Friville-Escarbotin
Friville-Escarbotin | |||||
Hommage à Jean Jaurès. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Abbeville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Vimeu (siège) |
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Maire Mandat |
Nicole Morel 2020-2026 |
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Code postal | 80130 | ||||
Code commune | 80368 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Frivillois | ||||
Population municipale |
4 486 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 506 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 05′ 29″ nord, 1° 33′ 02″ est | ||||
Altitude | Min. 55 m Max. 112 m |
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Superficie | 8,86 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Friville-Escarbotin (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Friville-Escarbotin (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Friville-Escarbotin (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.ville-friville-escarbotin.fr | ||||
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Friville-Escarbotin [fʁivil ɛskaʁbɔtɛ̃] est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.
Cette commune du Vimeu industriel a connu un développement économique régulier, favorisé par une activité manufacturière longtemps dominée par la petite métallurgie.
Géographie
Située sur le fertile plateau limoneux du Vimeu, Friville-Escarbotin n'est qu'à une quinzaine de kilomètres de la côte picarde.
Accessible par l'axe Abbeville - Le Tréport (RD 925), l'agglomération s'est majoritairement développée le long de la D 2 (axe Saint-Valery - Beauchamps).
Communes limitrophes
Bourseville | Vaudricourt et Saint-Blimont | Saint-Blimont | ||
Tully | N | Nibas | ||
O Friville-Escarbotin E | ||||
S | ||||
Yzengremer | Woincourt | Fressenneville |
Voies de communication et transports
Voies routières
L'axe le plus important au niveau routier est la route départementale 925 qui permet de rejoindre, à l'ouest, la côte picarde ou normande (Le Tréport à 16 km) ou, à l'est, le chef-lieu d'arrondissement : Abbeville (à 25 km)[1].
L'autoroute A28 est joignable à sa sortie dite « Vimeu », no 24, sur le territoire de la commune de Tours-en-Vimeu, à 14 km[1].
Transports routiers
La localité est desservie par les lignes d'autocars no 2, no 5 (Cayeux - Friville-Escarbotin - Abbeville et Mers-les-Bains - Friville - Abbeville) et no 7 (Lanchères - Friville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[2].
Voies ferroviaires
La ligne Abbeville - Le Tréport passe à Feuquières-en-Vimeu où deux haltes permettent d'utiliser le transport par voie ferrée.
Urbanisme
Typologie
Friville-Escarbotin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Friville-Escarbotin, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[6] et 6 661 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,7 %), zones urbanisées (27,1 %), prairies (11,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,7 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Morphologie urbaine
L'habitat s'est principalement développé le long de la route départementale 2 (D 2), véritable épine dorsale de l'agglomération.
La commune s'est dotée d'un plan local d'urbanisme (PLU).
Logements
Toponymie
- Pour Friville, Frivilla est cité dès 1185 par Thibaut, évêque d'Amiens.
- La première mention d'Escarbotin est datée de 1557 par Ernest Prarond et confirmée en 1646 dans l'Histoire ecclésiastique d'Abbeville.
- Belloy est mentionné également dès 1646 par la même source : Histoire ecclésiastique d'Abbeville[13],[14].
Histoire
Moyen Âge
Une motte féodale a été identifiée sur le territoire communal.
Dès 1185, Hugues de Friville est aussi cité comme seigneur de Béthencourt[15],[16].
En 1214, le cartulaire de l’abbaye de Séry, mentionne Laurent, seigneur de Friville, chevalier, fils de Girold qui confirme la donation de cinq journaux de terre, faite par son oncle Willaume de Friville au profit de l’abbaye[15].
Les Coppequesne sont seigneurs de Friville de 1419 à 1789. La seigneurie passe aux Hardivilliers par le mariage, en 1791, de Marie-Henriette de Coppequesne avec son cousin germain, Éléonore Jean d'Hardivilliers[17].
Temps modernes
L'abbaye de Séry possède le fief de Friville jusqu'en 1577. Elle le vend alors à Reignier ou René de Roussel, supposé le fils de François de Roussel, écuyer, sieur d'Escarbotin et Friville en partie[15].
Les Roussé possèdent la seigneurie d'Escarbotin durant plus d’un siècle[17].
Les Cornu sont seigneurs de Belloy-sur-Mer durant deux siècles[17].
Les Montmignon sont propriétaires de la terre et de la seigneurie d’Escarbotin vers 1670[17].
Les cahiers de doléances de la commune sont consultables sur le site des archives départementales, p. 186 à p. 187[18].
Seconde Guerre mondiale
Dès le 21 mai 1940, Friville est pratiquement vidée de ses habitants. Malgré le canon qui tonne et les raids aériens, beaucoup d'entre eux rentrent cependant chez eux après le 25 mai[19].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription de la Somme.
Elle faisait partie de 1793 à 1985 du canton d'Ault, année où elle devient le chef-lieu du canton de Friville-Escarbotin[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de 9 à 24 communes.
Intercommunalité
La commune était le siège de la communauté de communes du Vimeu Industriel, qui succédait au « SIVOM du Vimeu » (SVMV), créé en 1964.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[21] le Vimeu industriel et la petite communauté de communes du Vimeu Vert, dont les compétences, la fiscalité et le bassin de vie sont proches, envisagent de fusionner[22],[23],[24],[25].
Cette fusion intervient le et la commune est depuis le siège de la communauté de communes du Vimeu.
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Emploi
Entreprises et commerces
Très tôt, des activités liées à la serrurerie et à la robinetterie ont vu le jour dans la localité, attirant les travailleurs auparavant occupés dans l'agriculture.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2021, la commune comptait 4 486 habitants[Note 3], en évolution de −4,94 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
La ville compte un lycée d'enseignement général et technique, le lycée du Vimeu labellisé lycée des métiers de l’industrie et du secteur tertiaire[38], et un collège : La Rose-des-Vents.
Ses trois écoles primaires (Guillaume-Apollinaire, Victorien-Girot et Marcel-Pagnol) et ses trois écoles maternelles (écoles Louis-Aragon, Jacques-Prévert et Charles-Perrault) complètent le dispositif éducatif local.
La garderie et la cantine sont proposées au même titre que les activités périscolaires[39].
Manifestations culturelles et festives
La commune dispose de quatre salles susceptibles d'être louées aux particuliers.
Depuis 2009, Friville organise les jeux InterFriville, au mois de juillet.
Santé
Une maison médicale prend en charge la population locale, épaulée par des cabinets indépendants.
Sports
Les clubs locaux permettent la pratique d'un large éventail d'activités sportives : football, judo, cyclisme, natation, tennis de table, billard français...
Football
L'Union Sportive Friville-Escarbotin-Belloy (USFB) prend en charge les « jaunes et noirs » pour l'activité et dispose d'un stade normalisé. Son principal fait d'armes est d'avoir atteint les 1/32e de finale de la Coupe de France de football, en 1980-1981.
Natation
Le centre aquatique Vimeo s'offre aux amateurs de toutes les disciplines sportives liées à l'exercice de la natation.
Médias
Le quotidien le Courrier picard relate les informations régionales. L'hebdomadaire L'Éclaireur du Vimeu diffuse les actualités locales.
Par ailleurs, la revue municipale Friville-Escarbotin-Belloy est distribuée trimestriellement.
Cultes
Le culte catholique relève de la maison paroissiale de Fressenneville.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
- Église Saint-Étienne, à Friville. Son chœur est classé Monument historique[40].
- Église Saint-Hubert, à Escarbotin.
- Chapelle de Belloy. La chapelle des Saints-Anges date de 1756, après l'acquisition de la seigneurie par Jean-Baptiste de Montmignon, seigneur d'Escarbotin à Madeleine Angélique Cornu, dame de Belloy, épouse de Joseph Victor de Héron. En 1927, Paul Laperche, propriétaire du château cède la chapelle à la commune[41].
Patrimoine civil
- Château de Friville
- Le château de Friville a été acheté en 1935 par Annie Andrade et Lucienne Bellomet, à Fernand d'Hardivilliers et Marie de la Tousche d'Avrini pour le prix de 250 000 francs.
- Annie Andrade et Lucienne Bellomet, deux infirmières qui revenaient du front de la Grande guerre, ont décidé de transférer dans le château, une maison d'enfants qu'elles avaient créée en 1924 à Brighton-Cayeux-sur-Mer. Leur but était de recueillir des enfants abandonnés et également accueillir « au prix coûtant » des enfants fragiles.
- La Maison des petits a fonctionné jusqu'au décès de Lucienne Bellomet en 1958, puis celui d'Annie Andrade en 1964. Elles sont enterrées au cimetière de Cayeux-sur-Mer.
- Lucienne Bellomet n'ayant pas de descendance, a donné sa demi-part à la société de construction immobilière du Vimeu , « à seules fins d'y installer une clinique chirurgicale pour les besoins de la région ». Annie Andrade a vendu la sienne à la même société.
- Une maison de retraite a été créée en ses murs, qui porte le nom de « Fondation Joseph Petit », ancien maire de Friville - Escarbotin (1939-1944). Ce qui peut prêter à confusion avec l'institution originale qui était La maison des petits[42],[43].
- Château de Belloy.
- Monument aux morts d'Albert Roze.
- Musée de la serrurerie, dans une dépendance du château de Friville.
- Le château de Montmignon, aménagé en Office du tourisme.
- Statue de Jean-Jaurès, réalisée en 1984 par Françoise Sirot sélectionnée par concours[44].
-
Église Saint-Étienne de Friville
-
Château de Friville, anciennement "La Maison des Petits" de 1935 à 1964, cédée à la Chambre Syndicale du Vimeu, transformée en maison de retraite.
-
Détail du monument aux morts.
-
La tour Montmignon.
Héraldique
Blason | D'azur au chevron d'or accompagné de trois cœurs du même[45]. |
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Détails | La commune de Friville-Escarbotin choisit en 1958 de relever les armoiries de la famille de Montmignon seigneur d'Escarbotin au XVIIIe siècle. Les trois cœurs pouvant symboliser les trois villages : Friville, Escarbotin et Belloy réunis après la Révolution française pour ne former qu'une seule et même commune[45]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
- Jérémy Stravius, nageur, médaillé olympique, a vécu à Friville-Escarbotin où il a fait ses débuts en natation.
- Ladislas Lozano, ancien footballeur de Friville-Escarbotin (1986-1988), entraîneur.
- Robert Buchot (né en 1940), footballeur et entraîneur français, est né à Friville-Escarbotin. Il a entraîné l'USFEB de 1988 à 1992.
- Jean-Louis Delecroix, entraineur ayant fait monter USFEB en division 4, début 1980, avec une 32e de finale à Dieppe contre Fécamp.
- Robert Tyrakowski, entraîneur de l'équipe de foot de la ville en 1986 et 1987.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Site municipal
- Friville-Escarbotin sur le site de l'Institut géographique national
- « Dossier complet : Commune de Friville-Escarbotin (80368) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- ViaMichelin.
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Friville-Escarbotin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, tome 1, Archives départementales de la Somme, Amiens, pp. 104.
- Lire en ligne sur le site des Archives départementales.
- Histoire du Vimeu.
- Lire en ligne "Histoire de Friville".
- Jean-Louis Gaillard, Fressenneville, el poéyi d'chés metteux d'fu, collection Souvenance, édit. Vague verte, Woignarue-80460, mai 1995.
- Consulter les cahiers sur le site des Archives départementales.
- Étienne Chantrel, « Souvenirs de 1940 », Bresle et Vimeu, 15 juin 1947.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- Vincent Héry, « Vimeu industriel - intercommunalité: « Nous sommes en position d’attente » : Les prochaines semaines décideront de l’avenir de la communauté de communes du Vimeu industriel. Les élus souhaitent la voir grandir, mais avec qui s’allier ? », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Vincent Héry, « Les élus favorables à une fusion Vimeu vert-Vimeu industriel : Les deux conseils communautaires se sont prononcés en faveur de ce mariage, qui n’a pas été envisagé dans le schéma présenté par la préfète », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Julien Levasseur, « Les élus favorables à un mariage avec le Vimeu Vert : Fiscalité proche, bassin de vie et d'emploi homogène, compétences proches et complémentaires. A l'unanimité, les élus du Vimeu Industriel se sont déclarés favorables à une fusion avec leurs voisins du Vimeu Vert. », L'Informateur - L’Éclaireur, (lire en ligne).
- G. L., « Vimeu vert - Pour une gestion égalitaire : La Communauté de communes de Vimeu Vert vit sa dernière année. Elle mènera un ultime chantier, la voirie, et se prépare à la fusion », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- « Les maires de Friville-Escarbotin », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- Julien Cahon, « FLAMANT Victor, Eugène », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
- Julien Cahon (Présentation), « Meeting du Parti Communiste : Film de 1934, muet, auteur anonyme », Les films / Evênements, sur https://www.archipop.org (consulté le ).
- « David Lefèvre, 23 ans, élu plus jeune maire de France, dans la Somme », La Dépêche du Midi, (lire en ligne).
- Coralie Destroye, « Démission de David Lefèvre : Élection du nouveau maire de Friville-Escarbotin le samedi 6 juillet 2019 : David Lefèvre, maire de Friville-Escarbotin dans la Somme démissionne. Le samedi 6 juillet 2019 le conseil municipal va se réunir en séance publique pour élire le nouveau maire », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne).
- Eric Turpin, « Municipales 2014 : zoom sur Friville-Ecarbotin », France Bleu Picardie, (lire en ligne).
- Denis Desbleds, « David Lefèvre: « Élu, tout le monde peut l’être. Réélu, c’est différent », Le Courrier picard, (lire en ligne).
- Coralie Destroye, « Nicole Morel est élue maire de Friville-Escarbotin : Samedi 6 juillet 2019, le conseil municipal de Friville-Escarbotin (Somme) a élu un nouveau maire, à la suite de la démission de David Lefèvre. Il est remplacé par Nicole Morel », L'Éclaireur du Vimeu, (lire en ligne) « Après dépouillement des 27 enveloppes, le verdict tombe. Nicole Morel est élue maire de Friville-Escarbotin avec 18 voix (8 voix pour Marylise Robart et 1 vote blanc). Présente depuis 2008, elle a d’abord été adjointe à l’événementiel lors du premier mandat de David Lefèvre, puis, première adjointe jusqu’à aujourd’hui ».
- « Le nouveau conseil municipal s’installe autour de Nicole Morel à Friville-Escarbotin », sur L'Éclaireur, .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Site académique.
- Site de la mairie.
- Notice no PA00116164, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, F Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 41.
- Andrade Bellomet, La maison des petits, 8 p..
- « répertoire numérique détaillé du fonds de la préfecture de la Somme ».
- Jacqueline Lalouette, Jean Jaurès : L'assassinat, la gloire, le souvenir, Paris, Éditions Perrin, coll. « Biographies », , 462 p. (ISBN 978-2-262-04778-8, lire en ligne), sur Google books.
- Jacques Dulphy, « Friville-Escarbotin », sur Armorial de France.