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Jean-François Copé

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Jean-François Copé
Illustration.
Jean-François Copé, le 21 janvier 2010.
Fonctions
Président de l'Union pour un mouvement populaire
En fonction depuis le
(11 ans, 8 mois et 8 jours)
Élection 18 novembre 2012
(actuellement contestée)
Prédécesseur Nicolas Sarkozy
Député de la 6e circonscription de Seine-et-Marne
En fonction depuis le
(17 ans, 1 mois et 7 jours)
Législature XIIIe
XIVe
Prédécesseur Roger Boullonnois
Législature XIIe
Prédécesseur Nicole Bricq
Successeur Roger Boullonnois
Maire de Meaux
En fonction depuis le
(18 ans, 7 mois et 26 jours)
Prédécesseur Ange Anziani
Prédécesseur Jean Lion
Successeur Ange Anziani
Secrétaire général de l'UMP
Prédécesseur Xavier Bertrand
Successeur Michèle Tabarot
Président du groupe UMP
à l'Assemblée nationale
Élection
Législature XIIIe
Prédécesseur Bernard Accoyer
Successeur Christian Jacob
Ministre délégué au Budget
Président Jacques Chirac
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin III
Dominique de Villepin
Prédécesseur Dominique Bussereau
Successeur Éric Woerth
Ministre délégué à l'Intérieur
Président Jacques Chirac
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin III
Prédécesseur Nicolas Sarkozy
ministre de l'Intérieur
Successeur Marie-Josée Roig
Secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement
Président Jacques Chirac
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin I et II
Prédécesseur Jean-Jack Queyranne
Successeur Henri Cuq
Porte-parole du gouvernement français
Président Jacques Chirac
Gouvernement Jean-Pierre Raffarin I, II et III
Dominique de Villepin
Prédécesseur Catherine Trautmann (indirectement)
Successeur Christine Albanel
Député de la 5e circonscription de Seine-et-Marne
Législature Xe
Prédécesseur Guy Drut
Successeur Guy Drut
Biographie
Lieu de naissance Boulogne-Billancourt
Nationalité Drapeau de la France Française
Parti politique UMP
Père Roland Copé
Diplômé de IEP de Paris (1987)
ENA (1989)
Profession Avocat
Haut fonctionnaire

Jean-François Copé, né le à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), est un homme politique français.

Maire de Meaux de 1995 à 2002 et depuis 2005, il a occupé plusieurs fonctions ministérielles, dont celle de porte-parole des gouvernements Raffarin et Villepin. Député de la sixième circonscription de Seine-et-Marne, il est secrétaire général de l'UMP de 2010 à 2012 et président du parti depuis cette date.

Origines familiales

Aîné d'une famille de trois enfants, Jean-François Copé est le fils de Monique Ghanassia, originaire d'Algérie, et du professeur Roland Copé, chirurgien gastro-entérologue proctologue d'origine juive roumaine[1].

Du côté paternel, son grand-père Marcu Hirs Copelovici, fils de Copel et Zleta, originaires de Bessarabie, est un médecin né à Iaşi dans l'est de la Roumanie au début du XXe siècle. Fuyant l'antisémitisme de son pays, il émigre à Paris en 1926. Devenu Marcel Copé, il se marie peu après avec Gisèle Lazerovici, fille de Ghidale Lazerovici, comptable[2]. En , le couple échappe avec ses deux enfants à la rafle d'Aubusson (le père de Jean-François Copé a alors 13 ans) en trouvant refuge chez M. et Mme Leonlefranc, faits par la suite Justes[3]. Jean-François Copé fait de cet évènement familial un des motifs profonds de son engagement politique[4].

Du côté maternel, son grand-père Ismaël André Ghanassia, fils de Moïse Ghanassia et Djouhar Soussi, originaires de Miliana, est avocat à Alger. Son épouse, Lise Boukhabza, est la petite-fille d'un rabbin originaire de Tunisie, et d'une mère originaire de Tétouan au Maroc. André Ghanassia, son épouse et leurs trois enfants, dont Monique, quittent Alger pour la métropole dans les années 1950, peu après les débuts de la guerre d'Algérie[2].

Études

Il effectue sa scolarité à l'école active bilingue Jeannine-Manuel dans le 15e arrondissement de Paris et au lycée Victor-Duruy du 7e arrondissement de Paris. Il obtient son baccalauréat en série B (économique et social) en 1981. En 1985, il intègre Sciences Po. En 1987, il entre à l'ENA dans la promotion Liberté-égalité-fraternité (1987-1989).

Il suit des séminaires de formation du New Public Management aux États-Unis[5] et défend en matière budgétaire le « benchmarking[6] », c’est-à-dire l’approche comparatiste des pratiques internationales performantes.

Vie privée

Le il épouse Valérie Ducuing, consultante en relations publiques chez Véolia, dont il a deux fils et une fille. Ils divorcent en 2007.

Il a une deuxième fille, née en 2010 d'une seconde union[7]. Le , il épouse sa compagne, Nadia Hamama, d'origine algérienne[8], à la mairie de Meaux[9].

Il se déclare « Juif non pratiquant » et « veille à demeurer, avant tout, le représentant d'une autorité laïque »[10] : « Ma communauté, c'est la communauté nationale. ».

Carrière professionnelle

De 1989 à 1991, il est chef de bureau à la Caisse des dépôts et consignations (CDC) et au Crédit local de France. De 1989 à 1991, il est directeur de cabinet du président du directoire de Crédit local de France et de 1991 à 1993 maître de conférences d'économie et de finances locales à Sciences Po.

De 1997 à 2002, il est professeur d'économie et de finance à l'université Paris VIII. Dans le même temps, de 2000 à 2002, il est membre du conseil de surveillance de Dexia Crédit local de France et président du conseil d'administration de l'Institut des managers du développement local.

Il anime depuis la rentrée 2006, son propre club politique, Génération France.fr[11] dont le slogan est « 0 % petites phrases et 100 % débat d'idées ». Ce club a axé une grande partie de ses travaux sur l’identité, le vivre ensemble et le pacte républicain.

En , bénéficiant du décret permettant aux anciens ministres et parlementaires de devenir avocats sans formation spécifique ni examen[12], il obtient un certificat d'aptitude à la profession d’avocat (CAPA) et prête serment devant la cour d'appel de Paris. À partir de septembre 2007, il exerce à temps partiel, pour 20 000 euros par mois[13], dans le cabinet d'avocats d'affaires Gide Loyrette Nouel[14], l'un des plus importants de France, chargé par exemple de conseiller l'État dans le projet de fusion GDF-Suez.

En , lors de sa nomination comme secrétaire général de l'UMP, il annonce qu'il cesse d'exercer dans le cabinet, mais continue son activité de « conseil à titre individuel »[15].

Il est membre du club Le Siècle[16] et de la Commission Trilatérale[17].

Carrière politique

De 1993 à 1995, il est membre de la cellule de réflexion économique de Jacques Chirac animée par Nicolas Sarkozy. Il devint ensuite directeur de cabinet de Roger Romani, ministre délégué aux Relations avec le Sénat, chargé des rapatriés, dans le gouvernement Balladur.

Il soutient Jacques Chirac lors de l'élection présidentielle de 1995[18]. La même année, il devient délégué général au projet de société au RPR. Il fait alors partie de la « task force Juppé » (à l'époque Premier ministre et président du RPR) en matière d'idées. De 1998 à 2001, il exerce la fonction de secrétaire national du RPR, chargé de l'économie, puis de la formation. De 2001 à 2002, il devient secrétaire général adjoint du RPR, chargé du projet d'alternance.

Jean-François Copé est élu maire de Meaux (chef-lieu d'arrondissement de Seine-et-Marne) en 1995, à l'âge de 31 ans, puis est réélu en 2001. Il se fixe deux priorités : la rénovation urbaine et la sécurité.

En matière de rénovation urbaine, il lance le « plan Marshall » destiné à revoir entièrement le centre ville de Meaux au niveau architectural et de son urbanisme[19]. Dernière action en date, la destruction en juin 2011 de trois tours géantes Genêt, Hortensia et Iris, datant des années 1960 remplacées par des logements à taille humaine pour privilégier la mixité sociale[20]. Une opération (démolition technique, relogement, déménagements, honoraires, etc.) financée par l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) et par Meaux Habitat[21]. La rénovation urbaine s’accompagne d’une volonté d’amélioration de l’environnement avec la création du parc naturel du Pâtis sur 150 hectares (Grand prix de l'environnement des Villes d'Ile-de-France 2006, dans la catégorie Espaces verts et Paysage)[22] et du bien-être des Meldois avec l’opération « Meaux plage » depuis 2006[23].

En matière de sécurité, la ville déploie depuis 2003 un vaste réseau de vidéo-protection. En 2011, le dispositif compte environ 140 caméras, réparties dans toute la ville[24] accompagné d’un gonflement des effectifs de la police municipale: 150 agents se relaient pour assurer la sécurité des 50 000 Meldois[25]. Des mesures qui entrainent une baisse générale de la délinquance -15 % entre 2007 et 2010[26]. Sur le plan économique et de l’emploi, Jean-François Copé souhaite ramener l’activité commerciale dans la communauté d’agglomération de Meaux en imposant comme pôle économique de l’est francilien le Parc d’Activités du Pays de Meaux qui devrait ouvrir ses portes fin 2012 et créer à terme près de 4000 emplois[27].

Sur le plan culturel, il lance en 2003 le festival Muzik’Elles, qui fête en 2011 sa 7e édition. Un festival qui reçoit chaque année des artistes comme Zazie, Liane Foly, Gaëtan Roussel ou Julien Doré[28]. Il inaugure le , en présence de Nicolas Sarkozy, le futur musée de la Grande Guerre où les visiteurs pourront découvrir la plus grande collection de France sur la guerre de 14-18, composée de plus de 50 000 objets. Ce musée qui devrait recevoir jusqu’à 80 000 visiteurs par an a pour objectif de transmettre la mémoire et un message de paix pour construire l'avenir à travers plusieurs parcours initiatiques[29].

Au mois de juin 1995, il devient député de la 5e circonscription de Seine-et-Marne, à la suite de la nomination de Guy Drut au premier gouvernement Juppé sous Jacques Chirac. De 1995 à 1997, il est le benjamin de l'Assemblée nationale. Il est également, en 1997, le plus jeune député battu, comme il le mentionne souvent, à l'issue d'une triangulaire RPR-PS-FN, qui favorise la gauche. Il est conseiller régional d'Île-de-France de 1998 à 2007.

Le , au second tour des élections législatives, il est élu député de la sixième circonscription de Seine-et-Marne. Il est membre des gouvernements Raffarin I et Raffarin II, de 2002 à 2004, en tant que secrétaire d'État aux relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement. Il est le benjamin des ministres. Nommé au gouvernement, il devient premier adjoint au maire de Meaux, obéissant à la règle non-écrite de non-cumul d’une fonction ministérielle avec la tête d’un exécutif local. Il demeure néanmoins président de la communauté d'agglomération de Meaux.

En 2004, il conduit la liste de l'UMP au premier tour, puis la liste d'union avec l'UDF au second tour des élections régionales des 21 et 28 mars 2004 en Île-de-France. À la suite de la victoire de la liste socialiste conduite par Jean-Paul Huchon, il renonce à prendre la tête du groupe UMP au Conseil régional d'Île-de-France, que conserve Roger Karoutchi. Réélu député en juin 2007, Jean-François Copé quitte sa fonction de conseiller régional durant l'été 2007 pour respecter les règles sur le cumul de mandats ; son siège revient à Jean-François Robinet[30].

Il devient, en mars 2004, ministre délégué à l'Intérieur, tout en demeurant porte-parole du gouvernement. Le 29 novembre 2004, il est nommé ministre délégué au Budget et à la Réforme budgétaire du troisième gouvernement Raffarin et conserve ses attributions de porte-parole du gouvernement. Il est reconduit dans ces fonctions le 3 juin 2005, dans le gouvernement Dominique de Villepin, avec en complément la responsabilité de la Réforme de l'État.

Jean-François Copé, en août 2008.

En 2005, il est mis en cause, notamment par Le Canard enchaîné[31]. Il occupait un logement de fonction, plus grand que ce qu'autorisent les consignes ministérielles[32], dans le 16e arrondissement de Paris bien que le ministre disposât par ailleurs d'un appartement privé à Paris. Jean-François Copé se justifie par le fait qu'il faisait réaliser un certain nombre de travaux dans cet appartement, et qu'il y emménagerait après que son épouse, alors enceinte, aurait accouché. Cette polémique intervient en même temps que l'affaire Gaymard, qui conduit le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin à instaurer de nouvelles règles en la matière.

En 2005, il redevient maire de Meaux après la démission d'Ange Anziani. À la suite des élections municipales de mars 2008, il est réélu à la mairie de Meaux pour un troisième mandat, la liste qu'il conduisait ayant recueilli 67,74 % des suffrages exprimés au premier tour[33].

Il fonde en novembre 2006 son propre club politique, Génération France.fr. Son slogan est « 0 % petites phrases, 100 % débat d'idées »[34]. Le club a axé une grande partie de ses travaux sur l'identité, le vivre ensemble et le pacte républicain. Il entre au bureau politique de l'UMP.

Le 10 juin 2007, Jean-François Copé est réélu député de la 6e circonscription de Seine-et-Marne, au premier tour des élections législatives, avec 54,26 % des suffrages exprimés, soit 25 489 voix. Il est élu, le 20 juin 2007, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale par 256 voix, contre 44 à Alain Joyandet. À ce poste, après avoir subi de vives critiques de la part de certains parlementaires membres du groupe UMP, comme ceux qui s'opposent à la réforme de la carte judiciaire en novembre[35], il s'impose comme un homme fort de la majorité, relais entre les parlementaires et l'exécutif, n'hésitant pas à exprimer ses distances avec le gouvernement[36]. Après s'être vu confier par le Premier ministre François Fillon une mission sur la modernisation du Parlement au premier semestre 2007, il préside en 2008 la commission « pour une nouvelle télévision publique », pour étudier la mise en place de la proposition présidentielle du retrait de la publicité dans l'audiovisuel public.

Le , il devient secrétaire général de l'UMP en remplacement de Xavier Bertrand, nommé au gouvernement. Il autorise notamment, après la défaite de Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle de 2012, la création de mouvements au sein de l'UMP[37]. Le , à Châteaurenard, il se déclare candidat à la présidence du parti, vacante pendant le mandat présidentiel de Nicolas Sarkozy[38]. Durant la campagne, alors que François Fillon, qui fait figure de favori, prend ses distances avec l'ancien président de la République, Jean-François Copé s'en revendique[38] et défend « la droite décomplexée »[39] ; il compose un « ticket » avec Luc Chatel pour la vice-présidence du parti et Michèle Tabarot pour le secrétariat général. Au soir du scrutin, le , les deux candidats revendiquent chacun la victoire. Il est finalement proclamé vainqueur le par 50,03 % des voix[40]. Quarante-huit heures plus tard, les partisans de François Fillon annoncent qu'ils contestent cette élection[41].

Détail des mandats et fonctions

Au sein de partis politiques

  • 1998 - 2001 : secrétaire national du RPR, chargé de l'économie, puis de la formation
  • 2001 - 2002 : secrétaire général adjoint du RPR, chargé du projet d'alternance
  • 2002 - 2008 : membre du bureau politique de l'UMP
  • 2010 - 2012 : secrétaire général de l'UMP
  • Depuis le  : président de l'UMP

Fonctions locales

Fonctions parlementaires

Fonctions ministérielles

Bibliographie

Ouvrages de Jean-François Copé

Notes et références

  1. « Jean-François Copé, un président de groupe dans la tourmente », politique.net, .
  2. a et b Solenn de Royer, Copé, l'homme pressé, l'Archipel, 2010, p. 118-127.
  3. « «Quiconque sauve une vie sauve l’Univers tout entier», Hommage aux «Justes parmi les Nations» de France qui ont sauvé de la barbarie nazie Giselle, Marcel et leurs enfants Danielle et Roland Copé », sur le site du CRIF,
  4. Jean-François Copé, 2009, Un député, ça compte énormément ! : Quand le parlement s'éveille, Albin Michel.
  5. Cité par Emmanuel Ratier dans Faits et Documents, Modèle:Nbuméro, daté du 15 au 31 octobre 2010, p. 2 « Par la suite, il suivra des stages de formation du New Public Management aux États-Unis, se formant aux techniques du benchmarking. Une période sur laquelle il est particulièrement discret. »
  6. Le parangonnage est l'un des termes officiels recommandés par la DGLFLF pour traduire le terme anglais benchmarking.
  7. Jean-François et Nadia Copé, linternaute.com
  8. Nadia Copé : un visage souvent présent dans le sillage de son mari, 19 novembre 2012
  9. Avec qui vivent nos politiques Sur le site francesoir.fr
  10. Tribune juive (France), 15 février 2002
  11. Présentation du club, sur le site générationfrance.fr.
  12. De ministre à avocat sans formation, Le Figaro
  13. « Jean-François Copé veut se payer Martin Hirsch », Mediapart, 5 novembre 2010.
  14. Capital.fr, Jean-François Copé intègre le cabinet d'avocats Gide Loyrette et Nouel, 13 septembre 2007.
  15. Copé abandonne son activité d'avocat, AFP informations.
  16. Frédéric Saliba, « Le pouvoir à la table du Siècle », Strategies, no 1365,‎ , p. 49 (lire en ligne).
  17. (en) THE TRILATERAL COMMISSION Sur le site trilateral.org
  18. « Itinéraire d'un enfant gâté et ambitieux », Le Figaro, 11 janvier 2010.
  19. Article dans la-seine-et-marne.com
  20. Article dans seine-et-marne.evous.fr
  21. Article sur batiactu.com
  22. Article sur id2sorties.com
  23. Article dans la-seine-et-marne.com
  24. La sécurité pour tous les Meldois Sur le site .ville-meaux.fr
  25. Article dans Marianne2.fr
  26. Article dans leparisien.fr
  27. Article sur LePoint.fr
  28. Site Officiel des Muzikelles
  29. Voici le futur musée de la Grande Guerre sur LeParisien.fr du 17 avril 2010
  30. Le Parisien, 20 août 2007
  31. « Copé toujours sous le feu du Canard enchaîné », L'Expansion.com (consulté le ).
  32. 120 à 140 m2 au maximum. Le sien faisait 230 m2
  33. Site du Ministère de l'Intérieur
  34. Site de Génération France.fr
  35. Le Nouvel Observateur, 12 novembre 2007.
  36. Frédéric Dumoulin, « En quelques mois, Copé est devenu l'un des hommes forts de la majorité », AFP, 17 avril 2008.
  37. « Copé propose aux différentes sensibilités de l'UMP "de s'organiser en mouvements" », Le Monde, 2 mai 2012.
  38. a et b Alexandre Lemarié et Patrick Roger, « Copé annonce sa candidature à la présidence de l'UMP, les hostilités sont ouvertes », sur lemonde.fr,
  39. http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/08/26/cope-annonce-sa-candidature-a-la-presidence-de-l-ump-les-hostilites-sont-ouvertes_1751496_823448.html
  40. Jean-François Copé élu président de l'UMP avec 98 voix d'avance Article de www.franceinfo.fr, 20 novembre 2012
  41. Le bras de fer Copé-Fillon s'envenime : l'UMP au bord de l'implosion ? TF1 News, 21 novembre 2012

Annexes

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Articles connexes

Liens externes