La Longueville

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La Longueville
La Longueville
L'église Sainte-Aldegonde.
Blason de La Longueville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Mormal
Maire
Mandat
Stéphane Latouche
2020-2026
Code postal 59570
Code commune 59357
Démographie
Gentilé Longuevillois
Population
municipale
2 065 hab. (2021 en diminution de 3,32 % par rapport à 2015)
Densité 117 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 23″ nord, 3° 51′ 28″ est
Altitude Min. 134 m
Max. 161 m
Superficie 17,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Maubeuge (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aulnoye-Aymeries
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.lalongueville.fr/

La Longueville est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La Longueville se situe sur une des sept voies romaines (Chaussée Brunehaut autour de Bavay, l'actuelle RN 49 mise à 2 voies. La commune est située à 5 km du chef lieu du canton (Bavay), à 6 km d'Hautmont, 9 km de Maubeuge, 25 km de Valenciennes et 75 km de Lille.

Le territoire de La Longueville s'étend sur le plateau Hennuyer composé de sables landéniens (tertiaire) recouverts de limon des plateaux (terre à brique) qui donne des sols lourds. Son altitude varie de 141 à 160 m. La commune est arrosée par l'Hogneau qui y prend sa source au bois Delhaye au sud et reçoit au niveau du Pont Poirette le ruisseau Sainte Aldegonde (patronne de la commune) où se trouve la fontaine du même nom, puis se jette dans la Haine en Belgique. La superficie de la commune est de 1 764 hectares, dont 544 de bois. Le reste est partagé entre des pâturages et des terres labourables qui ont tendance à s'étendre au détriment des herbages. Vue du ciel La Longueville présente le double aspect d'un village de bocage à l'origine avec un habitat groupé au chef lieu et dispersion dans plusieurs hameaux et écarts.

La commune ne présente pas de cachet touristique particulier, victime qu'elle fut des bombardements de 1940. Toutefois subsistent quelques belles maisons et fermes du XVIIIe siècle, un très beau moulin (moulin au bois) du XVIIIe reconstruit en 1846. Le chœur de l'église est peut-être du XVe siècle, plusieurs objets y sont classés, elle est consacrée à Sainte Aldegonde.

La mairie, l'église, le bureau de poste et la salle des fêtes se trouvent au centre du village. Il faut souligner que les responsables de la reconstruction eurent le mérite (ce qui ne fut pas le cas partout) de conserver les matériaux traditionnels que sont la brique et la tuile pour élever les nouveaux immeubles auxquels ils ont conservé les volumes de ceux qu'ils remplaçaient, ce qui confère - tout de même - à la place et à son environnement une certaine élégance.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par l'Hogneau (affluent de la Haine et donc sous-affluent de l'Escaut) ainsi que par le ruisseau de l'Airette, qui s'y jette.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 868 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 18 km à vol d'oiseau[3], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Longueville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 65 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Avec le plan d'urbanisme élaboré dans les années 1980, on vit s'élever dans la partie sud-est du village plusieurs résidences : Clos des Charmes (3e âge), Les Châtaigniers, Merisiers, Square Noël-Auquiert (à la mémoire d'un jeune homme de La Longueville tué lors de la guerre d'Algérie), qu'avait précédé la résidence Les Cytises, rue de Mons.

Dans le même temps on assistait à une vague de constructions individuelles le long des rues desservant les hameaux et écarts de la commune.

Aujourd'hui le potentiel habitable de la commune est de l'ordre de 800 maisons.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (52,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,2 %), prairies (26,9 %), terres arables (19,5 %), zones urbanisées (10,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Les habitations de la commune se regroupent d'abord autour de la place (mairie), puis dans des hameaux : Les Lanières, le Gros Chêne, Les Mottes et Malgarni. Viennent enfin les écarts, comme les Petites Mottes, le Château de Bassus (château blanc), le Baron Vinaigre.

Cependant, le développement de l'habitat ces dernières années tend à relier plusieurs hameaux ou écarts au centre, ainsi la rue de Pont sur Sambre.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2024, par le service de transport à la demande du réseau Stibus[13]. Elle est également desservie par la ligne 951, 976 et 979 du réseau interurbain Arc-en-Ciel 4[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

La Longueville, en latin Longa Villa est mentionné en 1295 dans le cartulaire de l'évêché de Cambrai.

La Longueville n'a rien gardé de son passé : occupée sans doute dès la préhistoire, sûrement lors de la période gallo-romaine (50/260 de notre ère), elle garde présence d'un culte attesté de Sainte Aldegonde au Ve siècle.

Chef-lieu d'une des douze Pairies du Hainaut au XIe siècle, toutes ces traces ont disparu, y compris celles du château déjà en ruine avant la Révolution française.

Village surtout agricole avec encore une centaine de fermes qui subsistaient en 1940 (contre 18 aujourd'hui), vivifié entre les deux guerres par l'industrie, puis gagné par l'urbanisation après 1973.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription du Nord.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Bavay[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton d'Aulnoye-Aymeries.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la Communauté de communes du Bavaisis, créée fin 1993.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la réforme des collectivités territoriales françaises (2008-2012), le schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet du Nord prévoit la fusion de cette intercommunalité avec ses voisines. C'est ainsi qu'est créée le la communauté de communes du Pays de Mormal[16], dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire en 1802-1803 :Capouillez[17].

Maire en 1807 : Jean[18].

Liste des maires successifs[19]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Daniel Fauviaux[20]   Retraité, maire honoraire
mars 2001 mars 2008 Michel Prévot[21]   Retraité de l'Éducation nationale, maire honoraire
mars 2008 mars 2010[22] Patrick Delcourt   Démissionnaire
juin 2010[23], [24] mars 2014 Jacques Claisse DVD Premier adjoint au maire (2008 → 2010)
Assure l'intérim du maire de mars à juin 2010
mars 2014[25],[26] En cours
(au 27 janvier 2022)
Stéphane Latouche SE-DVD[27] Fonctionnaire
Réélu pour le mandat 2020-2026

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 2 065 habitants[Note 3], en diminution de 3,32 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9459191 0261 1011 1971 1981 1881 2201 255
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2281 2461 2891 2241 1821 1781 2371 1741 163
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1941 1801 1261 3031 4961 5821 5431 4431 549
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 7421 7601 7591 8442 1542 1962 2212 2242 138
2017 2021 - - - - - - -
2 0972 065-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 020 hommes pour 1 074 femmes, soit un taux de 51,29 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,8 
4,7 
75-89 ans
7,5 
19,1 
60-74 ans
19,4 
21,8 
45-59 ans
22,1 
19,0 
30-44 ans
17,6 
16,6 
15-29 ans
16,6 
18,7 
0-14 ans
16,0 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Culture légale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Sainte-Aldegonde du XVIe siècle-XVIIIe siècle, avec une statue du Christ en croix du XVIe siècle, une chaire à prêcher en bois taillé et une dalle funéraire datée 1773.
  • Le calvaire du XVIIIe siècle, chapelle les Lanières, oratoire Notre-Dame du Rosaire.
  • Le moulin du bois, moulin à eau de 1796, probablement à l'origine une scierie, puis moulin à farine.
  • Quelques fermes avec un pigeonnier.
  • Bois Delhaye, bois dit Le Chêne Croiseau, bois dit Le Grand Planty.
  • Le cimetière communal de La Longueville héberge six tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission, de soldats tombés à la libération en [33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de La Longueville se blasonnent ainsi : D’azur semé de billettes d’argent, au lion du même, armé et lampassé de gueules, brochant sur le tout.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre La Longueville et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Maubeuge (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Plan du réseau Stibus 2023-2024 » [PDF], sur stibus.fr, (consulté le ).
  14. « Plan du périmètre Avesnois », sur arcenciel.hautsdefrance.fr (consulté le ).
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Amandine Meunier, « Pays de Mormal: avant la fusion des intercommunalités, revue de la dot de la 2C2M », La Voix du Nord,‎ .
  17. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 277, lire en ligne.
  18. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », p. 138-139 (images 168-169)..
  19. « Les maires de Longueville (la) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  20. Daniel Fauviaux, le conciliateur de justice qui use du rire pour « arrondir les angles », La Voix du Nord, article du 25 juillet 2010.
  21. « L'ancien maire Michel Prévot de retour au conseil municipal accompagné de Jean-Paul Francq et Gwenaëlle Daux-Gabet », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
  22. « Le maire de La Longueville a annoncé sa démission lundi »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
  23. « Le conseil municipal de La Longueville choisira son nouveau maire vendredi soir », sur lavoixdunord.fr, La Voix du Nord, .
  24. « La Longueville : Jacques Claisse est le nouveau maire », sur lasambre.fr, La Sambre, .
  25. « La Longueville : Stéphane Latouche est le nouveau maire : L'installation du conseil municipal a eu lieu dimanche matin, à la salle des fêtes, comble pour l'occasion. Sans surprise, Stéphane Latouche a été élu maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « À mi-mandat, Stéphane Latouche, le maire, continue de miser sur les services à la population : Le mois de juillet est l’occasion pour le maire de la Longueville, Stéphane Latouche, de dresser un premier bilan, à mi-mandat, de l’activité municipale et les projets engagés », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. Extrait de la fiche de M. Stéphane LATOUCHE, sur lesbiographies.com
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Longueville (59357) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  33. La Longueville au site de www.inmemories.com