée par les seigneurs de Rochechouart existait en 1265 et est désignée dans une charte de 1272 comme grandmontaine[108],[113].

Autres maisons[modifier | modifier le code]

Autres maisons[modifier | modifier le code]

  • Maison de Bussy (GEREG no 67, 0/6 étoiles), à Bussy-Albieux (Loire) entre 1663 et 1688[114],[115].
  • Prieuré des Croix (ou La Croix, Las Croux, de Cruce) de la Nation de Provence, près Rilhac-Lastours (Haute-Vienne) dans le diocèse de Limoges. S'il ne figure dans aucun relevé de maisons grandmontaines, plusieurs documents lui donnent le titre de pieuré et il figure sur les Pouillés du diocèse de Limoges des xviie et xviiie siècles avec pour collateur l'abbé de Grandmont.[16],[116]
  • Celle de Champcoutaud de la Nation d'Anjou, près Folles (Haute-Vienne). L'abbaye de Grandmont percevait des redevances de Champcoutaud aux xviie et xviiie siècles.[16],[117]
  • Prieuré Saint-Martin-Sainte-Catherine (Creuse) de la Nation d'Auvergne, mentionné dans les archives de l'ordre, notamment en 1660 et 1733. Il aurait également relevé de l'abbaye bénédictine de Saint-Martial de Limoges[16],[118],[119]
  • Celle de Tourvoie dit "prieuré des Bons-Hommes de Tourvoie", près de la grande ferme de Montbron à Sourdun (Seine-et-Marne). La celle est mentionnée en 1189 sous la protection du comte de Champagne. Son édification fut interrompue et les grandmontains y avaient construit une chapelle. Cette celle avait semblé à Louis Guibert être la même qu'Arvy, mais des auteurs postérieurs identifient Sourdun.[16],[120],[121],[119]
  • Mas Angelard. Selon l'abbé Lecler, il aurait été donné à Grandmont en 1272.[119]
  • Celle Saint-Fiacre de la Grange-du-Bois, à Solutré-Pouilly (Saône-et-Loire). Donnée à Grandmont en 1145, le site est repris par les cisterciens puis uni à Cluny vers 1222. La chapelle est construite postérieurement au départ des grandmontains et n'en reprend pas le style.[122],[123]
  • Une maison (sorte de pied-à-terre, appelé hospitium) à Limoges à la fin du xiie siècle et début du xiiie siècle[16],[124]
  • Chapelle Notre-Dame de Sauvagnac (2/6 étoiles), à Saint-Léger-la-Montagne (Haute-Vienne). Elle aurait été selon la légende construite sur le lieu d'ermitage d'un compagnon d'Étienne de Muret qui aurait sauvé par la prière la vie d'un chevalier revenant de croisade durant une tempête. Elle est construite en 1147[125],[126],[127].
  • Un domaine à Dompierre (près de La Rochelle), ainsi que plusieurs autres lieux, a conservé le nom de Grandmont.[128],[129]

Maisons plus connues sous un autre nom[modifier | modifier le code]

  • Celle de Aura Ventosa, dans le diocèse de Rodez. Un miracle y aurait eu lieu entre 1140 et 1155, rapporté par le 7e prieur Gérard Ithier. Cette celle pourrait être Comberoumal (voir ci-dessus).[108],[130]
  • Celle de Dijon (Divione). Elle a 8 religieux en 1295. Il pourrait s'agit du prieuré de Dixmont.[16],[131]
  • Celle d'Hentrua, nommée dans les annales qui pourrait être celle de Terruan.[16],[132]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les numéros des celles et prieurés (hors l'abbaye de Grandmont) vont de 1 à 157, les celles étant triées par département puis par ordre alphabétique.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Les monastères de Grandmont », sur limousin-medieval.com, (consulté le )
  2. Guibert 1877, p. 305-323. Texte de la bulle de 1317 en latin
  3. Michel Fougerat, « Liste des celles grandmontaines »
  4. « Ancienne abbaye de Grandmont », notice no PA87000046, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  5. de Dion et Guibert 1876, p. 327-328.
  6. Guibert 1877, p. 223-224.
  7. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Balézis, celle grandmontaine dédiée à Notre-Dame et Saint-Marc », Bulletin de la société archéologique et historique du Limousin, vol. CXXXVIII,‎ , p. 33-58 (lire en ligne)
  8. a b c d e f g et h de Dion et Guibert 1876, p. 314.
  9. a et b Martine Larigauderie-Beijeaud, « Muret et Boisvert, deux sites grandmontains », Bulletin de la Société archéologique et …,‎ (lire en ligne, consulté le )
  10. « Celle grandmontaine des Bronzeaux », notice no PA8700001, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  11. a b c d e f g h et i de Dion et Guibert 1876, p. 315.
  12. a et b Martine Larigauderie-Beijeaud, « Trézen et Épagne, deux «celles» grandmontaines », Bulletin de la Société archéologique et …,‎ (lire en ligne, consulté le )
  13. Notice no PA00104365, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  14. a b c d e f g et h de Dion et Guibert 1876, p. 319.
  15. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Notre-Dame de La Garde en Arvert », « Notre-Dame de la Garde-en-Arvert, prieuré de l’Ordre de Grandmont », Revue de la Saintonge et de l’Aunis, t. XXIV, 1998, p.7-32.,‎ (lire en ligne, consulté le )
  16. a b c d e f g h i et j de Dion et Guibert 1876, p. 328.
  17. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Petit Grandmont de Montmorillon », Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Limousin, vol. CXL,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. a b et c de Dion et Guibert 1876, p. 321.
  19. a b c d e f g h i et j de Dion et Guibert 1876, p. 323.
  20. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Deux celles du Poitou, Rousset et Montmorillon. Première partie : Notre-Dame et Saint-Georges de Rousset », Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Limousin, vol. CXXXIX,‎ , p. 145-170 (lire en ligne, consulté le )
  21. Martine Larigauderie-Beijeaud, « Bonneval de Serre ou Bonneval de Montusclat ? Deux dépendances parfois confondues », Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Limousin, vol. 135,‎ , p. 99-126 (lire en ligne)
  22. a b c d e et f de Dion et Guibert 1876, p. 324.
  23. « Grange de Coudier, ayant dépendu de l'abbaye de Grandmont », notice no PA00100236, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. a b et c Martine Larigauderie-Beijeaud, « Les prieurés de Grandmont en Angleterre », Bulletin de la Société archéologique et …,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. de Dion et Guibert 1876, p. 325-326.
  26. a et b Martine Larigauderie-Beijeaud, « Les dépendances grandmontaines en Navarre », Bulletin de la Société archéologique et …,‎ (lire en ligne, consulté le )
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  102. Louis Larocq, « Lectures et communications : M. Louis Larocq a envoyé la communication suivante », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, vol. 74,‎ , p. XXVI-XXVII (lire en ligne)
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Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Adolphe de Dion, « Mélanges : Quelques prieurés de l'ordre de Grandmont », Bulletin monumental, 5e série, t. 40,‎ , p. 566-574 (lire en ligne)
  • Adolphe de Dion et Louis Guibert, « Seconde note sur l'architecture de l'Ordre de Grandmont suivi d'une liste générale des maisons de cet ordre », Bulletin monumental, 5e série, vol. 42,‎ , p. 247-265 et 310-329 (lire en ligne)
  • Louis Guibert, « Une page de l'histoire du clergé français au XVIIIe siècle. Destruction de l'ordre et de l'abbaye de Grandmont. Appendice », Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. XXV,‎ , p. 33-384 (lire en ligne)
  • Adolphe de Dion, Troisième note sur l'architecture de l'ordre de Grandmont : Extrait du Bulletin Monumental 1877-1878, Tours, Impr. Paul Bouserez, , 23 p. (lire en ligne)
  • Michel Fougerat, « À la recherche des celles grandmontaines « perdues... de vue » », Échos grandmontains, no 14,‎ , p. 9-15 (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Prieuré grandmontain.

Liens externes[modifier | modifier le code]