Champenoux

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Champenoux
Champenoux
Le centre du village.
Blason de Champenoux
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes de Seille et Grand Couronné
(siège)
Maire
Mandat
Serge Feger
2020-2026
Code postal 54280
Code commune 54113
Démographie
Gentilé Campussiens [1]
Population
municipale
1 561 hab. (2021 en augmentation de 19,43 % par rapport à 2015)
Densité 142 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 37″ nord, 6° 21′ 00″ est
Altitude Min. 220 m
Max. 274 m
Superficie 11,00 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand Couronné
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Champenoux
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Champenoux
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle
Champenoux
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Champenoux

Champenoux est une commune française de 1 247 habitants (2014) située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Champenoux est un village du nord-est de la France, situé dans le département de Meurthe-et-Moselle (54), à une quinzaine de kilomètres à l'est de Nancy, sa préfecture. Il s'agit d'une petite commune rurale de quelque 1 200 habitants.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 777 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Champenoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,8 %), terres arables (26,7 %), prairies (18 %), zones urbanisées (7,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Anciennement mentionné : Campispinal (1210) ; Campus spinosus (1214) ; Chamspinous (1220) ; Champinos (1221) ; Champinous (1224) ; Champspenoins (1359) ; Champenou (1424) ; Champegnoul (1425) ; Champegneu (1485) ; Champenouz (1506) ; Champegnou (1510) ; Champenoult (1523) ; Champegnoulx (1537) ; Champeignou (1539) ; Champegnoult (1550) ; Champenou (1554) ; Champenoulx-soub-Amance (1596) ; Champenoulx (1600)[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Période gallo-romaine[modifier | modifier le code]

Diverses découvertes archéologiques attestent la présence gallo-romaine sur le territoire communal[16].

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Le fief de Champenoux relevait de la châtellenie d'Amance, bailliage de Nancy. En 1224, Arnoul, chevalier du Rup de Boulay, confirme la vente faite à l'abbaye de Saint-Epvre par Havide sa nièce de l'alleu qu'elle avait à Champenoux[17]. Au Milieu du XIIIe siècle, un prieuré est fondé à Champenoux. Ses biens sont liés à ceux de l'abbaye de Saint-Epvre de Toul[17]. En 1288, Vauthier, abbé de Saint-Epvre à Toul se retire au prieuré de Champenoux[18]. En 1410, l'évêque de Toul rappelle la donation au prieuré de Champenoux faite par Beccelin, chevalier de Mazerulles, de tout ce qu'il avait "en la ville de Champenoux"[17].

Ancien régime[modifier | modifier le code]

En 1500 puis 1511 : Mathieu de Lucy, seigneur du lieu, donne son dénombrement au duc de Lorraine pour ce qu'il possède à Champenoux[17]. En 1523, des différends sont constatés entre le prévôt d'Amance et les religieux de Saint-Epvre à propos d'un bichet de blé que les habitants de Champenoux devaient au prévôt[17]. En 1527, un jugement des assises de Nancy rendu contre les bénédictins de Saint-Epvre confirme les habitants de Champenoux dans leur possession de haies et pâturages contestée par les religieux[17]. En 1529, Antoine de Marches et sa femme Ysabellon de Guermanges abandonnent à Hanus de Guermanges la terre de Champenoux[17]. En 1541, Nicolas de Fours s'oppose aux religieux de Saint-Epvre à propos d'un gagnage qu'il possède à Champenoux. Le duc de Lorraine donna des lettres d'abolition à Nicolas de Fours qui resta propriétaire[17]. En 1545, on dénombre 29 ménages[17]. Des lettres patentes de 1562 permettent aux bénédictins de dresser carcan et pilori pour y attacher les malfaiteurs[17]. En 1592, Jean de Haraucourt vend à Othon, "comte sauvage" du Rhin, une partie de la seigneurie de Champenoux. Le 16 juin de la même année, Othon revend son acquisition aux frères Dattel, d'Amance[17].

Un curieux privilège[modifier | modifier le code]

En 1654, Ferry de Haraucourt et sa femme cèdent aux bénédictins de Saint-Epvre la vouerie de Champenoux, y compris le « droit de coup et rupt de galliot ». Ce surprenant privilège consiste à tirer par trois fois le jour de la Saint-Barthélémy des poulets et chapons sur les fumiers de Champenoux que les habitants ont obligation de lâcher ce jour précis. Le bailliage de Nancy confirma ce droit en 1754[17].

Le 29 octobre 1681, revenant d'Alsace, Louis XIV accompagné de la reine et de la cour s'arrête à Champenoux pour y dîner[19].

En 1695, monsieur Bourdon est régent d'eschole[20] (instituteur) ce qui atteste la présence d'une école, au moins depuis cette date.

Les bénédictins de Saint-Epvre vendent à Marc-Antoine de Mahuet la totalité de la vouerie de Champenoux appelée Falck de Brin en 1703[17]. En 1712 on ne compte plus que 50 habitants[17]. En 1772, Jean-Dominique Robert, comte du Houx de Dombasle est mis en possession de la seigneurie vouée de Champenoux[17].

Période révolutionnaire[modifier | modifier le code]

En 1790, Champenoux devient chef-lieu de canton.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1913, le territoire communal est en cours de remembrement. Le géomètre est monsieur Bardin[21].

En septembre 1914, Champenoux est le théâtre de violents combats dans ce que les Français appellent la bataille du Grand Couronné.

Les combats de 1914 détruisent le bâtiment de gendarmerie à Brin-sur-Seille. Ne pouvant reloger les gendarmes, le ministère de la guerre loue provisoirement des immeubles à Champenoux. En 1920, le conseil municipal de Champenoux propose gratuitement au Gouvernement des terrains pour y construire une nouvelle gendarmerie, ce qui fut fait.

Barrès, persona non grata à Champenoux[modifier | modifier le code]

Lors de la campagne électorale pour les élections législatives de 1898, il se produit à Champenoux un incident peu glorieux pour le principal intéressé, Maurice Barrès. L'écrivain est alors candidat à ces élections sous la bannière du général Boulanger. Pendant une réunion électorale, un perturbateur accuse Barrès d'avoir voulu épouser l'une des filles du bey de Tunis. Aussitôt, d'autres adversaires scandent : « parlez-nous de la moukère ». Une bagarre s'ensuit. Barrès est renversé pendant que « d'autres exaltés » détellent ses chevaux[22]. Quelques jours plus tard, l'auteur de La Colline inspirée relate dans ses cahiers cet incident, usant de propos acerbes à l'égard des habitants de Champenoux[23], les rendant responsables d'un incident dû à des militants politiques qui n'habitaient probablement pas cette paisible commune. Dans le numéro 22 du journal L'Aurore en date du 8 mai 1898, un nommé Henri Leyret signe un article sarcastique à l'égard de Barrès et à propos de ce fait divers[24]. Le texte est néanmoins teinté d'humour. Barrès ne fut pas élu pour cette mandature[25]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Claude Bernard DVD  
  2001 Albert Malgras    
mars 2001 2020 Henri-Philippe Guimont UDI (PR)  
2020 En cours
(au 27 mai 2020)
Serge Féger [26]    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 1 561 habitants[Note 4], en augmentation de 19,43 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
373487526576595626634678664
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
582617640637564503489479499
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
476473335358373345356365383
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
4176441 0041 0411 1241 1951 2151 2161 469
2021 - - - - - - - -
1 561--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

  • Agriculture et élevage.
  • Locaux du centre régional de l'INRA de Nancy.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les élèves de la commune sont rattachés à l'académie de Nancy-Metz qui fait partie de la zone B. Le village possède une école maternelle et une école élémentaire.

Champenoux n'a pas de collège. Le collège public du secteur se trouve à Essey-lès-Nancy (collège Émile-Gallé).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Barthélemy.
Cimetière militaire français.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Chanoine Charles Rolin, ancien curé de Champenoux et historien, auteur de plusieurs documents historiques dont deux font référence : La défense du Couronné de la Seille (1914) et La vie d'un Village Lorrain avant la Révolution : Champenoux (1210-1790). Ces deux publications ont été primées par l'Académie Française. Une rue de Champenoux porte son nom.
  • Claude Dhotel, dit C. Jérôme (1946-2000), chanteur, y a grandi, élevé par ses grands-parents.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Champenoux Blason
Blasonnement : parti de gueules au Saint Barthélemy d'argent auréolé d'or ; au 2e coupé d'azur à trois besants d'or au chef d'argent chargé d'un léopard de gueules, et d'azur à une tour d'argent maçonnée de sable accompagnée de trois croix fleuronnées d'or disposées 1-2.
Détails
Utilisé par la commune depuis 1990

Blason populaire[modifier | modifier le code]

Les habitants de Champenoux étaient surnommés en patois les paures ou les pouilloux[19] (les pauvres ou les pouilleux). Il semble logique de relier ces surnoms à la présence sur le territoire d'un gagnage appelé le gagnage des pauvres. Sa propriétaire, Marguerite Regnard, avait affecté sur son bien une rente d'un résal de blé au profit des pauvres de Champenoux[17].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Champenoux et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, 1862
  16. « Revue historique de la Lorraine », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  17. a b c d e f g h i j k l m n o et p « Les communes de la Meurthe par Henri Lepage », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  18. « Les communes de la Meurthe par Henri Lepage », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  19. a et b « L'histoire de Sornéville en Lorraine », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
  20. « monographie de Champenoux pour l'exposition universelle de 1889 », sur galeries.limedia.fr, (consulté le ).
  21. « La propriété rurale : morcellement et remembrement par Georges Hottenger », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  22. Jean Vartier, Le grand livre des sobriquets et quolibets de Lorraine et du Bassigny, Jarville-la-Malgrange, Imprimerie Vagner pour Éditions de l'Est, , 217 p. (ISBN 2-86955-065-0, lire en ligne), page 157.
  23. Maurice Barrès, Mes cahiers, tome deuxième, Paris, 1898-1902.
  24. [1]
  25. « Maurice, Auguste Barrès - Base de données des députés français depuis 1789 - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.