Bonnac-la-Côte

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Bonnac-la-Côte
Bonnac-la-Côte
Mairie de Bonnac-la-Côte.
Blason de Bonnac-la-Côte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté urbaine Limoges Métropole
Maire
Mandat
Claude Brunaud
2020-2026
Code postal 87270
Code commune 87020
Démographie
Gentilé Bonnacois
Population
municipale
1 649 hab. (2021 en diminution de 3,62 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 56′ 32″ nord, 1° 17′ 08″ est
Altitude Min. 324 m
Max. 561 m
Superficie 26,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ambazac
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bonnac-la-Côte
Liens
Site web bonnac-la-cote.fr

Bonnac-la-Côte (Bonac en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Bonnacois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Paysage vallonné à l'est de la commune. Culminant à 561 mètres d'altitude, Bonnac-la-Côte est la plus élevée des communes de la communauté d'agglomération.
Situation de la commune de Bonnac-la-Côte en Haute-Vienne.

Située à environ 15 kilomètres de Limoges, Bonnac-la-Côte bénéficie d'une situation idéale, avec la proximité de l'autoroute A20.

Premier contrefort du Massif central et située à l'ouest des monts d'Ambazac, la commune de Bonnac-la-Côte possède un climat tempéré, avec une grande amplitude de températures, et des conditions hivernales parfois difficiles. Elle est bordée à l'est par la Cane, un affluent de la Vienne.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 108 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Limoges à 10,61 km à vol d'oiseau[6], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 018,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bonnac-la-Côte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,3 %), prairies (33 %), zones agricoles hétérogènes (8,3 %), zones urbanisées (5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), terres arables (1,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bonnac-la-Côte est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bonnac-la-Côte.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. 48,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Bonnac-la-Côte est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Bien qu'aucun vestige ne l'atteste, on suppose qu'une villa gallo-romaine est à l'origine du bourg, et qu'un camp romain devait exister près de Leychoisier. Les voies romaines et chemins antiques ont eux laissé des traces.

La plus ancienne bâtisse de la commune est le château de Leychoisier, datant du IXe siècle. Il n'est cependant pas classé comme monument historique, ni même inscrit à l'inventaire supplémentaire. Seul le site de Leychoisier serait protégé, ainsi que le site de la vallée de la Mazelle, rivière qui traverse la commune et alimente certaines réserves d'eau potable de la ville de Limoges. Bien que protégés, ces sites font cependant l'objet de projets immobiliers.

Dans le hameau de Theillet (autrefois Teillet), se trouve la maison de Jean-Baptiste Dominique d'Héralde, dit Léon Dhéralde (1815-1891), homme de lettres limousin dont l'œuvre maîtresse est le Dictionnaire de la langue limousine, qui l'a rendu célèbre non seulement dans le Limousin mais auprès de tous les érudits occitans. Le Dictionnaire de la langue limousine a été publié en 1968 par la Société d'ethnographie de la Marche et du Limousin, subventionné par le CNRS, patronné par le département d'ethnologie de l'université de Lettres de Bordeaux dirigé par le Pr Joël Métais. Léon Dhéralde est également l'auteur de « diverses œuvres en langue limousine » et notamment d'un recueil de plus de 2 000 proverbes limousins, avec leur traduction française, de deux volumes de contes et de fables en langue limousine et d'une tradition du premier chant de la Chanson de Roland, ainsi que d'une pièce en vers intitulée Jésus et Lucifer.

En 1162 est construite l'église romane (sans clocher) - prieuré de Saint-Saturnin. De la même époque on retrouve l'existence de couvents de bénédictines à la Drouille Noire et de grandmontaines à la Drouille Blanche. Cette dernière sera paroisse jusque vers 1640.

De Henri IV à Louis XIII c'est le déclin dû aux guerres de religion (XVe siècle). Les chapelles latérales de l'église sont élevées.

En 1767 naît Marie-Maurille de Sombreuil, la future héroïne de l'histoire de Leychoisier.

Le 2 septembre 1792 ayant rejoint son père Charles François de Virot de Sombreuil, gouverneur aux Invalides, elle assiste au procès houleux où le peuple de Paris veut se faire justice lui-même (accusation d'avoir prêté main-forte aux suisses des Tuileries). Un des forcenés a plongé un verre dans un baquet qui recueillait le sang des victimes décapitées. Il a invité la jeune fille à boire pour obtenir la grâce de son père. Elle obéit sans hésiter en criant : Vive la nation.

En 1808 une perception est créée. Elle sera fermée deux ans plus tard.

Le 28 janvier 1814, le pape Pie VII, otage de l'empereur s'en retournant en Italie, passa une nuit à Maison Rouge car il lui était interdit de séjourner dans les grandes villes. Il mangea deux œufs à la coque et dormit dans le relais de Maison Rouge connu aujourd'hui sous le nom de Maison du Pape. Une plaque commémorative avait été apposée officiellement sur cette maison le 28 janvier 1914, elle a été détruite lors de la tempête de 1999. Pour célébrer le bicentenaire de cet évènement historique mais aussi la fin de la restauration du bâtiment, une nouvelle plaque identique à la précédente a été scellée en janvier 2014 par le propriétaire actuel.

Dans les années 1850-1880, Léon Dhéralde rédige dans sa maison de Theillet le Dictionnaire de la langue limousine.

En 1909, la route bleue, future RN 20 est aménagée.

En 1911, les premiers tramways relient Maison-Rouge à Limoges.

En 1919, Bonnac devient Bonnac-la-Côte par décret, pour éviter toute confusion avec d'autres localités.

En 1967 l'école de hameau de Bled est fermée à la suite de l'institution du ramassage scolaire.

Depuis les années 1980, Bonnac subit de plein fouet l'étalement urbain et notamment le développement pavillonnaire (mitage), particulièrement important dans ce secteur, et connaît un recul très important de ses zones naturelles et agricoles. Le PLU de 2006 prévoit en outre la création de zones pavillonnaires ou de zones artisanales supplémentaires sur la commune, au Chêne-Vert, à Vedrenne, Leychoisier ou Maison-Rouge, y compris à proximité des sites protégés.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1953 Pierre Combes SFIO  
1953 1959 Gabriel Régnier SFIO  
1959 1967 Émile Moreau SFIO  
1967 1977 Alfred Villemonteix SFIO puis PS  
1977 1983 Jean Sénamaud PCF  
1983 En cours Claude Brunaud[22] PS puis DVG  

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].

En 2021, la commune comptait 1 649 habitants[Note 5], en diminution de 3,62 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9731 0148279541 0111 0601 0771 0811 103
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0809631 0241 0071 0091 0471 0471 0611 086
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1241 0741 068938991925920850869
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8058417198059981 1661 3351 3741 534
2014 2019 2021 - - - - - -
1 6921 6511 649------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le village de Salesse.
  • Le château, les étangs, la cascade et le moulin de Leychoisier.
  • Le château de Saint-Antoine à Maison-Rouge.
  • Village remarquable de Salesse.
  • Église Saint-Saturnin de Bonnac-la-Côte.
  • Maison de Léon Dhéralde à Teillet.
  • Bâtiments remarquables de l'ancien Chai Barriant, à Maison-Rouge, menacés par l'extension de la zone artisanale.
  • Église paroissiale Saint-Saturnin et ses sculptures[27],[28]
  • Vélodrome Raymond-Poulidor.
  • La maison illuminée de la basse-côte.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bonnac-la-Côte Blason
Parti : au premier d'or au monogramme BONNAC en lettres capitales de gueules, au second coupé au I d'azur aux trois coqs d'argent, crêtés et membrés d'or, et au II de gueules aux deux pals d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Nom des habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sur Géoportail
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Bonnac-la-Côte et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Limoges-Bellegarde » (commune de Limoges) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Bonnac-la-Côte », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. « Les maires de la commune » (consulté le ).
  22. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires.
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Statuette : saint Jacques le Majeur », notice no PM87000046, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  28. « Groupe sculpté (statuette) : Vierge de Pitié », notice no PM87000047, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.