Lezoux
Lezoux | |||||
Toits de Lezoux. | |||||
![]() Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Puy-de-Dôme | ||||
Arrondissement | Thiers | ||||
Canton | Lezoux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes entre Dore et Allier | ||||
Maire Mandat |
Alain Cosson 2014-2020 |
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Code postal | 63190 | ||||
Code commune | 63195 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lézoviens | ||||
Population municipale |
6 062 hab. (2016 ![]() |
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Densité | 175 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 49′ 42″ nord, 3° 22′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 317 m Max. 421 m |
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Superficie | 34,69 km2 | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme Géolocalisation sur la carte : Puy-de-Dôme Géolocalisation sur la carte : France Géolocalisation sur la carte : France | |||||
Liens | |||||
Site web | www.lezoux.fr | ||||
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Lezoux est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
La ville de Lezoux est située entre Clermont-Ferrand et Thiers, à l'est du département du Puy-de-Dôme[1], dans la plaine de la Grande Limagne.
Neuf communes sont limitrophes[2] :
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Climat[modifier | modifier le code]
La ville connaît un climat similaire à celui de Clermont-Ferrand. Il est toutefois influencé par celui de Thiers.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Voies routières[modifier | modifier le code]
La commune est traversée par la route départementale 2089 (ancienne route nationale 89) de Bordeaux à Lyon et possède un accès autoroutier via l'échangeur 28 de l'autoroute A89.
Le territoire communal est traversé par les routes départementales suivantes[2] :
- la RD 20 (vers Culhat et Joze au nord-ouest et Ravel au sud) ;
- la RD 46 (vers Orléat au nord-est) ;
- la RD 85 (vers Lempty à l'ouest) ;
- la RD 115 (vers Seychalles ou Saint-Jean-d'Heurs) ;
- la RD 223 (vers Ambert et Courpière au sud-est et Vichy, Maringues, Crevant-Laveine et Bulhon au nord) ;
- la RD 229 (vers Billom, Moissat et Ravel au sud) ;
- la RD 332 (vers Culhat au nord-ouest) ;
- la RD 336, pénétrante vers le centre-ville.
Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]
Lezoux possède une gare ferroviaire, sur la ligne de Clermont-Ferrand à Saint-Just-sur-Loire, desservie par les TER Auvergne de la relation de Clermont-Ferrand à Thiers et à Saint-Étienne.
Transport en commun[modifier | modifier le code]
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Logement[modifier | modifier le code]
En 2011, la commune comptait 2 524 logements, contre 2 337 en 2006. Parmi ces logements, 88,6 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 9,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,1 % des appartements[a 1].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 65,5 %, en hausse sensible par rapport à 2006 (65,1 %). La part de logements HLM loués vides était de 4,9 % (contre 4,2 %)[a 2].
Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]
La commune est soumise à plusieurs risques[3] :
- mouvement de terrain - et aussi par tassements différentiels ;
- phénomènes liés à l'atmosphère et phénomènes météorologiques, notamment du vent ;
- risque sismique (niveau 3) ;
- risque industriel ;
- transport de matières dangereuses.
Il n'existe aucun plan de prévention des risques naturels dans la commune ; en revanche, la commune a élaboré un DICRIM[3].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Que le lieu ait été désigné primitivement Lutosus par les Romains (de lutum argile, terre à potier) est une légende. La mention la plus ancienne (période mérovingienne) est « Ledoso vico ». Les habitants sont des Lezoviens, le terme « Lédosien » est précieux et a été inventé par les amateurs d'histoire locale.
Histoire[modifier | modifier le code]
Antiquité[modifier | modifier le code]
La ville de Lezoux a été spécialisée dès le Ier siècle dans la fabrication et l'exportation de poteries et céramiques[4]. Ses nombreux ateliers de céramique sigillée furent parmi les plus importants de l'époque romaine. Les décorateurs gallo-romains les plus célèbres pour le IIe siècle sont Cinnamus & Paternus.
Un siècle de fouilles a révélé des centaines de fours de potiers gallo-romains. 1 200 noms de potiers ont été recensés par Philippe Bet dans sa thèse (1988)[5].
Les découvertes archéologiques attestent que Lezoux a été une bourgade artisanale majeure du monde romain occidental.
Le Musée départemental de la céramique situé à Lezoux, retrace l'histoire des potiers de Lezoux, avec une place particulière pour ceux de la période gallo-romaine. Les pièces exposées proviennent de ces ateliers.
Moyen Âge[modifier | modifier le code]
Époque moderne[modifier | modifier le code]
L'histoire du patrimoine religieux…
À la suite d'un souhait de Jean-Charles de Villelume seigneur de Barmontet, les consuls de Lezoux acceptent, le 15 octobre 1656, l'établissement d'un monastère de Bernardines. Jean Ribeyre de Fontenilles seigneur de Lezoux dote ces religieuses dont la principale occupation est l'enseignement des jeunes filles de la ville et des villages voisins. L'enseignement était tenu par un laïc nommé par les chanoines du Chapitre collégial.
Le 3 février 1664, les consuls approuvent l'établissement des Augustins déchaussés appelés en 1663 par Jean Ribeyre de Fontenilles. Les Augustins construisirent en 1720 un couvent pouvant tenir douze religieux et des chambres pour malades et étrangers. Une chapelle fut construite en 1738 et bénite en 1744. Vers 1750, ils ont ouvert une classe publique et deux religieux de l'ordre furent nommés en 1751 pour remplacer le précepteur de l'école laïque avec l'accord de l'évêque.
Les écoliers de toutes les écoles de Lezoux célébraient la Sainte Catherine.
Époque contemporaine[modifier | modifier le code]
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
La maire sortante ne s'est pas représentée lors des dernières élections municipales de 2014. Alain Cosson est élu au premier tour avec 52,36 % des voix ; il acquiert 22 sièges au conseil municipal dont 6 au conseil communautaire ; il bat Bruno Bosloup qui n'acquiert, avec 47,63 % des voix, que les 7 sièges restants, dont 2 au conseil communautaire. Le taux de participation est de 68,60 %[6].
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
Jumelage quadrangulaire rare, impliquant quatre communes (dont Lezoux) :
L'Inde participe aussi à un échange avec Lezoux, des élèves de chaque pays partent vivre 1 ou 2 semaines dans une famille indienne et française.
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution de la population[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[7]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[8].
En 2016, la commune comptait 6 062 habitants[Note 1], en augmentation de 8,1 % par rapport à 2011 (Puy-de-Dôme : +2,4 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
Enseignement[modifier | modifier le code]
Lezoux dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère les écoles maternelle et élémentaire (2 groupes) publiques Marcus[12].
Il existe aussi une école élémentaire privée du Sacré-Cœur[12].
Le conseil départemental du Puy-de-Dôme gère le collège George Onslow[12]. Les élèves poursuivent leur scolarité au lycée Montdory de Thiers[13].
Économie[modifier | modifier le code]
Emploi[modifier | modifier le code]
En 2011, la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 3 302 personnes, parmi lesquelles on comptait 72,2 % d'actifs dont 65,3 % ayant un emploi et 6,9 % de chômeurs[a 4].
On comptait 1 827 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 2 165, l'indicateur de concentration d'emploi est de 84,4 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 5].
1 902 des 2 165 personnes âgées de 15 ans ou plus (soit 87,9 %) sont des salariés[a 6]. Près de 30 % des actifs travaillent dans la commune de résidence tandis que les deux tiers travaillent dans une autre commune du département[a 7].
Entreprises[modifier | modifier le code]
Au , Lezoux comptait 266 entreprises : 29 dans l'industrie, 27 dans la construction, 158 dans le commerce, les transports et les services divers et 52 dans le secteur administratif[a 8], ainsi que 315 établissements[a 9].
Au , la commune comptait un hôtel deux étoiles de 17 chambres[a 10], mais aucun camping[a 11] ni aucun autre hébergement collectif[a 12].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Patrimoine archéologique[modifier | modifier le code]
- amphithéâtre, rue Saint-Taurin (rebouché, mais non détruit)
- fours de potiers gallo-romains du Rincé (fermé)
- fours de potiers gallo-romains de la route 223 (fermé)
- le plus grand four à sigillée de l'Empire romain, lotissement de l'Enclos (rebouché, mais non détruit)
- four de potiers gallo-romains du parking du musée (rebouché, mais non détruit)
- tous les autres vestiges mis au jour ont été détruits, mais certains éléments sont présentés au Musée départemental de Lezoux
Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]
- Couvent Saint-Augustin (XVIIIe siècle), transformé en Hôtel de ville en 1865.
- Chapelle Saint-Georges (XIIe siècle), vestige de la forteresse de Lezoux (fermée)
- Église Notre Dame du XIe siècle (fermée)
- Église néo-classique Saint-Pierre
Patrimoine civil[modifier | modifier le code]
- Tour (XIIe siècle), vestige de la forteresse de Lezoux.
- Le monument de la Victoire est un monument rare dédié aux morts pour la France ; il y est inscrit « Aux enfants de Lezoux, victimes de la guerre, à ceux qui ont combattu pour l'abolir ».
- Le Beffroi de 1462, vestige du système défensif.
- Le Campanile ou Tour de l'Horloge du XVIIe siècle est agrémenté de la Croix de Malte rappelant l'ordre des Hospitaliers.
- L'ancienne Halle du XVIIe siècle devenue Maison du Peuple.
Architecture urbaine[modifier | modifier le code]
- Maison bourgeoise (Étude du contexte patrimonial - Cabinet Descoeur 2009)
À quelques pas du centre historique de Lezoux, Le manoir de la Manantie, petit château construit au début du XIXe siècle possède une façade néo-classique décorée de pilastres en Pierre de Volvic et de chapiteaux d’ordres dorique et ionique. Situé sur l'ancienne route de Clermont-Ferrand, le bâtiment situé sur sa gauche abritait un garage à calèches et la façade en arkose du bâtiment de droite est orné d'une ancienne fontaine, vestige du château de Ligonne. La bâtisse a appartenu à la famille Rimbert dont le fils fut tué lors de la guerre. En hommage, une place de Lezoux porte son nom : place Jean Rimbert.
Le parc de la propriété abrite de nombreuses essences d'arbres rares : gingko biloba, savonniers et arbres de Judée. La propriété est située dans le quartier St Jean où des fouilles archéologiques ont permis de mettre en évidence des ateliers de potiers. Lors de travaux dans le parc, des poteries anciennes ont été découvertes, il en a été fait don au musée départemental de la céramique de Lezoux.
Longtemps utilisée en tant que maison d'habitation, la propriété a été transformée en maison d'hôtes de charme.
Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]
Le musée de la Céramique : ouvert en mars 2007, il expose sur 1 200 m2, dans l'ancienne fabrique de poterie Bompard (XIXe siècle), de nombreux témoignages des fabrications locales. Lezoux était un grand centre de fabrication de poteries sigillées durant l'Antiquité. Le musée actuel, qui succède au musée municipal fermé en 2004, est géré par le conseil général du Puy-de-Dôme[14].
La médiathèque communautaire entre Dore et Allier[15] qui a ouvert mi-2017 et s'étend sur 1 600 m2[16],[17].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Maurice Chassagne, (1880-1863), botaniste, l'un des participants à la formation de la Station internationale de géobotanique méditerranéenne et alpine de Montpellier.
- Charles-Antoine-Claude de Chazerat (1728 - 1824), dernier seigneur de Lezoux et dernier Intendant d'Auvergne.
- Jean Baptiste Felix Duchasseint (1814 - 21 février 1895), conseiller général, député.
- Raymond Joyon (9 novembre 1905 - 5 mai 1970), maire, conseiller général, député.
- Thomas Madur, curé de la paroisse Saint-Pierre de Lezoux, inhumé le 12 avril 1712 ; un de ses confrères évoque lors de ses funérailles sa charité pour les pauvres qui lui furent toujours si chers qu’en 1709 [année du grand hyver] on le vit se dépouiller de tout, jusqu’à vendre son cheval et ses livres pour fournir à leur subsistance[18].
- Gabriel Marc (1 avril 1840 - 1900), poète, ami de Théophile Gautier.
- Paternus (circ. 145-190), potier.
- Bienheureux Jacques Salès (21 mars 1556 - 5 février 1593), prêtre jésuite, mort martyr à Aubenas.
- Saint Gabriel-Taurin Dufresse (1750-1815), proclamé bienheureux le 27 mai 1900, canonisé à Rome le 1er octobre 2000.
- Saint Taurin (IVe siècle), évêque d'Évreux, saint patron de la commune. En 892 l'évêque Sibar emporta une partie des reliques de saint Taurin à Lezoux. Elles furent ensuite transférées ailleurs[Où ?].
- Hugues Vertet[19] (1 avril 1921) - (13 mars 2015), archéologue, directeur de recherche au CNRS, conservateur du musée municipal.
- Philippe Bet, Ingénieur INRAP, Vice-Président de la Société Française d'Etude de la Céramique Antique en Gaule, responsable de la plupart des fouilles et travaux archéologiques majeurs sur Lezoux depuis 30 ans.
- Robert et François Farinel, violonistes, musiciens à la cour de Turin auprès de madame Royale, Christine, duchesse de Savoie en 1620.
- Eugénie Dauzat (1900-2013), considérée à deux reprises comme la doyenne des Français, à tort, a passé la fin de sa vie en maison de retraite à Lezoux où elle est décédée.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- J. David, Places et Rues de Lezoux vous racontent…, Maringues, Imp. Vignol, , 34 p., illustré.
- P. Bet et al., Les productions céramiques antiques de Lezoux et de la Gaule Centrale, Gonfaron (Var), Ed. AFAM, , 130 p.
- S. Roussy, Histoire de Lezoux, Ed. De Beauvoir, .
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site de la mairie
- Lezoux sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Lezoux sur le site de l'Insee
- Céramiques sigillées de Lezoux (restitutions en images de synthèse)
- Site du musée départemental de la Céramique à Lezoux
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références INSEE[modifier | modifier le code]
- LOG T2 – Catégories et types de logements.
- LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
- POP T3 – Population par sexe et âge en 2011.
- EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 – Emploi et activité.
- ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2011.
- ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
- DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
- DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
- TOU T1 – Nombre et capacité des hôtels au .
- TOU T2 – Nombre et capacité des campings au .
- TOU T3 – Nombre d'autres hébergements collectifs au .
Autres références[modifier | modifier le code]
- Lezoux sur Lion 1906.
- Carte de Lezoux sur Géoportail.
- Risques dans la commune sur macommune.prim.net
- [Bet et al. 1989] Philippe Bet, Annick Fenet et Dominique Montineri, « La typologie de la sigillée lisse de Lezoux, Ier – lIIe siècle s. Considérations générales et formes inédites » (Actes du Congrès de Lezoux, 1989), S.F.E.C.A.G., (lire en ligne [sur sfecag.free.fr]).
- Philippe Bet, « Prince et potiers », dans Éclats arvernes : Fragments archéologiques (Ier – Ve siècle apr. J.-C.), Presses universitaires Blaise Pascal, , 338 p. (ISBN 978-2-84516-665-3), p. 34-35.
- Résultats des élections municipales de 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- Évolution et structure de la population du Puy-de-Dôme, Insee, 2011.
- Annuaire des établissements scolaires de Lezoux sur le site du ministère de l'Éducation nationale.
- « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le 9 mai 2016).
- Page du musée sur le site du Conseil général.
- Site officiel
- « Ouverture à Lezoux (63) d’une médiathèque nouvelle génération », France 3, (lire en ligne, consulté le 30 mars 2018)
- Maud Turcan, « Lezoux - Tous sous le charme de la médiathèque Entre Dore et Allier », La Montagne, (lire en ligne, consulté le 30 mars 2018)
- Les années de misère, Marcel Lachiver, Fayard, 1991, page 368.
- archeologiepreventive.chez-alice.fr