Aller au contenu

Pont-Évêque

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Pont-évêque)

Pont-Évêque
Pont-Évêque
La mairie, place Claude-Barbier.
Blason de Pont-Évêque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Vienne Condrieu Agglomération
Maire
Mandat
Martine Faïta
2020-2026
Code postal 38780
Code commune 38318
Démographie
Gentilé Episcopontains
Population
municipale
5 466 hab. (2021 en évolution de +4,75 % par rapport à 2015)
Densité 624 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 31′ 52″ nord, 4° 54′ 43″ est
Altitude Min. 165 m
Max. 321 m
Superficie 8,76 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Vienne
(banlieue)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vienne-1
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pont-Évêque
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pont-Évêque
Géolocalisation sur la carte : Isère
Voir sur la carte topographique de l'Isère
Pont-Évêque
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Pont-Évêque
Liens
Site web www.ville-pont-eveque.fr

Pont-Évêque (prononcée [pɔ̃.t‿evɛk]) est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Autrefois située dans la province royale du Dauphiné, la commune est adhérente à la communauté de Vienne Condrieu Agglomération et ses habitants sont appelés les Episcopontains[1].

Géographie

[modifier | modifier le code]

Situation et description

[modifier | modifier le code]

Pont-Évêque est située dans l'aire urbaine de Vienne et dans son unité urbaine.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Sites géologiques remarquables

[modifier | modifier le code]

Le contact entre la molasse du Miocène et le granite de Pont-Evêque, au lieu-dit de La Perrière, est un site géologique remarquable de 0,16 hectare. Il s'agit d'une falaise rocheuse fossile, d'intérêt sédimentologique. En 2014, il est classé « deux étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[2].

Communes limitrophes

[modifier | modifier le code]

Le territoire de Pont-Évêque est bordé par quatre autres communes.

Communes limitrophes de Pont-Évêque
Serpaize
Vienne Pont-Évêque Septème
Estrablin

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 862 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Luzinay », sur la commune de Luzinay à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 928,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records LUZINAY (38) - alt : 310m, lat : 45°35'26"N, lon : 4°58'19"E
Records établis sur la période du 01-02-1998 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 1,1 3,9 7 10,8 14,4 16,1 15,7 12,4 9,4 4,7 1,6 8,2
Température moyenne (°C) 3,7 4,8 8,6 12,2 16,1 20,2 22,1 21,6 17,7 13,3 7,7 4,3 12,7
Température maximale moyenne (°C) 6,5 8,4 13,3 17,4 21,3 25,9 28 27,5 22,9 17,3 10,7 7 17,2
Record de froid (°C)
date du record
−10
13.01.03
−12,9
05.02.12
−10,5
01.03.05
−3,4
08.04.03
1,5
07.05.19
5,5
07.06.06
7,5
13.07.00
7,9
30.08.1998
4,2
27.09.20
−3,5
26.10.03
−7,8
23.11.1998
−14
30.12.05
−14
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
18,5
10.01.15
21
23.02.20
24,8
30.03.17
29,2
21.04.18
33,1
24.05.09
39
22.06.03
39,6
24.07.19
40,3
13.08.03
33,8
14.09.20
27,7
04.10.10
21,5
07.11.15
17,2
05.12.06
40,3
2003
Précipitations (mm) 64,5 52,4 55,2 75,2 92,5 78,5 72,7 67,8 91,3 110,2 101,9 65,9 928,1
Source : « Fiche 38215002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est longé dans sa partie méridionale par la Gère, un affluent du Rhône qui traverse ensuite la ville de Vienne et d'une longueur de 34,5 km de longueur[9]. Le territoire est également traversé par son affluent, la Véga, d'une longueur de 18 km[10].

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]
Station du Tramway de Saint Jean vers 1910

Voies routières

[modifier | modifier le code]

La pointe sud du territoire est traversé par la RD502, ancienne route nationale 502 déclassée à la suite de la réforme de 1972. Cette route permet de rejoindre la RD1085 (ancienne RN85) qui relie Lyon à Grenoble.

La commune est également traversée par la RD75 qui relie Vienne, à La Verpillière et à Chavanoz.

Transports en commun

[modifier | modifier le code]

Les gares ferroviaires les plus proches sont la gare de Vienne et la gare d'Estressin, situées à moins de cinq kilomètres et toutes les deux desservies par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes. Entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle la ville fut reliée à Vienne par une ligne du CEN Réseau Isère.

Au niveau local, la commune est desservie par le réseau urbain L'va de l'agglomération de Vienne, notamment via les lignes 1 (via Malissol) et 4 (via Vallée de Gère), ainsi que par des lignes scolaires et interurbaines.

Au , Pont-Évêque est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vienne[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 25 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[13]. Cette aire, qui regroupe 397 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (64,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,1 %), zones urbanisées (24,5 %), prairies (12,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,4 %), forêts (8,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques

[modifier | modifier le code]

Risques sismiques

[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Pont-Évêque est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[17].

Terminologie des zones sismiques[18]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques

[modifier | modifier le code]

Origine de la ville

[modifier | modifier le code]

Au Ve siècle, les corps de trois martyrs viennois : Séverin, Exupère et Félicien, furent ensevelis dans une petite église dédiée à saint Romain avant que Barnard, archevêque de Vienne ne les transfère en 841 à Romans. Jusqu’à sa destruction par les protestants en 1562, la procession solennelle du mardi des Rogations à laquelle participaient les clercs de Vienne (séculiers et réguliers) arrivait à Saint-Romain[19].

Naissance de la commune

[modifier | modifier le code]

Tout comme Chasse-sur-Rhône, Chuzelles, ou Serpaize, Pont-Évêque est une entité municipale récente, elle est née le .

Ancien faubourg dépendant de Septème et d'Estrablin, Pont-Évêque s'est développé au XVIIIe siècle grâce à la pureté des eaux et à la force motrice de la Gère qui a attiré des industries diverses[20],[21].

Elle appartenait à la veille de la Révolution de 1789 à la seigneurie de Septème, qui s'étendait sur tout ou en partie des cinq communes actuelles de Septème, Oytier-Saint-Oblas, Saint-Just-Chaleyssin, Serpaize, et enfin Pont-Évêque. Mais sur le plan religieux elle était déjà, et depuis longtemps, une paroisse.

En organisant les communes en 1790, la Révolution maintint Pont-Évêque et Serpaize dans la commune de Septème qui perdit le reste.

C'est le puissant essor industriel de Pont-Évêque dans la première moitié du XIXe siècle qui devait poser le problème de l'émancipation communale des Episcopontais : au vieux grief qu'était l'éloignement considérable de Septème dont le chef-lieu est à huit kilomètres, s'ajoutait maintenant celui du divorce d'intérêts, les Septèmois étant restés paysans, contrairement aux industriels Episcopontais.

Finalement, les pétitions recueillirent l'avis favorable de l'administration préfectorale et la loi du couronna tous ces efforts. Pont-Évêque était érigé en une commune dont le territoire fut taillé dans ceux de Septème, d'Estrablin et de Vienne[22].

Histoire industrielle

[modifier | modifier le code]

C'est en 1840 que Victor-Aimé Frerejean, déjà propriétaire des[Lesquels ?] deux hauts fourneaux édifiés[Où ?] en 1819, construit une forge comtoise[Quoi ?] à Pont-Évêque. Cette unité, très moderne à l'époque sera intégrée[Comment ?] en 1863 à l'usine Harel et Cie[Quoi ?] comportant outre les deux hauts fourneaux, vingt fours à puddler et une nouvelle forge comtoise[pas clair]. La production de fers fins[Quoi ?] sera de 1 000 tonnes par mois[23].

Politique et administration

[modifier | modifier le code]

Administration municipale

[modifier | modifier le code]

En 2021, le conseil municipal de la ville est constitué de vingt-neuf membres (quatorze femmes et quinze hommes), dont une maire, sept adjoints au maire et onze conseillers municipaux[24].

Tendances politiques et résultats

[modifier | modifier le code]

Liste des maires

[modifier | modifier le code]

Les habitants de Pont-Évêque se nomment les Épiscopontains.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1896 1908 Francisque Cartallier    
1919 1925 Louis Leydier    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 décembre 2011 Daniel Cachet SE Agent de maîtrise
décembre 2011 En cours Martine Faïta UDI Retraitée[25]
Vice-Présidente de la Communauté d'agglomération du Pays Viennois
Conseillère départementale depuis 2021

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 5 466 habitants[Note 4], en évolution de +4,75 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 7991 6621 7521 6561 4091 3441 3571 4621 586
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 5631 6521 6511 6951 6771 7251 8812 1485 636
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
5 5425 3855 0675 1055 1105 1485 2075 466-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

Les divers établissements scolaires de la commune sont rattachés à l'académie de Grenoble.

  • Collège Georges Brassens
  • Ecole maternelle Les Genêts
  • Ecole primaire Françoise Dolto
  • Ecole primaire Jacques-Yves Cousteau
  • Ecole primaire privée Les Eaux Vives

Équipement culturel et sportif

[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

La communauté catholique et l'église de Pont-Évêque (propriété de la commune) sont desservies par la paroisse « Sanctus en Viennois », elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[30].

Économie et industrie

[modifier | modifier le code]

La ville produit des biens d'équipement domestique, avec l'usine Calor du Groupe SEB. A signaler aussi la société de fabrication de machines-outils Cazeneuve[31] (existant depuis 1905, implantée à Pont depuis 1967[32]).

Elle est également marquée par l'industrie papetière, avec la présence d'une usine du groupe finlandais Ahlstrom.

Aujourd'hui la ville de Pont-Évêque a une vie économique dense avec plus de 360 entreprises ce qui représente près de 3000 emplois. Ces entreprises sont situées dans les zones industrielles de l'Abbaye et de Montplaisir, mais également au centre-ville, avec bon nombre de commerces divers et variés.

Culture et patrimoine

[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Avit et Saint-Georges, place Claude-Barbier.

L'église paroissiale Saint-Avit-et-Saint-Georges ayant été détruite par les protestants en 1562, l'édifice actuelle est donc de construction plus récente. Le visiteur peut cependant découvrir des réemplois de l'édifice primitif dans les chapiteaux du portail. Cet édifice de rite catholique présente une nef à triforium avec des bas côtés de cinq travées, séparées par des colonnes, un chevet polygonal et un clocher-tour surmonté d'une flèche. À l'intérieur, la façade est soutenue par de hauts piliers. Le tympan du portail permet de découvrir une croix templière à fleurs de lys positionnée à l'intérieur d'un trèfle[33].

Le monument aux morts communal, situé près de l'église, est de facture très sobre. Il s'agit d'une colonne en forme d'obélisque surélevée par un piédestal de trois marches avec l'inscription des victimes de la commune morts lors des deux conflits mondiaux et la guerre d'Algérie (1954-1962)[34].

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Antoine Frerejean (1736-1789), maître de forge.

La ville est jumelée avec :

Héraldique

[modifier | modifier le code]
Blason de Pont-Évêque Blason
De pourpre au pont d’une arche d’or, maçonné de sable, pentu en barre à dextre, posé sur une rivière d’azur mouvant de la pointe, surmonté de l’inscription « 1867 » en chiffres de gueules, l’ouverture chargée d’une mitre de gueules ornée d’or, brochant sur la rivière.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références

[modifier | modifier le code]

Notes et cartes

[modifier | modifier le code]
  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Vienne, il y a une ville-centre et 24 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Site habitants.fr, page sur Pont-Évêque, consulté le 11 novembre 2021.
  2. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Pont-Évêque et Luzinay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Luzinay », sur la commune de Luzinay - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Luzinay », sur la commune de Luzinay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Gère (V32-0400) » (consulté le )
  10. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Véga (V3220540) » (consulté le )
  11. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Vienne », sur insee.fr (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Pont-Évêque ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  18. [1]
  19. Cavard (P.) : "Vienne la Sainte, Vienne, Blanchard " 1977
  20. Genty : "Du village à la ville, évolution d'une commune et adaptation du milieu agricole. Exemple de Pont-Évêque, Mémoire de maîtrise de Géographie " 1981
  21. Bulletin des lois de la République française de 1867, 2e semestre, p.  81 : Le territoire de la section de Pont-Évêque… sur Google Livres.
  22. Histoire des Communes de l'Isère, Arrondissement de Vienne, 1987.
  23. Ernest Chabrand : "Histoire de la métallurgie du fer en Savoie et Dauphiné " 1898
  24. Site ville-pont-eveque.fr, page "Les élus", consulté le 11 novembre 2021.
  25. « Résultats municipales 2020 à Pont-Évêque », sur lemonde.fr (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. page sur les paroisses du Viennois, consulté le 11 novembre 2021.
  31. « Cazeneuve fête ses 115 ans », sur Machines Production (consulté le ).
  32. https://www.ledauphine.com/economie-et-finance/2017/06/06/cazeneuve-developpe-ses-machines-outils-a-l-international
  33. Site petit-patrimoine.com, page "Eglise Saint Avit et Saint Georges de Pont Évêque", consulté le 11 novembre 2021.
  34. Site monumentsmorts.univ-lille.fr, page sur le monument aux morts de Pont-Évêque, consulté le 11 novembre 2021.
  35. a et b Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :