Utilisateur:Jean-no/brouillon:Film musical

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Le film musical est un genre de cinéma qui contient de la musique, des chansons et de la danse. Il peut être confondu avec la comédie musicale, forme de théâtre où ont été ajoutées de la musique, des chansons et de la danse.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le cinéma parlant[modifier | modifier le code]

Dès les débuts du cinéma, le besoin de sonorisation et d'illustration musicale se font ressentir. Thomas Alva Edison, inventeur du Phonographe considérait que son Kinétoscope (l'invention décisive qui a véritablement permis la naissance du cinéma[1]) n'était pas complet tant qu'il n'aurait pas trouvé le moyen d'associer son et image[2]. Les films des trente premières années du cinéma, muets, sont souvent sonorisés artisanalement : chanteur caché pendant la projection, piano, orchestre ou phonographe d'accompagnement, etc.
Le premier film parlant, qui synchronise image et son est The Jazz Singer (1927) par Alan Crosland avec Al Jolson. C'est aussi le premier film chantant.

Les films « avec chansons »[modifier | modifier le code]

En quelques années la sonorisation s'impose dans le cinéma mondial et avec elle, la chanson. Sans parler des premières comédies musicales, des opérettes et des opéras filmés, les films des années 1930 contiennent souvent une ou deux chansons, révélant au passage le talent de nombreux acteurs-chanteurs : Jean Gabin (Pépé le Moko, Coeur de lilas), Maurice Chevalier et Claudette Colbert (La Chanson de Paris) ou Marlene Dietrich (L'Ange bleu) par exemple. Des artistes issus du Music-Hall ou du Café-concert gagneront ou regagneront une certaine popularité grace au cinéma : Fréhel (Pépé le Moko, Cœur de lilas), Joséphine Baker (Princesse Tam Tam, Zouzou) et Bing Crosby. Certains ne quitteront plus le 7e art, comme Fernandel. Les industries du disque et du film se rapprochent en se complétant, les films servant à faire vendre des disques et réciproquement, parfois de manière artificielle, comme lorsque la Gaumont modifie le montage de L'Atalante (Jean Vigo) pour y ajouter la chanson Le Chaland qui passe, par Lys Gauty[3].
Des films sont même crées à la gloire d'artistes vocaux dont l'« univers » tient souvent lieu de scénario : Charles Trénet, Irène de Trébert, comme plus tard Elvis Presley, les Beatles, les Spice Girls, Mariah Carey, Eminem et des centaines d'autres. Ce genre n'est pas toujours traité de manière mercenaire et peut procéder d'un choix artistique fort : Le film John McCabe, construit autour des chansons de Leonard Cohen qui l'ont inspiré, a été réalisé par Robert Altman (mais doit-on parler de film musical ?).

La comédie musicale américaine[modifier | modifier le code]

Les films « avec des chansons » sont rapidement rejoints par la comédie musicale filmée.
Certains films sont des adaptations à l'écran de comédies musicales à succès issues de Broadway. On considère généralement que les premiers films dans ce cas, tous sortis en 1929, sont The Desert Song, de Roy Del Ruth, The Cocoanuts, un film de Robert Florey et Joseph Santley mettant en scène les Marx Brothers, Paris, de Clarence G. Badger d'après Cole Porter[4], et surtout Show Boat, de Harry A. Pollard.
Les années 1930 sont celles de toutes les extravagances en matière de comédie musicale filmée et nombreux sont ceux qui considèrent que le genre n'a jamais connu une telle vitalité depuis. Chant, danse, décors fastueux, les comédies musicales offrent au public de la Grande Dépression le rêve et l'évasion dont il a besoin : les films de Mervyn LeRoy (Golddiggers of 1933, 1935) et de Lloyd Bacon (42th street, 1933, Wonder bar, 1934, À Calliente, 1935), films très marqués par le style « géométrique » du chorégraphe Busby Berkeley, qui passera rapidement derrière la caméra lui-même.
En 1935, avec Top Hat, le réalisateur Mark Sandrich offre à la comédie musicale son premier couple mythique : Fred Astaire et Ginger Rogers.
La fin de la décénie verra arriver la couleur. Le Magicien d'Oz, de Victor Fleming, sorti en 1939, constitue à l'époque le film le plus coûteux jamais produit par la Metro-Goldwyn-Mayer. Son succès public sera phénoménal. C'est cependant Autant en emporte le vent, du même Victor Fleming, qui volera au Magicien d'Oz l'Oscar du meilleur film de 1939.

Après la Seconde Guerre mondiale, la Metro-Goldwyn-Mayer règne sans partage sur la production de comédies musicales et prend sous contrat Fred Astaire, Gene Kelly, Frank Sinatra, Vincente Minnelli, Debbie Reynolds, Judy Garland, Mickey Rooney, Jane Powell, Howard Keel, Kathryn Grayson, Ann Miller, Cyd Charisse, etc., pour des films devenus classiques, produits par Arthur Freed, tels que Ziegfeld Follies, Un Américain à Paris, Chantons sous la pluie, Un jour à New York, Le Chant du Missouri ou Tous en scène. On considère généralement que ce second « âge d'or » de la comédie musicale s'achève en 1958 avec le film Gigi, inspiré du roman homonyme de Colette et dans lequel figuraient Leslie Caron, Maurice Chevalier et Louis Jourdan. Le tout dernier film produit par Samuel Godwyn est Porgy and Bess, réalisé par Otto Preminger en 1959. Les ayants-droits de George Gershwin ont obtenu en 1974 que le film n'ait plus la possibilité d'être montré : ils le jugeaient trop « comédie musicale » et pas assez « opéra ».

C'est en vain que les concurrents de la MGM tenteront de percer véritablement dans le domaine du film musical, mais on peut tout de même citer quelques réussites artistiques ou commerciales telles que Yankee Doodle Dandy (1942) et Une étoile est née (1954) chez Warner, Les hommes préfèrent les blondes (1953), Carmen Jones (1954) et Le roi et moi (1956) chez Fox, Holiday Inn (1942), Blue Skies (1946) et Drôle de frimousse (1957) chez Paramount et Oklahoma! (1955) chez RKO.

À partir des années 1960, passée la période de la MGM, Hollywood cesse d'enchaîner les sorties de films musicaux. Les grands succès, souvent adaptés de spectacles de Broadway, sont plus épars, mais non moins marquants : West Side Story (1961), My Fair Lady (1964), La Mélodie du bonheur (1965), Funny Girl (1968), Jesus Christ Superstar (1971), Cabaret (1972), Grease (1978), Que le spectacle commence (1979), Popeye (1980), Annie (1982), A Chorus Line (1985), La petite boutique des horreurs (1986), Chicago (2002) ou encore les films de l'australien Baz Luhrmann : Ballroom Dancing (1992), Roméo + Juliette (1996) et Moulin Rouge! (2001).

La comédie musicale hors des États-Unis[modifier | modifier le code]

Inde[modifier | modifier le code]

Depuis Alam Ara, d'Ardeshir Irani (1931)[5], le pays qui a produit et produit encore le plus de comédies musicales au monde est l'Inde dont la plupart des films sont des films musicaux (sur le thème quasi-unique du mariage). Généralement assez longs, ils présentent des danses frénétiques et gaies sur des musiques traditionnelles ou modernes indiennes, servies par les playbacks de grands chanteurs comme Lata Mangeshkar, Asha Bhosle ou Mohammed Rafi — car ce ne sont jamais les acteurs des films qui interprètent les chansons.
Hors du marché intérieur indien, ces films sont diffusés dans le monde entier et ont notamment un grand succès dans tout le Maghreb.

Voir les articles Bollywood et Kollywood.

Égypte[modifier | modifier le code]

Le cinéma musical Égyptien a connu son heure de gloire entre les années 1930 et 1960. Le tout premier film parlant (et chantant) égyptien est Tahta daw' al-qamar (1930) par Choukri Madi. Trois ans plus tard, le film La noce blanche (Al-Warda al-bayda, 1933), de Mohammed Karim, est une étape décisive, notamment grâce au chanteur et compositeur Mohammed Abdel Wahab. Pendant une trentaine d'années, le cinéma égyptien dominera tout le moyen-orient, avec des œuvres parfois extrèmement sensuelles et provocantes. De nombreux réalisateurs s'illustreront : Al-Warda al-bayda, Salah Abou Seif, Ahmed Badrakhan, Yousri Nasrallah, Niazi Mostafa, Daoud Abdel Sayed, Radwan El-Kashef, Mohamed Khan,... Le plus célèbre, mais pas forcément le plus typique, est Youssef Chahine, toujours en activité.
Bien qu'ils n'aient tourné l'un et l'autre que relativement peu de films la chanteuse Oum Kalsoum et le chanteur Mohammed Abdel Wahab ont donné au cinéma égyptien quelques prestations marquantes. On peut citer aussi Farid Al-Atrache, Samia Jamal, Mohamed Fawzi, Tahia Karioka. La danseuse Samia Gamal est elle aussi une référence incontournable du cinéma égyptien d'après-guerre, par exemple avec Afrita hanem (1949) où elle incarne un génie malicieux.

Grande-Bretagne[modifier | modifier le code]

En Grande-Bretagne, le film musical n'a jamais cessé d'exister, notamment dans le cadre de co-productions américano-britanniques. Le premier film britannique parlant, qui est aussi le premier film mis en musique, est Blackmail, par Alfred Hitchcock (1929). Les années 1930 donnent la part belle à des acteurs et des actrices comme Arthur Askey, Cicely Courtneidge, Gracie Fields, George Formby, Jack Hulbert, Stanley Lupino, Tommy Trinder, Jack Buchanan et surtout Jessie Matthews. Ensuite, on peut citer Beat Girl (1959) It's All Happening (1963), Catch us if you can (1965), Oliver! (1968), Scrooge (1970), Bugsy Malone (1976), Absolute Beginners (1986), Evita (1997) mais aussi tous les films issus de la musique pop/rock, de Cliff Richard (The young ones, Summer holiday) au mouvement Punk. Parmi les réalisateurs dont l'œuvre se démarque de la tradition américaine, mentionnons Julien Temple et Alan Parker.

Espagne[modifier | modifier le code]

En Espagne, la période franquiste est plutôt favorable aux films musicaux, avec notamment la série des Joselito (quatorze films entre 1956 et 1969).

Ailleurs[modifier | modifier le code]

Dans de nombreux autres pays (Allemagne, Italie, le film musical est très courant avant la Seconde Guerre mondiale, mais se raréfie ou devient l'exception ensuite.
C'est le cas aussi en France, après la Seconde Guerre mondiale, la comédie musicale est surtout représentée par le réalisateur Jacques Demy, associé à la Nouvelle vague. Celui-ci marque une étape de l'histoire du film musical avec Les Parapluies de Cherbourg, un film intégralement musical et dont tous les dialogues sont chantés. Sans en faire une spécialité, de nombreux autres réalisateurs ont tenté des expériences musicales. Alain Resnais (On connaît la chanson, Pas sur la bouche), Claude Duty (Filles perdues, cheveux gras), Olivier Ducastel (Jeanne et le Garçon formidable), Pierre Korlanik (Anna), etc.

Le film musical générationnel[modifier | modifier le code]

Avec l'émergence, au cours de la seconde moitié du XXe siècle, d'une véritable culture adolescente, chaque génération, chaque genre musical, fait l'objet d'hommages plus ou moins pertinents et plus ou moins sincères de la part de l'industrie du cinéma. Le rock'n'roll (La Blonde et moi) La soul music (The Blues Brothers), la Country Music (La Cage aux poules), la disco (La fièvre du samedi soir), le Punk (La grande escroquerie du Rock'n'Roll), le Hip-hop (Beat Street), etc.
Des comédies musicales subversives et autres opéras rock naissent aussi de la contre-culture des années 1960-1970 en Grande-Bretagne ou aux États-Unis : Phantom of the paradise (1974), The Rocky Horror Picture Show et Tommy (1975), Hair (1979), Pink Floyd The Wall (1982). Ici, le genre musical n'est plus un produit mais un véritable outil de contestation politique. On peut en dire autant, dans une certaine mesure, de films tels que Footloose et Dirty Dancing qui associent musique, danse et quête d'émancipation.
De nombreux films musicaux s'attachent à évoquer le difficile parcours d'un artiste qui part à la recherche de son talent : A Chorus Line, French Cancan, Fame, Flashdance, etc.

Le film de concert[modifier | modifier le code]

En marge de ces acceptions majoritaires, on peut distinguer quelques autres catégories rentrant dans le domaine du film musical, à commencer par les enregistrements de prestations musicales. Dans les années 1960 et surtout années 1970, le genre fut abondamment fourni, la plupart des grandes villes occidentales ayant des salles uniquement dédiées à ce genre de films. Stylistiquement, les films relèvent plus du documentaire, la créativité se limitant souvent au split screen, mais à une époque de moindre supports de diffusions culturelles, il répondait à une demande d'images de la part d'un public fervent.

L'archétype du genre est Woodstock de Michael Wadleigh, sorti en 1970, filmé au cours du festival du même nom en août 1969. Mais de nombreux concerts et festivals furent filmés et exploités en salles : The Beatles at Shea Stadium ; Jimi plays Monterey (Jimi Hendrix) ; Gimme Shelter, Sympathy for the Devil (Rolling Stones) ; Les festivals Monterey Pop, de l'île de Wight, Celebration at Big Sur. Le dernier avatar notable du genre fut la captation que Martin Scorsese réalisa en 1978 du concert d'adieu de The Band : The Last Waltz. En 1987, le film Sign O' The Times de Prince est l'un des derniers exemples de l'exploitation en salle d'un concert filmé. L'expansion du marché de la vidéo, puis du DVD a fait complètement disparaître ces films des grands écrans.

Paradoxalement, malgré l'engouement du public des années 1970, peu de films furent réalisés qui ne soient pas de simples captations, mais de véritables mises en scène, en image et en musique. À côté de quelques essais psychédéliques de Yes, la seule création notable demeure Pink Floyd: Live at Pompeii, initialement un téléfilm franco-allemand, sorti en salle en 1973. Pour mémoire, signalons néanmoins les émissions spéciales que réalisaient les Beatles à la télévision (BBC) à l'occasion des fêtes de Noël, et dont reste au moins The Magical Mystery Tour (1967), également exploité en salle par la suite.

Les Films biographiques[modifier | modifier le code]

De nombreux Films biographiques sont consacrés au récit romancé de la carrière d'artistes. On peut citer The Rose (1979), consacré à Janis Joplin, What's Love Got to Do with It (1993), consacré à Tina Turner, Walk the Line (2005), consacré à Johnny Cash, La Môme (2007), consacré à Édith Piaf, etc.

Les films de musiciens[modifier | modifier le code]

Des musiciens ont profité de leur notoriété ou de leur fortune pour devenir producteurs ou parfois même réalisateurs de films musicaux. On peut notamment mentionner Prince (Purple Rain, Under The Cherry Moon et Graffiti Bridge), Barbara Streisand (Yentl), Bob Dylan (Renaldo et Clara), Serge Gainsbourg (Je t'aime moi non plus) et Les Beatles (Magical Mystery Tour).

Le cinéma d'animation[modifier | modifier le code]

Disney, avec les Silly Symphonies (1929) et Warner Bros, avec les Merrie Melodies (1931) créent des courts-métrages animés et musicaux, parfois chantés. En 1937, Blanche Neige et les sept nains inaugure une formule conservée par les studios Disney jusqu'au début des années 2000, celui du long-métrage d'animation en couleurs, avec des parties chantées. Mais on considère généralement que le premier film long-métrage musical animé est Douce et Criquet s'aimaient d'amour tendre (Mister Bug Goes to Town) des frères Max et Dave Fleischer (1941).
L'année précédente, en 1940, les studios Disney s'étaient lancés dans une expérience originale, avec le film Fantasia, qui est constitué de huit séquences illustrant à l'écran des morceaux d'anthologie de la musique classique, de Jean-Sébastien Bach à Igor Stravinski.
À partir de 1989 Alan Menken, un compositeur de comédies musicales issu du monde du théâtre, écrit les chansons des « grands films d'animation » Disney, comme La petite sirène, Aladdin, La belle et la bête, Le bossu de notre-dame, Hercule et Pocahontas. Cette collaboration vaudra à Alan Menken d'être devenu le compositeur vivant ayant reçu le plus d'oscars (huit au total).
En 1993, Disney innove encore en produisant une comédie musicale en « Stop Motion » (Animation en volume), L'Étrange Noël de Monsieur Jack, par Henry Selick.

Le film d'opéra[modifier | modifier le code]

Enfin, dans le cadre de films contenant de la musique, des chansons et de la danse, notons que le film d'opéra est une catégorie à part entière. Les opéras furent même servis au temps du muet (!!), mais n'intéressant a priori qu'un public restreint, ne furent que peu produits jusque dans les années 1950 et notamment l'apparition de la stéréophonie. Herbert von Karajan réalisa quelques productions hiératiques, pour lesquelles les caméras sur scène filmaient des mises en scènes spécifiques et conventionnelles, dont notamment une Aïda d'après Verdi dans laquelle Sofia Loren était doublée par Renata Tebaldi.

Il faut attendre les années 1980 pour voir des productions spécifiquement cinématographiques, à commencer par la très intéressante triple production que Peter Brook fit de Carmen en 1985. Il avait monté l'opéra au théâtre dans un format légèrement restreint, mais avec trois équipes de solistes différentes, pour permettre une représentation quotidienne. Il décida de prolonger l'expérience en réalisant trois films intitulés La Tragédie de Carmen, à l'intérieur même du théâtre, mais en en utilisant tous les lieux possibles, avec ses trois équipes de chanteurs et en recréant une mise en scène pour l'écran. Les rôles-titre étaient tenus par Hélène Delavault, Zehava Gal et Eva Saurova.

Mais l'homme-clé du genre demeure Daniel Toscan du Plantier qui, au cours des années 1980, fut l'initiateur et le producteur d'une série de films utilisant toutes les ressources du cinéma au service des opéras, réalisés en décors naturels ou en studio selon les impératifs artistiques, et appelant des grands noms pour les réaliser : Don Giovanni de Joseph Losey en 1980, Carmen de Francesco Rosi en 1984, La Bohème de Luigi Comencini en 1988, Boris Godounov d'Andrzej Zulawski en 1989.

Sur cette lancée, Frédéric Mitterrand produisit et réalisa une notable Madame Butterfly en 1995.

Filmographie sélective[modifier | modifier le code]

Années 1920[modifier | modifier le code]

Années 1930[modifier | modifier le code]

Années 1940[modifier | modifier le code]

Années 1950[modifier | modifier le code]

Années 1960[modifier | modifier le code]

Années 1970[modifier | modifier le code]

Années 1980[modifier | modifier le code]

Années 1990[modifier | modifier le code]

Années 2000[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Le Kinétoscope n'était pas projeté sur écran, mais en dehors de ça, le procédé contient déjà plusieurs standards du cinéma, comme le format 35mm ou le studio de prises de vue
  2. « Edison refusa de faire projeter en public ses films sur écran, jugeant que l'on tuerait la poule aux oeufs d'or, le public n'ayant selon lui, aucune chance de s'intéresser au cinéma muet » - Georges Sadoul, Histoire du cinéma mondial, éd. Flammarion, 1949, réed. 1972, p.11
  3. Le Chaland qui passe sera d'ailleurs le premier titre de ce film, que, aujourd'hui encore, on peine à reconstituer tel que son auteur l'a voulu.
  4. De peur que le public du cinéma ne soit pas capable d'apprécier la sophistication musicale de la pièce originelle, celle-ci sera remplacée par des compositions de Al Bryan et Ed Ward.
  5. le 14 mars 1931, date de la sortie de Alam Ara, film aujourd'hui disparu, est donc la date de naissance officielle du film musical indien.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Broadway to Hollywood, par Thomas G. Aylesworth, éd. Hamlyn, 1985

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Lien interne[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]