Saint-Remy-du-Nord

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Saint-Remy-du-Nord
Saint-Remy-du-Nord
Mairie-école.
Blason de Saint-Remy-du-Nord
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté d'agglomération Maubeuge Val de Sambre
Maire
Mandat
Lucien Serpillon
2020-2026
Code postal 59330
Code commune 59543
Démographie
Population
municipale
1 070 hab. (2021 en diminution de 5,73 % par rapport à 2015)
Densité 181 hab./km2
Population
agglomération
109 457 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 13′ 59″ nord, 3° 54′ 23″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 174 m
Superficie 5,91 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Maubeuge (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-sur-Helpe
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Saint-Remy-du-Nord

Saint-Remy-du-Nord est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Bien qu'étant totalement intégrée dans l'unité urbaine de Maubeuge qui forme la cinquième agglomération du Nord, la commune de Saint-Remy-du-Nord adhère à la Communauté de communes Sambre - Avesnois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Située dans la région du Nord-Pas-de-Calais, la commune de Saint-Remy-du-Nord est le centre de plusieurs villes telles que Maubeuge, Hautmont ou encore Aulnoyes-Aymeries.

La rivière des Cligneux coule jusqu'à la Sambre.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Remy-du-Nord
Boussières-sur-Sambre Hautmont
Pont-sur-Sambre Saint-Remy-du-Nord
Bachant Limont-Fontaine

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 862 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 10,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Remy-du-Nord est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Maubeuge (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 22 communes[10] et 109 457 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (93,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), prairies (30,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,7 %), zones urbanisées (7,4 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2024, par les lignes 21 et 61 du réseau Stibus[16].

Toponymie[17][modifier | modifier le code]

La localisation de la bataille de la Sabis, qui opposa les légionnaires romains de César aux Gaulois nerviens, atrébates et viromandues en 57 av. J.-C., a donné lieu à plusieurs hypothèses articulées autour de l’Escaut, de la Sambre, de la Satis (ancien fleuve devenu la Sensée), de l’Écaillon, ou de la Selle. La thèse de la Sambre s’appuie, entre autres arguments, sur l’ancien nom de Saint-Rémy-du-Nord : ce village se dénommait jadis Saint-Rémi le Malbatus, interprété « Saint-Rémy le mal battu » et désigné dès lors comme le lieu de la bataille[18].

La lecture des textes anciens concernant ce toponyme fournit les graphies suivantes[19]: - Saint-Rémi Li Malbatus, 1181, acte de l’évêché de Cambrai, cartulaire de l’abbaye d’Haumont : Sanctus Remigium Limalbatus (nous n’avons pas trouvé de document antérieur à 1181) ; - Saint-Rémi le Malbatuth, 1188, confirmation par le comte de Flandre et de Hainaut d’un don fait à l’abbaye d’Haumont par le seigneur de Saint-Rémy : in territorio Sancti Remigii le mal batuth (copie du XIIIe siècle publiée par Ch. Duvivier, Recherches sur le Hainaut ancien, 1865) ; - Saint-Rémi le Maubatut, 1219, acte de l’abbaye de Saint-Aubert de Cambrai (la consonne /l/ s’est vocalisée en /u/ de la même façon que cheval alterne avec chevaux. Mais le /l/ est restitué quand l’expression est écrite en deux mots) ; - Saint-Rémi le Mal Batu, 1383, document relatif à la vente d’un bois au seigneur de Guise ; - Saint-Rémi le Mal Bâti, 1740. À l’époque de la Révolution française, le toponyme est orthographié Saint-Rémy-de-la-Bâti (1793). Il devient Saint-Rémy-Mal-Bâti sous la plume du préfet Dieudonné dans sa Statistique du Département du Nord, en 1804 (t. III, p. 414). Une loi de novembre 1911 fixe le nom de Saint-Rémy-du-Nord.

Dans une analyse comme celle-ci, qui consiste à étudier l’origine et le sens premier d’un toponyme, il est impérieux de consulter les documents d’archives et de relever les graphies les plus anciennes, afin de faire abstraction des évolutions et déformations subies par les noms de lieux au cours de l’histoire. Ainsi, pour Saint-Rémy-du-Nord, les interprétations en –Mal batu / –Mal battu et –Mal bâti relèvent d’une mauvaise compréhension du nom éponyme, qui a fait que Malbatut ou Mal Batut a été rapproché de termes voisins (battu, bâti) qui n’ont rien à voir ni avec un saint, ni avec une commune[20].

Il faut, au contraire, repartir de la graphie la plus anciennement attestée, Saint-Rémi le Malbatut, et considérer que l’ajout Le Malbatut s’applique à la personnalité de saint Rémi et non au village auquel il a donné son nom. En effet, « Malbatut » ou « Mal batut » (avec la finale –t, –th, ou –s) provient du substantif germanique Banstu- qui désignait un mariage avec une seconde femme de rang inférieur. Le préfixe mal- (latin malus) ajoute la notion de liaison illégale, peut-être parce que le père et la mère de l’enfant adultérin étaient déjà mariés chacun de leur côté. Dans banstu-, la nasale /n/ est tombée devant la fricative /s/ et a laissé bastu-, de la même manière que le latin monstrare a été réduit en ancien français à mostrer, aujourd’hui : montrer. Puis le /s/ intérieur devant consonne s’est effacé comme dans de très nombreux vocables (par exemple, testa a donné : tête, avec un accent circonflexe dans l’écriture du mot). L’adjonction du suffixe –art / –ard s’est produite plus tard : bastart est attesté au XIIe siècle, en latin médiéval bastardus, sans connotation nécessairement négative, le bâtard (effacement du /s/ remplacé dans l’orthographe par un accent circonflexe) étant l’enfant né en dehors du mariage de ses parents (cf. « le bâtard d’Orléans » pour Dunois, compagnon d’armes de Jeanne d’Arc, ou « Guillaume le Bâtard » pour Guillaume le Conquérant, duc de Normandie et roi d’Angleterre).

Quatre personnalités ecclésiastiques portent le nom de saint Rémi ou Rémy : un évêque de Reims au VIe siècle, qui baptisa Clovis ; un archevêque de Lyon au IXe siècle ; un évêque de Strasbourg au VIIIe siècle ; un évêque de Rouen au VIIIe siècle également. Ce dernier (Remigius), évêque de 755 à 771, était le fils illégitime de Charles Martel, maire du palais et souverain du royaume des Francs, et d’une concubine inconnue. Le roi Pépin le Bref, son demi-frère, le fit placer sur le trône de l’évêché de Rouen. Ce serait donc ce Rémi (ou Rémy) de Rouen, bâtard de sang royal, qui aurait donné son nom au village, et non Rémy l’évêque de Reims comme il est dit le plus souvent, la précision toponymique Mal batut permettant le distinguo. Rouen n’est d’ailleurs pas étranger à l’abbaye d’Haumont de laquelle dépendait le village de Saint-Rémy : l’histoire raconte que cette abbaye abrita vers 690 le séjour de saint Ansbert, évêque de Rouen, dont les abbés d’Haumont ne cessèrent de célébrer la mémoire et à qui ils élevèrent une chapelle, lieu constant de pèlerinages. Certains historiens font même mourir Ansbert à Haumont.

Redisons encore que l’appellation Mal batut n’est pas du tout péjorative, elle s’applique simplement à un enfant né en dehors du mariage de ses parents, cette circonstance n’a d’ailleurs pas empêché Rémi de devenir évêque et d’être vénéré. Bien qu’il soit moins cité, dans les dictionnaires et hagiographies, que ses homonymes de Reims ou de Lyon.

Le toponyme Saint-Rémi le Malbatut n’aurait donc rien à voir avec l’expression « mal bâti » évoquant un mauvais plan d’urbanisme, ni avec la formule « mal battu » qui rappellerait le souvenir d’une bataille sanglante ou d’une défaite injuste, qu’elle soit très ancienne ou plus récente. La Sabis n’est pas la Sambre, la bataille narrée par César n’a pas eu lieu dans les parages d’Haumont[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Maire de 1802 à 1807 : Ant. Cuisset[23],[24].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
[25] En cours Lucien Serpillon DVD  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 1 070 habitants[Note 3], en diminution de 5,73 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
230227285291347399420417407
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
480535598653715811789772796
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8818649789581 1221 2511 2541 1761 230
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 4021 3601 3061 3511 3901 2654551 1761 121
2021 - - - - - - - -
1 070--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,6 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 538 hommes pour 570 femmes, soit un taux de 51,44 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,8 
7,2 
75-89 ans
7,1 
20,5 
60-74 ans
22,3 
21,8 
45-59 ans
19,3 
17,9 
30-44 ans
16,4 
15,6 
15-29 ans
17,2 
16,7 
0-14 ans
15,9 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Rémy de 1771 avec pierre tombale d'Ignace Fauveau de 1792
  • Colombier du XVIIIe siècle
  • Monument du Poilu
  • Chapelles
  • Au cimetière, quatre tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Saint-Remy-du-Nord se blasonnent ainsi : D’or à trois chevrons de sable.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Remy-du-Nord et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Maubeuge (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. « Plan du réseau Stibus 2023-2024 » [PDF], sur stibus.fr, (consulté le ).
  17. D’après André Bigotte, Histoire d’Haspres > Le forum > La bataille de la Sabis > Les ouvrages sur le sujet
  18. Z. Piérart, Recherches historiques sur Maubeuge, son canton et les communes limitrophes, 1851, pp. 106-114)
  19. Eugène Mannier, Études étymologiques sur les noms de villes, bourgs et villages du département du Nord, 1861, p. 383 ; Statistique archéologique du département du Nord, vol. II, 1867, p. 776 ; etc
  20. c’est aussi l’opinion de Denise Poulet, Noms de lieux du Nord–Pas-de-Calais, 1997, p. 126
  21. voir le site : Histoire d’Haspres > Forum de discussion > La bataille de la Sabis > L’hypothèse de la Sambre relancée
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
  24. « Annuaire statistique département du Nord Année 1807 », p. 146-147.
  25. « Saint-Rémy-du-Nord: fin de mandat en plein chantier pour Lucien Serpillon », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Remy-du-Nord (59543) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).