Eyragues
Eyragues | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Bouches-du-Rhône | ||||
Arrondissement | Arles | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Terre de Provence (siège) |
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Maire Mandat |
Michel Gavanon juillet 2022-2026 |
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Code postal | 13630 | ||||
Code commune | 13036 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Eyraguaise, Eyraguais | ||||
Population municipale |
4 421 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 213 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 50′ 31″ nord, 4° 50′ 30″ est | ||||
Altitude | 23 m Min. 11 m Max. 99 m |
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Superficie | 20,78 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Avignon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Châteaurenard | ||||
Législatives | 1re circonscription des Bouches-du-Rhône | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Bouches-du-Rhône
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Liens | |||||
Site web | https://www.eyragues.fr/ | ||||
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Eyragues est une commune française, située dans le département des Bouches-du-Rhône en région Provence-Alpes-Côte d'Azur
Ses habitants sont appelés les Eyraguais.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Eyragues est au premier plan.
Eyragues est un bourg périurbain provençal situé entre Alpilles et Durance, jouxtant Châteaurenard et Saint-Rémy-de-Provence et à Unité 12km à vol d'oiseau au sud d'Avignon, 16 km à l'ouest de Cavaillon et 25 km au nord-est d'Arles.
Avignon (12 km) est desservie par un service de bus, la ligne 707 du réseau Zou !
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Les communes limitrophes sont Châteaurenard, Graveson, Maillane, Noves et Saint-Rémy-de-Provence.
Climat[modifier | modifier le code]
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La commune bénéficie d’un « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats en France définie en 2010, comme 131 autres communes des Bouches-du-Rhône soit 98 % du département[Note 2]. Ce type de climat est caractérisé par une moyenne annuelle de température élevée (supérieure à 13 °C) et un nombre de jours chauds supérieur à 23 tandis que les jours qui présentent un gel inférieur à −5 °C sont rares[1].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].
Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[3]. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune[4] permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,5 | 2,1 | 4,7 | 7,4 | 11,6 | 15,1 | 17,2 | 16,9 | 13,4 | 10,4 | 5,6 | 2,2 | 9 |
Température moyenne (°C) | 6 | 7,4 | 10,6 | 13,7 | 18,1 | 22,1 | 24,4 | 24 | 19,8 | 15,8 | 10 | 6,3 | 14,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,5 | 12,6 | 16,5 | 20 | 24,7 | 29,1 | 31,6 | 31,1 | 26,1 | 21,1 | 14,4 | 10,4 | 20,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−8 12.01.10 |
−8,9 25.02.05 |
−9,9 02.03.05 |
−3,1 08.04.21 |
3 08.05.04 |
8,2 05.06.14 |
9,3 18.07.00 |
9 30.08.1998 |
5,5 19.09.01 |
−2,6 31.10.1997 |
−7,4 23.11.1998 |
−8,3 20.12.01 |
−9,9 2005 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21,4 19.01.07 |
24,3 24.02.20 |
26,3 24.03.19 |
30,6 09.04.11 |
35,6 24.05.09 |
42,2 28.06.19 |
39,7 24.07.06 |
40,9 04.08.17 |
35,4 03.09.16 |
31,1 02.10.11 |
25,1 07.11.13 |
21 29.12.21 |
42,2 2019 |
Précipitations (mm) | 51,3 | 27,4 | 37,4 | 57,5 | 65,2 | 29 | 16,8 | 23,6 | 105,8 | 86,5 | 74,3 | 55,9 | 630,7 |
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Eyragues est une commune rurale[Note 3],[5]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Avignon, une agglomération inter-régionale regroupant 59 communes[8] et 455 711 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Avignon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60 %), cultures permanentes (24,5 %), zones urbanisées (8,3 %), terres arables (5,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement[modifier | modifier le code]
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 2 183, alors qu'il était de 2 037 en 2013 et de 1 955 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 89,5 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 6,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 14,1 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Eyragues en 2018 en comparaison avec celle des Bouches-du-Rhône et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,4 %) inférieure à celle du département (4,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 65,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (66,7 % en 2013), contre 50,8 % pour les Bouches-du-Rhône et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Typologie | Eyragues[I 1] | Bouches-du-Rhône[I 3] | France entière[I 4] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 89,5 | 87,9 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,4 | 4,6 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,1 | 7,6 | 8,2 |
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la commune s’écrit Eirago ou Irago en provençal selon la norme mistralienne[14] et Airaga selon la norme classique de l’occitan. Il se prononce [ej'ʀagɔ] ou [i'ʀagɔ].
Histoire[modifier | modifier le code]
Moyen Âge[modifier | modifier le code]
Rostaing Gantelmi, baile de Sisteron (1306), viguier de Marseille (1338), est seigneur d'Eyragues et conseiller de Charles II. Robert lui confirme en 1309 une pension annuelle de 40 onces d'or que lui avait donné Charles II en échange des maisons qu'il possédait à Naples et que son père avait donné à noble Bertrand des Baux, comte d'Andria et de Montesacaglioso[15]. En 1331, il tente en vain d'acquérir le quart des terres de Maillane à Pierre de Bénévent (la cour s'opposa à la vente).
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La communauté d’Eyragues soutient les Duras durablement, et même après 1386[16].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]
La commune se trouve depuis 1816 dans l'arrondissement d'Arles du département des Bouches-du-Rhône.
Après avoir été le chef-lieu d'un fugace canton d'Eyragues de 1793 à 1801, la ville est alors rattachée au canton d'Orgon, qu'elle quitte en 1825 pour intégrer le canton de Châteaurenard[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Châteaurenard porté de 6 à 15 communes.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quinzième circonscription des Bouches-du-Rhône.
Intercommunalité[modifier | modifier le code]
Eyragues est le siège membre de la communauté d'agglomération Terre de Provence, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1996 comme communauté de communes sous le nom de Rhône-Alpilles-Durance et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité s'est transformée en communauté d'agglomération en 2013 à l'occasion d'une extension de son périmètre, et a pris son nom actuel en 2015
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].
En 2020, la commune comptait 4 421 habitants[Note 5], en augmentation de 3,51 % par rapport à 2014 (Bouches-du-Rhône : +2,09 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Cadre de vie[modifier | modifier le code]
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
Village rural, Eyragues est particulièrement vivant : de nombreuses fêtes et évènements rythment les saisons.
Le 15 janvier a lieu la fête religieuse de la Saint-Bonet. La tradition veut que chaque famille invite des amis à manger les saucisses et les andouillettes grillées. La fête continue tard dans la soirée. La journée commence par une Encierro à l'Eyraguaise (taureau entravé avec une corde). Ce "jeu taurin", est interdit par l'arrêté préfectoral du 4 juin 1966 mais il a eu cours jusqu'en août 2014. L’Alliance Anti-corrida, l'Œuvre d'Assistance aux Bêtes d'Abattoirs et la SPA du Pays d'Arles ont obtenu l’interdiction, par ordonnance du 8 janvier 2015 rendue par le juge des référés près le TGI de Tarascon, de la manifestation du « taureau à la corde » ou « Encierro à l'Eyraguaise », prévue le 15 janvier 2015 à Eyragues. Les organisateurs ont fait appel.
C'est la seule manifestation taurine du département à ce moment de l'année.
Économie[modifier | modifier le code]
Eyragues est une ville vivante avec de nombreux commerces et services.
30 % de la population travaille sur Avignon[réf. nécessaire].
Agriculture[modifier | modifier le code]
Le vin de pays des Alpilles est un vin de pays de zone, au nord des Bouches-du-Rhône qui a vocation à labelliser, après dégustation, les vins ne pouvant postuler à l'appellation d'origine. Jusqu'en 2000, il portait le nom de vin de pays de la Petite Crau. La production est d'environ 6 000 hectolitres par an. Son vignoble, installé sur un plateau caillouteux, est limité, au nord, par la Durance et au sud, par les Alpilles[24].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Église paroissiale de Saint-Maxime du XIVe siècle ; particularités : absides gothiques, clocher du XVIIIe siècle. Elle est inscrite comme monument historique[25].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Héraldique[modifier | modifier le code]
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- « Dossier complet : Commune d'Eyragues (13036) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, 25/7//2023 (consulté le ).
- « Eyragues » sur Géoportail.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Nombre de communes pour un climat donné et pourcentage par département sont définis sur la base du découpage territorial de 2009, qui a servi de canevas pour l’élaboration de la typologie climatique de 2010.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Cartes[modifier | modifier le code]
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références[modifier | modifier le code]
Site de l'Insee[modifier | modifier le code]
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Eyragues - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Eyragues - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans les Bouches-du-Rhône - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources[modifier | modifier le code]
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur meteofrance.fr (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Station météofrance Eyragues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Avignon », sur insee.fr (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Lou tresor dóu Felibrige, F. Mistral, vol. 1, éditions CPM 1979
- Barthélémy, Inventaire, p. 271
- Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, no 162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, cartes p. 417-418 et p. 419.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Antoine Olivesi, « FOUQUET Auguste [FOUQUET Marie, Auguste, Joseph, Éloi]. », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
- N.C.-B., « Bouches-du-Rhône : Max Gilles, le maire d'Eyragues, est décédé », La Provence, (lire en ligne, consulté le ) « Il était à la tête de la commune depuis 1995, après avoir été conseiller municipal puis adjoint de Louis Michel. Il avait brigué son 5e mandat lors des dernières élections municipales et avait été réélu haut la main avec près de 64% des voix le 15 mars 2020 ».
- N.C.-B., « Eyragues : Michel Gavanon élu maire », La Provence, (lire en ligne, consulté le ) « C’est Michel Gavanon [...] qui a été élu par 22 voix pour et 5 bulletins blancs ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Louis Menjucq, président de l'ANIVIT (sous la direction de), Vins de pays de France, éd. Romain Pages, Saint-Cloud, 1991, (ISBN 2908878151), p. 86.
- Notice no PA00081255, base Mérimée, ministère français de la Culture