Wallers-en-Fagne

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Wallers-en-Fagne
Wallers-en-Fagne
La mairie.
Blason de Wallers-en-Fagne
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes du Sud Avesnois
Maire
Mandat
Bernard Navarre
2020-2026
Code postal 59132
Code commune 59633
Démographie
Gentilé Wallersois, Wallersoises[1]
Population
municipale
280 hab. (2021 en diminution de 3,45 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 03′ 51″ nord, 4° 10′ 35″ est
Altitude Min. 186 m
Max. 236 m
Superficie 7,79 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Fourmies
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Wallers-en-Fagne
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Wallers-en-Fagne
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Wallers-en-Fagne

Wallers-en-Fagne, anciennement Wallers-Trélon, est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Wallers-en-Fagne fait partie :

La commune fait partie du parc naturel régional de l'Avesnois.

Moulin sur l'Helpe majeure
Un moulin sur l'Helpe majeure.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Située sur la terminaison périclinale de la structure calcaire qui constitue la Calestienne belge, Wallers-en-Fagne possède des affleurements de niveau givétien d'où est extrait un calcaire bleu, dit abusivement « marbre bleu ».

Ce calcaire bleu constitue un élément typique dans l'architecture locale des maisons de Thiérache du Nord (Avesnois), de la Fagne, et d'une partie des Ardennes, de Chimay à Givet. Les communes limitrophes sont Moustier-en-Fagne, Baives, Ohain, Trélon et Momignies.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Wallers-en-Fagne
Moustier-en-Fagne
Trélon Wallers-en-Fagne Baives
Ohain Momignies Drapeau de la Belgique Belgique Macon  Drapeau de la Belgique Belgique

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 910 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 21 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Wallers-en-Fagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (50,9 %), terres arables (15,9 %), mines, décharges et chantiers (14 %), forêts (11,3 %), zones urbanisées (3,3 %), eaux continentales[Note 2] (3 %), zones humides intérieures (1,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Environnement[modifier | modifier le code]

De par son appartenance aux marches du Massif ardennais, l'écopotentialité (c'est-à-dire la richesse écopaysagère potentielle) de l'environnement communal est élevée. L'Avesnois est considéré comme la zone la mieux conservée dans le cadre des études d'écopotentialité régionale ou de trame verte et bleue, mais le paysage est cependant localement fragmenté par des routes (avec localement des problèmes de fragmentation forestière. Le labour tend à s'intensifier au détriment du bocage. Et les écosystèmes et paysages semblent avoir été significativement perturbés par l'activité des carrières.

En particulier des effondrements de zones karstiques et de carrières (gisement givétien et en dessous de ce dernier gisement de l'eifelien). Pour les carrières comme pour les mines, d'importants pompages ont permis de faire baisser le niveau de la nappe phréatique pour permettre l'exploitation profonde, pompages qui peuvent induire ou réactiver des systèmes karstiques[14].

Effondrements[modifier | modifier le code]

La carrière de Wallers-en-Fagne
La carrière de Wallers-en-Fagne.

La commune est touchée par des effondrements récents de sols, avec « pertes d'eau de surface » : En 2007-2010, des sols se sont enfoncés entre le ruisseau des Gocheries et le canal de rejet d'une proche pisciculture. L'année suivante en novembre, la Commission wallonne d’étude et de protection des sites souterrains (CWEPSS) notait « un fort déséquilibre hydrologique, très probablement causé par les pompages dans la carrière (de la CCM) ». Par exemple à Momignies, la CWEPSS fin novembre a constaté un effondrement important (12,5 m de long sur 5 m de large pour presque 6 m de profondeur) dans lequel se vident les eaux superficielles, dont celles d'une pisciculture locale, qui a dû cesser son activité[14]. et le mois suivant une perte dénoyait le ruisseau des Gocheries. Un trou encore plus important, apparu dans le lit du ruisseau des Gocheries et profond d'environ 8 mètres vide les eaux de surface[14].
Des ONG interpellent alors le préfet. Début 2012 des négociations sont entamées entre la direction de la carrière CCM et le Pisciculteur et un hydrogéologue agréé doit étudier les questions de responsabilité, qui intéresse notamment les assureurs, conclue par un accord amiable (rachat du terrain par le carrier). Une étude faite sous l'égide du sous-préfet et de l'ARS (Agence régionale de santé a permis d'étudier l’origine des effondrements et les risques pour les nappes superficielles et souterraines. Il y a en effet là un risque important d'apports directs de polluants (pesticides, eutrophisants, microbes) de la surface vers les nappes.
Une étude faite par Antéa avec traçage par coloration de l'eau à la fluorescéine a confirmé que l'eau perdue en surface arrivait dans le fond de la carrière proche[15]. Les trous ont été rebouchés en 2013 et les lits et berges du ruisseau des Gocheries et du canal de rejet reconstitués et consolidés de « placages en argile et des pierres ». Des regards d'inspection ont été installés pour un suivi attentif, sous contrôle de la police de l'eau.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Depuis le VIIe siècle, Wallers-en-Fagne a connu de multiples orthographes : Wallare, Walhiers, Walliers, Waslot, Wasler, Wuaslers, Valers, Walers, Warlers ...

Sur la carte de cassini (feuille n°77 - "Rocroi" publiée en 1759), le village figure sous le nom de "Walle". Sur la carte d'Etat major (1866), le village figure sous le nom de "Woillers".

Appelée encore récemment Wallers-Trélon (en référence à la commune de Trélon qui lui est limitrophe et pour la distinguer de la commune de Wallers sise dans le même département), la commune a retrouvé le nom qui était le sien jusqu'à la fin du XIXe siècle et a été rebaptisée en Wallers-en-Fagne par un décret du ministère de l'Intérieur du paru au journal le 14 août suivant.

Histoire[modifier | modifier le code]

  • Préhistoire

Comme en témoignent par exemple les silex taillés trouvés à Trélon, le territoire de Wallers-en-Fagne et celui de toute la région Nord-Pas-de-Calais ont probablement été largement occupés durant la préhistoire (hormis au plus fort des périodes glaciaires).

  • On dispose de peu de données précises pour la période gauloise et gallo-romaine (restes de l'âge du fer ou datant d'avant la conquête des Gaules par l'empire romain ; deux monnaies de bronze (gauloises ; « nerviennes ») ont été découvertes sur la « colline des Mottes »[16].
  • 302, sous Maximilien, une grande persécution des chrétiens a lieu dans cette région. Selon le doyen Letellier (historien de Chimay), il a fallu repeupler la région avec des païens pour cultiver la terre. Le christianisme sera ensuite rétabli par Flauius Valerius Aurelius Constantinus (l'empereur romain Constantin Ier), mais en 360, des pillards francs et saxons saccagent les environs (Momignies)[16]. Des places fortifiées sont alors érigées dans la région dont sur le site dont le « château de la Motte », cité par Jacques de Guyse et des auteurs plus récents. N'en subsistent que quelques traces de fondation[16].
  • 406 : la Thiérache est envahie par des groupes de Vandales, d'Alains et de Suèves qui font fuir les habitants et détruisent leurs villages. La forêt repousse alors sur les champs abandonnés[16].
  • 843 : Avec le traité de Verdun, le partage de l'empire carolingien entre les trois petits fils de Charlemagne octroie à Lothaire I, la Francie médiane qui comprend le Hainaut dont fait partie le village.
    C'est à cette époque que le « bois de St-Hilaire » aurait été offert à une abbaye de Poitiers, consacrée à Hilaire de Poitiers (° vers 315 - †367) (ancien évêque de Poitiers)[16].
  • 855 : avec le traité de Prüm qui partage la Francie médiane entre les trois fils de Lothaire I, le Hainaut est rattaché à la Lotharingie dont hérite Lothaire II.
  • 870 : avec le traité de Meerssen après la mort de Lothaire II, une partie de la Lotharingie dont fait partie le Hainaut est rattachée à la Francie occidentale.
  • 880 : avec le traité de Ribemont en 880, le Hainaut est rattaché à la Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire romain germanique en 962.
  • Industrie du fer: En 1592, un fourneau, route de Moustier, était exploité par Jean Lobet. Il produisait de la fonte, taques, chaudrons, gueuses. Ces dernières passaient ensuite dans la forge située au pied des Monts-de-Baives pour être rebattues à chaud afin d'obtenir l'acier. Le minerai, argile riche en oxyde de fer, provenait de filons locaux, de Glageon ou Ohain. C'était le charbon de bois préparé dans la forêt qui permettait d'atteindre la température de fusion (1250°). En 1714, il était occupé par Guillaume Goulard, maître de Forges, demeurant à Trélon. En 1738, il est mentionné le chômage avec 2.000 gueuses en magasin. Le fourneau de Wallers fut rétabli ou remplacé par une forge et est resté en activité jusqu’en 1825 date à laquelle le sieur Bertrand, propriétaire, fut autorisé à transformer l’usine en scierie de marbre par ordonnance royale du 1er septembre 1825. L'arrivée par la ligne de chemin de fer "Calais-Bâle" de la houille et du minerai de Lorraine eut raison de ces activités
  • 1884 : La commune qui s'appelait "Wallers" prend le nom de Wallers-Trélon..
  • 2007 : la Commune qui s'appelait "Wallers-Trélon" prend le nom de "Wallers en Fagne"[17].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 : Théop. Léop. Paul[18].

Maire en 1807 : Bachelard[19].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1998 mars 2001 Daniel Barbet    
Mars 2001 En cours Bernard Navarre
Réélu pour le mandat 2020-2026[20]
  Réélu pour le mandat 2014-2020[21]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 280 habitants[Note 3], en diminution de 3,45 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
358296394417480516511509529
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
514462436440419472436424415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
410394371316336336329326307
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
282257251225219215231253282
2014 2019 2021 - - - - - -
293282280------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 149 hommes pour 135 femmes, soit un taux de 52,46 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
4,7 
75-89 ans
8,2 
20,3 
60-74 ans
16,4 
20,3 
45-59 ans
29,9 
17,6 
30-44 ans
14,9 
15,5 
15-29 ans
15,7 
21,6 
0-14 ans
14,9 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église saint Hilaire.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Hilaire de Poitiers (vers 315-367), premier évêque de Poitiers réellement attesté dont les saintes reliques ont été protégées par les habitants de génération en génération. La première donation fut faite au village en 1518 par une fille d'Alain d'Albret, Louise, vicomtesse de Limoges († 1531) qui épousa en 1495 Charles Ier de Croÿ-Chimay, comte de Chimay et d'Avesnes.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Wallers-en-Fagne Blason
D’or à quatre pals de gueules, à la bordure engrêlée d’azur.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Services publics Wallers-Trélon - Habitants », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Wallers-en-Fagne et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a b et c La Voix du Nord (2011), des cours d'eau s'engouffrent dans la terre, la carrière pointée du doigt 2011-12-22
  15. Voix-du-Nord (2013) Effondrements et pertes d’eau à Wallers-en-Fagne : la carrière pourrait acheter le terrain publié le 16/02/2013 et mis à jour le 15/02/2013
  16. a b c d et e Mairie de Wallers-en-Fagne, Notes d’histoire locale, consulté le 28 mai 2013.
  17. Journal officiel - Décret no 2008-626 du 27 juin 2008.
  18. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
  19. « Annuaire statistique du département du Nord. Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 154-155. Images 184-185.
  20. « Cafeyn - reader », sur cafeyn.co (consulté le ).
  21. « Élection de maires », Le Courrier de Fourmies, no 3340,‎ , p. 18 (ISSN 0183-8415).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Wallers-en-Fagne (59633) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).