Bérelles

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Bérelles
Bérelles
La nouvelle mairie.
Blason de Bérelles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité CC Cœur de l'Avesnois
Maire
Mandat
Orféo Rigoni
2020-2026
Code postal 59740
Code commune 59066
Démographie
Gentilé Bérellois, Bérelloises
Population
municipale
161 hab. (2020 en augmentation de 3,87 % par rapport à 2014)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 12′ 59″ nord, 4° 05′ 55″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 229 m
Superficie 5,78 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Fourmies
Législatives 3e circonscription du Nord
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
City locator 14.svg
Bérelles
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
City locator 14.svg
Bérelles
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte topographique du Nord
City locator 14.svg
Bérelles
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
City locator 14.svg
Bérelles

Bérelles est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Le village dans le lointain.

Bérelles est un village rural de l'Avesnois situé à 4 km à l'ouest de la frontière franco-belge et à 33 km au sud-ouest de Philippeville et à 29 km au sud de Mons, à 12 km au sud-est de Maubeuge, 16 km au nord-est d'Avesnes-sur-Helpe, 32 km au nord d'Hirson.

Elle est desservie par l'ancienne route nationale 363 (actuelle RD 963) reliant Vervins à Jeumont à la frontière belge.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par le ruisseau des Prés-sous-la-Ville et, en limite sud de son territoire, par le ruisseau de Hayette.

Ils sont des affluents de la Solre, qui se jette dans la Sambre, et sont donc des sous-affluent du fleuve la Meuse.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental ou des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat semi-continental » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les étés sont chauds et les hivers rudes, avec un grand nombre de jours de neige ou de gel. La pluviométrie annuelle est relativement élevée[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 9,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 937 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Maubeuge », sur la commune de Maubeuge, mise en service en 1961[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,6 °C et la hauteur de précipitations de 880,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 77 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bérelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,4 %), terres arables (27 %), prairies (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (10,1 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 77, alors qu'il était de 81 en 2014 et de 69 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 86,5 % étaient des résidences principales, 4,1 % des résidences secondaires et 9,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,3 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bérelles en 2019 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,1 %) supérieure à celle du département (1,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,2 % en 2014), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Bérelles en 2019.
Typologie Bérelles[I 1] Nord[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 86,5 90,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,1 1,6 9,7
Logements vacants (en %) 9,5 7,8 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité a été connue sous les noms de Berelles (J. de G., ann. du Hain. XII, 339), Berella en 1198 (Cartulaire de l'abbaye d'Aulne), Berele en 1200 (id.), Berelle en 1251 (id. -), Bereles en 1272 (id.)[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Bérelles est une paroisse du décanat de Maubeuge, en 1186. Sa cure est à la collation des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem[21].

L'abbaye d'Aulne posséde beaucoup de propriétés à Bérelles qui lui ont été données aux XIIe et XIIIe siècles[21].

Le village est l'ancien fief des seigneurs de Bérelles. Il passe ensuite sous l'autorité des seigneurs de Barbençon[réf. nécessaire].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Au XIXe siècle, on trouve à Berelles une brasserie et 3 fabriques de sabots[21].

Première Guerre mondiale : Les allemands arrivent dans le village le mercredi . le village se trouvera en zone occupée jusque début novembre 1918.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Solre-le-Château[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Fourmies

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Nord.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Béreilles était membre de la communauté de communes des vallées de la Solre, de la Thure et de l'Helpe, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1993 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1802-1803   Philippe Marcoux    
  après 1807[23]. M. Hause    
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1995[24]   Guy Buriez    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Roland Pelliccia
(4 janvier 1942 - 17 octobre 2014)
DVD[25] Instituteur-secrétaire de mairie
mars 2008 juillet 2020[26] Géraldine Traen[27],[28]
(née le 20 novembre 1966)
   
juillet 2020[29],[30] En cours
(au 13 septembre 2022)
Orféo Rigoni
(né le 15 juin 1945)
   

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La salle des fêtes Ulysse-Rouvière.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Bérelles relève de l'académie de Lille.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2020, la commune comptait 161 habitants[Note 7], en augmentation de 3,87 % par rapport à 2014 (Nord : +0,16 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
129114120226223245228232210
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
198194200189184187176181167
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
164194180180202200193157196
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
207165167144151156155157165
2015 2020 - - - - - - -
148161-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 78 hommes pour 73 femmes, soit un taux de 51,66 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
2,4 
75-89 ans
5,1 
19,3 
60-74 ans
17,9 
21,7 
45-59 ans
17,9 
24,1 
30-44 ans
23,1 
12,0 
15-29 ans
17,9 
20,5 
0-14 ans
17,9 
Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,1 
75-89 ans
8,1 
14,3 
60-74 ans
15,6 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,6 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,7 
0-14 ans
18,5 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Rémi, antérieure à 1600, qui comprend une nef, des bas-côtés, un chevet plat plus bas que la nef et un clocher en façade, à flèche polygonale. Une de ses cloches, nommée Maldonade et coulée en 1700 par Félix Ganard, porte l'inscription On m'appelle Messire Nicaise de Maldonade, prestre, seigneur de Bérelles, archidiacre de Hainaut et chanoine de l'église métropolitaine de Cambrai, et Dame Françoise de Maldonade, dame de Molembaix, du temps de maistre Nicolas Depry, curé dudit Bérelles, est inscrite à l'inventaire des Monuments Historiques. L'église abrite des pierres tombales armoriées[21].
  • Ancien château-fort détruit au XVIIe siècle et relevé en 1704 situé sur le versant sud d'un coteau en face d'un petit bois qu'il domine de ses terrasses. Il conserve certains éléments antérieurs.[21].
    Le château, privé, ne peut être visité mais est discernable depuis la route de Solre-le-Château.
  • Fontaine au centre du village.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Mémorial de Marcel Ducarne, mort pour la France.
  • Aurélie Torgau - Wald (1914-1962), communiste allemande, emprisonnée dans une prison de la Gestapo, dite l'« ange d'Auschwitz », est née à Bérelles[36],[37].

Bérelles dans les arts et la culture[modifier | modifier le code]

Camille Pissaro, Le Labourage, Bérelles. Huile sur panel. 17,2 × 25,1 cm, 1860.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bérelles Blason
De gueules à cinq fleurs de lis d’or mises en sautoir
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Bérelles », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
  7. « Station Météo-France Maubeuge - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Bérelles et Maubeuge », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Maubeuge - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Bérelles et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  21. a b c d e et f Maëlle Tabary, Sylvie Meunier et Gérard Lemaire, « Berelles », sur https://villesetvillagesdelavesnois.org (consulté le ).
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
  24. « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 5739.
  25. Annuaire des mairies du Nord (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, 2006, 282 p. (ISBN 2-35258-159-1), p. 42 : « Appartenance politique : DVD »
  26. « Bérelles: Géraldine Traen ne fera pas de troisième mandat : Poursuivant notre périple à la rencontre des maires de notre territoire, nous avons fait une halte à Bérelles, où Géraldine Traen, élue depuis 2008 et succédant à Roland Pellicia, est sur le point de terminer son second mandat. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Les conseillers municipaux ont élu leurs maires et leurs adjoints dans le canton du Solrézis », L'Observateur de l'Avesnois, no 19462,‎ , p. 22 (ISSN 0183-8415)
  28. « Bérelles: un deuxième mandat pour Géraldine Traen : Ce vendredi, l’élection du maire n’a pas connu de rebondissement puisque seule Géraldine Traen se présentait », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Treize villes où tout peut arriver », La Voix du Nord, édition Douaisis, no 24268,‎ , p. 4-5.
  30. « Bérelles: Orféo Rigoni est le nouveau maire du village : Après une élection serrée, le nouveau maire de Bérelles, Orféo Rigoni, a officiellement été installé dans ses fonctions ce dimanche », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bérelles (59066) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  36. « Généalogie et histoire locale en Avesnois », sur http://alain.delfosse.free.fr/, Association Racines et Patrimoine dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe (consulté le ).
  37. « Aurélie Torgau: la Bérelloise au destin tragique devenue «Ange d’Auschwitz» : En 1942, internée au camp d’Auschwitz, Aurélie Torgau travaillera clandestinement à la création d’un hôpital pour y soigner les malades atteints de tuberculose. Une épreuve parmi tant d’autres pour cette incroyable femme, née à Bérelles, marquée dès sa naissance par le destin », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).