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Géographie de la France

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Géographie de la France
carte : Géographie de la France
Continent Europe
Région Europe de l'Ouest
Coordonnées 47°N 2°E
Superficie
Côtes 4 668 km
Frontières 4 082,2 km
Andorre 56,6 km, Belgique 620 km, Allemagne 451 km, Italie 488 km, Luxembourg 73 km, Monaco 4,4 km, Espagne 623 km, Suisse 573 km, Brésil 673 km, Pays-Bas 10,2 km, Suriname 510 km
Altitude maximale 4 805,59 m (mont Blanc)
Altitude minimale -10 m (étang de Lavalduc, Bouches-du-Rhône)
Plus long cours d’eau Loire (1 006 km)
Plus importante étendue d’eau Léman (234 km2)

La géographie de la France consiste en l'étude du territoire de la France métropolitaine et ses régions et territoires d'outre mer.

La France métropolitaine a une taille totale de 551 695 km² (Europe uniquement). Il s'agit du troisième plus grand pays d'Europe par la région (après la Russie et l'Ukraine) et le plus grand d'Europe occidentale[1].

Localisation

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Localisation de la France métropolitaine et de ses territoires d'outre-mer dans le monde (sans Terre Adélie).

La France est un État transcontinental dont la majeure partie du territoire, sa Métropole, est située en Europe occidentale, baigné à l'ouest par l'océan Atlantique et au sud par la mer Méditerranée, et limitrophe de la Belgique, du Luxembourg, de l'Allemagne, de la Suisse, de l'Italie et de l'Espagne ; sur le continent européen, elle a aussi des frontières avec Andorre et Monaco[2],[3].

Ses territoires d'outre-mer sont répartis dans plusieurs océans : la France est un État côtier riverain des océans Atlantique, Pacifique, Indien et Antarctique ; elle compte 12 territoires ultramarins (Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon, Wallis-et-Futuna, Polynésie française, Nouvelle-Calédonie, Terres australes et antarctiques françaises)[4]. Ces territoires donnent également à la France des frontières terrestres extra-européennes : avec le Brésil et le Suriname en Guyane[5], ainsi qu'avec Sint Maarten, territoire des Pays-Bas situé au sud de l'île de Saint-Martin[6]. La Terre Adélie, revendiquée par la France en Antarctique et intégrée aux Terres australes et antarctiques françaises (TAAF), est quant à elle bordée de part et d'autre par le Territoire antarctique australien, créant une contiguïté territoriale entre les zones revendiquées par la France et l'Australie[7], bien que ces prétentions soient gelées par le Traité sur l’Antarctique[8].

Cette dispersion confère à la France un espace maritime d'environ 11 millions km², dont 97 % se situent outre-mer ; elle est ainsi présentée par les autorités comme la deuxième puissance maritime du monde[9],[10]. De plus, aucun point de la France métropolitaine n'est situé à plus de 400 km d'une côte, soulignant son ouverture maritime[11].

Géographie physique

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Présentation générale de la géographie physique de la France métropolitaine

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Image satellite de la France métropolitaine en mars 2012.

La France métropolitaine se caractérise par un relief varié mais d'ensemble modéré : son altitude moyenne est de 342 mètres, 62 % du territoire se situent en dessous de 250 mètres et 7 % au-dessus de 1 000 mètres. On distingue de vastes plaines, des plateaux et collines, ainsi que plusieurs massifs : Alpes, Pyrénées, Massif central, Jura, Vosges.

Géologiquement, la France métropolitaine présente une diversité remarquable. Les roches les plus anciennes (âgées d'environ deux milliards d'années) affleurent de la Bretagne à la Normandie. Les massifs dits« anciens » qui forment le « socles » (Massif armoricain, Massif central, cœur des Pyrénées, partie occidentale de la Corse, massif des Maures, certaines parties des Alpes, Vosges et Ardennes) sont constitués de terrains formés entre 600 et 250 millions d'années. Ces socles sont recouverts par de vastes bassins sédimentaires (Bassin parisien, Bassin aquitain, Bassin du Sud-Est), comblés par des dépôts marins et continentaux successifs.

Enfin, les chaînes jeunes des Alpes et des Pyrénées, issues de l'orogenèse alpine (tertiaire), continuent de se soulever et de bouger aujourd'hui, comme en témoignent les séismes contemporains[11],[12]. L'hydrographie s'organise en grands bassins versants portés par des grands fleuves — Seine, Loire, Rhône, Garonne (parmi les sept grands fleuves recensés par Eaufrance : Adour, Garonne, Loire, Meuse, Rhin, Rhône, Seine). En métropole, le réseau hydrographique représente environ 428 906 km de cours d'eau, sur un total national de plus de 623 464 km incluant l'outre-mer ; ces cours d’eau, alimentés par les affluents, les précipitations et les nappes souterraines, structurent les bassins versants et jouent un rôle essentiel dans le cycle de l'eau, en acheminant les eaux continentales jusqu'aux océans[13]. Enfin, le littoral métropolitain — baigné par la mer du Nord, la Manche, l'océan Atlantique et la mer Méditerranée — totalise environ 3 100 km et présente des formes très diverses (falaises, plages, marais, deltas)[11].

Image satellite de la Corse en mai 2016.

La Corse est une île montagneuse et géologiquement complexe de la France métropolitaine, d'une superficie de 8 722 km2, elle bénéficie depuis 2018 du statut de collectivité territoriale unique, en remplacement de l'ancienne région Corse et des départements de Haute-Corse et de Corse-du-Sud[14]. Elle repose sur un socle granitique (Corse Hercynienne) et des formations métamorphiques (Corse Alpine), complétées par des bassins sédimentaires côtiers et des alluvions littorales exploitées comme aquifères[15].

Elle est caractérisée par des versants abrupts, des crêtes et des gorges fortement accentués : la morphologie générale de l'île est aussi façonnée par des processus d'érosion intenses, dont la dynamique est due à la fois aux pentes très fortes et au climat agressif[16].

Sur le littoral, la Corse présente environ 215 km de côtes meubles étudiées par le BRGM, tandis que les côtes rocheuses, d'environ 680 km, font l'objet d'un diagnostic géomorphologique et d'une actualisation des connaissances face aux phénomènes côtiers[17]. Le bassin hydrographique de l'île s'étend sur une superficie d'environ 8 757 km2, avec plus de 210 cours d'eau, ainsi que 15 masses d'eau souterraines et diverses zones littorales (lagunes, eaux de transition) ou plans d'eau[18]. Les eaux souterraines issues des alluvions littorales sont notamment utilisées pour l'alimentation en eau potable[15].

Présentation générale de la géographie physique de la France d'outre-mer

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Carte de localisation des différents territoires français.

Les territoires d'outre-mer français présentent une géographie physique d'une grande diversité, liée à leur dispersion dans plusieurs océans et zones climatiques.

Le parc amazonien de Guyane avec le fleuve Maroni (2012).

En Amérique du Sud, la Guyane est un territoire tropical et humide, recouvert à plus de 90 % par la forêt amazonienne[19]. La Guyane est structurée par un dense réseau hydrographique dominé par le Maroni et l'Oyapock[20].

Dans les Antilles, la Guadeloupe possède le volcan actif La Soufrière, culminant à 1 467 m[21] ; la Martinique est dominée par la Montagne Pelée (1 397 m) avec une morphologie volcanique marquée[22]. Sur le littoral martiniquais, les mangroves couvrent plus de 2 000 hectares[23].

Cratère du Piton de la Fournaise vu d'hélicoptère (2018).

Dans l'océan Indien, La Réunion est constituée de deux massifs volcaniques : le Piton des Neiges (3 071 m), aujourd'hui éteint, et le Piton de la Fournaise (2 632 m), l'un des volcans les plus actifs du monde[24] ; Mayotte est d'origine volcanique et entourée d'un récif corallien composé de trois structures de plus de 350 km de long, qui forme un lagon de 1 100 km2 abritant plus de 2 300 espèces connues ; il s'agit de l'un des dix grands systèmes récifo-lagonaires recensés sur Terre[25].

Récif corallien en Nouvelle-Calédonie (2017).

Dans le Pacifique, la Nouvelle-Calédonie associe une chaîne montagneuse centrale reposant sur un socle ancien à un lagon inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO[26], tandis que la Polynésie française et Wallis-et-Futuna regroupent des îles volcaniques hautes et des atolls coralliens[27].

Un manchot Empereur avec en arrière plan le glacier de l'Astrolabe, à la Base antarctique Dumont-d'Urville, Terre Adélie (2018).

Enfin, les Terres australes et antarctiques françaises (TAAF) regroupent cinq districts : Crozet, Kerguelen, Saint-Paul et Amsterdam, la Terre Adélie et les îles Éparses. Situées entre les 37e et 50e parallèles sud, elles couvrent plus de 1 660 000 km2, dont 672 000 km2 classés en réserve naturelle nationale depuis 2006 et étendus en 2016. Dépourvues de population permanente, elles présentent des paysages volcaniques et une biodiversité très riche, abritant notamment la plus grande population mondiale de manchots royaux et d'albatros de Carter, ainsi que d'importantes colonies de mammifères marins[28],[29].

Image satellite des îles Kerguelen et du glacier Cook (2005).

Le glacier Cook, située aux îles Kerguelen, est le plus grand glacier français avec une superficie d'environ 400 km2, soit deux fois la superficie de l’ensemble des glaciers alpins. Il alimente une soixantaine de glaciers dont certains, comme le glacier Pasteur, s'écoulent jusqu'à l’océan Indien. Mais cette calotte n'échappe pas aux effets du réchauffement climatique : d'une surface estimée à 500 km2 en 1963, elle avait reculé à 448 km2 en 1991 puis à 403 km2 en 2003, soit une perte d’environ 20 % en 40 ans[30].

Géopolitique

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Le territoire français est le territoire sur lequel l'État en France applique sa souveraineté.

La France est composée de trois ensembles :

D’après l’INSEE, qui mesure uniquement la superficie cadastrale. La superficie de la France est de 543 000 km². D’après l’IGN, qui mesure la superficie géodésique, la superficie totale est de 551 000 km²[32].

Frontières terrestres

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4 176 km au total, dont 2 916 km en France métropolitaine et 1 263 km en outremer[33], répartis ainsi :

À ces frontières peut s'ajouter 2 100 km environ avec l'Australie, si la Terre Adélie (en Antarctique) est prise en compte. Si l'on considère le tunnel sous la Manche comme un passage terrestre, alors la France possède également une courte frontière terrestre avec le Royaume-Uni. Le domaine national français en Terre Sainte offre également au territoire français une frontière avec Israël et l'Autorité de Palestine.

En métropole, le littoral fait 5 853 km qui regroupe des côtes rocheuses (41 %), des plages et dunes (35 %) et des marais salants et maritimes (24 %)[41].

Points extrêmes :
L'altitude moyenne est de 342 m pour la France continentale[44].

Grandes régions naturelles

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Carte des grandes régions naturelles de la France métropolitaine, incluant les massifs montagneux, les bassins sédimentaires et les principales plaines.

Le relief de la France métropolitaine est caractérisé par le « S français » qui part du sud des Vosges, descend la vallée du Rhône et s'infléchit vers l'ouest pour longer le sud du Massif central et le nord des Pyrénées.

Au nord-ouest de cette ligne se trouve la zone hercynienne datant de l'ère primaire et secondaire, au sud-est se trouve la zone alpine datant de l'ère tertiaire et quaternaire. Cette ligne est également une frontière altimétrique : la zone hercynienne a des pentes arrondies tandis que la zone alpine est plus escarpée ; et une ligne de partage des eaux : à l'ouest, les cours se jettent dans l'Atlantique, à l'est, dans la Méditerranée. L'ouest subit une influence océanique tandis que l'est subit une influence méditerranéenne s'atténuant en arrivant au Jura.

Régions historiques françaises

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Régions administratives françaises

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Au nombre de 27 jusqu'en 2015, les régions françaises sont 18 depuis le [45] : 12 régions de France métropolitaine, auxquelles s'ajoutent la Corse, qui n'a pas la dénomination de région mais en exerce les compétences[46], et cinq départements et régions d’outre-mer (dont le département de Mayotte qui exerce également les compétences d'une région)[47],[48].

Voir aussi l'article suivant :

Découpage administratif

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Carte de la France. Source : CIA World Factbook

Principales îles françaises

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Les principales îles françaises sont :

D'après une étude parue dans Nature Conservation, des dizaines d'îles françaises seraient menacées d'ici 2100. En effet, si le niveau des mers monte d'un mètre en 2100, 6 % des îles françaises disparaîtront ; et s'il monte de trois mètres, cette proportion sera de 12 %. Les régions de la Nouvelle-Calédonie et de la Polynésie seraient particulièrement vulnérables[49].

La position géographique de la France explique l'existence de différents climats[50]. Le climat peut être :

Hydrographie

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Principaux cours d'eau

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Cours d'eau de France.

De nombreux cours d'eau coulent en France :

Principaux canaux

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Les canaux les plus remarquables sont :

Bilan hydrologique de la France métropolitaine

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Du point de vue hydrologique, la France occupe une position assez forte en Europe. Les précipitations y sont en effet assez élevées, et alimentent de puissants cours d'eau coulant soit vers les mers, soit vers les pays voisins (nord et nord-est). L'eau venue de France procure une part des disponibilités en eau de la Belgique, du Luxembourg, de l'Allemagne et indirectement des Pays-Bas. D'après Aquastat[53], la hauteur d'eau annuelle moyenne des précipitations est de 867 millimètres, soit pour une superficie de 552 000 kilomètres carrés, un volume de précipitations annuelles de 477,99 kilomètres cubes, arrondis à 478 km3 (478 milliards de mètres cubes).

Pour les années les plus sèches (période de retour de 10 ans), le volume annuel des précipitations est de 110 kilomètres cubes.

De ce volume précipité, l'évapo-transpiration consomme 301,5 km3. Restent 176,5 kilomètres cubes d'eau de surface (cours d'eau) produits sur le territoire du pays (on parle d'eau de surface produite en interne). La lame d'eau moyenne écoulée sur l'ensemble du territoire tous bassins confondus est donc de 320 millimètres annuellement.

Il faut ajouter à cela 2 km3 d'eau souterraine produits en interne, ce qui fait un total de 178,5 kilomètres cubes d'eau produits en interne.

En outre, une quantité non négligeable d'eau provient de certains pays voisins. Ce sont 8,7 kilomètres cubes supplémentaires qui viennent ainsi de l'étranger, dont 7,7 km3 de Suisse (cours supérieur du Rhône, Doubs) et 1 km3 d'Espagne (cours supérieur de la Garonne). Les apports de la Belgique et de l'Allemagne sont considérés comme négligeables, car ne faisant qu'une brève incursion en France (Blies en Moselle, Semoy dans la Meuse). Enfin l'apport du Rhin de 33 km3 constitue un cas particulier. Ce fleuve est frontalier sur une longue distance, mais ne pénètre jamais le territoire français. On considère dès lors que la moitié de son débit à l'entrée (Bâle) fait partie des ressources en eau de la France produites à l'étranger, soit 16,5 kilomètres cubes.

Les ressources renouvelables totales en eau du pays se montent donc à 203,7 kilomètres cubes (1 km3 = 1 milliard de m3) dont :

  • 176,5 km3 d'eau de surface produits en interne
  • km3 d'eau souterraine produits en interne
  • 25,2 km3 d'eau de surface produits en externe (à l'étranger)

Le taux de dépendance vis-à-vis de l'étranger est de 12,37 %.

En moyenne chaque année 13,5 km3 d'eau quittent annuellement le territoire, à destination des pays voisins :

La quantité d'eau disponible (qui comprend l'ensemble des ressources créées en interne, plus les apports extérieurs) est de 203,7 km3 par an, soit pour une population évaluée à 61,9 millions d'habitants (fin 2007), 3,290 m3 par habitant et par an.

Comparaison avec les principaux voisins

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Pays Précipitations Écoulement Eau souterraine
produite
en km3/an
Apport d'eau
de l'étranger
en km3/an
Superficie
du pays
en km2
annuelles
en mm
annuelles
en km3
Lame d'eau
annuelle
en mm
Volume d'eau
de surface
écoulée
en km3/an
Suisse 1 537 63,46 978 40,4 - 13,1 41 290
Royaume-Uni 1 220 296,33 594 144,2 0,8 2,0 242 910
France 867 477,99 320 176,5 2,0 25,2 551 500
Belgique 847 25,84 393 12,0 - 6,3 30 510
Italie 832 250,81 566 170,5 12,0 8,8 301 340
Pays-Bas 778 32,31 265 11,0 - 80,0 41 530
Allemagne 700 249,96 298 106,3 0,7 47,0 357 030
Espagne 636 321,71 216 109,5 1,7 0,3 505 990

Faune et flore

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La diversité de climat explique en grande partie que la flore et la faune de France soient très diversifiée.

La biodiversité est étudiée par l'INPN[54].

Centre géographique

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Il y a évidemment une grande incertitude concernant le centre géographique. Sa détermination dépend en grande partie de la méthode utilisée pour le calcul, et notamment selon que l'on tient compte ou non de la Corse et des DOM-TOM.

Quelques candidats :

France d'outre-mer

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La France reste aussi présente dans d'autres continents par des dépendances aux statuts administratifs divers :

Notes et références

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  1. « Quelle est la distance la plus grande entre le nord et le sud de la France ? », sur Le Guide des Vacances (consulté le )
  2. Éditions Larousse, « France République française - LAROUSSE », sur www.larousse.fr (consulté le )
  3. Rédaction Toute l'Europe, « La France dans l'Union européenne », sur Touteleurope.eu, (consulté le )
  4. « Les collectivités d'outre-mer », sur Sénat (consulté le )
  5. Maude Elfort, « Coopération transfrontalière Brésil/Guyane/Suriname : évolutions et enjeux », Confins. Revue franco-brésilienne de géographie / Revista franco-brasilera de geografia, no 51,‎ (ISSN 1958-9212, DOI 10.4000/confins.39535, lire en ligne, consulté le )
  6. « Signature d’un accord entre la France et les Pays-Bas relatif à la frontière commune à Saint-Martin » [archive du ], sur Ministère de l'Intérieur (consulté le )
  7. (en-GB) « French Antarctic Territory | Critical Minerals and The Energy Transition », sur SFA (Oxford) (consulté le )
  8. « The Antarctic Treaty | Antarctic Treaty », sur www.ats.aq (consulté le )
  9. Commissariat général au développement durable, « Éléments de contexte », sur Chiffres clés de la mer et du littoral - Édition 2024 (consulté le )
  10. « Le ministère des Outre-mer | Mom », sur www.outre-mer.gouv.fr (consulté le )
  11. a b et c Éditions Larousse, « France : géographie physique - LAROUSSE », sur www.larousse.fr (consulté le )
  12. « Quoi qu’il en croûte ! Le puzzle d’une carte géologique de France haute en couleurs | BRGM », sur www.brgm.fr (consulté le )
  13. « Les rivières », sur Eaufrance (consulté le )
  14. Rédaction Toute l'Europe, « L'Europe en région Corse : financements, programmes et aides de l'UE », sur Touteleurope.eu, (consulté le )
  15. a et b « Corse | BRGM », sur www.brgm.fr (consulté le )
  16. « Géographie de la Corse | La préfecture et les services de l'État en région Corse », sur www.prefectures-regions.gouv.fr (consulté le )
  17. « Cartographie de la sensibilité à l’érosion des côtes meuble et rocheuse de Corse | BRGM », sur www.brgm.fr (consulté le )
  18. « | L'eau dans le bassin de Corse », sur corse.eaufrance.fr (consulté le )
  19. Patrick Blancodini, « Archive. La forêt guyanaise française : entre valorisation et protection », sur Géoconfluences, (consulté le )
  20. « Les caractéristiques du bassin de Guyane », sur Guyane - Comité Eau et Biodiversité (consulté le )
  21. « La Soufrière | Parc national de la Guadeloupe », sur www.guadeloupe-parcnational.fr (consulté le )
  22. (en) « Montagne Pelée volcano », sur IUGS (consulté le )
  23. (en-GB) « The Mangrove in Martinique | », sur en.martinique-tour.com (consulté le )
  24. « La Réunion | BRGM », sur www.brgm.fr (consulté le )
  25. (en) Noro Ravoavahy et The Conversation, « Restoring Mayotte's lagoon: When a newly born volcano meets human resilience », sur phys.org (consulté le )
  26. UNESCO Centre du patrimoine mondial, « Lagons de Nouvelle-Calédonie : diversité récifale et écosystèmes associés », sur UNESCO Centre du patrimoine mondial (consulté le )
  27. (en) Carole Martinez, Sylvie Rockel, Caroline Vieux, « European Union Overseas Coastal and Marine Protected Areas » [PDF], (consulté le )
  28. UNESCO Centre du patrimoine mondial, « Terres et mers australes françaises », sur UNESCO Centre du patrimoine mondial (consulté le )
  29. « Terres australes et antarctiques françaises », sur Terres australes et antarctiques françaises (consulté le )
  30. La-Croix.com, « Réchauffement climatique : comment se portent les plus grands glaciers français », sur La Croix, (consulté le )
  31. Capucine Barzin, « Quelle est la distance la plus grande entre le nord et le sud de la France ? » Accès libre, sur Le guide des vaccances, (consulté le )
  32. Yannick Clavé, Géographie de la France, Ellipses, (ISBN 978-2-340-04031-1), p. 24
  33. « Les frontières terrestres de la France - Conseil national de l’information géographique »,
  34. « Frontière franco-brésilienne : le pont qui fait pschitt : épisode • 4/4 du podcast Petite géopolitique des ponts », sur France Culture (consulté le )
  35. Catherine Lanneau, « Voisinage et représentations : La Belgique francophone et la France, du Front populaire à la guerre froide », Matériaux pour l’histoire de notre temps, vol. 97 - 98, nos 1-2,‎ , p. 3–10 (ISSN 0769-3206, DOI 10.3917/mate.097.0002, lire en ligne, consulté le )
  36. « espaces-transfrontaliers.org: Fiches frontières », sur www.espaces-transfrontaliers.org (consulté le )
  37. Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères, « Relations bilatérales », sur France Diplomatie - Ministère de l'Europe et des Affaires étrangères (consulté le )
  38. « espaces-transfrontaliers.org: Border factsheets », sur www.espaces-transfrontaliers.org (consulté le )
  39. « espaces-transfrontaliers.org: Border factsheets », sur www.espaces-transfrontaliers.org (consulté le )
  40. « espaces-transfrontaliers.org: Border factsheets », sur www.espaces-transfrontaliers.org (consulté le )
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  42. « Avec l'Étang de Lavalduc, comment faire plus bas que terre en France? », sur www.vivrefm.com (consulté le )
  43. « Le mont Blanc mesure désormais 4 805,59 mètres, selon la dernière évaluation », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  44. Emmanuel de Martonne, « L'altitude moyenne de la France et de ses grandes régions naturelles », Bulletin de l'Association de Géographes Français, vol. 18, no 134,‎ , p. 2–4 (DOI 10.3406/bagf.1941.7093, lire en ligne, consulté le )
  45. Le Monde.fr « Adoption par l'assemblée le passage de 22 régions métropolitaines à 13 »
  46. « 12 ou 13 : combien de régions métropolitaines ? », sur Public.fr (consulté le ).
  47. Mayotte devient le 101e département français, Le Monde, le .
  48. Le Monde.fr "Mayotte accède à son statut de département dans la confusion", consulté le 31/03/2011]
  49. La hausse des océans n'épargnera pas les grandes puissances mondiales, Futura Planète, 2019
  50. « Le CLIMAT EN FRANCE par METEO FRANCE », sur meteofrance.com (consulté le )
  51. « Le climat en France métropolitaine | Météo-France », sur meteofrance.com (consulté le )
  52. « Les climats en outre-mer | Météo-France », sur meteofrance.com (consulté le )
  53. Aquastat - Ressources en eau de la France [xls]
  54. (en-GB) Museum national d'Histoire naturelle, « INPN - Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) » [archive du ], sur Inventaire National du Patrimoine Naturel (consulté le )

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Articles connexes

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Liens externes

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