Le Parisien

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Le Parisien - Aujourd'hui en France
Image illustrative de l’article Le Parisien

Pays France
Zone de diffusion Paris et Ile-de-France
Langue Français
Périodicité Quotidien
Format Tabloïd
Genre Généraliste - faits divers
Presse régionale
Prix au numéro 1,60  (depuis le 01/01/20)
Diffusion 184 478 ex. (2019 payée)
Date de fondation 1944 (il y a 80 ans ans)
Éditeur Le Parisien Libéré SAS
Ville d’édition 10, boulevard de Grenelle
Paris 15e

Propriétaire Le Parisien Libéré filiale du Groupe Les Échos-Le Parisien (LVMH[1])
Directeur de publication Pierre Louette
Directeur de la rédaction Stéphane Albouy
ISSN 0767-3558
OCLC 436625044
Site web www.leparisien.fr
Supplément

Aujourd'hui en France
Image illustrative de l’article Le Parisien

Pays France
Zone de diffusion France
Langue français
Périodicité Quotidien
Format Tabloïd
Genre Généraliste - faits divers
Presse nationale
Prix au numéro 1,30  (depuis le 01/01/20)
Diffusion 99 902 ex. (2019, en diminution)

Le Parisien (intitulé complet : Le Parisien libéré[réf. nécessaire]) est un journal quotidien régional français fondé en 1944, et diffusé en Île-de-France et dans l’Oise. Il a également une édition nationale diffusée sur le reste du territoire français sous le titre Aujourd'hui en France.

L'édition nationale Aujourd'hui en France est un des principaux quotidiens nationaux payants d'information générale en France. Grâce à ses dix éditions départementales, Le Parisien est le premier quotidien d'information régionale à Paris et en Île-de-France, et dans l'Oise.

La ligne éditoriale est généraliste, s'intéressant particulièrement aux faits divers et à l'actualité locale. Elle attire ainsi un lectorat peu clivé politiquement[2].

Depuis 2015, le titre est détenu par le groupe LVMH et fait partie du Groupe Les Échos. Il bénéficie de subventions de la part de l'État français.

Historique

Le Parisien libéré voit le jour le [3]. Le premier titre barrant la une est : « La victoire de Paris est en marche ! » (la ville sera effectivement libérée trois jours plus tard). Fondé sous forme de coopérative ouvrière par Émilien Amaury, avec trois compagnons de Résistance nommés administrateurs, Robert Buron, Jean Helleu, Félix Garras, et Claude Bellanger comme directeur général, le journal prend la place du Petit Parisien, interdit pour avoir continué à paraître pendant l'Occupation et est attribué tacitement à l’OCM. En 1947, le journal devient une société anonyme et crée un prix littéraire, le grand prix Vérité, qui récompense un récit vécu ou un reportage[4].

Le fondateur, Émilien Amaury, dirige le journal jusqu'à sa mort en 1977. La crise de 1970 est dramatique pour le quotidien qui perd la moitié de son lectorat. Une grève de plusieurs mois du Syndicat du livre CGT empêche toute publication du Parisien libéré[5]. Le développement d'autres conflits syndicaux, notamment entre 1975 et 1977 (avec pour conséquence une baisse de 682 000 exemplaires en 1975 à 303 000 en 1977[6]), font que le titre ne parviendra jamais à regagner totalement son lectorat[7]. Parallèlement, le journal poursuit sa politique stratégique de régionalisation en Île-de-France en lançant ses éditions à partir de juin 1975 dans ses deux nouvelles imprimeries offset de Chartres puis de Saint-Ouen où la rédaction va s'installer[8]. L'imprimerie de Saint-Ouen ferme dans la nuit du 2 au , la fabrication des éditions franciliennes étant reportée chez un prestataire à Mitry-Mory[9].

Les locaux du Parisien, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) en mars 2007.

Au décès d'Émilien Amaury, un conflit juridique opposant ses enfants ayant droit dura six ans. Finalement, en 1983 sa fille Francine Amaury reprend les magazines Marie-France et Point de Vue tandis que le journal est repris par son fils Philippe Amaury[10].

Sous son impulsion, Le Parisien libéré est rebaptisé Le Parisien le , avec le lancement d'une nouvelle formule[11], imprimée en partie en couleurs[12]. En 1994, une édition nationale, baptisée Aujourd'hui en France, est lancée[12]. Le journal paraît également le dimanche à partir de 1999 pour Le Parisien et 2004 pour Aujourd'hui en France[12].

En , au décès de Philippe Amaury, sa veuve, Marie-Odile Amaury, prend sa succession à la présidence du groupe.

À partir de 2008, Jean Hornain sort supplément intitulé « La Parisienne » parait le premier samedi de chaque mois.

En , un plan social prévoyant le départ volontaire de vingt-cinq journalistes de l'édition nationale et dix postes administratifs est annoncé[13]. Après deux jours de grève, le plan est repoussé sine die et la Société des journalistes du quotidien, en sommeil depuis douze ans, est relancée[14].

En , Jean Hornain et Le Parisien inaugure une nouvelle formule, toute en couleur. Avec un prix de vente relevé de 0,95 à 1 euro pour Le Parisien et maintenu à 0,90 euro pour Aujourd'hui en France, le quotidien est désormais divisé en trois séquences : « L'actu » (informations générales), « Le sport », et « L'air du temps » (société, culture, médias)[15]. Le prix de vente du Parisien passe à 1,05 euro en [16].

En , Le Parisien Magazine est lancé : diffusé chaque vendredi pour un euro de plus avec Le Parisien et Aujourd'hui en France. Présenté comme le « prolongement éditorial naturel » du quotidien en « respectant [les mêmes] valeurs de rigueur, d'équilibre et d'objectivité », il entend proposer « un traitement plus approfondi de l'information [avec] une large place accordée aux sujets culture et divertissement » et de nombreuses photos[17].

Il était le dernier quotidien national appartenant à un éditeur traditionnel et non à un industriel, le groupe Amaury[18]. En le groupe LVMH - Moët Hennessy Louis Vuitton indique vouloir racheter Le Parisien-Aujourd'hui en France[19]. Cette acquisition est finalisée en pour un montant non public mais qui serait légèrement supérieur à 50 millions d'euros[20].

En , Marie Odile confie l’entreprise à Jean Hornain.

En , une nouvelle formule du journal est lancée, privilégiant notamment « la proximité et les services »[21].

En , les rédactions nationales du Parisien et du Parisien Magazine déménagent dans un nouveau siège dans le 15e arrondissement de Paris[22].

En , Parisien Dimanche fait son apparition. Parmi les nouveautés, de longs récits et des tribunes sont introduits[23].

En , le groupe LVMH, leader mondial du luxe, verse 83 millions d'euros au Parisien pour « éponger ses pertes et lui permettre d'investir »[24].

Activité, rentabilité, effectif

[25].
2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019
Chiffre d'affaires en millions d'euros 211 211 206 196 185 nc
Résultat net en millions d'euros (perte) - 13;3 - 2,9 -20,9 - 13,5 - 24 nc
Effectif moyen annuel 503 496 575 540 522 nc

Identité visuelle (logo)

Organisation

Directeurs

Directeurs des rédactions

Siège

Ligne éditoriale

« Le Parisien-Aujourd'hui en France est un grand quotidien populaire et généraliste de qualité. [Il a un] caractère à la fois national et régional, qui fait sa force et sa particularité. Sa ligne éditoriale est faite de neutralité politique et de proximité avec son lectorat. À cet égard, il ne doit pas servir les intérêts d'un homme, d'un parti politique, d'un clan ou d'une entreprise. »

— Société des journalistes du quotidien Le Parisien en octobre 2010[39].

L'imprimerie du Parisien, à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) en mars 2007.

Dès sa création en 1944 Le Parisien libéré se présente comme un « journal populaire de qualité ». Du temps d’Émilien Amaury, jusqu'au milieu des années 1970, Le Parisien est marqué à droite et gaulliste[40].

Devenu Le Parisien en 1986, le journal est transformé par Philippe Amaury, qui se base sur les méthodes du marketing. Les articles doivent être courts mais bien écrits, avec des mots simples, afin que le lecteur comprenne tout et ne se lasse pas. Les illustrations, en particulier les photographies accompagnant le texte, devront occuper en moyenne un tiers de chaque page rédactionnelle.[réf. nécessaire] Pour se défaire de son passé gaulliste[40] et se différencier des journaux d'opinion, le journal Le Parisien supprime son éditorial en affirmant ne plus vouloir défendre ses idées, mais celles de ses lecteurs. Les sujets sur la vie quotidienne et les préoccupations de ses lecteurs mais surtout sur les faits divers constituant le cœur du Parisien, prennent l'avantage sur les pages internationales. Il se situe aujourd'hui politiquement au centre[41].

Le journaliste Edwy Plenel juge que Le Parisien relève « d’une presse populaire plus exigeante qui n’exclut ni la rigueur ni le sérieux »[42]. Pour Gloria Awad, Le Parisien adopte plutôt une approche « rigoureusement factuelle, jusqu'à l'élémentaire »[43].

La journaliste Pauline Perrenot, de l'association de critique des médias Acrimed (classé à la gauche radicale), estime que Le Parisien se montre particulièrement hostile au mouvement des Gilets jaunes[44]. Selon l'association, Le Parisien adopterait en effet une lecture particulièrement dépréciative des grèves et mouvements sociaux : « De l’édito à l’article d’“analyse”, en passant par l’interview, le dessin de presse, et même l’infographie, l’économie générale est à sens unique tant l’angle d’attaque est partout le même : combien coûtent à la France les grogneurs qui se plaignent. […] Le Parisien prend ses distances avec le journalisme et assume pleinement son rôle : celui de porte-parole fidèle du gouvernement et des intérêts des classes dirigeantes et de la toute petite France “qui va bien” (au rang de laquelle [sic] son propriétaire Bernard Arnault ne fait pas pâle figure)[45]. »

Le marque le début d'un partenariat entre RTL et Le Parisien - Aujourd'hui en France pour le traitement éditorial du sport[46].

Changement de stratégie

Le , Jean Hornain, Directeur général du groupe, annonce que le journal donnera sa priorité au Web plutôt qu'au papier à partir du . L'objectif est d'apporter 25 000 nouveaux abonnés en deux ans, principalement des jeunes[47].

Éditions locales

En 1985, quatre éditions départementales sont lancées, notamment à Paris[12].

En 2012, Le Parisien propose dix éditions locales, de 8 à 12 pages en cahier central, pour chacun des départements de la région Île-de-France (avec deux éditions pour la Seine-et-Marne) et celui de l'Oise[48] :

L'édition nationale, Aujourd'hui en France, est diffusée sur le reste du territoire et à l'étranger.

Diffusion

Toutes éditions confondues (Aujourd'hui en France inclus), le titre frise en 2009 les 500 000 exemplaires quotidiens en semaine et les 350 000 exemplaires le dimanche. Dans le secteur de la presse payante grand public, il s'impose ainsi comme le premier quotidien national d'information générale, et le premier quotidien parisien[49]. En 2019, toutes éditions confondues (Aujourd'hui en France inclus), la diffusion totale est passée à 287 400 exemplaires en moyenne[50].

En 2012, Le Parisien revendique une diffusion de 460 000 exemplaires, soit 2,4 millions de lecteurs chaque jour[17].

Comme la plupart des titres de presse français en crise, le journal Aujourd’hui en France-Le Parisien touche de fortes subventions de l’État. Ainsi, il a perçu 3,16 millions d'euros d’aide du fonds d'aide à la modernisation de la presse de 2003 à 2010[51]. Il est le journal le plus subventionné en 2010 avec 19,8 millions d'euros (16,8 millions pour Aujourd'hui en France et 3 millions pour Le Parisien)[52]. En 2012, la subvention est de 9,3 millions pour Aujourd'hui en France et 4,5 millions pour Le Parisien[53].

En 2002, les hommes représentent 57 % du lectorat pour Le Parisien, les femmes 43 % (40 % pour Aujourd’hui en France), soit une répartition proche de la moyenne de la presse quotidienne nationale (62 % de lecteurs et 38 % de lectrices)[54].

Au , le numéro de publication est 22533.


Diffusion du quotidien Le Parisien[55]
Année Tirage Diffusion payée (France uniquement) Diffusion payée (total) Diffusion (gratuits inclus)
2016 234 160 205 486 205 486 208 978
2017 227 479 204 009 204 009 207 386
2018 211 196 193 428 193 428 196 226
2019 206 310 184 478 184 478 187 041
Diffusion du quotidien Aujourd'hui en France[56],[57]
Année Tirage Diffusion payée (France uniquement) Diffusion payée (total) Diffusion (gratuits inclus)
2011 268 434 169 999 172 965 173 984
2012 285 771 179 353 182 288 183 165
2013 255 237 160 908 163 590 164 600
2014 237 484 148 220 150 742 151 524
2015 222 826 138 999 141 097 141 697
2016 211 468 131 359 133 354 133 919
2017 196 853 120 180 121 927 122 456
2018 172 367 108 025 109 458 109 949
2019 152 639 98 694 99 902 100 380

Controverses

En , le titre est accusé d'autocensure par plusieurs syndicats (SNJ, FO et SNJ-CGT) et par la Société de journalistes du quotidien[58]. Les journalistes du service culture-spectacle ont reçu l'ordre ne pas chroniquer le film Merci Patron !, ceux du service politique ont vu leur proposition de traiter le sujet repoussée à plus tard au motif qu’il s’agissait « d’un sujet militant » et « qu’il y avait d’autres sujets prioritaires ce jour là ». Cette accusation tient notamment au fait que le film parle de Bernard Arnault de façon critique, alors que celui-ci est le PDG du groupe LVMH, principal actionnaire du journal[59],[60]. En novembre, il est à nouveau accusé de censure par Fakir, alors qu'il refuse un encart publicitaire pour le DVD de ce film[61].

En , les délégués SNJ (syndicat national des journalistes) du Parisien déplorent que Bernard Arnault « s’invite trop souvent dans les pages » du journal, portant atteinte à la crédibilité de celui-ci[62].

Notes et références

  1. Joel Saget, « Amaury finalise la cession du Parisien/Aujourd'hui en France pour "accélérer" dans le sport », sur Le Parisien,
  2. https://www.marianne.net/politique/la-couleur-politique-des-medias
  3. (fr) Julien Mielcarek, « "Le Parisien" fête son 20.000ème numéro », sur Ozap.com,
  4. Éliane Tonnet-Lacroix, La littérature française et francophone de 1945 à l'an 2000, Harmattan, coll. « Espaces Littéraires », (ISBN 978-2-296-31271-5, lire en ligne), p. 66
  5. Bernard Dubois, Editions Publibook, , p. 95
  6. Le Parisien en un clin d’œil, Direction de la communication du Parisien, 2003, p. 3
  7. Aude Rouger, « Entre presse nationale parisienne et journaux locaux de province : la presse régionale en Ile-de-France », Le Temps des médias, no 5,‎ , p. 181
  8. Serge Grafteaux, Le marbre et la plume. Le conflit du Parisien libéré, Tema-Éditions, , p. 122
  9. « Saint-Ouen : l’imprimerie du « Parisien » ferme », leparisien.fr, (consulté le )
  10. (fr) Éric Lecluyse, « Philippe Amaury est mort », sur L'Express,
  11. (fr) [PDF] « Le Parisien/Aujourd’hui en France », sur panorama.alliance-journalistes.net (consulté le )
  12. a b c d et e (fr) « La passion de la presse quotidienne », sur Le Parisien,
  13. (fr) Matthieu Amaré, « Plan social et grève au "Parisien" », sur Le Journal du dimanche,
  14. (fr) « Relance de la Société des journalistes du "Parisien" », sur telesatellite.com,
  15. (fr) Julien Lalande, « Découvrez la nouvelle formule du "Parisien" (photos) », sur Ozap.com,
  16. (fr) Agence France-Presse, « Le Parisien coûte désormais 1,05€ », sur lefigaro.fr,
  17. a et b (fr) « Le Parisien Magazine dans les kiosques », sur lexpress.fr,
  18. (fr) Emmanuelle Duverger et Robert Ménard, « Entretien avec Emmanuel Schwartzenberg : Syndicat du livre : au cœur de la forteresse », Médias, no 15,‎ (lire en ligne)
  19. LVMH veut racheter «Le Parisien»-«Aujourd'hui en France», leparisien.fr, 26 mai 2015
  20. Le rachat du « Parisien » par LVMH est définitif, Alexis Delcambre, Le Monde, 21 octobre 2015
  21. « Découvrez la nouvelle formule du «Le Parisien» - «Aujourd'hui en France» », leparisien.fr,‎ 2016-09-09cest18:11:18+02:00 (lire en ligne, consulté le )
  22. « Saint-Ouen : la rédaction du Parisien déménage », leparisien.fr,‎ 2017-09-04cest18:30:02+02:00 (lire en ligne, consulté le )
  23. « Une nouvelle formule pour «Le Parisien Dimanche» », leparisien.fr,‎ 2018-04-07cest08:33:03+02:00 (lire en ligne, consulté le )
  24. « Le Parisien renfloué par le groupe LVMH », sur Le Figaro, (consulté le )
  25. « LE PARISIEN LIBERE - bilans », sur www.verif.com (consulté le )
  26. Presse News, « La nouvelle formule du Parisien paraît aujourd’hui », sur Presse News/strategies.fr,
  27. (fr) Syndicat professionnel de la presse magazine et d'opinion (SPPMO), « Émilien Amaury L’initiateur », sur sppmo.org (consulté le )
  28. La mort d'un grand résistant (Le Parisien, 12 décembre 2000)
  29. (fr) Renaud Revel, « La patronne du groupe Amaury pique sa crise », sur L'Express,
  30. « Pierre Louette, nouveau patron du groupe les Echos – le Parisien », sur www.franceinter.fr (consulté le )
  31. (fr) « Noël Couedel », sur Stratégies,
  32. (fr) Renaud Revel, « Le Breton qui change de port », sur L'Express,
  33. (fr) Olivier Costemalle et Catherine Mallaval, « «Le Parisien» inquiet pour sa ligne », Libération,‎ (lire en ligne)
  34. a et b (fr) « Vincent Regnier, directeur des rédactions du Parisien et d'Aujourd'hui en France », sur Stratégies,
  35. a et b (fr) « Dominique de Montvalon et Thierry Borsa, nouveau duo à la tête de la rédaction du Parisien-Aujourd'hui », sur Stratégies,
  36. (fr) Julien Lalande, « "Le Parisien" : La direction de l'info licenciée », sur Ozap.com,
  37. (fr) « Thierry Borsa, directeur des rédactions du "Parisien" », sur Stratégies,
  38. « Changement à la tête de la rédaction du « Parisien » », sur Le Monde, (consulté le )
  39. (fr) « La rédaction du Parisien cherche à garantir son indépendance », sur nouvelobs.com,
  40. a et b (fr) Vincent Truffy, « Le Parisien" : le nouveau mirage de Serge Dassault », sur Mediapart,
  41. Catrine Carpenter, Elspeth Broady, Savoir-Faire, Psychology Press, , p. 127
  42. (fr) « Entretien avec Edwy Plenel : Le Tour du monde en 27 question », Médias, no 3,‎ (lire en ligne)
  43. (fr) Gloria Awad, Du sensationnel - Place de l'événementiel dans le journalisme de masse, L'Harmattan, coll. « Logiques sociales », , 284 p. (ISBN 978-2738439444), p. 99
  44. Pauline Perrenot, « Gilets jaunes : Hé oh, Le Parisien, on se calme ? », sur Acrimed (consulté le )
  45. Nathalie Berriau et Pauline Perrenot,, « Le Parisien plombe les gilets jaunes (et tous les mouvements sociaux) », sur Acrimed, .
  46. Brulhatour, « RTL et Le Parisien se rejoignent sur le sport », sur www.lalettre.pro, (consulté le ).
  47. https://www.challenges.fr/media/au-parisien-le-web-passera-avant-le-papier_114969
  48. (fr) [PDF] Groupe Amaury, « Le Parisien - Éditions départementales », sur amaurymedias.fr (consulté le )
  49. (fr) OJD, « Book 2009 - Presse payante grand public », sur ojd.com, p. 4-6
  50. « Couplage Le Parisien + Aujourd'hui en France - ACPM », sur www.acpm.fr (consulté le )
  51. (fr) Owni.fr, « L’heure des fuites sur les subventions à la presse ? », sur Rue89,
  52. Subventions : la presse passe au contrôle, Vincent Truffy, mediapart.fr, 16 avril 2012
  53. Presse subventionnée - Les 20 journaux les plus aidés par l’État, droit-finances.commentcamarche.net, décembre 2013
  54. (fr) Patrick Eveno, « Les médias sont-ils sexués ? », Le Temps des médias, no 1,‎ , p. 162-173 (DOI 10.3917/tdm.001.0162., lire en ligne)
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  56. « Aujourd'hui en France » [archive du ], sur acpm.fr (consulté le )
  57. « Aujourd'hui en France - ACPM », sur www.acpm.fr (consulté le )
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  59. « « Merci patron ! » : (auto)censure du « Parisien » ? », sur bigbrowser.blog.lemonde.fr,
  60. « Censure de "Merci Patron !" au "Parisien" : "On n'a pas fait notre travail de journaliste" », sur tempsreel.nouvelobs.com,
  61. « Le Parisien censure le DVD de Merci patron ! », sur fakirpresse.info,
  62. Manuel Vicuña, « Au Parisien, "Bernard Arnault s’invite trop souvent dans les pages" », Arrêt sur images,‎ (lire en ligne, consulté le )

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