La Fare-les-Oliviers

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La Fare-les-Oliviers
La Fare-les-Oliviers
Mairie de la Fare.
Blason de La Fare-les-Oliviers
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Bouches-du-Rhône
Arrondissement Aix-en-Provence
Intercommunalité Métropole d'Aix-Marseille-Provence
Maire
Mandat
Olivier Guirou
2020-2026
Code postal 13580
Code commune 13037
Démographie
Gentilé Farenques, Farencs ou Farennes, Farens
Population
municipale
8 800 hab. (2020 en augmentation de 9,47 % par rapport à 2014)
Densité 629 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 09″ nord, 5° 11′ 44″ est
Altitude 53 m
Min. 27 m
Max. 223 m
Superficie 13,98 km2
Unité urbaine La Fare-les-Oliviers
(ville isolée)
Aire d'attraction Marseille - Aix-en-Provence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Berre-l'Étang
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Liens
Site web La Fare les Oliviers

La Fare-les-Oliviers est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle fait partie de la métropole Aix-Marseille-Provence. Ses habitants sont appelés soit les Farencs / Farenques, soit les Farens / Farennes. Elle possède deux écoles primaires, deux maternelles et un collège.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La Fare-les-Oliviers est située en Provence dans le département des Bouches du Rhône. Elle est localisée entre Coudoux à l'est, Lançon-de-Provence au nord et à l'ouest, Berre-l'Étang au sud ouest et Velaux au sud-est. Construite à flanc de colline sur le massif du Mauribas sur la rive droite de l'Arc, de part et d'autre de l'ancienne départementale 10. Elle est limitée à l'est par Berre l'étang, au-delà de la départementale 113 et à l'ouest par l'autoroute 7 (vallon de la Vautubière) qui la sépare de Coudoux, au sud par l'Arc et au nord par la plaine de la Vautade. Elle est surplombée par le Castellas et le Pas du Renarde.

Climat[modifier | modifier le code]

La ville jouit d'un climat méditerranéen et est fortement soumise au Mistral.

Le tableau ci-dessous indique les températures et les précipitations pour la période 1971-2000  :

Mois J F M A M J J A S O N D année
Températures maximales (°C) 10,9 12,3 15,3 17,5 22,0 25,8 29,4 29,0 25,0 19,9 14,2 11,6 19,4
Températures moyennes (°C) 6,1 7,2 9,7 12,0 16,1 19,8 22,9 22,7 19,2 14,7 9,6 7,0 13,9
Températures minimales (°C) 1,2 2,0 4,0 6,4 10,1 13,7 16,4 16,3 13,3 9,5 4,9 2,4 8,4
Précipitations (hauteur en mm) 59 47 44 63 52 31 16 37 64 98 58 54 623,4
Source: Météo France[2] / Station de Salon de Provence

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Fare-les-Oliviers est une commune urbaine[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Fare-les-Oliviers, une unité urbaine monocommunale[6] de 8 800 habitants en 2020, constituant une ville isolée[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marseille - Aix-en-Provence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (38,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (41,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (37,6 %), zones urbanisées (24,7 %), cultures permanentes (21,1 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), mines, décharges et chantiers (4,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %), forêts (1,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %), terres arables (0,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Des aménagements ont été effectués récemment, notamment, pour soulager le flux routier à La Fare :

  • La déviation, demandée pendant près de 30 ans, a été mise en circulation le après 5 ans de travaux. Des fouilles archéologiques ont été entreprises au début des travaux. Avant son ouverture, plus de 11000 véhicules par jour, dont 500 poids lourds, traversaient quotidiennement la commune. Ce nouvel axe routier permet aux véhicules en transit de contourner le village. Les véhicules en provenance de la D 113 peuvent ainsi rejoindre la RD 10 en direction d’Aix-en-Provence et l’A8 directement et inversement. Le tracé de 4,2 km traverse les communes de La Fare-les-Oliviers, Berre-l’Étang et Velaux. Un viaduc de 130 m franchit l’Arc. Le coût de la déviation s’élève à 26 millions d’euros, entièrement financés par le Conseil général[12].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de La Fare est une francisation du provençal Faro.

Pour le site Rhône médiéval, ce dernier serait dérivé de du latin « farossium » qui a également donné « farot » feu servant à signaler les dangers[13].

Une autre étymologie est donnée par le Petit dictionnaire des lieux-dits en Provence qui indique une origine germanique à La Fare  : « la famille / le domaine de cette famille »[14].

La précision « des oliviers » date du XIXe siècle, époque où la culture de l'olive et d'huile était importante. Au XXIe siècle, malgré une production d'olive et d'huile résiduelle, l'essentiel des cultures est occupé par de la vigne.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Durant la préhistoire, la commune était majoritairement ensevelie sous l'eau.

La zone a été fréquentée à l'âge du bronze et à l'âge du fer[15].

Antiquité[modifier | modifier le code]

La rive gauche de l'Arc, au sud du centre-ville contemporain, était occupée au Ier siècle par un « vaste établissement », une « villa maritime » orientée vers l'étang de Berre et occupant plus de 7 000 m2[15], et qui incluait une zone monumentale où des mosaïques ont été mises au jour[15].

L'occupation de ces bâtiments semble s'être arrêtée après le IVe siècle, période après laquelle ils sont détruits[15].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La première mention du Castrum de la Fare remonte au dans un testament de Raymond des Baux[16]

Le , à Brantes, au pied du Ventoux, en présence de son épouse Alix des Baux, Odon de Villars fit donation à son neveu Philippe de Lévis des fiefs de Brantes, Plaisians et leurs dépendances, des seigneuries de Saint-Marcel, Roquefort, le Castellet, Cassis et Port-Miou, dépendantes de la baronnie d’Aubagne, ainsi que de La Fare-les-Oliviers, et Éguilles. Son neveu, en contrepartie devait lui servir de caution vis-à-vis de Raymond de Turenne dans l’observation d’un accord passé entre le vicomte, lui et son épouse Alix. En cas de non-respect de la part d’Alix et d’Odon, ces derniers devraient payer 50 000 florins à Raymond de Turenne[17],[18].

Période moderne[modifier | modifier le code]

Tableau de Joseph Garibaldi : vue depuis les hauteurs de La Fare-les-Oliviers en direction du pilon du Roi.

Seigneurie des Baux et des Forbin (1503-1721), puis des Roux (1721-1789). Marquisat érigé en 1768 en faveur de Pierre-Joseph-Hilarion de Roux de Bonneval de La Fare, chevalier de Saint-Louis.

Pour ceux qui n'avaient pas d'olivettes, la tentation d'entrer et de se fournir dans le verger d'autrui avant la récolte était chose courante. Le Conseil de Ville de La Fare-les-Oliviers, le , dut prendre un arrêté pour tenter de mettre fin à cette pratique, en interdisant « d'aller glaner des olives dans toute l'étendue du terroir de La Fare jusqu’à ce que les récoltes des olives soient entièrement finies, qu'à la diligence des sieurs maire et consuls, il sera mis un garde pendant tout le courant des dites récoltes, qui dénoncera toutes les personnes qu'il trouvera glaner, lesquelles payeront chacun de contrevenants dix livres d'amende pour chaque contravention applicable aux pauvres de ce dit lieu et que les personnes qui seront trouvées voler des olives seront poursuivies criminellement à la diligence desdits sieurs maire, consuls et communauté et que la présente délibération sera homologuée par nos seigneurs du Parlement de ce pays de Provence »[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 juin 1995 Bernard Charrel DVD  
juin 1995 mars 2008 André Campagne DVG  
mars 2008 En cours Olivier Guirou PS Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[20].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2020, la commune comptait 8 800 habitants[Note 3], en augmentation de 9,47 % par rapport à 2014 (Bouches-du-Rhône : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9801 0691 1291 2089091 2931 2601 3161 308
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3291 3801 3721 2721 1761 1291 1931 0801 084
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0661 0229548879511 1491 1601 3291 680
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 3702 7473 5265 0436 0956 3346 4766 5267 980
2018 2020 - - - - - - -
8 6668 800-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Course pédestre Les Chemins de Sainte Rosalie : chaque année en avril
  • Fête de la Sainte-Rosalie : environ une semaine chaque année fin août
  • Fête de l'Olive et du Vin : chaque année en octobre

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • Ecole / centre de loisirs de la Pomme de Pin : l'école primaire de Saint-Exupéry, étant considérée comme vétuste, a été fermée à la suite de la construction de la nouvelle école de la Pomme de Pin qui a ouvert ses portes en septembre 2015. Cette nouvelle construction, innovatrice en matière de développement durable, a obtenu la reconnaissance « or » Bâtiment Durable Méditerranéen (BDM) L'école de Saint-Exupéry a été détruite durant l'été 2018 et sera remplacée par un écoquartier fin 2020, début 2021.

Économie[modifier | modifier le code]

Parmi les principales entreprises situées sur la commune, on peut citer :

  • Société Provençale d'Aromathérapie : fabrication de produits d'aromathérapie et de phytothérapie ;
  • Probionat Provence : fabrication de produits cosmétiques  ;
  • Les Vignerons du Castellas : coopérative vinicole ;
  • Le Moulin à huile de La Fare-les-Oliviers : fabrication d'huile d'olive.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Forteresse médiévale juchée sur un piton rocheux non loin du village, le « Castellas » est un des attraits pittoresques de la commune.

Érigé aux alentours du Xe siècle, il contrôlait une passe stratégique près de l'étang de Berre pour la famille des Baux de Provence. Occupé jusqu'au XVIIIe siècle, il fit l'objet d'incessants remodelages, avant d'être abandonné au profit d'une résidence construite dans le village, Le Pavillon (classé Monument historique). L'église jouxtant le château fut quant à elle utilisée comme église paroissiale quelque temps jusqu'à la construction d'une nouvelle église dans le village au cours du XVIIIe siècle ; le site a été laissé à l'abandon depuis jusqu'à l'ouverture d'un chantier archéologique en arrêté en 2005.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de La Fare-les-Oliviers

Les armes peuvent se blasonner ainsi[25] :

D'azur à une main dextre de carnation, parée d'argent, mouvant du flanc senestre et tenant un cierge de gueules allumé d'or

Les branches d'olivier entourant le blason ont été rajoutées en 1870, précédent de près de 50 ans l'ajout officiel de "les Oliviers" au nom de la commune[26].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Carte de Velaux », sur Géoportail
  2. « PREVISIONS METEO FRANCE - Site Officiel de Météo-France - Prévisions gratuites à 15 jours sur la France et sur le monde », sur meteofrance.com (consulté le ).
  3. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Unité urbaine 2020 de La Fare-les-Oliviers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  12. « Déviation - La Fare les Oliviers », La Fare les Oliviers,‎ (lire en ligne, consulté le )
  13. (en) « Bienvenue sur Rhône Médiéval », sur rhone-medieval.fr (consulté le ).
  14. Philippe Blanchet, Petit dictionnaire des lieux-dits en Provence, Montfaucon, Librairie contemporaine, 2003 (ISBN 2-905405-22-8), p. 18
  15. a b c et d http://chronoterre.fr/?portfolio=la-fare-les-oliviers-13-rd10-nouvelle-deviation-la-garanne
  16. « lafarelesoliviers.com/index.ph… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  17. Robert Bailly, Dictionnaire des communes de Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1985, p. 101.
  18. Louis Barthélemy, Inventaire chronologique et analytique des chartes de la maison des Baux, Marseille, 1882, Charte 1692.
  19. L'arrêté sur le glanage des olives à La Fare-les-Oliviers, le 8 novembre 1788
  20. FICHE | Agenda 21 de Territoires - La Fare-les-Oliviers, consultée le 26 octobre 2017
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  25. Louis J S. de Bresc, Armorial des communes de Provence, Planche J, Librairie Bachelin-Deflorenne, Paris, (lire en ligne)
  26. « Armorial de France »

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]