Crêts en Belledonne

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Crêts en Belledonne
Crêts en Belledonne
Vue du bourg historique de Saint-Pierre depuis Montgalland, lieu-dit de Morêtel-de-Mailles.
Image illustrative de l’article Crêts en Belledonne
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
Youcef Tabet
2020-2026
Code postal 38570, 38830
Code commune 38439
Démographie
Gentilé Belcrétois
Population
municipale
3 389 hab. (2021)
Densité 100 hab./km2
Population
agglomération
14 556 hab.
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 32″ nord, 6° 02′ 55″ est
Altitude Min. 250 m
Max. 1 766 m
Superficie 33,80 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Allevard
(ville-centre)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut-Grésivaudan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Crêts en Belledonne

Crêts en Belledonne est, depuis le , une commune nouvelle française située dans l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Cette commune est issue du regroupement des deux communes de Morêtel-de-Mailles et Saint-Pierre-d'Allevard, qui avaient, jusqu'aux élections municipales de 2020, le statut de communes déléguées[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Crêts en Belledonne fait partie de la série de bourgades construites sur les replats des « Balcons de Belledonne », entre Allevard au nord et Uriage au sud. Elle est traversée par la départementale 525 qui relie Goncelin à Allevard. Une de ses particularités est la dispersion des habitations en de très nombreux hameaux, de tailles très variables, implantés sur les pentes du Saint-Génix, de Brame-Farine et de la « montagne de Saint-Pierre », avec un seul bourg, Saint-Pierre-d'Allevard.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de 6 communes :

Communes limitrophes de Crêts-en-Belledonne
Pontcharra Allevard
Le Cheylas Crêts-en-Belledonne
Goncelin Theys Le Haut-Bréda

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Située dans la partie septentrionale de la chaîne de Belledonne, elle s'étend essentiellement dans la partie sud d'un synclinal parallèle à la vallée de l'Isère, englobant les pentes calcaires de la montagne de Brame-Farine (1 192 m) qui surplombe le Grésivaudan. Elle est limitée au sud-sud-ouest par les Cinq Crêts, à l'est par l'épaulement (qui culmine à 1 726 m avec le Crêt du Poulet) qui la sépare de la vallée du Haut Bréda ; elle s'ouvre sur le Grésivaudan à l'ouest (vers le Cheylas) et au sud-ouest (vers Goncelin).

Une des particularités de la commune est son amplitude d'altitude : le bourg de Saint-Pierre s'étale, du sud au nord, entre 490 et 543 m, les hameaux s'échelonnent entre 366 m (le hameau des Teppes) et environ 900 m (le Charpieux, sur la route du col du Barioz), et le point le plus haut, le Crêt du Poulet, culmine à 1 726 m.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le cours d'eau le plus important est le Salin, qui prend sa source sur les pentes schisteuses du Crêt du Poulet traverse le hameau de Sailles, grossi par de nombreux affluents du même bassin versant, les plus importants étant les ruisseaux du Grand Plan, de la Cassey, du Carignon, du Mas, puis, rejoint par les ruisseaux du Catus (drainant le flanc sud-est de Brame-Farine) et du Taillou (sur le flanc nord du Saint-Génix), emprunte les gorges du Fay pour atteindre la vallée de l'Isère. Plus au sud, le ruisseau de Chavanne rejoint directement la vallée de l'Isère. Les pentes assez raides transforment par temps d'orage ou de pluies persistantes ces ruisseaux, parfois intermittents dans le massif calcaire de Brame-Farine, en torrents dévastateurs.

Les fonds marécageux ont servi à établir, au nord, le bassin EDF du Flumet (de 4,7 Mm3) et le « lac » des Fontaines sur le large faux plat dans la pente ouest du Saint-Génix. Un seul subsiste dans une zone classée « espace naturel sensible » : le marais de Sailles[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 462 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pipay_sapc », sur la commune de Theys à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 6,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 545,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Commune de montagne, elle est reliée à la vallée du Grésivaudan par deux voies : la départementale 525 qui relie Allevard à Goncelin et la départementale 78, vers Le Cheylas ; aux autres communes du Balcon de Belledonne par la départementale 280 et le col du Barioz (1 041 m).

La communauté de communes a mis en place un réseau de transport en commun (« TouGo »[9]) qui assure aussi le transport scolaire, un service de transport à la demande (G600) et des navettes (Skibus) entre autres vers l’espace nordique du Barioz pendant la saison de ski. La ligne T86 du réseau départemental Cars Région Isère relie la commune à Grenoble.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Crêts en Belledonne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Allevard, une agglomération inter-départementale regroupant 9 communes[13] et 14 556 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Crêts en Belledonne est situé en zone de sismicité no 4, comme la plupart des communes de son secteur géographique[18].

Terminologie des zones sismiques[19]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le choix du nom de la nouvelle entité administrative est inspiré par la géographie. L'association du nom des deux anciennes communes aurait dépassé les 37 signes légaux et il n'a pas paru souhaitable de mixer les deux noms. Il existe d'autres communes iséroises identifiées par leur espace géographique, que ce soit l'Oisans (Le Bourg-d'Oisans), le Vercors (Lans-en-Vercors) ou la Chartreuse (Saint-Pierre-de-Chartreuse). Or les deux anciennes communes sont situées dans la partie septentrionale de la chaîne de Belledonne et sont partiellement entourées de « crêts ». Morêtel-de-Mailles est dominée au sud par le Crêt du Saint-Genis (1 178 m), dont la corniche rocheuse nord-est, appelée les Cinq Crêts (de 1 285 à 1 150 m), est la limite sud-sud-ouest de Saint-Pierre-d'Allevard, que dominent en outre, au sud-est, le Crêt du Poulet (1 726 m) et les pentes du Crêt Luisard (1 803 m), éléments les plus hauts de l'épaulement rocheux qui sépare le « pays d'Allevard » de la vallée du Haut-Bréda.

Histoire[modifier | modifier le code]

La création de la nouvelle commune, effective le , entraîne la transformation des deux anciennes communes, Morêtel-de-Mailles et Saint-Pierre-d'Allevard, en « communes déléguées ». Sa création a été entérinée par l'arrêté du [20].

Elle se justifie par des liens sociaux étroits et une certaine cohérence territoriale. Les deux communes originelles, créées en 1789, recouvraient les territoires des anciennes paroisses, même si, entre 1795 et 1800 Saint-Pierre-d'Allevard fut intégrée à la municipalité cantonale d'Allevard et Morêtel à celle de Goncelin. Mais les limites entre elles n'étaient pas étanches : les enfants des hameaux de Sailles fréquentaient l'école de Morêtel jusqu'à sa fermeture en 1971, date à partir de laquelle les enfants de Morêtel furent scolarisés à Saint-Pierre, des Saint-Pierrains possèdent des terres (anciennement des vignes) sur les coteaux biens exposés de Morêtel.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Résultats des derniers scrutins électoraux dans la commune
1er score 2e score Participation
Élection présidentielle de 2017 (2nd tour)'"`UNIQ--nowiki-0000004F-QINU`"'21'"`UNIQ--nowiki-00000050-QINU`"' 60,86 % pour Emmanuel Macron (LREM) 39,14 % pour Marine Le Pen (RN) 77,45 %
Élection présidentielle de 2017 (1er tour) 21,00 % pour Jean-Luc Mélenchon (LFI) 20,59 % pour Marine Le Pen (RN) 80,99 %

Liste des communes[modifier | modifier le code]

Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Saint-Pierre-d'Allevard
(siège)
38439 CC du Pays du Grésivaudan 27,09 2 887 (2013) 107


Morêtel-de-Mailles 38262 CC du Pays du Grésivaudan 6,71 448 (2013) 67

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
12 janvier 2016 2020 Jean-Louis Maret[22] PS pharmacien
15 mars 2020 En cours Youcef Tabet[23]    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipements culturels et sportifs[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Grésivaudan, un ou plusieurs articles à l'actualité de la ville, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune dispose de la station du Barioz, une petite station de sports d'hiver au-dessus du col du même nom.

Cuture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Patrimoine industriel[modifier | modifier le code]

Le four à griller le minerai de Saint-Pierre-d'Allevard, construit sur le site de Champ Sappey en 1905[24], et restauré en 1997, est un des rares vestiges du passé industriel de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle lié au riche filon de fer spathique de La Taillat (découvert en 1858 et exploité jusqu'en 1920) qui a lancé l'activité minière à l'échelle industrielle[25].

La partie du tracé du chemin de fer des forges d'Allevard (destiné à transporter le minerai entre les fours à griller et les hauts fourneaux d'Allevard et du Creusot) restée dans le domaine public est accessible en chemin piétonnier sur deux kilomètres environ entre les anciennes communes de Saint-Pierre-d'Allevard et Morêtel-de-Mailles[26]. Un certain nombre d'ouvrages d'art subsistent, comme des ponts franchissant la voie, le grand remblai du ruisseau du Catus, le site de la gare de Marabet, le démarrage du plan incliné à Marabet (vers le Cheylas) et l'arrivée à Champ Sappey du plan incliné venant de La Taillat.

En plusieurs lieux-dits subsistent d'autres vestiges de l'exploitation ancienne du minerai de fer, en particulier la cité Vaugraine et les sites miniers de Combe-Bachat et de la Croix Recullet[27].

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

Zone frontière avec la Savoie jusqu'en 1860, la commune garde les vestiges de maisons fortes ayant appartenu au « mandement de Moretel » : Bouthière (ancienne maison forte des Guiffrey de Boutières), Mailles (maison forte des seigneurs de Mailles), le « château de Morêtel » (Maison de Belledonne) aux Fontaines. Le lieu-dit « Le Fort » rappelle l'existence de la forteresse des seigneurs de Moretel, détruite sur ordre de Lesdiguières en 1593 après l'avoir reprise aux Savoyards du Marquis de Trefford qui utilisaient sa position pour ravager la vallée du Grésivaudan[28].

À Saint-Pierre, qui dépendait du « mandement d'Allevard », l'église Saint-Pierre qui a donné son nom au bourg est le vestige d'un prieuré bénédictin dépendant de l'Abbaye de Cluny[29]. Son clocher a fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques par arrêté du [30]. Si les maisons fortes ont disparu, à l'exception de la Tour d'Aquin[31], les lieux-dits en perpétuent le souvenir, comme Châtelard, La Tour, Le Chaboud (ancien site de la maison forte de la famille Genton) et « La Roche » (fief des seigneurs de Saint-Pierre) où les ruines de la maison forte, le château de la Roche, étaient encore imposantes à la fin du XIXe siècle[32].

Dans le hameau de Sailles, des bâtiments gardent des vestiges architecturaux anciens, perpétuant le souvenir de Benoit de Vignon, petit-neveu de Marie Vignon, seigneur de Barnoux et de Sailles, ou de la famille de Marcieu, mais aussi de la longue tradition industrielle qu'a permise la présence du Salin, qui faisait tourner les moulins (à huile de noix et à farine), les martinets et autres machines.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Crêts en Belledonne possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marcel Fakhoury, Mémoires de Morêtel-de-Mailles, Grenoble, Éditions de Belledonne, , 197 p. (ISBN 978-2-911148-41-5, présentation en ligne)
  • Olivier Billaz, En Allevard, Essai descriptif et historique sur un canton des Alpes françaises, Grenoble, L. Aubert, , 316 p.
  • Victor Bellin, Petite Histoire du Pays d'Allevard, Société des écrivains dauphinois, , 179 p. (Réédition. Première édition en 1961)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Commune de Crêts en Belledonne (38439) », sur le Code officiel géographique publié par l'Insee (consulté le ).
  2. « Le marais de Sailles »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Site officiel de la Mairie de Saint Pierre.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Crêts en Belledonne et Theys », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Site officiel ».
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 d'Allevard », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  19. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  20. « Arrêté du 27 octobre 2015 portant création de la commune nouvelle de Crêts-en-Belledonne », Recueil des actes administratifs de l'Isère (page 155),‎ (lire en ligne [PDF]).
  21. « Résultats présidentielle 2017 pour Crêts-en-Belledonne », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Jean-Louis Maret a été élu maire de Crêts-en-Belledonne », Le Dauphiné libéré, 15 janvier 2016.
  23. « Youcef Tabet a été élu maire de la commune », sur Le Dauphiné libéré, .
  24. « Four à griller »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur cretsenbelledonne.fr (consulté le ).
  25. « Passé industriel de Saint-Pierre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).
  26. Le Tacot, histoire d'un chemin de fer industriel, Éditions du musée d'Allevard, (ISBN 978-2-9532894-2-8), p. 23.
  27. « Le four de Combe Bachat »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur cretsenbelledonne.fr (consulté le ).
  28. Marcel Fakhoury 1998, p. 33-37.
  29. « L'église et le prieuré clunisien de Saint-Pierre d'Allevard ».
  30. « Eglise », notice no PA00117263, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Tour d'Aquin »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Crêts en Belledonne (histoire et patrimoine).
  32. « Le château de la Roche (1876) », sur Atelier des Dauphins.