Le Perreux-sur-Marne

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Le Perreux-sur-Marne
Le Perreux-sur-Marne
La mairie.
Blason de Le Perreux-sur-Marne
Blason
Le Perreux-sur-Marne
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement Nogent-sur-Marne
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Paris-Est-Marne et Bois
Maire
Mandat
Christel Royer (LR)
2020-2026
Code postal 94170
Code commune 94058
Démographie
Gentilé Perreuxiens
Population
municipale
34 213 hab. (2021 en augmentation de 0,72 % par rapport à 2015)
Densité 8 662 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 32″ nord, 2° 30′ 13″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 70 m
Superficie 3,95 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Nogent-sur-Marne
Législatives 5e circonscription du Val-de-Marne
Localisation
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Liens
Site web www.leperreux94.fr

Le Perreux-sur-Marne est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France. Portant le surnom de « Perle de l’Est parisien »[1], la commune de première couronne parisienne s'étend le long des bords de la Marne. Ses habitants sont appelés les Perreuxiens.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Le Perreux-sur-Marne est une commune résidentielle de la banlieue Est de Paris, située à 2 kilomètres de Paris (Bois de Vincennes) et à 6 kilomètres de la Porte de Vincennes (Paris 12e). Elle s’étend le long des bords de la Marne, dans l’Est parisien.

Le Perreux constitue avec Saint-Mandé, Vincennes, Nogent-sur-Marne, Marolles-en-Brie, Saint-Maur-des-Fossés, Bry-sur-Marne, Santeny et Rungis la partie huppée du Val-de-Marne. En 2016, la commune faisait partie des 2 % des communes au revenu médian par habitant le plus élevé[2].

Localisation du Perreux-sur-Marne en banlieue parisienne.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 657 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Neuilly-sur-Marne à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records NEUILLY-SUR-M. (93) - alt : 45m, lat : 48°51'37"N, lon : 2°32'58"E
Records établis sur la période du 01-01-1981 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,1 1,9 4 6,2 9,8 13,1 15,1 14,7 11,2 8,5 5 2,6 7,8
Température moyenne (°C) 4,9 5,4 8,5 11,5 15,1 18,4 20,7 20,4 16,6 12,7 8,1 5,4 12,3
Température maximale moyenne (°C) 7,7 9 13,1 16,8 20,4 23,8 26,2 26,2 22 16,9 11,3 8,1 16,8
Record de froid (°C)
date du record
−17
17.01.1985
−12,5
08.02.1991
−9,5
13.03.13
−4,3
06.04.21
−0,6
06.05.19
4
04.06.01
7,5
31.07.15
5
30.08.1986
1,5
30.09.18
−4,5
30.10.1997
−8,7
24.11.1998
−8,9
29.12.1996
−17
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,6
28.01.02
21,4
27.02.19
26,9
31.03.21
29,9
20.04.18
33,1
27.05.05
38,3
27.06.11
42,5
25.07.19
40,5
12.08.03
36,3
08.09.23
29,7
03.10.11
22,5
08.11.15
18
07.12.00
42,5
2019
Précipitations (mm) 57,7 50,6 51,5 50,2 72,4 62,4 64,4 60,4 52,2 60,5 62,8 76,1 721,2
Source : « Fiche 93050001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Perreux-sur-Marne est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[12] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[15],[16].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 16 703, alors qu'il était de 15 967 en 2014 et de 15 396 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 89,5 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 8,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 30,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 68,3 % des appartements[I 2].

La commune ne respecte pas ses obligations issues de l'article 55 de la loi SRU qui lui imposent de disposer d'au moins 25 % de logements sociaux. Ce taux n'était que de 10,87 % des résidences principales en 2018, puis de 10,94 % en 2019. De ce fait, la ville est astreinte au paiement d'une pénalité financière de 1 100 000  en 2021[17]. Le préfet a pris un arrêté de carence de la municipalité en la matière, estimant insuffisant ses efforts pour respecter ses obligations[18]. De ce fait, c'est le préfet qui délivre les permis de construire des projets de plus de quatre logements et exerce le droit de préemption urbain[19].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Perreux-sur-Marne en 2019 en comparaison avec celle du Val-de-Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) supérieure à celle du département (1,8 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (63,9 % en 2014), contre 45,1 % pour le Val-de-Marne et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement au Le Perreux-sur-Marne en 2019.
Typologie Le Perreux-sur-Marne[I 1] Val-de-Marne[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,5 92,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,8 1,8 9,7
Logements vacants (en %) 8,7 5,7 8,2

Le Parc du Perreux[modifier | modifier le code]

Situé au cœur du Perreux, Le Parc est un lotissement privé d'une centaine de pavillons. Ce quartier cossu est sécurisé et l'entrée des voitures est régulée.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Autoroutes A4 ou A86, ou encore RN 34.

Il existe une quarantaine de rues, pour une distance d'environ 16 kilomètres[20], aménagées avec des signalisations « pistes cyclables » qui sont partagées avec les voitures. Pour répondre aux différentes attentes en matière de stationnement, la ville propose une offre diversifiée : parkings souterrains ou en surface, voirie, abonnements, zonage, arrêts minute...

En projet

Attendue à l’horizon 2030, la ligne de métro 15 Est desservira 12 communes de deux départements (Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne). Elle reliera 12 gares (dont celle de Nogent-Le Perreux) entre Saint-Denis Pleyel à Champigny Centre, en 25 minutes. Chacune des gares sera en connexion avec un autre mode de transport (RER, métro ou tramway) et la fréquentation journalière y est estimée entre 340 000 et 470 000 voyageurs. Ce tronçon vise à désaturer les réseaux de transports en commun déjà existants et à desservir efficacement des territoires de proche couronne.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Le viaduc ferroviaire de Nogent-sur-Marne.

La desserte en transport en commun est principalement assurée à la gare de Nogent - Le Perreux desservie par ligne E du RER. Celle-ci se situe à l'est du centre-ville, en limite avec Nogent-sur-Marne. Ce pôle devrait être renforcée d'ici 2030 par l'arrivée de la ligne 15 du métro à la station du même nom.

La gare de Neuilly-Plaisance, desservie par la ligne A est située à proximité du nord-est de la ville, et notamment du quartier des Joncs-Marin.

Enfin à Val de Fontenay, gare qui se situe également à proximité des limites communales au nord-ouest, convergent le RER A et le RER E. Ce pôle devrait également être considérablement renforcé par l'arrivée de la ligne 15 du métro, et potentiellement de la ligne 1 du métro et de la ligne 1 du tramway.

En termes de bus :

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée depuis Nogent.

Du latin Petrosa, nom donné au site par les moines de l'abbaye de Saint-Maur au XIIIe siècle, pour rappeler la nature pierreuse du sol.

Histoire[modifier | modifier le code]

Intimement lié à l'histoire de Nogent, le Perreux est un fief dépendant de l'abbaye de Saint-Maur dont un cartulaire mentionne pour la première fois l'existence en 1284. En 1492, les moines de ladite abbaye essaieront d'en récupérer les droits de haute, moyenne et basse justice. Jeanne Baston, femme de Jean l'Épervier, saisit la justice. Les moines seront déboutés par le parlement de Paris en 1500.

Depuis le XIIIe siècle, un manoir est présent. Il est occupé par de nombreux seigneurs, bourgeois de Paris, marchands au XIVe-XVe puis par des parlementaires et notaire et secrétaire du roi (famille L'Espervier) et, enfin, par une noblesse seconde (Anthonis, Deschiens de Ressons). Le manoir est remplacé par un château entre la fin du XVIIe et le début du XVIIIe siècle. Un second château est construit par Boullée, architecte du roi, pour Robert Millin.

En 1760, Robert Millin, écuyer, secrétaire du roi, maison et couronne de France, et receveur général des domaines du duc d'Orléans, achète le domaine. Son fils, Jérôme-Robert sera en 1794 l'une des innombrables victimes de l'accusateur Fouquier-Tinville. Il tombera sous la guillotine en place publique, alors que son propre fils, Alexandre Millin, lieutenant général, se bat pour les armées de la République. Ce dernier et son frère se font restituer le domaine en triste état sous le Directoire, mais ne tardent pas à le revendre. Il faut dire à leur décharge que leur père avait déjà subi avant la Révolution de sérieux revers de fortune.

Le domaine est alors morcelé. Nicolas Louis François de Neufchâteau achète le château et le parc. Le reste des terres, possession des familles Pantigny et de Beaufranchet est converti en lotissements vers 1860 afin de tirer parti de l'expansion que connaît Nogent grâce à la construction de la ligne de chemin de fer Paris-Mulhouse. Commencés dès 1854, les travaux nécessitent la construction d'un viaduc. La frontière est née, Le Perreux va prendre son essor. Vers 1886, le nombre d'habitants du quartier du Perreux est aussi important que celui du vieux bourg de Nogent. La « guerre » entre les deux quartiers est menée par un adjoint au maire de Nogent : Henri Lhopital-Navarre. Le , la rupture est consommée, Navarre devient le premier maire du Perreux.

La crue de 1910[modifier | modifier le code]

Crue de , Le Perreux, zones inondées (les numéros des photos sont légendés en fonction de leur lieu).

Lors des inondations de , la passerelle de Bry, à la hauteur de l'église, résista. Une échelle hydrométrique est gravée sur la culée de rive droite, jusqu'à la cote de 38,30 m, soit 37,30 m aujourd'hui ; c'est-à-dire 37,30 m au-dessus du zéro officiel établi à la fin du XIXe siècle, pour les cartes terrestres françaises. Le zéro étant le niveau moyen des marées au marégraphe de la Corniche de Marseille.

Finalement, le niveau de l'eau se stabilisa le , et le nilomètre indiquait 39,07 m (au pont de Bry, 39,26 m à la passerelle), soit plus de 5 m au-dessus du lit habituel de la Marne. Le record de 1784 (39,83 m) ne fut pas battu, mais le quart de la commune se trouvait sous les eaux.

En effet, durant plusieurs semaines, des quartiers anciens et nouvellement urbanisés restèrent les pieds dans l'eau. Avec le développement de la ligne de chemin de fer Paris-Bastille, et l'ouverture de la gare de Nogent-sur-Marne, la commune du Perreux, détachée de Nogent depuis 1887, connut un engouement certain de la part des Parisiens relativement aisés qui souhaitaient s'installer à la campagne, au moment des beaux jours. Ainsi, ils firent construire pavillons et villas, sur des terrains encore libres, mais inondables, notamment dans la partie sud, où les espaces étaient disponibles et proches de la gare.

Cette crue exceptionnelle de plusieurs semaines, en isolant encore un peu plus ces habitations, ne découragea pas les pillards, bien au contraire. La municipalité dut faire appel à des détachements de zouaves stationnés au fort de Nogent, pour maintenir un semblant de sécurité, alors que la neige tombait dans la région.

La présence dissuasive de ces militaires, équipés de leur chassepot, n'empêcha pas le vol de métaux. Il faudra pratiquement attendre la fin du mois de février, pour que la Marne retrouve son lit.

Aujourd'hui, de grands aménagements, tel le barrage-réservoir « Seine » près de Troyes, ou encore celui de « Marne » près de Saint-Dizier, doivent minimiser l'effet de ces crues centennales[21],[Note 3].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Jusqu’à la loi du [23], la commune, créée en 1887 par détachement de la commune de Nogent-sur-Marne, faisait partie depuis cette date du département de la Seine. Le redécoupage des anciens départements de la Seine et de Seine-et-Oise fait que la commune appartient désormais au Val-de-Marne à la suite d'un transfert administratif effectif le , et à son arrondissement de Nogent-sur-Marne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription du Val-de-Marne.

La commune faisait partie depuis sa création en 1887 du canton de Nogent-sur-Marne du département de la Seine. Lors de la constitution du Val-de-Marne, Le Perreux constitua le canton du Perreux-sur-Marne[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais à nouveau partie du canton de Nogent-sur-Marne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Les communes de Nogent-sur-Marne et du Perreux-sur-Marne ont créé en 2000 la communauté d'agglomération de la Vallée de la Marne CAVM), qui ne comptait que ces deux villes.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune a été intégrée[25].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du (Loi NOTRe) prévoit également la création le d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale, et exercent également les compétences que les communes avaient transférées aux intercommunalités supprimées.

La commune fait donc également partie depuis le de l'établissement public territorial Paris-Est-Marne et Bois[26], créé par un décret du [27]. Le nouveau territoire regroupe 13 communes dont Le Perreux (Bry-sur-Marne, Champigny-sur-Marne, Charenton-Le-Pont, Fontenay-sous-Bois, Joinville-le-Pont, Maisons-Alfort, Nogent-sur-Marne, Saint-Mandé, Saint-Maur-des-Fossés, Saint-Maurice, Villiers-sur-Marne et Vincennes).

Le Conseil de territoire est composé de 90 conseillers de territoire élus, en leur sein, par les Conseils municipaux de chaque ville membre. 15 d’entre eux sont également conseillers métropolitains.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne, la liste UMP-UDI menée par le maire sortant Gilles Carrez obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 8 363 voix (69,44  %, 35 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par[28] :

  • Roland Peylet (PS-EELV, 1 340 voix, 11,12 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
  • Joseph Terribile (EELV, 968 voix, 8,04 %, 1 conseiller municipal élu) ;
  • Claude Lédion (FN, 856 voix, 7,11 %, 1 conseiller municipal élu) ;
  • Robert Schmitz (FG-PCF, 517 voix, 4,29  %, pas d'élus).

Lors de ce scrutin, 46,59 % des électeurs se sont abstenus.

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne[29], la liste LR-SL menée par la maire sortante — qui avait succédé en 2016 à Gilles Carrez — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 217 voix (66,34 %, 33 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant très largement les listes menées respectivement par[30] :

  • Arnaud Dussud (EÉLV-PS-LFI-PCF-PRG-G.s, 1 745 voix, 22,19 %, 4 conseillers municipaux élus) ;
  • Marc Boniface (MoDem-LREM-MR, 901 voix, 11,45 %, 2 conseillers municipaux élus).

Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 65,48 % des électeurs se sont abstenus.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Pour les échéances électorales de 2007, Le Perreux-sur-Marne fait partie des 82 communes[31] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé les machines à voter. Néanmoins, devant les longs temps d'attente engendrés par ce système, le maire d'alors a décidé de revenir au vote traditionnel dès le second tour.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs depuis la création de la commune[32]
Période Identité Étiquette Qualité
1887 1894 Henri Navarre   Démissionnaire
1894 1897 Jean-Charles Ollier    
1897 1918 Albert Lecocq RRP Avocat à la cour d'appel
Chevalier de la Légion d'honneur (1911)
1919 1925 Leopold Joubé    
1925 1929 Léon Guyard    
1929 mars 1944 Jean Goy[33] Rad.
puis RNP
Industriel
Député de la Seine (1924 → 1940)
Conseiller général de Nogent-sur-Marne (1942 → 1944)
Secrétaire général de l'Union nationale des combattants
mars 1944 août 1944 Léon Garreau    
août 1944 octobre 1944 André Palin   Président du comité local de libérationn
octobre 1944 1947 Robert Belvaux[Note 4],[34] SFIO Ingénieur dessinateur, résistant Libération-Nord
Conseiller général de la Seine (Sceaux-Est) (1945 → 1953)
Président du comité local de libération d'octobre 1944 à mai 1945
1947 1953 Charles Martin RPF  
1953 4 mai 1967 Robert Belvaux[Note 4],[34],[35] SFIO Ingénieur dessinateur
Conseiller général de la Seine (Sceaux-Est) (1945 → 1953)
Conseiller général de la Seine (Secteur 1) (1953 → 1959)
Décédé en fonction
1967 1971 Louis Brulas SFIO
puis PS
 
1971 1992 Michel Giraud[36] UDR puis
RPR
Ministre du Travail (1993 → 1995)
Sénateur du Val-de-Marne (1977 → 1988)
Député du Val-de-Marne (1988 → 1993 et 1995 → 2002)
Président de l'Association des maires de France (1983 → 1992)
Président du conseil régional d'Île-de-France (1992 → 1998)
Conseiller général du Perreux (1977 → 1985)
Démissionnaire pour cause de cumul de mandats
1992 2 décembre 2016[37] Gilles Carrez[38],[39] RPR puis
UMPLR
Député du Val-de-Marne (5e circ.) (1993 →)
Président de la Commission des finances (2012 → 2016)
Conseiller général du Perreux (1985 → 1993)
Vice-président de la métropole du Grand Paris (2016[40],[41] →)
Démissionnaire
2 décembre 2016[42],[43] En cours
(au 7 juillet 2022)
Christel Royer LR Médecin anesthésiste réanimateur
Conseillère régionale (2015 →)
Réélue pour le mandat 2020-2026[44]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le Perreux-sur-Marne est située dans l'académie de Créteil. Les établissements scolaires sont les suivants :

Maternelles[45] :

  • Les Thillards
  • Clemenceau
  • Paul Doumer
  • Jules Ferry
  • De Lattre
  • Germaine Sablon[46]

Primaires[45] :

  • Clemenceau A
  • Clemenceau B
  • Pierre Brossolette
  • Jules Ferry
  • Les Joncs Marins
  • Germaine Sablon[46]

Collèges[47] :

  • Pierre Brossolette
  • De Lattre

Lycée [47] :

Écoles privées :

Maternelle :

  • Les Coccinelles Montessori

Maternelles + Primaires :

  • Notre Dame de toutes Grâces
  • Saint Joseph

Équipements sportifs[modifier | modifier le code]

La ville met à disposition de nombreux équipements sportifs qui accueillent les animations scolaires, les entrainements et les compétitions des associations sportives.

  • Complexe Adolphe Chéron. Le complexe se compose d’un terrain de football avec tribunes, d’une aire de saut en longueur, de 3 couloirs d’athlétisme, d’un gymnase, d’un stand de tir et d’une salle polyvalente à dominante escrime.
  • Espace de jeux multisports. Le territoire de la commune compte plusieurs espaces qui offrent la possibilité de pratiquer diverses activités. Le parc du Saut du Loup (4, rue d’Estienne d’Orves) est équipé d’un terrain pour pratiquer le football, le handball ou encore le basket. Accès libre de 9h à 18h en hiver et de 9h à 19h30 en été. L’espace basket (269, avenue du Général de Gaulle) comporte un panneau de basket et 1 but de handball. Enfin, avec son terrain de pétanque et son terrain multisports (basket et football), le Mail des Droits de l’Homme (28, rue Jules Ferry) permet de pratiquer diverses activités.
  • Gymnase des Ormes
  • Gymnase la Gaîté. Salle omnisports de 800 m2 et un mur d'escalade de 140 m2.
  • Piscine municipale Robert Belvaux. Ouverte toute l’année (sauf pendant la vidange estivale), la piscine possède un grand bassin (25 x 12,5 m) et un plus petit ainsi qu’un sauna. Le port du bonnet est obligatoire.
  • Salle d'activités physiques et sportives (APS). Le complexe se compose d’une salle de gymnastique au sol et avec agrès de 600 m2 et d’une salle de gymnastique d’entretien de 140 m2.
  • Salle de sport du centre-ville. Salle polyvalente de 250 m2.
  • Salle de tennis de table. Cette salle de 400 m2 est destinée à la pratique du tennis de table et compte 8 tables en mode entraînement et 6 tables en configuration compétition.
  • Salle omnisports du CdbM. Le Centre sportif des bords de Marne comprend une salle omnisports et une tribune de 464 places, deux dojos et un centre médico-sportif (sur rendez-vous).
  • Stade Léo Lagrange. Ce stade comporte 9 courts de tennis dont 6 recouvrables par bulles, un mur d’entraînement pour le tennis, un terrain de football et un « club house ».
  • Le Perreux possède un club de football jouant actuellement en District, au passé prestigieux : AS Le Perreux - Francilienne 94.
  • Le Perreux possède deux clubs de tennis : ALP créé en 1876, et le TCP. Henri Leconte y a tapé ses premières balles.
  • Le Perreux possède un club d'aviron, la SNP, la société nautique du Perreux.
  • Le Perreux possède un club de basket : ALPB jouant actuellement en District.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1891. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[49],[Note 5].

En 2021, la commune comptait 34 213 habitants[Note 6], en augmentation de 0,72 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
6 6998 39011 14913 25515 97117 91520 42923 80823 553
1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006
23 08626 74527 90029 09928 33327 64728 47730 08032 067
2011 2016 2021 - - - - - -
33 21433 72934 213------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La Ville du Perreux-sur-Marne compte près de 350 commerçants, répartis sur 4 pôles d'attractivité économique (Le Centre-ville, Le pont de Mulhouse, le pont de Bry & les Joncs Marins).

Ces zones sont elles-mêmes portées par 4 associations de commerçants qui assurent des animations toute l'année en collaboration avec la Mairie.

Avec son marché du centre-ville les mercredi, vendredi et dimanche, la Ville bénéficie d'un dynamisme économique tout au long de l'année

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Maison Art nouveau
Le Perreux-sur-Marne.
  • Pierre Perreuxienne : menhir déplacé près du pont de Bry-sur-Marne.
  • Château (vestiges), XVIe – XVIIIe siècles
  • Église Saint-Jean-Baptiste de style roman, architecte Allary 1889, maître-autel surmonté d'une fresque, Les anges adorant le Seigneur, réalisée en 1924 par le peintre Deteix. Les fonts baptismaux du XIIe siècle proviennent de l'ancienne église de Noisy-le-Grand
  • Stade de la Société d’Éducation physique alsacienne et lorraine de Paris édifié en plusieurs tranches de 1926 à 1961[51]
  • Plusieurs maisons Art nouveau, architecte : Nachbaur, XXe siècle
  • Maison, Art moderne, architecte : Tissoire, 1926-1939
  • Immeuble avec bow-windows, architecte : Léon Houdin, 1913
  • Immeuble avec bow-windows, architecte : Georges Malo, 1903

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

C'est dans cette ville que Henri Boursault a inventé le fromage Délice de Saint-Cyr, aussi appelé Boursault[52].

Une bibliothèque existait dans les locaux de la mairie depuis 1887. Une médiathèque a été créée en 1982, rénovée une première fois en 2004 puis, à nouveau, en 2017. La Médiathèque actuelle propose des livres, de la presse mais aussi des DVD, des CD, des livres-audio, des vinyles de rock, des jeux vidéo, des jeux de société, des ressources numériques (plateforme départementale EURÊKA, Cafeyn, et Ma Petite Médiathèque en collaboration avec ARTE) ainsi qu'un programme d'animations pour tous les âges. Un jardin, une salle de travail de 40 places et un espace destiné aux tout-petits ont été créés à l'occasion de la reconfiguration de 2017. À la suite de la mise en place des bornes de libre-service de prêt et de retours en , les différents espaces ont été entièrement réaménagés. Le 27 octobre 2020, la Médiathèque a obtenu le Grand Prix Livres Hebdo 2020

Le Centre des bords de Marne[53], équipement à vocation artistique et culturelle a été construit en 1980. Depuis 1991, le projet artistique développé par l'équipe du CdbM (25 permanents) est conçu autour du spectacle vivant, du cinéma et de la photographie, avec une attention particulière pour la création contemporaine. Entre 2010 et 2012, les façades du CDBM ont été rénovées afin de les rendre plus esthétiques et pour réduire la consommation d'énergie[54].

Le Conservatoire est installé dans des locaux du centre-ville modernes et adaptés aux différentes activités. Il accueille plus de 600 élèves, musiciens et danseurs. L’année est ponctuée par plus d’une trentaine de manifestations (concerts, auditions, spectacles de danse, concerts commentés) qui, pour la plupart, ont lieu à L’Auditorium. L’enseignement de nombreuses disciplines y est proposé : danse classique et contemporaine (à partir de 4 ans), jardin musical (à partir de 4 ans), instruments à cordes et à vent, piano, clavecin, chant, accordéon, batterie, formation musicale. De nombreux ensembles accueillent les élèves pour participer à des pratiques collectives (orchestre, ensembles à cordes, ensembles à vent, musique de chambre, jazz, atelier d’art lyrique et chorale adulte).

Façade de la Médiathèque

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Le Perreux-sur-Marne Blason
Écartelé :
au 1er, de gueules, au cor lié d'argent au chef cousu d'azur chargé de deux fleurs de lis d'or ;
au 2e, de sable à trois étoiles d'or en fasce, surmontées d'une couronne de baron au naturel ;
au 3e, d'azur, au viaduc à trois arches, le tout d'argent ;
au 4e, de gueules, avec une chaîne de quatre anneaux, dont deux rompus au milieu[56]
Ornements extérieurs
L'écu est encadré de deux branches de chêne liées d'argent en pointe
Devise
Résistance vault plus que force
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • France Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France Commission régionale Île-de-France, Nogent et Le Perreux : l’eldorado en bord de Marne : Inventaire général du patrimoine culturel, [région] Île-de-France, texte d’Isabelle Duhau avec la participation de Laurence de Finance, photographies de Stéphane Asseline et Laurent Kruszyk, avec la participation de Christian Décamps, [sous la direction de Dominique Hervier], Paris, APPIF, 2005, 144 pages, 30 cm, (ISBN 2-905913-44-4).
  • Michel Giraud, Le Perreux-sur-Marne, cent ans d'histoire, 1987 (édition spéciale du Centenaire).
  • Michel Riousset, De Lagny à Charenton, les bords de Marne, du Second Empire à nos jours, 1985, éditions Amatteis.
  • Pierre Champion, Alexandre Salabert, Le Perreux-sur-Marne, notice historique, Le Perreux-sur-Marne, 1937.
    Logotype de la ville du Perreux-sur-Marne.
  • Jean-François Holvas, Seigneurie, seigneurs et château du Perreux, Le Perreux-sur-Marne, 1998.
  • Jean-François Holvas, Patrimoine du Perreux, Le Mée-sur-Seine, 1999.
  • Jean-François Holvas, Vincent Villette, Nogent-Le Perreux l’unité retrouvée, Le Perreux-sur-Marne, 2002.
  • Jean-François Holvas, Bateaux, trains et tramways : transports au Perreux XIIIe-XXIe siècles, Le Perreux-sur-Marne, 2002.
  • Jean-François Holvas, « Du manoir au château : l’exemple du Perreux » in Nobles et bourgeois aux champs, élites dans le Val-de-Marne aux XVIIe-XVIIIe siècles, 1er colloque historique des bords de Marne, p. 76-86, Le Perreux-sur-Marne, 2003.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Voir également les bases de données nationales du ministère de la Culture : Mérimée pour l'architecture, Palissy pour les objets mobilier et Mémoire pour l'iconographie[22].
  4. a et b Une place de la ville porte le nom de ce maire
  5. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Festival Notes d'Automne 2011 », sur festivalnotesdautomne.fr via Wikiwix (consulté le ).
  2. Insee Base comparateur de territoires, 18 juillet 2019.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Le Perreux-sur-Marne et Neuilly-sur-Marne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Neuilly-sur-M. » (commune de Neuilly-sur-Marne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Neuilly-sur-M. » (commune de Neuilly-sur-Marne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duParis », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. C. Dubois, « Logement social en Val-de-Marne: 10 villes sanctionnées : Le nombre de villes en constat de carence de logements sociaux en Val-de-Marne a augmenté depuis la dernière révision triennale. Cette année, dix villes sont épinglées contre sept il y a trois ans. Les mesures qui accompagnent ces décisions sont aussi plus contraignantes, avec pour la première fois une reprise de l’instruction des permis de construire dans quatre villes. Rappel historique, chiffres du logement social en Val-de-Marne et détails des mesures 2020 », 94Citoyens.com,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Assemblée nationale : Question écrite n°6718 du 27/3/2018 de M. Gilles Carrez - réponse du gouvernement du 24/12/2019 », sur questions.assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  19. Agnès Vives, « Logement social : quatre maires du Val-de-Marne perdent la main sur les permis de construire : Le préfet du Val-de-Marne reprend la main sur les permis de construire à Saint-Maur, Saint-Mandé, Le Perreux et Ormesson. Six autres villes y échappent mais sont carencées », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Bandes cyclables | Le Perreux-sur-Marne », sur leperreux94.fr (consulté le ).
  21. Isabelle Duhau, Stéphane Asseline (photographe) et Laurent Kruszyk (photographe), Nogent et Le Perreux : L'Eldorado en bord de Marne, Lyon, Lieux Dits éditions, coll. « Images du Patrimoine » (no 237), , 144 p. (ISBN 2-905913-44-4, présentation en ligne).
  22. Présentation des bases Architecture et Patrimoine
  23. Journal Officiel, Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant sur la réorganisation de la région parisienne
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Décret no 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
  26. C.N., « Oubliez le T10, nommez-le Paris-Est-Marne et Bois », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
  27. Décret no 2015-1663 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Champigny-sur-Marne sur Légifrance
  28. Résultats officiels pour la commune Le Perreux-sur-Marne
  29. Marion Kremp, « Le Perreux : la bataille des municipales se jouera sur le thème de l’urbanisation : La maire sortante Christel Royer (LR) se confrontera pour la première fois au suffrage universel. Face à elle, l’ancien opposant Marc Boniface (MoDem-LREM) et la liste de gauche d’Arnaud Dussud. Enjeu de campagne : la densification », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Elections municipales 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  31. La liste des 82 communes équipées de machines à voter sur le site de ZDNet.fr
  32. « Les maires du Perreux », sur leperreux94.fr (consulté le ).
  33. « Jean Goy », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  34. a et b Philippe Nivet, « BELVAUX Robert, Gaston : Né le 18 octobre 1904 à Paris (XIIe arr.), mort le 4 mai 1967 à Bry-sur-Marne (Val-de-Marne) ; militant socialiste ; maire du Perreux (Seine, Val-de-Marne) de 1945 à 1947 et de 1953 à 1967, conseiller général de la Seine (1945-1959 », Le Maitron en ligne, 20/10/2008 mis à jour le 27/10/2009 (consulté le ).
  35. Section du Perreux du PS, « Hommage à Robert Belvaux, maire socialiste de 1945 à 1947 et de 1953 à 1957 », Parti socialiste, (consulté le ).
  36. « Michel Giraud est mort : L'ancien maire RPR du Perreux, considéré comme le père de la région Ile-de-France, est décédé dans la nuit de mercredi à jeudi. Hier, les réactions d'émotion étaient nombreuses », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
  37. Laure Parny, « Le Perreux : Gilles Carrez cède son fauteuil de maire », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
  38. E. S-H., « Municipales au Perreux : indéboulonnable Gilles Carrez », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
  39. « La gestion de Gilles Carrez saluée », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
  40. F. D., « Gilles Carrez ne sera pas le candidat des Républicains », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
  41. « Un tiers des vice-présidences revient au 94 », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
  42. L. P., « Le Perreux : Christel Royer, la première adjointe, devrait succéder Gilles Carrez », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne) « Au Perreux elle était, du moins jusqu’à ce vendredi, adjointe au maire chargée des finances et de l’urbanisme. Dans son précédent mandat, elle avait pris en charge les affaires sociales, le personnel et l’administration communale. Ces derniers mois, la gestion du dossier du nouveau plan local d’urbanisme (PLU) avait fini de la faire connaître des Perreuxiens ».
  43. Clawdia Prolongeau, « Le Perreux : Christel Royer succède en douceur à Gilles Carrez », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne).
  44. « Procès-verbal analytique du conseil municipal du samedi 23 mai 2020 », Publications, sur fr.calameo.com (consulté le ).
  45. a et b « Enfance | Le Perreux-sur-Marne », sur www.leperreux94.fr (consulté le )
  46. a et b « Groupe scolaire Germaine Sablon | Le Perreux-sur-Marne », sur leperreux94.fr (consulté le ).
  47. a et b « Établissements scolaires | Le Perreux-sur-Marne », sur www.leperreux94.fr (consulté le )
  48. « Bienvenue sur le site du Lycée Paul Doumer », sur Lycée Paul Doumer (consulté le )
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  51. « Stade de la Société d’Éducation physique alsacienne et lorraine de Paris », notice no IA00050883, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. Pierre Androuët, Le dictionnaire des fromages du monde, Le Cherche midi (ISBN 978-2-7491-0040-1), p. 60.
  53. Site officiel du Centre des bords de Marne.
  54. Mairie du Perreux « Réhabilitation des façades du Centre des bords de Marne ».
  55. Charlotte Thiede, « Val-de-Marne : Germaine Sablon, l’illustre résistante, a son école au Perreux : Figure de la Résistance et interprète du «Chant des Partisans» en 1943 à Londres, Germaine Sablon est sortie de l’ombre lors de l’inauguration du neuvième groupe scolaire du Perreux. Elle avait passé ses premières années dans la commune », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Germaine Sablon est née le 19 juillet 1899 au 29, avenue des Fleurs. Connue pour avoir interprété le 30 mai 1943, à Londres « Le Chant des Partisans », elle ne reste que quelque temps au Perreux, une dizaine d’années vraisemblablement ».
  56. Banque du Blason