Frontonas

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Frontonas
Frontonas
La mairie de Frontonas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté de communes Les Balcons du Dauphiné
Maire
Mandat
Annick Merle
2020-2026
Code postal 38290
Code commune 38176
Démographie
Population
municipale
2 109 hab. (2021 en augmentation de 3,89 % par rapport à 2015)
Densité 167 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 38′ 59″ nord, 5° 11′ 05″ est
Altitude 230 m
Min. 207 m
Max. 401 m
Superficie 12,65 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Frontonas
(ville isolée)
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Verpillière
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Frontonas
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Frontonas
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Frontonas
Liens
Site web www.frontonas.fr

Frontonas est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes,

Historiquement rattachée à la province du Dauphiné, la cité fait partie de l'aire urbaine de Lyon. La commune est également adhérente à la communauté de communes Les Balcons du Dauphiné dont le siège est fixé à Saint-Chef.

Ses habitants sont appelés les Frontonois[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Située non loin de l'agglomération berjalienne, Frontonas qui a gardé un aspect très nettement rural malgré une montée de l'urbanisation, est situé au sud de l'Isle-Crémieu, au pied des dernières collines. Le village s'étire le long de la route depuis que les différents hameaux se sont rejoints par des constructions récentes.

Au nord-est, ce sont des petites collines, des marais et des champs, tandis que le sud-ouest est occupé par les riches terres du marais asséché par le canal du Catelan parallèle à la Bourbre et leur réseau de drainage.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Selon l'ouvrage publié en 1987 par l'éditeur Horvath et consacré à l'histoire des communes de l'Isère[2], le territoire situé dans le secteur de l'Isle-d'Abeau se présente essentiellement « comme un plateau à deux niveaux, parallèlement inclinés vers le sud-est ». Les deux niveaux du plateau appartiennent à la période dite du Jurassique moyen. Dans la partie occidentale du plateau, on peut noter la présence de calcaires gris datant du Bajocien et sur l'autre moitié, plus à l'est, on découvre plutôt des calcaires blonds et tendres au caractère sub-corallien. En effet, la bordure orientale de la région naturelle de L'Isle-Crémieu, de laquelle dépend cette partie du territoire communal, est riche en débris d'oursins et quelquefois même de débris de crustacés[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 067 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lyon-Saint-Exupery », sur la commune de Colombier-Saugnieu à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Frontonas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Frontonas, une unité urbaine monocommunale[13] de 2 069 habitants en 2017, constituant une ville isolée[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,3 %), terres arables (25,4 %), forêts (12,8 %), zones urbanisées (12 %), zones humides intérieures (4,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Frontonas est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[19].

Terminologie des zones sismiques[20]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du bourg central[modifier | modifier le code]

Les noms de hameaux[modifier | modifier le code]

  • Charamel : de chalumeau, la paille, le tube du roseau. À rapprocher de chamarella = jouer du chalumeau (flute en roseau), chanter en patois dauphinois[21]. Racine indo-européenne : ḱalh.
  • les Quatre Vies : les quatre via, les quatre chemins.
  • la Léchère : la lèche est une herbe des marais que l'on retrouve dans toute la France, utilisée en particulier en Normandie autour du Livarot, fromage ceint de 5 lèches. Elle servait pour les litières des animaux. la Léchère est un toponyme assez répandu en Dauphiné.

Histoire[modifier | modifier le code]

Monument aux morts de Frontonas.

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Autres périodes[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 juin 1995 Aimé Vidal    
juin 1995 mars 2008 Jean-Claude Blanc    
mars 2008 En cours
(au avril 2014)
Annick Merle UMP-LR Cadre
Vice-Présidente du Conseil Départemental
Conseillère départementale du Canton de Charvieu-Chavagneux depuis 2015

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 2 109 habitants[Note 3], en augmentation de 3,89 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6256505757519589891 0641 0551 100
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1351 1571 1821 1371 0801 061978965938
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
905840748712715691678695667
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
7577119271 1291 3791 7141 8121 8291 956
2017 2021 - - - - - - -
2 0692 109-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • CPartiMonKiki : Asso dont le but est d'organiser des manifestations festives
  • Le 1er samedi de juillet : Courses de Plumards, Aperock, performance de graffeurs, cracheurs de feu.
  • Le dimanche avant Noël : Matinée huîtres

Équipements sportifs[modifier | modifier le code]

  • Badminton Club de Frontonas
  • Entente Sportive Frontonas-Chamagnieu : club de football et de basket
  • Tennis Club Frontonas Chamagnieu

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

Église de Frontonas.

L'église paroissiale (propriété de la commune) est desservie par la paroisse de Saint-Paul-des-Quatre-vents qui recouvrent dix communes. Cette paroisse est elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[26].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

la maison forte est citée au XIe siècle avec sa chapelle.
  • Maison forte de Certeau du XVe siècle[28].
  • Monument aux morts communal
  • Château Saint Julien ;
  • Château de Certeau.
  • Moulin à huile du rebat[29] : restauré dans les années 1990, il a été vandalisé mais montre une structure importante du village. Sa roue à axe vertical est parfaitement visible d'en bas et digne d'intérêt : on parle de moulin à rodet. Ce dispositif peut courant ici permet d'exploiter le faible dénivelé. L'autre avantage est la simplicité de réalisation puisqu'il n'y a pas d'engrenage. Ceci devrait induire une réduction des pertes mécaniques, mais l'ensemble n'a qu'un faible rendement (25%). Les augets répartis sur un plateau horizontal reçoivent le jet issu d'une tuyère, ou canon. Le "canal du moulin" plus haut pourrait être le témoin d'un deuxième moulin, et les structures de l'étang de Charamel d'un troisième.
  • les fours à chaux : situés à Pignieu, ils montrent une petite structure semblables à celles que l'on trouve encore en fonctionnement au Maghreb. Elle est à rapprocher des fours paysans du Briançonnais de par sa taille. Construits à flanc de colline, ils étaient approvisionnés par le haut en pierre et en combustibles.

Langue régionale[modifier | modifier le code]

Carte linguistique du Dauphiné : Le dauphinois est un dialecte arpitan parlé dans le nord du Dauphiné.

Historiquement, sur le plan linguistique, le territoire de Frontonas, ainsi que l'ensemble du Nord-Isère, se situe au nord-ouest de l'agglomération grenobloise et au sud-est de l'agglomération lyonnaise. Son secteur se situe donc dans la partie centrale du domaine linguistique des patois dauphinois, laquelle appartient au domaine de la langue dite francoprovençal ou arpitan au même titre que les parlers savoyards, vaudois, Valdôtains, bressans et foréziens[30],[31].

L'idée du terme, « francoprovençal », attribué à cette langue régionale parlée dans la partie centre-est de la France, différente du français, dit langue d'oil et de l'occitan, dit langue d'oc, est l'œuvre du linguiste et patriote italien Graziadio Isaia Ascoli en 1873 qui en a identifié les caractéristiques, notamment dans le Grésivaudan, les pays alpins et la vallée de l'Isère, depuis sa source jusqu'à sa confluence avec le Rhône.

Traditions et légendes[modifier | modifier le code]

  • Le Bègue : sorte de loup cornu, à grandes dents blanches et queue verte ; il emporte les enfants pour les manger dans les bois[32].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pierre-François Charrel, né à Frontonas en 1756, fils de notaire et homme de loi, est député de l'Isère sous la Convention. Ayant voté la mort du roi, il est à nouveau député des Cinq-Cents. Sous la Restauration, exilé comme régicide, il meurt dans la misère à Constance en 1817.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Frontonas possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 4 mars 2020.
  2. Histoire des Communes de L'Isère, ouvrage collectif éditions Horvath, 1987.
  3. Site de Persée, Bulletin mensuel de la Société linnéenne de Lyon, année 1963, volume 32.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Frontonas et Colombier-Saugnieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lyon-Saint-Exupery », sur la commune de Colombier-Saugnieu - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Lyon-Saint-Exupery », sur la commune de Colombier-Saugnieu - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Frontonas », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité [PDF].
  20. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
  21. Bibliothèque historique et littéraire du Dauphiné, E. Allier (lire en ligne).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Site de la paroisse Saint-Paul-des-quatre-vents, page sur Bonnefamille, consulté le 6 novembre 2021.
  27. « Eglise paroissiale Saint-Julien », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  28. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), p. 679.
  29. Site ledauphine.com, article "Le moulin du Rebat en fête", consulté le 7 novembre 2021.
  30. Site cosmovisions.com, page sur la langue dauphinoise, consulté le 16 novembre 2019
  31. Site electriccafe.org, page "Un peu de géographie", consulté le 16 novembre 2016
  32. Les croquemitaines en Dauphiné et Savoie : l'enquête Charles Joisten, article de Alice Joisten et Christian Abry dans Le Monde alpin et rhodanien. Revue régionale d’ethnologie Année 1998 26-2-4 pp. 21-56.