Liste des monuments aux morts pacifistes de France

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Cet article vise à recenser les monuments aux morts pacifistes de France.

Au cours de la Première Guerre mondiale, la France est sévèrement touchée avec 1 357 800 tués et disparus, soit 10 % de la population active masculine et 18 % des appelés, et 4 266 000 blessés. Le nombre moyen de tués par jour chez les soldats français est de 900. Le travail de deuil conduit la plupart des communes de France à rendre hommage à leurs morts : dans les années 1920-1925, 35 000 monuments aux morts sont érigés malgré les difficultés de la reconstruction.

À la suite de cette hécatombe, quelques communes élèvent des monuments condamnant plus ou moins explicitement le conflit, soit par des inscriptions explicites, soit par des thèmes sculpturaux spécifiques (pères, mères, épouses perdues de douleur ; orphelins ; absence de toute référence à la guerre : armes, soldats, etc.).

Liste[modifier | modifier le code]

Auvergne-Rhône-Alpes[modifier | modifier le code]

  • Allier :
    • Commentry : le monument aux morts a été réalisé par le sculpteur Félix-Alexandre Desruelles. Il représente un paysan découvrant dans son champ, la tombe d'un soldat. L'homme se recueille, appuyé sur une faux. Il est inscrit sur le monument « La ville de Commentry à ses enfants victimes de la guerre »[1]. Ce monument peut être considéré comme un monument aux morts pacifiste[2].
    • Meillard : une plaque est apposée sur le monument aux morts sur laquelle est gravée la phrase : « Maudite soit la guerre et ses auteurs »[3].
    • Rocles : sur ce monument, sous la sculpture d'un visage d'enfant, il est inscrit « Apprenons à supprimer la guerre[4] »
  • Ardèche :
    • Joyeuse : monument aux morts où la sculpture est intitulée : « Ce qu'il nous reste », elle est constituée d'un couple de paysans symbolisant la douleur après la perte d'un fils dont il ne leur reste que le casque[5].
  • Loire :
    • Saint-Martin-d'Estréaux : Le monument aux morts comporte trois panneaux avec une colonne. Une liste présente les morts de la guerre avec leur photo. Au milieu de ces noms, une pleureuse a été sculptée en bas-relief. Sur l'autre face du monument, trois panneaux résolument pacifistes. Un panneau affirme : « Si vis pacem, para pacem », soit « si tu veux la paix, prépare la paix ». Un second panneau se termine par « Maudite soit la guerre et ses auteurs ». Le troisième panneau dresse un bilan de la guerre, en détaillant les morts (12 millions) et les souffrances des peuples. Enfin avec l'inscription : « les Innocents au poteau d'exécution », il y est dénoncé le drame des soldats fusillés pour l'exemple. Afin de respecter le deuil des familles et celui de la patrie, le monument ne fut inauguré qu'en 1947. Ce texte fut l'objet, dans les années 1930, de dégradations dont furent accusés les membres de l'Action française[6].
  • Drôme :
    • Nyons : sur ce monument, une allégorie de la Justice terrasse (ou seulement surplombe ?) un soldat couché (ou blessé?) avec l'inscription : « le Droit prime la force »[7].
  • Puy-de-Dôme :
    • Lezoux : sous le monument, il est inscrit « Aux enfants de Lezoux, victimes de la guerre, à ceux qui ont combattu pour l'abolir ».
    • Riom : le monument aux morts est dédié à la mémoire des poilus fusillés pour l'exemple. À l'aube du , six soldats furent passés par les armes pour avoir simplement exécuté, sur ordre de leurs chefs, un repli tactique, qui avait permis d'économiser des vies humaines, sans faciliter l'avance des troupes allemandes. C'est aux six martyrs de Vingré et à ceux de Flirey, Fleury, Fontenoy, Montauville et Souain qu'est dédié le monument de Riom. Situé à proximité du carré militaire au sein du cimetière des Charmettes, il est inauguré le . Il est inscrit sur le monument : « Aux victimes innocentes des conseils de guerre 1914 - 1918 et à celles de la Milice et de la Gestapo 1939 - 1944 ». Le monument est simple, de type obélisque, avec des inscriptions gravées en lettre d'or, mais sans aucun élément décoratif.
  • Rhône :
    • Dardilly : il est inscrit sur le monument : « Contre la guerre, à ses victimes, à la fraternité des Peuples » et « Que l'avenir console la douleur ».
    • Larajasse : le monument près du cimetière de l'Aubépin porte l'inscription « PAIX SUR TERRE »
    • Saint-Appolinaire : sur le monument se trouve la phrase connue de Paul Valéry : « La guerre est le massacre de gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui, eux, se connaissent mais ne se massacrent pas ».
  • Savoie :

Bourgogne-Franche-Comté[modifier | modifier le code]

  • Jura :
    • Moirans-en-Montagne : Le monument, exécuté en 1922 par le sculpteur Buffet-Chaillet, représente une femme nue, tête inclinée, qui pleure ses enfants. Il porte l'inscription « la Pensée de la France à ses morts». A la suite de la controverse suscitée par la sculpture, le monument ne sera jamais inauguré.
  • Nièvre :
    • Cosne-Cours-sur-Loire : le monument inauguré le 14 octobre 1923 est signé « Émile Fernand-Dubois - Sculpteur et Architecte ». Le statuaire a obtenu une médaille d'or au Salon des Artistes Français en 1922 pour le bas-relief intitulé tour à tour La douleur, Muse éplorée ou encore Sanglots sur les ruines, qu'il installera finalement dans sa ville d'adoption à l'instigation de son ami maire Claude Goujat. La femme représentée ici assise devant une ruine, pleure la tête baissée dans sa main, son époux, son fils ou son frère[10].
  • Territoire de Belfort :
  • Yonne :
    • Chevillon : le monument porte l'inscription « Guerre à la guerre — Fraternité entre les peuples ».
    • Gy-l'Évêque : sur le monument, on retrouve les inscriptions « Guerre à la guerre » et « Paix entre tous les peuples ». Le préfet fait traduire le maire devant le tribunal cantonal de Coulanges-la-Vineuse. Un jugement est rendu le , le maire doit retirer la plaque. Le Conseil municipal fait alors graver les inscriptions pacifistes sur le socle[12].
    • Perreux : sur le monument, une plaque apposée est gravée « Guerre à la guerre — Paix entre les peuples ».

Bretagne[modifier | modifier le code]

Centre-Val de Loire[modifier | modifier le code]

Grand-Est[modifier | modifier le code]

  • Aube :
  • Marne :
  • Bas-Rhin :
    • Strasbourg : le monument aux morts, inauguré en 1936 par le président de la République Albert Lebrun, porte comme seule inscription « À nos morts » sans mentionner la patrie pour laquelle les soldats sont tombés. En effet, la région a été au gré des guerres tantôt allemande, tantôt française, et des Alsaciens sont tombés au combat des deux côtés. Pour honorer ces morts, il a été élevé une sculpture représentant une mère (symbolisant la ville de Strasbourg) tenant sur ses genoux ses deux enfants mourants, l'un Allemand et l'autre Français, ne portant plus d'uniformes pour les distinguer. Ils se sont combattus et devant la mort enfin ils se rapprochent. La sculpture a été réalisée par Léon-Ernest Drivier[19].
  • Haut-Rhin :

Hauts-de-France[modifier | modifier le code]

  • Aisne :
  • Nord :
    • Esquerchin : le monument aux morts représente une femme et son jeune fils. Du doigt, elle indique un nom sur l'obélisque. Aux pieds de l'enfant, une gerbe de fleurs qu'il est venu déposer.
    • Lille : le monument aux morts, inauguré devant le Palais Rihour le , consiste en un haut pan de mur portant trois tableaux : les Captifs, la Relève et la Paix. Il porte l'inscription suivante : « Aux lillois soldats et civils la cité a élevé ce monument afin de rappeler au cours des siècles l'héroïsme et les souffrances de ses enfants morts pour la paix ». L'architecte du projet est Jacques Alleman et le sculpteur Edgar Boutry[24].
  • Oise :
  • Pas-de-Calais:
    • Arras : monument aux morts réalisé par Félix-Alexandre Desruelles en 1930, où une femme, symbole de paix, domine le monument.
    • Auchel : le sculpteur Félix-Alexandre Desruelles a réalisé un monument pour « Flétrir la guerre, chanter la paix » selon ses termes. Le monument se décompose en deux scènes : « La paix en pays noir » représentant la sérénité d'une famille de mineur et « L'humanité en deuil » symbolisant la barbarie de la guerre. Le monument a été inauguré en 1928[27].
    • Avion : le monument a été élevé pour sa partie centrale en 1924, puis les deux ailes latérales en 1948. Il y est inscrit : « La ville d'Avion à ses enfants, victimes civiles et militaires. Tu ne tueras point ». Le haut-relief est une représentation de la guerre sous les traits de Damia signé du statuaire Emile Fernand-Dubois. L'inscription « Tu ne tueras point » est inspirée du décalogue.
    • Sallaumines : Un monument du Souvenir et de la Paix a été érigé en 2016 pour remplacer les trois monuments aux morts de la ville. Il est désormais dédié à toutes les victimes civiles ou militaires, de Sallaumines : personnes mortes en combats, par les bombardements, exécutées pour l’exemple, torturées, persécutées, ou déportées, lors des conflits du XXe siècle. Près de 500 noms y sont inscrits pour une ville de moins de 10 000 habitants. Créée par Pierre Garçon, la sculpture de granit, biface, célèbre la Paix retrouvée, d’une part et de l’autre, elle évoque les violences guerrières[28].
  • Somme :
    • Devise : sur le monument, des enfants entourent une jeune femme portant à bout de bras un panneau sur lequel on peut lire « Pour la paix ». En réalité, ce panneau complétant trois inscriptions gravées autour de lui de manière assez peu lisible sur le fond blanc du monument, la phrase dans son entier est « Ils sont morts pour la paix ».
    • Péronne : Sur le monument, on trouve la célèbre Picarde maudissant la guerre réalisée par le sculpteur Paul Auban. D'esprit pacifiste, c'est une femme de pierre penchée sur un cadavre et qui tend son poing vengeur en direction d'invisibles responsables. Il fut inauguré le .

Île-de-France[modifier | modifier le code]

Normandie[modifier | modifier le code]

Monument aux morts d'Equeurdreville.
  • Manche :
    • Équeurdreville-Hainneville : monument aux morts d'Équeurdreville. On y retrouve cette même inscription « Que maudite soit la guerre » sur le monument en pierre qui représente la douleur et la souffrance d'une veuve de guerre et de ses deux enfants, orphelins. Le monument a été sculpté par Émilie Rolez à la demande du maire d'alors, Hippolyte Mars[30].

Nouvelle-Aquitaine[modifier | modifier le code]

  • Le sculpteur Ernest Gabard ancien poilu, réalisa dans son Béarn natal une quinzaine de monuments aux morts dont une dizaine à connotations pacifistes : pleureuses à Assat et Sauveterre-de-Béarn, scènes de recueillement à Jurançon, Monein, Dax, Igon et Mauléon-Licharre, soldat agonisant à Pontacq, etc[31].
  • Charente :
    • Confolens : la statue du monument, réalisée par Henri Coutheillas, représente une femme et un garçon se recueillant autour d'une tombe.
  • Creuse :
    • La Forêt-du-Temple : le monument représente une femme. C'est un monument traditionnel sur la place du village. Son originalité se situe sur la face cachée de la stèle où figure le nom d'Emma Bujardet suivi de l'épitaphe « morte de chagrin ». C'est Alexandre Bujardet son mari qui finança en partie ce monument à condition que les noms de ses trois fils et celui de son épouse Emma Marie Antonia Bujardet, morte de chagrin après la perte de ses trois fils, soient inscrits sur ce monument.
    • Gentioux-Pigerolles : Le monument aux morts porte une stèle gravée des noms des 58 soldats morts pendant la guerre. En bas du monument, un écriteau indique : « Maudite soit la guerre ». Un orphelin au visage triste, habillé avec la blouse de l'écolier lève le poing en regardant les 58 noms gravés[9]. Chaque , le Comité laïque des amis du monument aux morts de Gentioux organise une manifestation pacifiste et libertaire devant le monument[32].
    • Royère-de-Vassivière : Félix Baudy un soldat fusillé pour l'exemple en 1915 pour délit de lâcheté a sa sépulture dans le cimetière communal. Ses amis maçons, y ont posé sur une plaque l'inscription suivante : « Maudite soit la guerre - Maudits soient ses bourreaux - Baudy n'est pas un lâche - Mais un martyr ». Félix Baudy a été réhabilité en 1934.
  • Dordogne :
    • Biron : le sculpteur allemand Jochen Gerz a réhabilité le monument aux morts, inauguré le . « Qu'est-ce qui est, selon vous, assez important pour risquer votre vie ? » est la question posée aux habitants du village. Les réponses sont retranscrites sur des plaques fixées sur le monument. Les messages parlent d'amour, de peur, de paix[33]...
  • Gironde :
  • Haute-Vienne :

Occitanie[modifier | modifier le code]

  • Ariège :
  • Aude :
  • Aveyron :
    • Cransac : le monument aux morts porte l'inscription « Aux enfants de Cransac morts pour la Paix », alors que traditionnellement les soldats sont « morts pour la France ». Ce choix n'est pas neutre à l'époque où le patriotisme est de rigueur[36].
    • Decazeville : comme à Cransac, le monument aux morts invoque la paix[36]. Inscrit au titre des monuments historiques le .
  • Haute-Garonne :
    • Cazarilh-Laspènes : le monument porte la mention « Maudite soit la guerre ».
    • Saint-Félix-Lauragais : les monuments de Cadenac et Graissens portent les vers du poète occitan Antonin Perbosc : « La guerra qu'on vougut es la guerra a la guerra / Son morts per nostra terra et per touta la terra » (en français : « la guerre qu'ils ont voulue est la guerre à la guerre / ils sont morts pour notre terre et pour toute la terre », c'est-à-dire pour toute l'humanité).
    • Toulouse : le monument situé sur le mur de l'école Jean-Chaubet, avenue de Castres, est surmonté par cette formule : « Arrête-toi et pense au seuil de cette pierre / Aux deuils accumulés, aux horreurs de la guerre ».
  • Gers :
  • Hérault :
    • Aniane : le monument porte les vers d'Antonin Perbosc qu'on retrouve sur les monuments de Saint-Félix-Lauragais en Haute-Garonne.
    • Clermont-l'Hérault : monument aux morts de Paul Dardé. La sculpture représente un gisant veillé par une femme nue, vêtue de ses seuls bijoux et ailée comme une victoire mais avec des plumes en éventail d'une meneuse de revue, à priori une danseuse de cabaret des années 1920 au regard de sa coiffure[37]. Inscrit au titre des monuments historiques le .
    • Lodève : monument aux morts de Paul Dardé. Quatre femmes symbolisent, grâce à leurs vêtements, les saisons (printemps, été, automne, hiver) mais aussi différentes classes sociales, au chevet d'un poilu mort, avec une femme effondrée sur sa dépouille et deux enfants. Inscrit au titre des monuments historiques le .
  • Lot :
    • Lavercantière : le monument aux morts, situé au cœur du village, a été érigé en 1924. Ce monument a été réalisé par le sculpteur lotois Émile Mompart (1898-1972). Le sculpteur a représenté une humble femme, le visage baissé, les mains jointes dans une attitude de recueillement. Sur la base, deux faces sont sculptées et représentent des militaires. Il y est inscrit « Pauvres drôles » (de l'occitan drôlle, qui signifie enfant)[38].
  • Hautes-Pyrénées :
    • Campan : le monument aux morts, sculpté par Edmond Chrétien, artiste bordelais et érigé en 1926, devant l'église, à la droite du portail sud, se distingue par son aspect sobre et émouvant. La statue qui le domine représente une femme en méditation, au visage pratiquement invisible, et qui porte les vêtements traditionnels de la vallée, le Capulet. Ce monument rassemble dans un même hommage les morts des guerres du XXe siècle pour chacune des sections de la commune : Le Bourg, Sainte Marie et La Séoube. Enfin des bas-reliefs évoquent la paix retrouvée à travers les représentations des trois principales richesses de la commune : le bois, le beurre, la laine. Inscrit au titre des monuments historiques le .
    • Izaourt: monument aux morts de la sculptrice gasconne Gloria Coronas inauguré le 4 juillet 2014.
  • Pyrénées-Orientales :
  • Tarn-et-Garonne :

Pays-de-la-Loire[modifier | modifier le code]

  • Loire-Atlantique
    • Saint-Herblain : monument percé de silhouettes en creux. Biface, il célèbre d’un côté la Paix et de l’autre, rend hommage aux victimes de toutes les guerres. Créé en 2000 par Pierre Garçon, béton coulé et sculpté in situ.
  • Mayenne :

Provence-Alpes-Côte d'Azur[modifier | modifier le code]

« PAX... VOX POPULI

Passant incline-toi devant ce monument !...
Vois cette femme en deuil montrant les hécatombes
Ses yeux taris de pleurs, scrutent au loin les tombes
Où dorment tant de preux, victimes du moment !...
Ils firent ces héros le solennel serment
De fermer à jamais les noires catacombes
Arrière, disent-ils, les obus et les bombes
Et sois bénie, ô paix, sœur du désarmement !...
Passant, incline-toi ! Regarde cette mère !...
Elle clame à son fils : « la gloire est bien amère
La gloire, ô mon enfant, est là, chez nos grands morts
Mais, sache désormais, que la guerre est un crime
Qu'elle laisse après elle, à de cuisants remords,
Ceux qui firent sombrer les peuples dans l'abîme. »

— Victorin Maurel, maire de Château-Arnoux (1868-1935), instituteur

    • La Motte-du-Caire : sur ce monument, une famille pleure son disparu ; l'homme tient dans sa main droite une couronne funéraire.
  • Alpes-Maritimes :
    • Clans : sur le monument, il est inscrit « Maudits soient les responsables de la guerre et honneur à ceux qui ont travaillé pour la paix »
    • Peille : le monument reprend le sixième commandement « Tu ne tueras pas »[40].
  • Var :
    • Mazaugues : le monument porte l'inscription « L'Union des Travailleurs fera la paix dans le monde / L'Humanité est maudite si, pour faire preuve de courage, elle est condamnée à tuer éternellement ». La première citation est de Karl Marx, qu'Anatole France citait souvent, et la deuxième est de Jean Jaurès[41].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. pp=03082 1 Le monument aux morts de Commentry
  2. 111770.html 1914-1918 : Dans l'Allier, plusieurs monuments aux morts peuvent être considérés comme pacifistes La Montagne, 13 novembre 2011
  3. Hervé Moisan, 1914-1918 : Dans l'Allier, plusieurs monuments aux morts peuvent être considérés comme pacifistes La Montagne, 13 novembre 2011
  4. Détail du monument de Rocles
  5. (fr) Monument aux morts de Joyeuse (Ardèche)— Histoire de ce monument pacifiste, biographie de chaque victime, histoire des régiments...
  6. Gérard Corneloup, Mais oui, il existe des monuments aux morts pacifistes Le Progrès, 11 novembre 2012.
  7. Gérard Corneloup, Mais oui, il existe des monuments aux morts pacifistes Le Progrès, 11 novembre 2011
  8. (fr) Page officielle de Termignon
  9. a et b Le groupe Ardéchois « L'espoir Williams » met ce monument aux morts à l'honneur dans le titre Gentioux et Termignon tiré de l'album Les Rongeurs (2010).
  10. a b et c Roudier 2003.
  11. Le patrimoine des communes du Territoire de Belfort « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
  12. pp=89199 3 "Guerre à la guerre", le monument aux morts à caractère pacifiste de Gy l'Evêque à Gy-l'Évêque (89) Numéro du petit patrimoine : 89199 3
  13. Le patrimoine des communes du Finistère, éditions Flohic 1998, tome 2, p. 1172-1173
  14. (fr) de vierzon.htm Le Square Lucien Beaufrère
  15. « Week end : Square Lucien Beaufrère, Vierzon, promenade »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) France Tv.fr
  16. « Monument à Éguzon-Chantôme, Éguzon », sur Université de Lille (consulté le ).
  17. (fr) SAINTE SAVINE 6e2.pdf Petit journal du patrimoine réalisé par la classe de 6e 2 du Collège Paul Langevin à Sainte-Savine
  18. « Le souvenir de la 1re GM en Champagne-Ardenne - Le monument des caporaux de Souain à Suippes présenté par Jean-Pierre Husson »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)
  19. Jean Daltroff, Henry Lévy, Initiateur du Monument aux morts place de la République à Strasbourg Extrait de l'Almanach du KKL-Strasbourg, 2005
  20. « Patrimoine », sur www.lutterbach.fr, Ville de Luterbach (consulté le ). Voir aussi « Parcours » sur le site de Claude Bonnot.
  21. « Le discours intégral du Premier ministre en 1998 »
  22. Paul Landowski La pierre d'éternité. L'ouvrage a été publié en 2004 à l'occasion de l'exposition «  Paul Landowski La pierre d'éternité » présentée à l'Historial de la Grande Guerre de Péronne dans la Somme. Pages 13 à 23
  23. Christian Eyschen, « De Gentioux à Chauny », La Raison, mensuel de la Libre Pensée, no 641,‎ , p. 17 et 18
  24. Lille/2008/12/15/article les-monuments-aux-morts-lillois.shtml Les monuments aux morts lillois La Voix du Nord, 15 décembre 2008
  25. Source : archivesdépartementales 2 O 3279
  26. 40.html Monument de Creil
  27. Les monuments aux morts. France -Belgique
  28. [1]
  29. Rémi Dalisson, « Les racines d’une commémoration : les fêtes de la Revanche et les inaugurations de monuments aux morts de 1870 en France (1871-1914) », Revue historique des armées, no 274,‎ , p. 23-37 (lire en ligne).
  30. (fr) Le monument aux morts d'Équeurdreville
  31. (fr) Ernest Gabard, Carnet de guerre
  32. Benoît Hopquin, « La paix gronde à La Courtine », Le Monde,‎
  33. « Jochen Gerz : Le Monument vivant de Biron », sur www.farm.de (consulté le )
  34. Le monument d'Arcachon
  35. (fr) Le monument aux morts de Quinsac
  36. a et b « Les mineurs préféraient la Paix », La Dépêche du Midi,
  37. « Monuments aux morts pacifistes : Paul Dardé, sculpteur des monuments de Lodève et Clermont-l'Hérault en Languedoc-Roussillon »
  38. [PDF] « Monument aux morts de Lavercantière » « Le monument aux morts est inauguré en 1924 et fait actuellement partie des rares monuments aux morts dits pacifistes. »
  39. 729.html Les monuments aux morts sculptés en France, monument de 1924, sculpteur Raoul Josset, architectes Jean Charavel, Robert Enault, Marcel Melendes. Le soldat mort représente François de Robien, fils du maire de la commune, le comte André de Robien.
  40. Monument aux morts de Peille
  41. José Lenzini, « Au monument aux morts de Mazaugues, le 11-novembre des pacifistes », Le Monde,‎

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jean-Michel Roudier, « Émile Fernand-Dubois (1869-1952), l'homme et le sculpteur », Cahier des Amis du musée, Cosne-Cours-sur-Loire, Association des Amis du musée, no 10,‎ (ISSN 1293-0776)Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes[modifier | modifier le code]