Bouxières-aux-Chênes
Bouxières-aux-Chênes | |||||
Église Sainte-Madeleine | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Nancy | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Seille et Grand Couronné | ||||
Maire Mandat |
Philippe Voinson 2020-2026 |
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Code postal | 54770 | ||||
Code commune | 54089 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bouxiérois[1] | ||||
Population municipale |
1 409 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 71 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 46′ 22″ nord, 6° 15′ 40″ est | ||||
Altitude | Min. 212 m Max. 408 m |
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Superficie | 19,85 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Grand Couronné | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Bouxières-aux-Chênes est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
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Situé au nord-est de Nancy sur la route de Nomeny, le village de Bouxières-aux-Chênes est l'un des plus grands de Meurthe-et-Moselle par sa superficie d'environ 2 000 hectares. Placé idéalement sur le coteau est du plateau du Grand Couronné, il est resté agricole avec un développement urbain dans les années 1970. D'anciennes vignes côtoient des vergers de mirabelliers.
Écarts et lieux dits
[modifier | modifier le code]- Cheval Rouge.
- Écuelle.
- Moulins.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Gencey, le ruisseau de Moncel, le ruisseau des Étangs, le ruisseau Rupt du Bois et le Rupt de Voidoncourt[2],[Carte 1].
Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Quercigny (0,1 ha)[Carte 1],[3].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 842 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Bouxières-aux-Chênes est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[12]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (34,2 %), prairies (27,6 %), forêts (25,8 %), cultures permanentes (6,3 %), zones urbanisées (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Histoire
[modifier | modifier le code]Histoire écrite par Lepage en 1843 et 1853 :
« Il est fait mention de Bouxières (Buxeriœ Majores) dans la confirmation des biens et des privilèges de l’abbaye de Saint-Pierre de Metz par l’empereur Othon II, le 11 mai 967.
Ce village est appelé Buxeriæ subter Amanciam. dans une lettre donnée par le duc Mathieu, en 1249, pour l’abbaye de Clairlieu. (Abb[1]. de Clairlieu.)
Le village de Bouxières-aux-Chênes, nommé anciennement Bouxières-sous-Amance et Grand-Bouxières, est mentionné pour la première fois dans des titres qui remontent au XIIIe siècle, bien que son origine doive être beaucoup plus ancienne. En 1276, Henri de Vaudémont échange avec le duc Ferri III le fief de Bouxières-sous-Amance, qu’Erard de Vendières, seigneur d’Autrey, tenait de lui en fief et hommage. En 1294, ce fief fut de nouveau échangé, par le duc de Lorraine, avec Vautrin de Rosières, contre ce que ce seigneur possédait ès ville et saline de Rosières. Enfin, en 1457, le duc Jean engagea la moitié des villes, terres et seigneurie de Bouxières pour prix de l’acquisition qu’il avait faite, sur Isabelle de Nancy, veuve d’Henri de Lenoncourt, des ville, terre et seigneurie de St.-Dizier devant Nancy. Le duc Jean, dès l’an 1448, avait octroyé aux habitants de Bouxières des chartes, qui furent confirmées par le duc Antoine en 1508. On y voit que leur taille était fixée à 80 livres, plus un droit particulier, appelé l’Orme de Nancy, duquel étaient exempts les maire, échevins, clercs tonsurés et gens de noble lignée. Le maire et la justice du ban et de la ville de Bouxières avaient toute connaissance sur le fait de la justice haute, moyenne et basse, sur toutes amendes, épaves et forfaits. Les habitants étaient tenus de suivre la bannière d’Amance quand elle était mandée pour les affaires du duc, sur la réquisition du prévôt de cette ville et ceux qui manquaient à l’appel étaient passibles d’une amende. Il parait, d’après la charte dont nous parlons, que les gens et la justice de Bouxières avaient coutume, depuis un temps immémorial, « d’aller quérir leur premier appel de plaid et jugement au lieu de Vendières. » Cette servitude fut abolie, et les appels durent se porter devant la justice de Nancy. La cure de Bouxières fut unie à la collégiale St-Georges de Nancy par Hector d’Ailly, évêque de Toul, qui commença à siéger en 1524. »
Bouxières-aux-Chênes est composé de trois principaux hameaux : Moulin avec le prieuré de Blanzey, Bouxières et Ecuelle avec le Château. Sur la commune de Bouxières-aux-Chênes, en haut du hameau de Moulins, il y a Blanzey avec la chapelle Sainte-Agathe, ancienne ferme des ducs de Lorraine devenue un prieuré au XIIe siècle par l'abbaye prémontrée de Sainte-Marie-au-Bois, construite à côté du site probable d'une ancienne villa gallo-romaine appelée Blanca.
Le hameau de Moulins qui en dépend, appelé autrefois Molendinum, était un village assez important, uni à l’abbaye Sainte-Marie de Pont-à-Mousson et qui avait pour patron saint Hilaire ; le duc de Lorraine en était également seigneur. La ferme de Blanzey était un prieuré du nom de Sainte-Agathe et qui appartenait à la mense de l’abbaye de Sainte-Marie. Les ducs de Lorraine en avaient fait auparavant le chenil de leurs meutes de chasse, mais la duchesse Berthe le donna, avec les terres qui en dépendaient, à l’abbaye de Sainte-Marie, dans le XIIe siècle. Le hameau de Moulins doit son nom aux nombreux moulins qui profitaient du ruisseau puissant qui traverse le hameau et qui bénéficie d'un débit constant toute l'année et de la forte pente à cet endroit pour moudre le grain. Il reste quelque rare exemplaire de cette architecture transformée en maisons d'habitations.
Bouxières-aux-Chênes doit son nom au terme ancien signifiant Buisson, en latin Buxieræ, est un ancien village. Il dépendait autrefois de la seigneurie d’Amance et fut probablement bâti par quelque chevalier de ce nom. Il passa ensuite aux ducs de Lorraine, suivait les coutumes de la province et répondait au parlement de Nancy, bailliage de Nomeny.
Au centre de Bouxières-aux-Chênes se trouve un lavoir qui a été sauvé de la destruction et rénové par l'équipe du maire Bertrand Hirtz dans les années 1980 et qui est maintenant[Quand ?] classé. Un magnifique cadastre napoléonien de Bouxiéres, sauvé de la destruction à la même période, se trouve dans les archives de la commune.
L'église ancienne de Bouxières se situait à la place du cimetière actuel. Elle fut déclarée en ruine vers 1780. La nouvelle église, bombardée du 4 au 12 septembre[16] durant la bataille du Grand Couronné fut reconstruite en 1923-1924[17] au centre du village.
Pendant la guerre de 1870, les Uhlans (lanciers de la cavalerie allemande) firent des passages de nuit sur la route départementale pour provoquer la garnison de Nancy et effrayer les populations.
Bouxières-aux-Chênes fut en 1914 au centre du dispositif de défense de Nancy et les combats firent rage dans ce secteur durant la bataille du Grand-Couronné (début septembre 1914). De nombreuses destructions ont eu lieu à la suite des bombardements, comme en témoignent les cartes postales de l'époque.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Bertrand Hirtz a été élu en 1983 à l'âge de 29 ans. Il fut le plus jeune maire de Meurthe-et-Moselle. Il démissionna en 1986 pour des raisons professionnelles. Il a été de nouveau élu de 2001 à 2008 en Alsace comme conseiller municipal à Schiltigheim, 2e plus grande ville du Bas-Rhin avec 30 000 habitants.
Jacques Chevalier a été tout d'abord conseiller à Bouxières-aux-Chênes sous le mandat Cordary en 1978, il démissionna en 1981 mais revint en 1983 en tant que 1er adjoint aux côtés de Bertrand Hirtz. Il fut élu maire en 1986, réélu en 1989 et 1995 jusqu'en 2001. Se laissant du répit, en raison de sa maladie, le temps d'un mandat, il fut réélu maire de la commune en 2008. Décédé le 23 juin 2011, il a été remplacé par sa fille Audrey Donnot le 10 septembre 2011.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].
En 2021, la commune comptait 1 409 habitants[Note 4], en évolution de −1,05 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]Édifices civils
[modifier | modifier le code]- Au centre de Bouxières-aux-Chênes se trouve un lavoir qui a été sauvé de la destruction et rénové par l'équipe de Bertrand Hirtz en 1984, qui est maintenant classé monument historique.
- Un magnifique cadastre napoléonien de Bouxières, sauvé de la destruction et restauré à la même période, se trouve dans les archives de la commune.
Édifices religieux
[modifier | modifier le code]- Chapelle Sainte-Agathe de Blanzey XIIe siècle : chœur, abside et crypte inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [23] ; façade XVIIIe siècle, crypte XIIe siècle restaurée 1956, voûtée d'ogives ; chapiteaux à décor végétal, baies XVe siècle/XVIe siècle, statue XVIe siècle sur la façade, retable 1959.
- Église Sainte-Madeleine de Bouxières, détruite en 1914-1918, reconstruite en 1923-1924 sur les plans de l'architecte Alfred Thomas, de Nancy ; l'ancien édifice ayant été totalement détruit lors de la Première Guerre mondiale. La réalisation de l'ameublement intérieur est confiée à Jules Cayette[24] qui réalise le maître-autel en pierre et mosaïques (aujourd'hui disparu, ne subsiste que la porte du tabernacle et le médaillon à décor d'Agnus Dei, réinstallés dans le nouvel aménagement liturgique), les autels latéraux, la grille de communion (seuls subsistent les deux vantaux mobiles), les bancs de la nef à décor de feuilles de chêne (en rappel du nom de la commune), les fonts baptismaux, les tabourets et le fauteuil du célébrant, le meuble de rangement de la sacristie. Les vitraux sont signés de Jacques Grüber. Un vitrail représente Saint-Nicolas dans une posture inhabituelle: à la sortie du village, arrêtant l'ennemi avec sa main. Il illustre la bataille du Grand-Couronné en septembre 1914 où l'armée allemande fut stoppée à Bouxières-aux-Chênes. On y voit le ciel obscurci et rougi de nuages de fumées, deux villages embrasés, les volutes blancs des coups de canons; à gauche, l'auberge du Cheval Rouge, à la sortie de Bouxières vers Lanfroicourt; en bas, l'ennemi tapi et contenu. On remarque la précision du dessin des mains et du visage ainsi que l'harmonie des nuances de couleurs.
- Chapelle Saint-Étienne à Écuelle : tour XIIe siècle, chevet XVe siècle, nef XVIIIe siècle
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Albert de Circourt (1709-1795), conseiller d'État en 1872 et historien.
- Joseph Gérard OMI (1831-1914), missionnaire dans l'actuel Lesotho, déclaré bienheureux en 1988.
- Henry Blahay (1869-1941), peintre lorrain.
Héraldique, logotype et devise
[modifier | modifier le code]Blason | D'or au chêne parti de sinople et de sable. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie
- « Bouxières-aux-chênes », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr
- Bouxières-aux-Chênes sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les records sont établis sur la période du au .
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Bouxières-aux-Chênes » sur Géoportail (consulté le 4 juin 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
- « Fiche communale de Bouxières-aux-Chênes », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Bouxières-aux-Chênes et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bouxières-aux-Chênes ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Nancy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- José Parent, « Bouxières aux Chênes, un village pendant la Grande Guerre », Villages lorrains, vol. No 164, , p. 5-14
- « Patrimoine bâti sur le site de la commune », sur Commune de Bouxières aux Chênes, (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Chapelle Sainte-Agathe de Blanzey », notice no PA00106002, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Étienne Martin, Jules Cayette (1882-1953), mémoire d'histoire de l'Art, Université Nancy 2, 2005, p. 237-238. Étienne Martin, Jules Cayette, 1882-1953, créateur d’art à Nancy, Metz, éditions Serpenoise, 2011, p.83-90.