Longes

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Longes
Longes
Vue d'ensemble en 2020, avec les monts qui sont stylisés sur le logo de la commune.
Image illustrative de l’article Longes
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Rhône
Arrondissement Lyon
Intercommunalité Vienne Condrieu Agglomération
Maire
Mandat
Lucien Bruyas
2020-2026
Code postal 69420
Code commune 69119
Démographie
Population
municipale
964 hab. (2021 en augmentation de 2,12 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 30′ 20″ nord, 4° 41′ 21″ est
Altitude Min. 210 m
Max. 785 m
Superficie 24,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Mornant
Localisation
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Longes est une commune du département du Rhône, dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, en France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Longes est située au pied du Mont Monnet, un des sommets du massif du Pilat, au sud-ouest du département du Rhône, dans le canton de Mornant, à environ 42 km de Lyon, 35 km de Saint-Etienne et 22 km de Vienne.

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Tartaras, Trèves, La Chapelle-Villars, Châteauneuf, Pavezin, Sainte-Croix-en-Jarez, Condrieu et Les Haies.

Rose des vents Tartaras (Loire) Trèves Rose des vents
Châteauneuf (Loire) N Les Haies
Condrieu
O    Longes    E
S
Sainte-Croix-en-Jarez (Loire) Pavezin (Loire) La Chapelle-Villars (Loire)

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Didier-sous-Riverie », sur la commune de Chabanière à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 855,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Géologie[modifier | modifier le code]

La commune de Longes est située en majeure partie sur un plateau d’environ 400 m d’altitude. Le point bas est à 217 m (lit du Gier), le point haut à 782 m.

Le sous-sol de Longes est constitué de roches métamorphiques (micaschistes). Les sols exploités par l’agriculture ont une qualité agronomique moyenne à faible[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le réseau d'eau est partagé entre deux bassins versants : quatre ruisseaux se jettent dans le Gier et deux dans le Rhône. Pour autant, la commune ne dispose pas de ressources propres. L’eau distribuée à Longes provient des puits implantés au lieu-dit de l’île du Grand Gravier, sur la commune de Grigny, qui prélèvent dans la nappe alluviale du Rhône. L’eau est distribuée dans le réseau communal depuis le réservoir du bourg[7].

Voie de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune dispose d’un réseau étendu de routes départementales (RD28, RD140, RD625, RD502, …) permettant de relier le village aux bourgades environnantes. Elle n'est desservie par aucune ligne de car régulière[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Longes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34,7 %), zones agricoles hétérogènes (27 %), prairies (18,1 %), terres arables (17,2 %), zones urbanisées (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

En 2015, le nombre total de logements dans la commune est de 413. Il est composé à 85% de résidences principales, 4% de résidences secondaires et 11% de logements vacants[7].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une légende associe le nom de Longes, par ailleurs attesté dès le XIIIe siècle, à celui du centurion romain Longinus qui aurait percé le flanc du Christ de sa lance. Une autre tradition ferait remonter le nom de la commune à Longus, terrible géant et chef de l’escorte de Jules César lors la bataille du Fautre. Son nom pourrait aussi venir de la vaste étendue de son territoire[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'implantation d'un prieuré bénédictin serait à l'origine de la création de Longes. Le village de Longes entra ensuite dans les possessions de la maison de Roussillon.

Jusqu'à la Révolution, la paroisse de Longes appartenait à l'archiprêtré de Mornant, à l'élection de Saint-Etienne et dépendait de la Sénéchaussée de Lyon. La justice était du ressort à la fois des baronnies de Châteauneuf-Dargoire et de Condrieu. Le curé était nommé par les chartreux de Sainte-Croix[14].

Plusieurs fiefs étaient présents sur le territoire de Longes. Le plus important, celui de Jurary, a appartenu à la famille de Choul (ou de Chol) avant d'appartenir à la famille Vittet. Celui de Lacombe était possédé par les chartreux de Sainte-Croix ; celui de la Rochette appartenait à Christophe de Hareng en 1686 avant d'être détenu par les religieuses de Sainte-Marie de Condrieu[14].

La maison de Roussillon avait des droits et des propriétés à Longes sur lesquels les Comtes de Lyon avaient supériorité[14].

Longes fut à plusieurs reprises ravagée par les guerres de religion et par les épidémies de peste du XVIe siècle et du XVIIe siècle. Jusqu'à la Révolution, Trèves fut une annexe de la paroisse de Longes. Le décret du instituant les communes confirma la primauté de Longes sur Trèves, laquelle devint commune à part entière à compter du .

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1815 Jean-Marie Chambeyron    
1815 1821 Antoine Font    
1821 1830 Fleury Bret    
1830 1838 Pierre Colombet    
1838 1851 Jean Antoine Bruyas    
1851 1860 Benoît Bodard    
1860 1870 Jean Baptiste Chambeyron    
1870 1879 Jean-Marie Boiron    
1879 1892 Jacques Champin    
1892 1908 Jean Antoine Peyret    
1908 1921 Bonaventure Fatton    
1921 1929 Jean Antoine Bret    
1929 1945 Claude Antoine Peillon    
1945 1953 Antoine Forest    
1953 1959 Antoine Brosson    
1959 1982 Joseph Voyant   Sénateur de 1959 à 1977
1982 2001 Gabriel Escoffier    
2001 2008 Marie-Claire Brosson    
mars 2008 février 2024 Lucien Bruyas Sans étiquette Agriculteur ; démissionnaire en février 2024[15]
février 2024 en cours Didier Teste    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

En 2021, la commune comptait 964 habitants[Note 3], en augmentation de 2,12 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0811 2741 4921 4081 4331 4051 4261 4611 015
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
980938898861862792834768776
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
760691651614618589576538520
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
476471457610654763824833909
2017 2021 - - - - - - -
977964-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

NB : la chute de la population entre les recensements de 1846 et 1851 est due à la création de la commune de Trèves en 1849.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Longes possède une école primaire publique. Elle était auparavant divisée en deux pôles : l'un dans le bourg et l'autre dans le hameau de Dizimieux. Les deux ont été réunis dans une nouvelle structure construite dans le bourg.

Jusqu'au début des années 2010, il y avait également une école primaire privée.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Chaque année, l'association des jeunes de la commune de Longes (AJCL) organise la vogue de Longes le dernier week-end du mois de juin.

L'association des parents d'élèves de l'école publique organise depuis 2011 un « marché de la création »[20], qui se déroule au printemps, avec une trentaine de créateurs au rendez-vous.

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Une course de cyclisme sur route, le Grand Prix de Longes, est organisée chaque mois d'août par l'UCA Pélussin depuis 1978[21].

Un club de pétanque, l'Amicale Boule Longearde, est domiciliée à Longes depuis 2000[22]. L'Association des 4 vents propose pour les adultes des cours de gymnastique et de danse de salon[23].

Cadre de vie[modifier | modifier le code]

Environnement[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune de Longes comptait en fin d'année 2015, 52 établissements actifs. 22% étaient des exploitations agricoles, 35% des activités commerciales et de services. 81% de ces établissements ne comptaient aucun salarié et 17% en employaient entre 1 et 9. Le plus important comprenait une quinzaine d'employés. Seul 10% des actifs travaillaient sur la commune contre 70% en Région Rhône-Alpes[7].

Entre 1999 et 2015, les catégories socio-professionnelles ont grandement évolué : +21% pour les professions intermédiaires, +25% pour les employés et les cadres, ainsi que les professions intellectuelles supérieurs, +100% pour les ouvriers et +400% pour les artisans et commerçants. En parallèle, la part des agriculteurs a fortement chuté[7].

Entre 1988 et 2010 le nombre d'exploitation agricole est passé de 53 à 25[7]. En 2022, 10 de ces exploitations sont individuelles et 15 sont associées au sein de différents groupement agricole d’exploitation en commun (GAEC)[24]. Ces exploitations sont principalement tournées vers l'élevage[24] :

  • 12 élevages de vaches laitières, dont le lait est transformé par l’entreprise Guilloteau à Pélussin, plus connue sous le nom de Pavé d’Affinois.
  • 3 élevages de chèvres
  • 1 élevage de moutons
  • 1 élevage de cochons
  • 2 élevages de vaches à viande
  • 2 élevages de volailles

La baisse du nombre d'exploitants et l'augmentation des surfaces agricoles a amené les agriculteurs à investir dans du matériel plus performant. Afin d'amortir les coûts liés à ces investissements, ils se réunissent en Coopérative d’utilisation de matériel agricole (CUMA) pour mutualiser l'équipement[24].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, au début du XXe siècle.
  • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul, construite au XIVe siècle et agrandie au XIXe siècle.
  • Le four à pain et le lavoir en impluvium.
  • La Jurarie, maison forte édifiée par les pères Chartreux.
  • Les maisons de schiste typiques du Jarez.
  • Les Roches de Marlin, considérées comme de possibles pierres druidiques.
  • Le mont Monnet, l'un des sommets du massif du Pilat (782 m d'altitude).
  • Chapelle de Dizimieux, dans le hameau du même nom, construite en 1883.
  • Chapelle de Nuzières, dans le hameau du même nom.

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[25].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean Frêne (1942-), chercheur en physique, est né à Longes et y a passé son enfance[26].

Gastronomie[modifier | modifier le code]

Grâce à son élevage et sa situation géographique, la commune de Longes peut produire la Rigotte de Condrieu, qui est un fromage bénéficiant d'une appellation d'origine protégée[7].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Longes et Chabanière », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Saint-Didier-sous-Riverie », sur la commune de Chabanière - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Saint-Didier-sous-Riverie », sur la commune de Chabanière - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. a b c d e f g et h Gilbert Badoil, « COMMUNE DE LONGES (69420) Projet de révision du plan local d’urbanisme (PLU) » [PDF], sur www.vienne-condrieu-agglomeration.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lyon », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a b c et d Ombeline Galletti, « Archives de la commune de Longes. EDEPOT119 / 1-160 1578-1989 » [PDF], sur archives.rhone.fr, (consulté le )
  15. « Didier Teste prend les rênes de la commune », sur leprogres.fr, (consulté le ).
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. « La FCPE prépare son premier marché de la création », Le Progrès,‎ (lire en ligne).
  21. « Grand Prix de Longes », sur wiki.directvelo.com (consulté le ).
  22. « Amicale Boule Longearde », sur net1901.org (consulté le ).
  23. « Association des 4 vents », sur cc-condrieu.mairies69.net (consulté le ).
  24. a b et c Mairie de Longes, « L'agriculture », sur longes.fr (consulté le )
  25. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  26. Jean-François Rullier, « Jean Frêne n'est pas au bout de ses émotions », sur lanouvellerepublique.fr, .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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