Ochancourt

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ochancourt
Ochancourt
La mairie-école.
Blason de Ochancourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Abbeville
Intercommunalité CC du Vimeu
Maire
Mandat
Flavien Grenon
2020-2026
Code postal 80210
Code commune 80603
Démographie
Gentilé Ochancourtois
Population
municipale
325 hab. (2021 en augmentation de 5,86 % par rapport à 2015)
Densité 82 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 06′ 15″ nord, 1° 36′ 57″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 79 m
Superficie 3,95 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Friville-Escarbotin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Friville-Escarbotin
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Ochancourt
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Ochancourt
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Ochancourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Ochancourt

Ochancourt est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Depuis , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.

Ses habitants sont appelés les Ochancourtois et les Ochancourtoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Nibas Arrest Franleu Rose des vents
Nibas N Franleu
O    Ochancourt    E
S
Nibas Valines Valines

Description[modifier | modifier le code]

Vue générale du centre.

La commune se trouve à proximité de la route Abbeville - Le Tréport. Abbeville étant distante de 18 km et Le Tréport de 22 km.

Située sur le fertile plateau du Vimeu, la localité a vu ses habitations s'organiser autour de deux axes perpendiculaires principaux : la route départementale (RD 48), nord-sud, et l'axe Nibas-Franleu, est-ouest.

Le Mesnielle, autrefois un écart relevant de la paroisse de Franleu, est aujourd'hui aggloméré à Ochancourt.

En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 5 (Cayeux - Friville-Escarbotin - Abbeville) du réseau Trans'80, Hauts-de-France, chaque jour de la semaine sauf le dimanche et les jours fériés[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

« Ochancourt possède un « rio », fossé d'un mètre de large qui sert « d'égout » avec la mare aux ruisseaux de la commune. Il prend naissance à 40 m. du carrefour, au plus bas de la rue de Franleu et mène son eau dans une mare située en bordure du bois d'Arrest. Lorsque cette mare déborde, l'eau s'écoule à travers le bois dans l'allée du fond pour aller se perdre dans un pré à un kilomètre du sous-affluent de la Somme : l'Avalasse, qui passe à Arrest et rejoint l'Amboise à Estrébœuf[2]. »

Géologie[modifier | modifier le code]

En 1947, on notait que « l'épaisseur de la terre végétale à Ochancourt est de 20 à 40 centimètres. Souvent, on trouve environ un mètre d'argile mêlée aux cailloux : du bief. Jusqu'à la nappe d'eau s'étend généralement de la craie. Cependant, au Mesniel, un terrassier nous a assuré qu'il y avait moins de terre végétale et moins d'argile[2]

Une voûte souterraine dont l'entrée est sculptée dans la craie se situe dans un pré. On évoque la possibilité de la présence de souterrains dans le sous-sol communal.

« L'endroit le moins élevé du territoire se trouve à l'entrée sud du bois d'Arrest[2]. »

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cayeux-sur-Mer à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 761,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ochancourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Friville-Escarbotin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,5 %), prairies (14,2 %), zones urbanisées (8,2 %), forêts (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

On trouve la forme latinisée de Oscencurte en 1154[15], Urcionis curtis en 1164[16],[17], puis Occecourt, Ochecourt, Ochencourt, et finalement Ochancourt[18].

Dans les environs, on trouve : Saucourt, Vaudricourt, Woincourt, Béthencourt, Méréaucourt, Biencourt.

Tous ces noms de villages se terminent par -court. Ce sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages ; l'appellatif toponymique -court (> français moderne cour) est issu du gallo-roman CŌRTE qui signifie « cour de ferme, ferme ». Cet appellatif est généralement précédé d'un nom de personne germanique. Ces formations toponymiques datent du Moyen Âge. Cette façon de nommer les lieux serait liée à l'apport germanique du VIe siècle[Note 3],[19]. En effet, les toponymes en -court typiques de l'extrême nord et nord est de la France sont calqués sur les noms de lieux en -hof, -hov, -hoffen, -hoven « cour de ferme, ferme » des pays de langue germanique (Flandres, Alsace-Lorraine, Pays-Bas, Allemagne), ainsi aux Béthencourt, Bétancourt, etc. correspondent Bettenhof, Bettenhoffen, Bettenhoven, etc.

Le premier élément Ochan- s'explique par le nom de personne germanique Occing[20], dont le suffixe -ing a régulièrement donné -en, noté par la suite -an ou moins probablement du nom de personne germanique Ursio, issu du latin ursus « ours », au cas régime en -on de l'ancien français, altéré en -an par la suite. Le -ch- est caractéristique du chuintement normanno-picard.

Le nom du hameau, Le Mesnielle, est issu de mesnil (ou maisnil), avec un élément -elle indéterminé. Ce nom de lieu apparait vers le Xe siècle. Il s'agit d'un terme gallo-roman *MASIONILE, dérivé du latin mansio (maison) qui désigne une exploitation rurale dotée d'une maison d'habitation. Son nom est porté localement, sous la royauté, par la famille du Mesnil de Fiennes, alliée aux Le Roy d'Hantecourt[b 1].

Le lieu-dit les Vignes[21], bien exposé, témoigne de la culture du raisin sur le territoire.

La commune est nommée Ochincourt en picard.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Trouvé sur le territoire de la commune par un chasseur, ce silex taillé, témoigne d'une présence humaine très ancienne.

Un silex taillé et des haches polies, découverts sur le territoire d'Ochancourt, attestent de la présence de nos ancêtres préhistoriques[22].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Les études réalisées par un cabinet spécialisé, pour l'élaboration de la carte communale, ont mis en évidence un parcellaire bâti remontant à l'époque gauloise[réf. nécessaire].

Une « voie romaine qui allait de Saint-Valery à Beauvais en passant par Estrébœuf, Arrest, Valines, Le Translay et Poix[a 1] » devait très logiquement traverser Ochancourt.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La Terre des tombes, située sur le territoire de la commune, marque, dit-on, le lieu où furent inhumés des combattants ayant participé à la bataille de Saucourt-en-Vimeu remportée par le roi des Francs, Louis III, et son armée contre les Normands en août 881.

Gaston Vasseur (Nibas et ses annexes), nous apprend que ce fut également le lieu où les deux armées se rencontrèrent. Les Normands auraient laissé 8 000 des leurs sur le champ de bataille[23],[a 2].

On trouve dès 1284, Guy d'Ossencourt (Ochancourt) et damoiselle Béatrice sa femme. Comme seigneurs capitaux, ils confirment le don fait en 1276 à l'Abbaye Notre-Dame de Séry à Bouttencourt par Jean de Nibas de « deux journaux de terre sis à Escarbotin à la condition que les religieux résidant à Friville feraient tous les ans son anniversaire[24] ».

Il y avait à Ochancourt plusieurs seigneuries portant le nom de la seigneurie principale[16],[17].

Les coutumes locales sont rédigées en 1507[16].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Révolution française
  • Lors de la préparation des états généraux de 1789, les cahiers de doléances de la paroisse (identiques à ceux de Nibas) sont établis[25].
  • À la suite des lois du et du , Le Maisnil et Ochancourt sont intégrés dans les nouveaux département de la Somme, district d'Abbeville et canton de Franleu. En l'an X, le canton de Franleu est supprimé. La commune est alors rattachée au canton d'Ault[a 3], jusqu'à la création du canton de Friville-Escarbotin en 1985.
  • Le , le maire démissionne car un conflit entre les membres du conseil peut conduire à la démolition de l'église et la dispersion de ses biens[b 2].
  • Le , Antoine Get, 38 ans, Charles Turle, 38 ans et Charles Legay, 30 ans, sont désignés pour le fournissement du contingent, à la demande des députés de la Convention nationale[26],[b 3].
  • En 1794, les familles nobles Danthecourt et Dumesnil sont emmenées à Abbeville. Les scellés sont posés sur leurs papiers et biens divers, à la réquisition du citoyen André Dumont, représentant du peuple[b 4].
XIXe siècle
  • Le 26 juillet 1842, Féréol Bellaches, époux de Catherine Humel, occupé à labourer, tue, avec le coutre de sa charrue, un loup blessé, caché dans un champ de trèfle[27].
  • Deuxième République : en 1849, comme dans toutes les communes de France, la population masculine majeure peut, pour la première fois, aller voter grâce à l'instauration du suffrage universel. Voici la répartition (en nombre) de quelques-uns des patronymes des 116 électeurs[28] (saisie non exhaustive) :
Anquier Parmentier Legay Forestier Delattre Vannier Tellier Ozenne Roger Petit
12 16 8 5 3 3 3 4 1 1
XXe siècle

[29],[30],[31]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme.

Elle faisait partie de 1801 à 1985 du canton d'Ault, année où elle est rattachée au canton de Friville-Escarbotin[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Ochancourt relève du tribunal d'instance d'Abbeville, du tribunal de grande instance d'Amiens, de la cour d'appel d'Amiens, du tribunal pour enfants d'Amiens, du conseil de prud'hommes d'Abbeville, du tribunal de commerce d'Amiens, du tribunal administratif d'Amiens et de la cour administrative d'appel de Douai[35].

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Friville-Escarbotin

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ochancourt était membre de la communauté de communes du Vimeu Industriel, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et qui succédait au « syndicat à vocation multiple du Vimeu » (SVMV)

À partir de 2015 et l'adoption de la Loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe), les élus du Vimeu industriel et de la communauté de communes du Vimeu Vert, dont les compétences, la fiscalité et le bassin de vie sont proches, envisagent de fusionner[36],[37],[38],[39]. Cette proposition a été retenue dans le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) de la Somme[40] et est mise en œuvre le après consultation des conseils municipaux et communautaires concernés[41].

La nouvelle structure, dont est désormais membre Ochancourt, prend le nom de communauté de communes du Vimeu.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d’habitants de la commune étant compris entre 100 et 500, le nombre de membres du conseil municipal est de 11[42].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La salle porte le nom d'un ancien maire.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
14 février 1790 23 octobre 1791 Le Roy d'Antecourt   chevalier, démission
27 novembre 1791 15 février 1792[b 5],[Note 4] Nicolas François Delattre    
26 février 1792 2 décembre 1792 François Ozenne    
2 décembre 1792 6 prairial an II
(25 mai 1794)
Le Roy d'Antecourt    
6 prairial an II
(25 mai 1794)
  François Ozenne    
Les données manquantes sont à compléter.
    Claude Ferdinand Leroy d'Hantecourt   conseiller d'arrondissement à Abbeville (1824-1830)[43]
Les données manquantes sont à compléter.
15 septembre 1855 02 juin 1862 Félix Ozenne    
1862 1878 Ambroise Delattre    
1881 1919 Cyrille Ozenne    
1919 1944 Fernand Ozenne    
1944 1945 Georges Quehen    
1945 1959 Louis Ozenne   agriculteur
1959 1963 Ernest Boucher   démission
mars 1963 août 1990 Maurice Petit[Note 5]   agriculteur
Décédé en fonction
septembre 1990 mars 2008 Michel Tondellier   enseignant
mars 2008 2020 Daniel Gallet[44]    
2020[45],[46] En cours
(au 8 octobre 2020)
Flavien Grenon   assistant qualité

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].

En 2021, la commune comptait 325 habitants[Note 6], en augmentation de 5,86 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
310309343324371376400412407
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
400426422427416395389348340
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
298288287280246228222226223
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
229213189241253235255284314
2021 - - - - - - - -
325--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune a fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI), géré par un syndicat intercommunal à vocation scolaire, (SISCO), qui regroupait les écoles de trois communes : Franleu, Ochancourt et Valines. Elle disposait d'une école primaire à classe unique accueillant des élèves des trois collectivités.

À la rentrée 2019, l'école de Franleu quitte le regroupement pour se rapprocher de la communauté d'agglomération Baie de Somme[50].

En 2022, le RPI Ochancourt-Valines est dissous[51].

Un nouveau regroupement est créé avec Nibas. L'école à classe unique d'Ochancourt est fermée[52].

Les collégiens d'Ochancourt ont accès au collège La Rose-des-vents de Friville-Escarbotin[53] et peuvent ensuite poursuivre leurs études au lycée du Vimeu, toujours à Friville-Escarbotin. Le lycée du Vimeu est labellisé lycée des métiers de l’industrie et du secteur tertiaire[54].

Associations locales[modifier | modifier le code]

En 2007, la commune compte dix associations[55] :

  • association amicale des anciens élèves d'Ochancourt (AAAEO) : organisation de voyages et sorties culturelles ou récréatives ;
  • association Ochancourt Chasse : gestion de la chasse associative au niveau local ;
  • comité des fêtes : organisation des animations locales (brocante, fêtes diverses) ;
  • Oiseau club de Picardie : pour les amateurs d'élevage d'oiseaux ;
  • club des aînés : association qui réunit les retraités et propose des animations ;
  • association de gymnastique d'Ochancourt (AGO) : pour l'entretien, séances salle Maurice-Petit ;
  • association USEP de l'école d'Ochancourt : sport à l'école ;
  • Olympique Tennis de Table Ochancourtois (OTTO) : affilié à l'UFOLEP, entraînement, rencontres sportives ;
  • coopérative scolaire : gestion des activités scolaires et extra-scolaires ;
  • association des organisateurs de rèderies et brocantes de la Somme (AORBS) : pour la défense et l'organisation des brocantes ou réderies.

Manifestations culturelles et festives[modifier | modifier le code]

Le comité des fêtes, coordonnateur des manifestations locales s'implique dans l'organisation.

  • Brocante : le premier dimanche de juin.
  • Fête locale : dernier dimanche d'août.
  • Fête du sport et du cheval : deuxième dimanche de septembre.

Santé[modifier | modifier le code]

Aucun établissement de santé n’est implanté à Ochancourt. Des cabinets de médecine générale se tiennent à Feuquières-en-Vimeu et Friville-Escarbotin (5 km). L'hôpital le plus proche est celui d'Abbeville. Des pharmacies sont installées à Arrest, Friville-Escarbotin et Feuquières-en-Vimeu.

Sports[modifier | modifier le code]

En dehors d'un plateau d'éducation physique qui comprend un court de tennis en accès libre, Ochancourt ne dispose pas d’infrastructure sportive. La salle communale peut toutefois être utilisée pour le tennis de table, la gymnastique des écoliers ou des adultes.

Le pré communal est voué à des activités équestres.

Médias[modifier | modifier le code]

Le quotidien régional Le Courrier picard et les hebdomadaires régionaux, L'Éclaireur du Vimeu et l'Informateur, relatent les informations locales.

La commune est en outre dans le bassin d'émission de la chaîne de télévision France 3 Picardie.

L'information institutionnelle est assurée par plusieurs publications périodiques : le bulletin municipal d'informations diffusé par la commune d'Ochancourt, Ochancourt-info, le bulletin d'informations de la communauté de communes du Vimeu Industriel (CCVI), le bulletin du conseil général de la Somme, Vivre en Somme et celui du conseil régional de Picardie, Agir en Picardie.

Cultes[modifier | modifier le code]

La commune d'Ochancourt fait partie de l'ensemble paroissial catholique de Fressenneville au sein du diocèse d'Amiens.

Économie[modifier | modifier le code]

Dans les années 1960, une usine de chromage a connu un certain essor, en face de l'église. Les locaux ont été repris par les « Caves d'Ochancourt », commerce de vin, pendant une vingtaine d'années.

La commune compte plusieurs chambres d'hôtes et gîtes. Ces lieux d'accueil permettent de résider à proximité de la côte picarde.

L'Atelier de Décolletage du Vimeu (ADV) est le principal centre d'activités de la commune.

En 2013, il ne reste plus que deux exploitations agricoles basées dans le village. Une seule pratique encore la production laitière et l'élevage.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le monument 1914-1918, situé espace du souvenir, était auparavant sur la place du village.
Le château en 2022.
  • Église Saint-Ouen[56],[57], dont la partie la plus ancienne, maçonnée en silex grossièrement taillés, est datée du XIIe siècle. Malgré de nombreuses réparations attestées par ses murs en un mélange de brique et moellon de craie, son clocher penche sérieusement. C'était un lieu de pèlerinage pour les sourds qui s'y rendaient le dimanche qui suit l'Ascension[58]. Le cadran solaire gravé sur le clocher donne l'heure exacte[59].

Jusqu'à la Révolution française, l'église a possédé un triptyque de la fin du XVe siècle[Note 7]. Sa partie centrale est déposée au musée de Picardie à Amiens[60].

  • Les chapelles du cimetière et du carrefour dont celle de la famille d'Anvin de Hardenthun, seigneurs du lieu. Leur famille remonterait aux croisades (1191). Leur dernier représentant portait le titre de baron[Note 8].
  • Le chemin dit du tour des Haies permet de contourner entièrement l'agglomération à pied, à cheval ou à vélo. Certaines portions se nomment : ruelle des Contrebandiers, ruelle des Soupirs, ruelle Coppegueule[Note 9]...
  • Croix et calvaires.
  • Le circuit de la terre cordière qui peut faire l'objet d'une randonnée pédestre bucolique.
  • Ochancourt se trouve sur le circuit de la mésange, boucle de 28 km proposée à la randonnée cycliste par le syndicat mixte Baie de Somme Grand Littoral Picard.
  • Le monument aux morts pour la patrie, espace du souvenir, et les trois tombes de soldats alliés du Commonwealth, à l'entrée du cimetière.
  • Le château du XVIIIe siècle, rue de Nibas. Le jardin est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[61].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Blason de la famille d'Anvin de Hardenthun.
  • La famille d'Anvin de Hardenthun s'établit à Ochancourt dès le XVe siècle. Elle est maintenue dans sa noblesse sur preuves remontant à Pierre d'Anvin de Hardenthun, seigneur du lieu en 1494[62],[63]. Les membres de cette famille, une des grandes familles du Boulonnais et de la Picardie, vont garder Ochancourt comme fief central : ils se font inhumer dans l'église puis dans une chapelle édifiée à cette fin, même après qu'ils ne sont plus seigneurs d'Ochancourt. Le cimetière du village garde des traces (chapelle funéraire, vitrail) de cette lignée[64].
  • Jacques Le Boucher, seigneur du Mesnil-lès-Franleu, est maïeur d'Abbeville en 1597[65].
  • Dans le chœur de l'église de Maisnières se trouve la pierre sépulcrale de Jean-Baptiste L'Esperon d'Ochancourt, chevalier et seigneur d'Hercelaine (Harcelaines, hameau de Maisnières), mort le , à 89 ans[Note 10].
  • À cause des évènements liés à la guerre franco-allemande de 1870, Pierre Alfred Lenne, né à Ochancourt le , garde mobile, décède à Paris en 1871[23].
  • L'abbé Billoré, apiculteur du début du XXe siècle, propriétaire d'un rucher exceptionnel : la cité des abeilles.
    Ce rucher renommé a donné lieu à l'édition d'une série de cartes postales très recherchées par les collectionneurs.
    [réf. nécessaire]

Sobriquet des habitants[modifier | modifier le code]

Nom jeté : on se moque parfois de « chés dor' in l'air d'Ochincourt » (« les Dors en l'air d'Ochancourt »), portés à avoir « la tête en l'air »[réf. nécessaire].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Ochancourt Blason
De sable à la bande d'or accompagnée en chef de trois billettes ordonnées en orle et en pointe de trois molettes d'éperons ordonnées en orle, le tout du même, à une chouette d'argent brochant sur la bande[66].
Détails
Le champ de sable, la bande d'or et les trois billettes sont empruntées aux armes de la famille d'Anvin de Hardenthun, dont sont issus les principaux seigneurs d'Ochancourt du XVe au XVIIIe siècle. Les molettes d'éperons sont empruntées aux armes parlantes de la famille Lesperon, seigneurs d'une partie d'Ochancourt aux XVIIe et XVIIIe siècles. La chouette est quant à elle la « mascotte » du village, et fait également écho au sobriquet des habitants : « chés dort in l'air d'Ochincourt ».

Adopté le .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • D'après le Dictionnaire biographique international des écrivains d'Henri Carnoy, l'abbé Hoin a écrit l'histoire du village.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Ochancourt », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Proposition émise en 1976, par Maurice Lebègue, professeur de Français à l'École Normale d'Amiens, à la suite d'un travail réalisé sur l'origine des noms des communes de la Somme.
  4. démission pour raisons de santé
  5. Maurice Petit (1927-1990), maire de 1963 à 1990, sut motiver les habitants pour la construction bénévole de la salle polyvalente qui porte son nom.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Sa description, mentionnant sainte Barbe, saint Jean-Baptiste et les donateurs, figure dans l'ouvrage de Gérard Bacquet, cité en référence.
  8. inscriptions à l'intérieur de la chapelle
  9. = coupe-gorge
  10. inscription sur la pierre tombale dans l'église

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  • Document utilisé pour la rédaction de l’article Gaston Vasseur, Nibas et ses annexes depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours, 67 rue Saint-Jacques 75005 Paris, Le Livre d'Histoire-Lorisse, reprise de l'édition de 1929, , 294 p. (ISBN 2-84373-565-3, ISSN 0993-7129)
  1. p. 116.
  2. p. 123.
  3. p. 169.
  • Document utilisé pour la rédaction de l’article André Vidal et Jean-Luc Martin, Registre pour servir aux délibérations de la commune d'Ochancourt & bailliages 1790-1797, transcription, comité des fêtes d'Ochancourt, coll. « Les Mémoires d'Ochancourt », 4e trimestre 1993, 66 p.
  1. p. 29.
  2. p. 9.
  3. p. 18.
  4. p. 30.
  5. p. 12.
  • Autres références
  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a b et c Echos de la mare, journal scolaire, 1947
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Ochancourt et Cayeux-sur-Mer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cayeux-sur-mer » (commune de Cayeux-sur-Mer) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Cayeux-sur-mer » (commune de Cayeux-sur-Mer) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Friville-Escarbotin », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
  16. a b et c René de Belleval, Les fiefs et les seigneuries du Ponthieu et du Vimeu, Paris, Dumoulin, 1870, p. 249.
  17. a et b (en) « Columbia University Libraries : Les Fiefs et les seigneuries du Ponthieu et du Vimeu », sur columbia.edu (consulté le ).
  18. Extrait de « Ochancourt, notre village » document réalisé en 1981 par les écoliers locaux
  19. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
  20. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35000 noms de lieux, 4 volumes, Genève : Droz, 1990-1998
  21. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, Archives départementales de la Somme, tome 2, Amiens, p. 386, vue 196/267.
  22. Ochancourt-Info, bulletin municipal, 2001
  23. a et b Histoire d'un village picard. Nibas et ses annexes, par Gaston Vasseur, 1929, impr. de G. Bourgeois ; Méricourt-Ribemont
  24. Darsy, L'abbaye de Séry, dans le tome XXVIII des Mém. de la Soc. des Antiquaires, année 1861, p. 222.
  25. Les cahiers de doléance sont consultables sur le site des archives départementales, p. 312 à p. 313.
  26. Registre pour servir aux délibérations de la commune d'Ochancourt et bailliages 1790-1797, édité par le comité des fêtes d'Ochancourt, 4e trimestre 1993, André Vidal, Jean-Luc Martin
  27. Jacques Dulphy, Les loups dans la Somme, janvier 1988, imp. Colombel, Amiens, p. 245.
  28. Liste électorale d'Ochancourt, Archives Départementales de la Somme, Amiens, 1849
  29. L. Gillard, « Dessin : Château d'Ochancourt. Habitation de Mme de Roton », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  30. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Ancien château d'Ochancourt. Aujourd'hui maison à usage de ménager, d'après nature 18 septembre 1865. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  31. Marius Touron, « Photographies : Moulin d'Ochancourt abattu par une tempête pendant l'hiver 1917-1918 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville, vers 1911 (consulté le ).
  32. a et b mémoire des anciens, Ochancourt-info, bulletin municipal
  33. http://archives.somme.fr/ark:/58483/a011371807350nkijhy/1/1
  34. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le ).
  36. Vincent Héry, « Vimeu industriel - intercommunalité: « Nous sommes en position d’attente » : Les prochaines semaines décideront de l’avenir de la communauté de communes du Vimeu industriel. Les élus souhaitent la voir grandir, mais avec qui s’allier ? », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  37. Vincent Héry, « Les élus favorables à une fusion Vimeu vert-Vimeu industriel : Les deux conseils communautaires se sont prononcés en faveur de ce mariage, qui n’a pas été envisagé dans le schéma présenté par la préfète », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  38. Julien Levasseur, « Les élus favorables à un mariage avec le Vimeu Vert : Fiscalité proche, bassin de vie et d'emploi homogène, compétences proches et complémentaires. A l'unanimité, les élus du Vimeu Industriel se sont déclarés favorables à une fusion avec leurs voisins du Vimeu Vert. », L'Informateur - L’Éclaireur,‎ (lire en ligne).
  39. G. L., « Vimeu vert - Pour une gestion égalitaire : La Communauté de communes de Vimeu Vert vit sa dernière année. Elle mènera un ultime chantier, la voirie, et se prépare à la fusion », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  40. « Vimeu - Oui à la fusion des intercommunalités », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  41. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du Vimeu Vert et de la communauté de communes du Vimont industriel », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 96-97 (lire en ligne [PDF]).
  42. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  43. Dictionnaire du personnel politique de la Somme (1800-1945), Archives départementales de la Somme, Amiens
  44. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [xls], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  45. « Flavien Grenon conduit la majorité sortante à Ochancourt : Daniel Gallet ne se représente pas. C’est son adjoint Flavien Grenon, 43 ans, qui prend le relais », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après la confirmation de l’arrêt du maire, Daniel Gallet, 75 ans, c’est son adjoint Flavien Grenon qui devient la tête de liste avec cinq conseillers sortants ».
  46. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. Xavier Togni, « Un nouveau mariage scolaire », Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 12.
  51. « CARTE SCOLAIRE : PROPOSITIONS DE FERMETURES ET D'OUVERTURES DE CLASSES FAITES PAR L'IA », (consulté le ).
  52. « La mort d'une école donne la vie à une autre », Courrier picard,‎ , p. 10 (lire en ligne).
  53. « Annuaire des établissements ».
  54. http://etablissements.ac-amiens.fr/0800061g/
  55. Bulletin municipal, décembre 2007.
  56. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église d'Ochancourt, d'après nature, 4 juillet 1850. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  57. L. Gillard, « Dessin : Église d'Ochancourt, 1866. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  58. Lucien de Chantereine, Revue des traditions populaires, 16e année, no 4, avril 1901
  59. André Guerville, Cadrans solaires, Richesses en Somme
  60. Gérard Bacquet et Marie-Noé Hue, Le Vimeu, imp. Paillart, Abbeville, G. Bacquet, Auxi-le-Château, , 366 p. (ISBN 978-2-902130-08-5, EAN 9782902130085), p. 267, 264.
  61. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/mersri_fr?ACTION=CHERCHER&FIELD_1=REF&VALUE_1=IA80000612
  62. René de Belleval, Nobiliaire de Ponthieu et de Vimeu, Lemer-Ainé, imprimeur-libraire, Amiens, place Périgord, 8, 1861-1862, p. 157.
  63. « Nobiliaire de Ponthieu et de Vimeu. [Volume 1] / par R. de B... », sur Gallica, 1861-1864 (consulté le ).
  64. « Armoiries sur la tombe dans le cimetière d'Ochancourt de M. d'Anvin. de Hardenthun (Alfred). Ancien officier aux lanciers de Navarre sous le règne du Roi Charles V d'Espagne, décédé à Drap (Comté de Nice) Sardaigne le 21 avril 1842 dans sa 35ème année. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  65. Ernest Prarond, Histoire de cinq villes, p. 203.
  66. « 80603 Ochancourt (Somme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).