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Numéro deux du gouvernement français[modifier | modifier le code]

Numéro deux du gouvernement français
Image illustrative de l’article HaT59/Brouillon2
Titulaire actuel
Bruno Le Maire
depuis le

Création
Mandant Président de la République
Premier titulaire André Malraux

Le terme numéro deux (no 2) du gouvernement français est utilisé afin de désigner le ministre venant immédiatement après le Premier ministre dans la composition du gouvernement.

Il est parfois chargé de l'intérim de celui-ci pendant ses périodes d’indisponibilité, sans toutefois que les textes encadrent ce cas.

Tout au long de la Cinquième République, le numéro deux du gouvernement a occupé systématiquement un ministère important dans le programme du gouvernement, ou un ministère régalien.

Le titulaire actuel est le ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique, Bruno Le Maire, depuis le .

Rôle et fonctionnement[modifier | modifier le code]

Bien qu'il ne s'agisse pas d’une fonction officielle d'un point de vue constitutionnel, l’expression de « numéro deux du gouvernement » est largement reprise dans la sphère politique et dans la presse (comme c’est le cas, par exemple, pour la conjointe du président de la République qui est plus communément appelée « Première dame de France »).

Dans certains pays, c’est l’appellation de « Vice-Premier ministre » qui est utilisée pour caractériser un ministre comme étant le numéro deux du gouvernement ; ce peut être une fonction, comme en Allemagne, ou un titre honorifique, comme au Royaume-Uni.

En France, cette appellation n’existe pas, mais il existe le statut de « ministre d’État » ; il peut toutefois y avoir plusieurs ministres d’État dans un même gouvernement, distingués formellement par leur rang protocolaire et informellement par l’importance politique donnée à leur portefeuille.

Deux numéros deux du gouvernement, Lionel Jospin et Jack Lang, ont assuré temporairement la charge de Premier ministre par intérim, respectivement en 1989 et 1992[1],[2],[3].

Le secteur d’activité du numéro deux du gouvernement français reflète les thèmes centraux de l’activité gouvernementale ou l’importance accordée à un portefeuille. En 2006, le Pacte écologique signé par le candidat et futur président Nicolas Sarkozy, prévoyait la création d’un poste de vice-Premier ministre chargé du Développement durable, poste qui ne fut finalement pas créé en tant que tel, mais sous la forme d’un poste de ministre d’État. En 2010, le fondateur du Pacte écologique Nicolas Hulot, réitère sa proposition de création d’un poste de vice-Premier ministre, proposition qui est une nouvelle fois refusée[4].

Dans l’histoire de la Cinquième République, quatre femmes ont exercé cette fonction. Quatre ministres l’ont été à deux périodes différentes. Quatre anciens Premiers ministres sont devenus par la suite numéro deux, et trois numéros deux sont devenus par la suite Premier ministre.

Liste des numéros deux des gouvernements français de la Cinquième République[modifier | modifier le code]

Nom Dates du mandat Parti Gouvernements Autres attributions gouvernementales
Présidence de Charles de Gaulle
André Malraux 1959 UDVe Debré Ministre d’État
1959 1969 Debré
Pompidou (1, 2, 3 et 4)
Couve de Murville
Ministre d’État, chargé des Affaires culturelles
Présidence de Georges Pompidou
Michel Debré 1969 1973 UDR Chaban Delmas
Messmer (1)
Ministre d’État, chargé de la Défense nationale
Jean Taittinger 1973 1974 Messmer (2) Garde des Sceaux
Ministre de la Justice
1974 Messmer (3) Ministre d’État
Garde des Sceaux
Ministre de la Justice
Présidence de Valéry Giscard d’Estaing
Michel Poniatowski 1974 1976 FNRI Chirac (1) Ministre d’État
Ministre de l’Intérieur
Olivier Guichard 1976 1977 UDR Barre (1) Ministre d’État
Garde des Sceaux
Ministre de la Justice
Alain Peyrefitte 1977 1981 RPR Barre (2 et 3) Garde des Sceaux
Ministre de la Justice
Présidence de François Mitterrand
Gaston Defferre 1981 1983 PS Mauroy (1 et 2) Ministre d’État
Ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation
Jacques Delors 1983 1984 Mauroy (3) Ministre de l’Économie, des Finances et du Budget
Gaston Defferre 1984 1986 Fabius Ministre d’État, chargé du Plan et de l’Aménagement du territoire
Édouard Balladur 1986 1988 RPR Chirac (2) Ministre d’État, chargé de l’Économie, des Finances et de la Privatisation
Lionel Jospin 1988 1992 PS Rocard (1 et 2)
Cresson
Ministre d’État
Ministre de l’Éducation nationale
Jack Lang 1992 1993 Bérégovoy Ministre d’État
ministre de l’Éducation nationale et de la Culture
Simone Veil 1993 1995 SE Balladur Ministre d’État
Ministre des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville
Présidence de Jacques Chirac
Jacques Toubon 1995 1997 RPR Juppé (1 et 2) Garde des Sceaux
Ministre de la Justice
Martine Aubry 1997 2000 PS Jospin Ministre de l’Emploi et de la Solidarité
Laurent Fabius 2000 2002 Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie
Nicolas Sarkozy 2002 2004 UMP Raffarin (1 et 2) Ministre de l’Intérieur, de la Sécurité intérieure et des Libertés locales
2004 Raffarin (3) Ministre d’État
Ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie
François Fillon 2004 2005 Raffarin (3) Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Nicolas Sarkozy 2005 2007 Villepin Ministre d’État
Ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire
Michèle Alliot-Marie 2007 Ministre de la Défense
Présidence de Nicolas Sarkozy
Alain Juppé 2007 UMP Fillon (1) Ministre d’État
Ministre de l’Écologie, du Développement et de l’Aménagement durables
Jean-Louis Borloo 2007 2008 Fillon (2) Ministre d’État
Ministre de l’Écologie, du Développement et de l’Aménagement durables
2008 2009 Ministre d’État
Ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire
2009 2010 Ministre d’État
Ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de la Mer, chargé des Technologies vertes et des Négociations sur le climat
Alain Juppé[5] 2010 2011 Fillon (3) Ministre d’État
Ministre de la Défense et des Anciens combattants
2011 2012 Ministre d’État
Ministre des Affaires étrangères et européennes
Présidence de François Hollande
Laurent Fabius[6] 2012 2014 PS Ayrault (1 et 2) Ministre des Affaires étrangères
2014 2016 Valls (1 et 2) Ministre des Affaires étrangères et du Développement international
Jean-Marc Ayrault[7] 2016 2017 Valls (2)
Cazeneuve
Ministre des Affaires étrangères et du Développement international
Présidence d’Emmanuel Macron
Gérard Collomb[8] 2017 2018 LREM Philippe (1 et 2) Ministre d’État
Ministre de l’Intérieur
François de Rugy[9] 2018 2019 Philippe (2) Ministre d’État
Ministre de la Transition écologique et solidaire
Nicole Belloubet 2019 2020 DVG Garde des Sceaux
Ministre de la Justice
Jean-Yves Le Drian 2020 2022 TdP Castex Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères
Bruno Le Maire 2022 LREM Borne Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Intérim du Premier ministre ou d'un ministre », sur Légifrance.
  2. « Décret du 14 décembre 1989 », sur Légifrance (consulté le ).
  3. « Décret du 31 octobre 1992 », sur Légifrance (consulté le ).
  4. « Sarkozy hésite encore… Hulot veut un Vice-Premier ministre chargé du Développement durable… », sur 20 minutes, .
  5. « Alain Juppé, un numéro 2 à la Défense », Libération,‎ (lire en ligne).
  6. « Laurent Fabius, numéro deux du gouvernement », Le Point,‎ (lire en ligne).
  7. « Jean-Marc Ayrault, la revanche », sur Europe 1, .
  8. « Gérard Collomb, la consécration d'un fidèle de Macron », Le Figaro,‎ (lire en ligne).
  9. « Avec le remaniement, Rugy devient numéro deux du gouvernement », sur BFM TV, .

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Jacques Chirac[modifier | modifier le code]

Mort, réactions et hommages[modifier | modifier le code]

Obsèques de Jacques Chirac
Cercueil de Jacques Chirac à l'hôtel des Invalides (Paris).

Sa santé continue de se détériorer au fil des années. En , Jean-Louis Debré indique qu’il ne reconnaît plus ses proches et qu’il ne parle plus[1],[2]. Il meurt à Paris, à son domicile du 4, rue de Tournon, le à h 45, à l'âge de 86 ans[3],[4]. Sa famille annonce que l'ancien président « s'est éteint au milieu des siens, paisiblement »[5].

Les anciens présidents Valéry Giscard d'Estaing, Nicolas Sarkozy et François Hollande ainsi que de nombreux élus et responsables politiques de tous bords lui rendent hommage, de même que de nombreuses personnalités politiques étrangères[6],[7]. Une minute de silence est observée à l'Assemblée nationale et au Sénat le jour de sa mort[8], ainsi qu'aux Nations unies. Un deuil national est déclaré en France le et une minute de silence est observée dans les administrations et les écoles ce jour-là à 15 heures[9]. Plusieurs hommages lui sont également rendus en Corrèze[10], où un hommage officiel, à la demande de la famille et du département, se tient le [11].

La ville de Paris, dont il a été maire pendant 18 ans, et l'administrateur de la Tour Eiffel décident d'éteindre les lumières de l'édifice au soir de sa mort[12]. Fait inédit après la disparition d’un président de la République, le vestibule d’honneur du palais de l'Élysée est ouvert le même soir ; dans cet espace, un recueil de condoléances est mis à disposition du public[13], une heure après une intervention télévisée d’Emmanuel Macron, qui déclare que « le président Chirac incarna une certaine idée de la France » et « était un grand Français, libre, […] amoureux taiseux de notre culture »[14].

Des réactions plus nuancées voire critiques se font cependant entendre. À l’extrême gauche, plusieurs personnalités critiquent sa politique économique et sociale ou son discours sur « le bruit et l'odeur » des immigrés[15]. Des médias, surtout étrangers, indiquent que les hommages sont davantage adressés à sa personnalité et à son époque qu’à son « maigre » bilan politique[16],[17],[18]. Le journaliste d'investigation Edwy Plenel insiste sur la condamnation judiciaire de l'ancien président[19].

À l'entrée de l'église Saint-Sulpice, des officiers de sécurité de l'Élysée sous la présidence de Jacques Chirac portant le cercueil de celui-ci.

Le , un hommage populaire lui est rendu aux Invalides, où le cercueil de l'ancien président recouvert du drapeau français est exposé pour que le public puisse venir se recueillir[20]. Le lendemain, une première cérémonie privée est organisée à h 30 à la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides, en présence de 200 personnes[21]. Les honneurs funèbres militaires lui sont ensuite rendus dans la Cour d'honneur des Invalides en présence du président Emmanuel Macron[21]. À midi, un hommage solennel a lieu dans l’église Saint-Sulpice de Paris où le cercueil de Jacques Chirac, enveloppé du drapeau tricolore et porté par ses anciens officiers de sécurité à l’Élysée, remonte la nef au son du Requiem de Gabriel Fauré en présence de 1 900 invités, dont 80 dignitaires étrangers[22], parmi lesquels le président russe Vladimir Poutine, le prince Albert II de Monaco, le président italien Sergio Mattarella, le président de la République du Congo Denis Sassou-Nguesso ou encore le roi de Jordanie Abdallah II[23]. Les anciens dirigeants américain Bill Clinton, chilienne Michelle Bachelet ou sénégalais Abdou Diouf sont également présents[23].

Jacques Chirac est ensuite inhumé au cimetière du Montparnasse (Paris 14e) auprès de sa fille Laurence[24].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Jacques Chirac ne se reconnaît plus : les confidences inquiétantes de son ami Jean-Louis Debré », sur Femme Actuelle (consulté le ).
  2. « Jacques Chirac : « Je ne sais pas s'il me reconnaît », confie Jean-Louis Debré », sur Le Point, (consulté le ).
  3. « Jacques Chirac est mort à l'âge de 86 ans, annonce sa famille », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  4. Serge Raffy, « Jacques Chirac, un destin », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  5. « L'ancien président Jacques Chirac est mort à l'âge de 86 ans  », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  6. « Larcher : « Jacques Chirac aura incarné l’âme de la France » », sur Public Sénat, (consulté le ).
  7. « Décès de Chirac: pluie d'hommages et tristesse », sur tdg.ch/ (consulté le ).
  8. « Une minute de silence à l’Assemblée et au Sénat pour Jacques Chirac », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  9. « Comment va se dérouler l'hommage à Jacques Chirac ? », sur FIGARO,
  10. Centre France, « Adieu - La Corrèze "orpheline" rend hommage à Jacques Chirac ce lundi à l'hôtel Marbot à Tulle », sur www.lamontagne.fr, (consulté le ).
  11. « Jacques Chirac : Journée d'hommage ce samedi 5 octobre en Corrèze », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  12. « Mort de Jacques Chirac : la tour Eiffel s'éteindra à partir de 21 heures, en hommage à l'ancien président », sur Franceinfo, (consulté le )
  13. Par R. Bx Le 26 septembre 2019 à 19h45 et Modifié Le 26 Septembre 2019 À 21h26, « Mort de Jacques Chirac : l’Elysée ouvre ses portes aux Français pour les condoléances », sur leparisien.fr, (consulté le )
  14. Par Cyril Simon et Vincent GautierLe 26 septembre 2019 à 12h18 et Modifié Le 26 Septembre 2019 À 22h42, « DIRECT. Mort de Jacques Chirac : des funérailles nationales la semaine prochaine », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  15. « "Politicien bourgeois", "héritage bien maigre"... Ces quelques voix discordantes après la mort de Jacques Chirac », sur francetvinfo.fr, (consulté le )
  16. Raphaëlle Bacqué, « Mort de Jacques Chirac, frère, père ou grand-père de toutes les générations », sur lemonde.fr, .
  17. « Jacques Chirac, miroir des contradictions françaises », sur lemonde.fr, .
  18. Gaël Lombart, « Mort de Chirac : la presse internationale loue le leader, pas son bilan », sur leparisien.fr, .
  19. « Tout le monde n’a pas rendu un hommage ému à Jacques Chirac », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  20. "Comment se préparent les obsèques de Jacques Chirac" par Sophie Lebrun, lavie.fr, 28 septembre 2019.
  21. a et b Benoît Floc'h, Béatrice Gurrey et Solenn de Royer, « Adieux intimes et offices solennels pour un dernier hommage à Jacques Chirac », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Obsèques de Jacques Chirac : arrivée de nombreuses personnalités à l'église Saint-Sulpice », sur France 24 (consulté le ).
  23. a et b "La longue liste des personnalités présentes aux obsèques de Jacques Chirac", L'Obs, 30 septembre 2019.
  24. « Jacques Chirac sera inhumé au cimetière du Montparnasse auprès de sa fille Laurence », sur lefigaro.fr, (consulté le ).

Pandémie de Covid-19[modifier | modifier le code]

Graphique établi à partir des données du gouvernement.

10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
28/02
12/03
25/03
08/04
20/04
  •   Morts
  •   Cas soignés
  •   Cas actifs

Quiero Volver Tour[modifier | modifier le code]

Quiero Volver Tour
Tournée par Martina Stoessel
Album promu Quiero Volver
Date de début à Buenos Aires, Drapeau de l'Argentine Argentine
Pays visités Drapeau de l'Allemagne Allemagne
Drapeau de l'Argentine Argentine
Drapeau de la Belgique Belgique
Drapeau du Chili Chili
Drapeau de la Colombie Colombie
Drapeau de l'Espagne Espagne
Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Drapeau du Mexique Mexique
Drapeau du Paraguay Paraguay
Drapeau des Pays-Bas Pays-Bas
Drapeau de l'Uruguay Uruguay
Site web www.tinistoessel.com

Tournées par Martina Stoessel

Quiero Volver Tour est la deuxième tournée de la chanteuse argentine Martina Stoessel. Elle débute le au Luna Park, à Buenos Aires[1]. Durant cette tournée, elle présente son deuxième album, Quiero Volver, et reprend également des titres de son premier album, Tini. Elle chante aussi des remixes auxquels elle a participé, comme La Cintura d’Álvaro Soler ou Lo Malo d’Aitana et Ana Guerra.

Déroulement[modifier | modifier le code]

Après sa représentation au Luna Park, elle enchaîne d’autres dates, dans d’autres villes d’Argentine et au Chili[2],[3],[4]. La tournée se poursuit à Montevideo, à Salta, à Tucumán et à Neuquén[5],[6],[7].

La date à Tucumán a été doublée en raison de la forte demande[8], deux dates sont ajoutées à Córdoba pour les et , de même que deux dates supplémentaires, les et , au Luna Park[9],[10]. Elle annonce, via les réseaux sociaux, qu’elle donnera une représentation à Mexico, le au Pepsi Center WTC[11].

Plus tard, la chanteuse partage d’autres dates en Argentine comme à Córdoba, mais aussi une date au Pérou, le à Lima[12],[13]. Elle se produit aussi à San Salvador de Jujuy, devant plus de 10 000 personnes[14].

Sur Twitter, Martina Stoessel fait savoir que, pour la première fois, le Quiero Volver Tour passera en Colombie et au Paraguay[15],[16]. Le , elle partage les premières dates européennes de la tournée, en France, en Belgique, en Italie, aux Pays-Bas et en Allemagne[17],[18].

La tournée se poursuit ensuite en Argentine au Movistar Arena (es), le , devant plus de 11 000 personnes, et au Luna Park, les 28 et , ainsi que les 3 et [19],[20].

Sa tournée passe également dans des festivals comme celui de la Villa María, le , en Argentine et le festival Únicos, en Espagne, le , ainsi que dans des programmes à but bénéfique, comme Un Sol para los Chicos (es) le [21].

En , Martina Stoessel suspend sa tournée en Europe en raison de la pandémie de Covid-19[22].

Premières parties et invités[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b (es) « Así fue el show de Tini Stoessel en el Luna Park », sur www.clarin.com, (consulté le ).
  2. (es) « Tini llega a Mendoza con “Quiero volver tour” », sur www.viapais.com, (consulté le ).
  3. (es) « Llega a Rosario Tini Stoessel con su esperado “Quiero volver tour” », sur www.elciudadanoweb.com, (consulté le ).
  4. (es) « Así fue el regreso de Tini Stoessel a los escenarios nacionales », sur www.adnradio.cl, (consulté le ).
  5. (es) « Quiero Volver Tour », sur www.teatroprovincial.gob.ar (consulté le ).
  6. (es) « Tini presenta su tour “Quiero volver” el 7 de septiembre en el Antel Arena », sur m.subrayado.com.uy (consulté le ).
  7. (es) « Salen a la venta las entradas para Tini en Neuquén », sur www.rionegro.com.ar (consulté le ).
  8. (es) « Sorpresa y agradecimiento : Tini Stoessel suma una fecha en Tucumán », sur www.eltucumano.com (consulté le ).
  9. (es) « TINI regresa al Luna Park con el ‘Quiero Volver Tour’ », sur www.billboard.com.ar, (consulté le ).
  10. (es) « TINI Quiero volver Tour | 18 y 26/10/2019 », sur www.lunapark.com.ar (consulté le ).
  11. (es) « Tini “Quiero Volver Tour” », sur m.ticketmaster.com.mx (consulté le ).
  12. « TINI - QUIERO VOLVER TOUR », sur portal.autoentrada.com (consulté le ).
  13. « TINI - QUIERO VOLVER TOUR PLAZA ARENA JOCKEY - SANTIAGO DE SURCO - LIMA 8/11/2019 », sur teleticket.com.pe (consulté le ).
  14. « Tini vuelve a la Argentina con todo ¡La está rompiendo en Jujuy! », sur www.abcdiario.com.ar (consulté le ).
  15. « TINI », sur www.entradasamarillas.com (consulté le ).
  16. « Tini Stoessel dará un concierto en Paraguay en diciembre », sur Última Hora (consulté le ).
  17. (de) « Tini auf Tour: Hier kannst du sie sehen! », sur www.bravo.de (consulté le ).
  18. (it) « Martina Stoessel annuncia tre concerti in Italia nel 2020 », sur www.notiziemusica.it (consulté le ).
  19. (es) « Los 5 mejores momentos de Tini Stoessel en la inauguración del Movistar Arena », sur La Nación (consulté le ).
  20. (es) « TINI Quiero volver Tour | 29/11/2019, 03 y 05/12/2019 », sur www.lunapark.com.ar (consulté le ).
  21. (es) « Con Tini Stoessel, Jimena Barón y Luciano Pereyra arrancó una nueva edición de “Un sol para los chicos” », sur viapais.com.ar (consulté le ).
  22. (es) « Tini Stoessel suspendió su gira en Europa por el coronavirus », sur infobae.com, (consulté le ).
  23. (es) « Villa María 2019 : cómo fue la noche de Tini, Pablo Alborán y Sebastián Yatra », sur vos.lavoz.com.ar (consulté le ).
  24. (es) « Tini Stoessel declara su amor a Chile : “Es un país que siempre me ha abierto las puertas” », sur 24 Horas (consulté le ).
  25. (es) « Tini Stoessel promete hacer estallar mañana el Antel Arena con su nuevo show », sur www.tvshow.com.uy (consulté le ).

Élections municipales de 2020 à La Réunion[modifier | modifier le code]

Élections municipales de 2020 à La Réunion
(1er tour)
(2d tour)
Type d’élection Élections municipales
Corps électoral et résultats
Population 853 659
Inscrits 655 938
Votants 330 090
50,32 %
Votes exprimés 315 947
Votes nuls 14 143
Divers droite
Voix 94 960
30,06 %
Divers gauche
Voix 62 539
19,79 %
Divers centre
Voix 48 042
15,21 %
Union de la gauche
Voix 37 210
11,78 %
Les Républicains
Voix 24 129
7,64 %
Divers
Voix 19 686
6,23 %
Carte des communes de La Réunion
Carte
Tableau synthétique régional par nuance de listes des élections municipales de 2020 à La Réunion[1],[2]
Listes Premier tour Second tour
Voix % Voix %
Divers droite DVD 94 960 30,06
Divers gauche DVG 62 539 19,79
Divers centre DVC 48 042 15,21
Union de la gauche UG 37 210 11,78
Les Républicains LR 24 129 7,64
Divers DIV 19 686 6,23
Parti communiste français PCF 12 160 3,85
Union des démocrates et indépendants UDI 5 767 1,83
Divers écologiste ECO 3 131 0,99
La France insoumise LFI 2 301 0,73
Rassemblement national RN 1 727 0,55
Parti socialiste PS 1 712 0,54
Gilets jaunes GJ 1 404 0,44
Mouvement démocrate MoDem 456 0,14
La République en marche LREM 422 0,13
Divers extrême gauche EXG 301 0,10
Votes blancs et nuls 14 143 4,29
Total 330 090 100 100
  1. Le classement correspond aux nuances établies par le ministère de l'Intérieur.
  2. « Résultat élections municipales 2020 La Réunion », sur ouest-france.fr (consulté le ).

Henry Lémery[modifier | modifier le code]

Résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Élections législatives[modifier | modifier le code]

Date Circonscription Voix % Issue
1906 [1] 1re de la Martinique 4 968 47,9 Battu
1909 [2] 2e du 12e arr. de Paris 8 0,1 Battu
1914 [3] 1re de la Martinique 6 868 67,7 Élu
1919 [4] Martinique[a] 7 867 25,0 Ballottage
[5] 13 499 20,6 Battu

Élections sénatoriales[modifier | modifier le code]

Date Circonscription Voix % Issue
1920 [6] Martinique 196 63,8 Élu
1924 [7] Martinique 135 49,8 Battu
[8] Martinique 147 54,4 Élu
1932 [9] Martinique 155 52,2 Élu
  1. Circonscription unique.
  1. « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
  2. « Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris », sur gallica.bnf.fr, .
  3. « Résultats électoraux des élections législatives des 26 avril et 10 mai 1914 » [PDF], sur archives.assemblee-nationale.fr.
  4. « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
  5. « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
  6. « Séance du 22 janvier 1920 » [PDF], sur senat.fr.
  7. « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
  8. « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .
  9. « Journal officiel de la Martinique », sur gallica.bnf.fr, .

Primaire citoyenne à Marseille[modifier | modifier le code]

Année Parti 1er tour 2d tour
Voix % Rang Adversaires Voix % Issue Adversaire
2013[1] PS 5 151 25,3 1re 10 044 42,8 Battue Patrick Mennucci
  1. « Résultats : Marseille », sur resultats.lesprimairescitoyennes.fr, (version du sur Internet Archive).

Synthèse des résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Présidence du Sénat[modifier | modifier le code]

Date Premier tour Deuxième tour Troisième tour
Voix % Rang Issue Voix % Rang Issue Voix % Rang Issue
[1] 118 38,2 1er Ballottage 125 39,4 1er Ballottage 189 66,8 1er Élu
[2] 201 65,7 1er Élu
[3] 191 62,0 1re Élu

Élections sénatoriales[modifier | modifier le code]

Année Circonscription Premier tour Second tour
Voix % Rang Issue Voix % Rang Issue
1986[4] Vosges 982 77,8 1er Élu
1995[5] 585 48,4 1er Ballottage 633 53,2 1er Élu
2004[6] 710 59,5 1er Élu
  1. « Compte rendu de la séance du 1er octobre 1998 », sur senat.fr.
  2. « Compte rendu de la séance du 1er octobre 2001 », sur senat.fr.
  3. « Compte rendu de la séance du 1er octobre 2004 », sur senat.fr.
  4. « Résultats des sénatoriales de 1986 : Vosges », sur politiquemania.com (consulté le ).
  5. « Résultats des sénatoriales de 1995 : Vosges », sur politiquemania.com (consulté le ).
  6. « Résultats des élections sénatoriales 2004 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).