Feytiat

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Feytiat
Feytiat
Mairie de Feytiat.
Blason de Feytiat
Blason
Feytiat
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté urbaine Limoges Métropole
Maire
Mandat
Gaston Chassain
2020-2026
Code postal 87220
Code commune 87065
Démographie
Gentilé Feytiacois, Feytiacoises
Population
municipale
6 080 hab. (2021 en diminution de 1,23 % par rapport à 2015)
Densité 240 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 37″ nord, 1° 19′ 57″ est
Altitude Min. 254 m
Max. 393 m
Superficie 25,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Limoges
(banlieue)
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Panazol
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Feytiat
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Feytiat
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Vienne
Feytiat
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Feytiat

Feytiat (Festiac en occitan) est une commune française située dans la banlieue Sud-Est de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Feytiacois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La Mairie de Feytiat et la prairie du domaine- Panorama
Situation de la commune de Feytiat en Haute-Vienne.

C'est une ville de l'agglomération et banlieue de Limoges, traversée par la RD 979, par le chemin de pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle via Lemovicensis et par le sentier de grande randonnée GR 4.

La commune de Feytiat a une superficie de 24,7 km2. La plus grande ville la plus proche est Limoges, qui est située à 6 km au Nord-Ouest.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Feytiat est limitrophe de sept autres communes.

Carte de la commune de Feytiat et de ses proches communes.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par les lignes d'autobus : 13, 43.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et Nord-Ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 067 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Limoges à 7,76 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 018,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Feytiat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Limoges, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[12] et 187 364 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts et bois (25,9 %), prairies (21,9 %), zones urbanisées (21,3 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6 %), terres arables (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Feytiat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Auzette et la Valoine. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2007 et 2016[20],[18]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais des plans de prévention des risques inondation (PPRI) « Auzette » et « Valoine », approuvés le [21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Feytiat.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 29,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Feytiat est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Feytiat est citée dès le XIIe siècle comme possédant l'un des plus anciens établissements de l'ordre de Grandmont : le prieuré du Châtenet, fondé du vivant de Saint Etienne de Muret (vers 1120). Le lieu du Châtenet (nom venant des châtaigniers) fut suggéré à Saint Étienne par saint Gaucher. En 1139, il y avait 18 religieux au Châtenet. Le Mas du Puytison fut donné aux religieuses en 1224 par Adémar Vigier. En 1317, une bulle du pape Jean XXII érigea le Châtenet en prieuré conventuel régulier. On défricha à cette époque et quatre étangs furent construits. Parmi ceux-ci, l'étang du moulin du Châtenet qui est devenu l'étang du Puytison. Durant la guerre de Cent Ans, en 1370, le prieuré fut dévasté. En 1569, il fut saccagé et incendié par le duc des Deux Ponts Wolfgang de Bavière, durant les guerres de religion. En 1550, le prieuré avait été transformé en communauté de femmes. La supérieure portait le titre d'abbesse royale du Châtenet. En 1748, il y avait au prieuré 23 religieuses, une novice, trois converses et douze élèves. Cette communauté exista jusqu'à la Révolution. Le 4 vendémiaire an IV (26 septembre 1795), Guillaume Grégoire de Roulhac se rendit acquéreur des domaines nationaux provenant de l'abbaye du Châtenet : le prieuré, quatre de ses métairies, la forêt et les étangs.

Ancien logo.

Miguel Indurain coureur cycliste espagnol, professionnel de 1984 à 1996. Il est le seul coureur à avoir remporté cinq fois consécutivement le Tour de France, et a également gagné à deux reprises le Tour d'Italie reçoit la médaille de la ville de Feytiat en 1995 remise en mains propres par le maire de la commune, Jean-Paul Denanot qui commence sa carrière politique en 1977 en devenant adjoint au maire de la commune de Feytiat. Il occupe cette fonction jusqu'en 1992, date à laquelle il est élu maire de la ville ; en 2004, il quitte son poste pour occuper celui de président du conseil régional du Limousin aujourd'hui Nouvelle-Aquitaine.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
1898 1907 Jean-Pierre Goudoud    
1907 1919 Albert Delpeyrou    
1919 1923 Pierre Charbonnier    
1923 1941 Joseph Dominique SFIO Vannier
Conseiller d'arrondissement du canton de Limoges-Sud
1941 1944 Maurice Coquelin    
1944 mai 1945 Gabriel Thavenot    
mai 1945 mars 1971 Jean-Baptiste Poutaraud    
mars 1971 avril 1992
(démission)
Jacques Taurisson[26] PS Cheminot
avril 1992 avril 2004
(démission)
Jean-Paul Denanot PS Professeur de sciences physiques
avril 2004 27 juin 2013
(démission)
Bernard Fourniaud PS Retraité
27 juin 2013 En cours Gaston Chassain[27] PS Directeur d'école
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[29].

En 2021, la commune comptait 6 080 habitants[Note 4], en diminution de 1,23 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8247117217398958949601 0561 122
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1381 1351 2331 2251 2371 2171 2821 3021 312
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3031 3081 3011 2321 2431 2011 2121 2501 325
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 3151 5902 9413 5914 4305 2995 6345 6225 981
2015 2020 2021 - - - - - -
6 1566 1206 080------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Événement culturel[modifier | modifier le code]

Depuis l'année 2000, la commune organise le Festival international du pastel, en collaboration avec la Société des Pastellistes de France. En 2022, 250 pastels contemporains, d'artistes de différents pays, sont exposés[32].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Feytiat se blasonnent ainsi :

Écartelé au premier d'argent au chef de gueules (qui est de l'ordre de Grandmont, fondateur de l'Abbaye de Chatenet vers 1120), au deuxième d'azur à 3 lions passants léopardés d'or et lampassés d'argent (qui est des Maledent de Feytiat), au troisième d'azur à la tour d'argent ouverte, maçonnée et ajourée de sable, au quatrième de Gueules à la fasce d'or (qui est des Martin du Puytison).

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Feytiat et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Feytiat », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  21. « Les Plans de prévention des risques approuvés en Haute-Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  25. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  26. La fiche biographique de TAURISSON Jacques sur le Maitron en ligne
  27. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. [PDF] Dossier de presse, sur le site Festivaldupastel.com.
  33. « Mérimée : Château de Laugerie », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Eglise Saint-Léger et Saint-Clair », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  35. « La trace des Grandmontains au Châtenet », Le Populaire du Centre,‎ (lire en ligne)
  36. « Église de Limoges Mission Timothée ».