Vandières (Meurthe-et-Moselle)

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Vandières
Vandières (Meurthe-et-Moselle)
Église Saint-Pierre.
Blason de Vandières
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes du bassin de Pont-à-Mousson
Maire
Mandat
Claude Robert
2020-2026
Code postal 54121
Code commune 54546
Démographie
Gentilé Vandiérois [1]
Population
municipale
935 hab. (2021 en augmentation de 1,19 % par rapport à 2015)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 57′ 18″ nord, 6° 02′ 14″ est
Altitude Min. 172 m
Max. 375 m
Superficie 12,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Pont-à-Mousson
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-à-Mousson
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Vandières
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Vandières
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Vandières
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Vandières

Vandières est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est. La localité se situe sur l'axe Nancy - Metz, en bordure de la Moselle et au nord de l'aire urbaine de Pont-à-Mousson.

Vandières, à l'horizon 2020, doit accueillir la future gare d'interconnexion du sillon mosellan entre la LGV Est européenne reliant Paris à Strasbourg et la ligne existante de Nancy à Metz, ce qui placerait la municipalité à soixante-dix minutes de la gare de l'Est. Ce projet rencontre une certaine opposition[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes.

La municipalité se situe à 21 kilomètres de Metz, au nord ; et à 31 kilomètres de Nancy, au sud. Administrativement, la localité est comprise dans le département de Meurthe-et-Moselle, mais se place à trois kilomètres du département de la Moselle. La commune est située à six kilomètres au nord de Pont-à-Mousson, ville dont l'aire urbaine englobe Vandières.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Vandières est limitrophes de six communes, toutes situées en Meurthe-et-Moselle et réparties géographiquement de la manière suivante :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La localité fait partie des côtes de Moselle, son territoire communal comprend des coteaux et des vallées assez marquées, l'amplitude d'altitude de la commune dépassant 200 mètres.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Vandières se situe à proximité immédiate de la vallée de la Moselle, bien que le village en soit séparé par le canal latéral à la Moselle. La commune est traversée par le ruisseau du Trey.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 758 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 20 km à vol d'oiseau[5], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vandières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pont-à-Mousson dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (43,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (26,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,6 %), forêts (15,2 %), eaux continentales[Note 4] (9,5 %), terres arables (9,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), zones urbanisées (4,4 %), cultures permanentes (3 %), mines, décharges et chantiers (2,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Sur le territoire de Vandières, à proximité de celui de Prény, nous pouvons découvrir sur une carte plusieurs noms de lieux-dits qui laisseraient penser qu'il a existé à une époque indéterminée, disons avant le milieu du Moyen Âge, un village disparu qui se serait dénommé « Vigneule », dont le nom dérivé de vinea, vigne, rappelle la culture du raisin. Ce bourg ou hameau aurait été dominé par une construction fortifiée, certainement une tour en bois dont le souvenir a perduré avec le nom de lieu-dit le Châtillon. Enfin, à proximité de ce lieu fortifié, il se serait trouvé un édifice religieux dont le souvenir s'est perpétué au moyen du nom de lieu-dit En Bazailles, bas latin Basilia[16], issu du latin basilica, du grec « basiliké », utilisé afin de désigner la présence d'une telle construction.

Bien sûr, ces réflexions sont des hypothèses mais la présence d'une tour et d'un temple puis d'une chapelle à cet endroit élevé dominant la route qui menait depuis l'époque romaine de Scarpone à Prény et qui périclita pour devenir la Sente du Pont (chemin de Pont-à-Mousson) aurait représenté un certain intérêt pour l'installation d'individus du genre marchands puis d'un village, proche d'un axe de communication et de plus protégé par une construction militaire.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attesté sous la forme Vindera en 960[17].

Nom de lieu dérivé du gaulois uindos, blanc[18], fréquemment rencontré seul ou en composé dans la toponymie de la Gaule et dans le nom propre vandoise, poisson blanc[19]. Le suffixe pourrait être -aria.

Ernest Nègre[20] penche pour un nom de personne germanique pris absolument Winedharius, ce qui correspond à la localisation des noms de type Vandières et Vendières uniquement au nord de la France.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Un calvaire.

L'occupation humaine du territoire municipal apparaît ancienne. En effet, à partir de 1300 av. J.-C., des groupes humains, certainement d'origine celtique, s'installèrent à proximité des rivières et fondèrent des villages formés de grandes maisons aux toits de chaume et aux parois de clayonnage. Des vestiges de ce genre de construction ont été retrouvés à Vandières.

Le nom le plus anciennement connu de Vandières, villa vinderadicta[21], indique la fondation et la présence d'une villa, c'est-à-dire d'un domaine agricole constitué de terres confisquées aux Médiomatriques après la capitulation et la reddition de Vercingétorix face aux Romains en 52 av. J.-C.

Si le terme villa peut facilement se traduire, il en va tout autrement de celui de vinderadicta. En effet, en cherchant ce mot dans un dictionnaire de latin, nous nous rendons compte qu'il n'existe pas. Par contre, en le coupant en deux, des découvertes intéressantes s'offrent à nous. Ainsi, « vinde » peut se rapprocher du terme féminin vindemia qui signifiait vendange mais aussi raisin dans certains cas ; quant à radicta, il serait à rapprocher du participe passé du verbe radicor qui veut dire prendre racine et qui se transcrit radicata[22]. La forme villa vinderadicta datant du début du Moyen Âge, il est très plausible que des lettres aient disparu depuis l'époque romaine, le latin médiéval s'étant fortement dégradé par rapport au latin classique.

De plus, le nom d'origine de ce domaine était certainement une petite phrase, cas courant à l'époque pour désigner des lieux, notamment des colonies ou des cités. Par conséquent, le nom d'origine de Vandières a très bien pu se présenter sous la forme villa vindemia radicata est avant d'évoluer quelques siècles plus tard et se retrouver sous la forme villa vinderadicta. Le nom ancien de Vandières voudrait donc dire « Le domaine où la vendange (ou le raisin) a pris racine » ce qui laisserait supposer que le vignoble de Vandières serait le plus ancien dans le secteur de Pagny-sur-Moselle. Cette explication reste une hypothèse[23].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1048, Gérard d'Alsace, par son accession au trône du duché de Lorraine, devenait avoué, c'est-à-dire protecteur, des terres que possédait l'abbaye messine de Saint-Pierre-aux-Nonnains à Vandières[24]. Au Moyen Âge, le lieu de Vandières s'était suffisamment développé pour avoir droit au titre de ville, qualification qui sera perdue après la terrible guerre de Trente Ans. En 1439, Antoine de Vaudémont, en révolte contre le duc de Lorraine René d'Anjou, agressait ce village dont les habitations furent pillées et brûlées[25].

Renaissance[modifier | modifier le code]

Vandières faisait partie de la prévôté de Prény ; pour cette raison deux femmes de ce village, l'une en 1595, l'autre en 1613[26], furent brûlées à Prény pour crime de sortilège au nom du duc de Lorraine, seigneur souverain et haut-justicier de Vandières à l'exception des droits consentis au seigneur du lieu en 1573[27]. Le 14 août 1617, Louis de Guise, comte de Boulay, était devenu le nouveau seigneur de Prény. Désirant étendre son pouvoir dans cette prévôté, il négocia avec Louis de Failly, seigneur de Vandières et en partie de Villers-sous-Prény, qui le 10 février 1626, lui abandonna son privilège de haut justicier à Vandières. Cependant le seigneur de Vandières conservait la seigneurie foncière ainsi que la justice foncière ou basse justice[28].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le 8 février 1790, les citoyens de Vandières étaient convoqués à l'église du lieu afin d'élire leurs représentants communaux permettant ainsi d'instaurer la municipalité qui succédait à la communauté villageoise d'Ancien régime[29].

Le 15 septembre 1918, après quatre années d'occupation par les Allemands, des troupes américaines investissaient Vandières à une heure du matin et occupaient les hauteurs situées au nord du village[30].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1554   François    
1679 mars 1686 Gérard Maclot   Vigneron, laboureur et maître menuisier
1814 mars 1818 Pierre Thiery    
1978 1995 Emile Colson    
juin 1995 En cours
(au 26 mai 2020)
Claude Robert [31]
Réélu pour le mandat 2020-2026
   

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 935 habitants[Note 5], en augmentation de 1,19 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
542610608645673737747733746
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
730724770756711718703722731
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
758758644718735697700783790
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
779763903942964932924928921
2019 2021 - - - - - - -
930935-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale Saint-Pierre, datant du XIXe siècle et comprenant en son sein une tour romane XIe / XIIe siècles ;
  • Près de la mairie, calvaire avec saint Sébastien et saint Géréon d'un côté, la Vierge et saint Jean de l'autre.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Viaduc de la Moselle (LGV Est).

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Vandières Blason
D'argent à l'écusson de gueules en abîme.
Détails
Armes de la famille de Vandières. Lorsque cette famille d'ancienne chevalerie s'est éteinte, la seigneurie passa dans la maison de Failly[36].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Veltin, Laurent :

  • Oublié au monument aux morts, Nos Villages Lorrains, n° 166.
  • Sur le monument aux morts, Nos Villages Lorrains, n° 167.
  • James Norman Hall, Nos Villages Lorrains, n° 167.
  • Généalogie Fririon, Nos Villages Lorrains, n°168.
  • Histoire de famille Fririon, Nos Villages Lorrains, n°169.
  • Avion abattu, Nos Villages Lorrains, n°170.
  • Histoire de famille Doffin, Nos Villages Lorrains, n°171.
  • Histoire de famille Herbiet, Nos Villages Lorrains, n°172.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. http://www.moselle.cci.fr/vandieres/img/document_vandieres.pdf
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Vandières et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit., p. 55.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. p. 699.
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  19. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. p. 319. Cf. Vandeuil (Vendolium 1158 < Vindoialum), Vendôme (Vindocino VIe siècle), Vendeuvre (Vendevre 1195 < Vindobriga), Vindey (Vinzi 1198 < Vindacum)
  20. Toponymie générale de la France, Librairie Droz 1991. p. 875.
  21. Manuel Bazaille, De l'âge du bronze à Vandières, Nos villages lorrains n°98. Juin 2005.
  22. Manuel Bazaille, op. cit.
  23. Manuel Bazaille, « De l'âge du bronze à Vandières », Nos villages lorrains,‎ , N° 98 ; page 28
  24. Manuel Bazaille, « La famille des de Prény du XIe au XIIIe siècle », Nos villages lorrains,‎ , N° 73 ; page 41
  25. Manuel Bazaille, « L'abbatiat de Jean Griffon », Nos villages lorrains,‎ , N° 98 ; page 20
  26. Manuel Bazaille, « Le coût d'un procès en sorcellerie », Nos villages lorrains,‎ , N° 104 ; page 33
  27. Manuel Bazaille, « Les recettes du duc de Lorraine », Nos villages lorrains,‎ , n° 104 ; page 34.
  28. Manuel Bazaille, « La seigneurie de Vandières en 1626 », Nos villages lorrains,‎ , n°112 ; pages 34 et 35.
  29. Manuel Bazaille, « Création de la municipalité », Nos villages lorrains,‎ , n° 121 ; pages 18 et 19.
  30. Manuel Bazaille, « Décoré pour sa bravoure », Nos villages lorrains,‎ , n° 150 ; page 32.
  31. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. (fr) « Blason de Vandières »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur genealogie-lorraine.fr (consulté le ).