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Aurélien Rousseau

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Aurélien Rousseau
Illustration.
Fonctions
Député français
En fonction depuis le
(8 jours)
Élection 7 juillet 2024
Circonscription 7e des Yvelines
Législature XVIIe (Cinquième République)
Prédécesseur Nadia Hai
Ministre de la Santé et de la Prévention

(5 mois)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Gouvernement Borne
Prédécesseur François Braun
Successeur Agnès Firmin-Le Bodo
Directeur de cabinet de la Première ministre

(1 an et 2 mois)
Premier ministre Élisabeth Borne
Prédécesseur Nicolas Revel
Successeur Jean-Denis Combrexelle
Directeur général de l'Agence régionale de santé d'Île-de-France

(2 ans, 11 mois et 6 jours)
Prédécesseur Christophe Devys
Successeur Amélie Verdier
Président-directeur général de la Monnaie de Paris

(1 an, 7 mois et 9 jours)
Prédécesseur Christophe Beaux
Successeur Marc Schwartz
Directeur adjoint de cabinet du Premier ministre

(1 an, 5 mois et 21 jours)
Premier ministre Manuel Valls
Bernard Cazeneuve
Prédécesseur Gilles Gateau
Successeur Thomas Fatome
Biographie
Date de naissance (48 ans)
Lieu de naissance Alès (France)
Nationalité Française
Parti politique PCF (années 2000)
PP (depuis 2024)
Conjoint Marguerite Cazeneuve
Beau-père Jean-René Cazeneuve
Diplômé de ENA
Profession Haut fonctionnaire
Enseignant

Aurélien Rousseau, né le [1] à Alès (Gard), est un haut fonctionnaire français, membre du Conseil d'État, dirigeant d'établissement public et homme politique.

Il a exercé plusieurs années à la Ville de Paris, notamment au cabinet du maire de Paris Bertrand Delanoë et de 2015 à 2017 auprès des Premiers ministres Manuel Valls et Bernard Cazeneuve, dont il fut le directeur adjoint de cabinet et conseiller social.

De 2018 à 2021, il est directeur général de l'Agence régionale de santé Île-de-France (ARS IDF) et pilote la politique de santé en région, notamment pendant la pandémie de Covid-19.

En mai 2022, il devient directeur de cabinet de la Première ministre Élisabeth Borne. Le , il succède à François Braun et devient ministre de la Santé et de la prévention. Il démissionne le suivant, à la suite de l'adoption du projet de loi relatif à l'immigration.

Le 14 juin 2024, sa candidature est annoncée sur le quota Parti socialiste et Place publique dans le cadre du Nouveau Front populaire aux législatives anticipées du 30 juin 2024.

Biographie[modifier | modifier le code]

Origines, formation et débuts[modifier | modifier le code]

Fils de Janine Boyer-Rousseau, enseignante de philosophie et ancienne militante du Parti communiste français puis du Parti socialiste unifié[2], Aurélien Rousseau grandit à Saint-Hilaire-de-Brethmas[3] dans le Gard, à côté de la ville d'Alès.

Après être passé par une khâgne, puis avoir obtenu une maîtrise en histoire[3], il échoue au concours de l'agrégation[4] et réussit le CAPES d'histoire-géographie.

Il commence sa carrière professionnelle en 1999[5], comme professeur d'histoire-géographie au lycée Jean-Renoir à Bondy[3]. De 2017 à 2020, il a enseigné à l'école urbaine de Sciences Po, où il assurait un cours de droit de la ville au sein du master « Stratégies territoriales et urbaines »[6].

Engagement politique[modifier | modifier le code]

Il rejoint à son tour le Parti communiste français lorsqu'il est enseignant en Seine-Saint-Denis[3]. Il participe à la campagne des élections municipales de Paris en 2001, à l'issue de laquelle il rejoint le cabinet de Pierre Mansat, élu adjoint au maire.

Il quitte la Ville de Paris après avoir réussi le concours d'entrée de l'ENA (promotion Willy Brandt). Sorti en 2009, il rejoint le Conseil d’État comme rapporteur à la dixième chambre de la section du contentieux.

Le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand lui confie deux missions pendant cette période : une mission relative au développement du livre numérique en France (2010)[7] et une mission sur les dispositifs de soutien à mettre en œuvre en faveur des librairies indépendantes (2012)[8].

Aurélien Rousseau quitte le Conseil d'État en 2012 pour faire son retour à la Ville de Paris en tant que directeur adjoint du cabinet de Bertrand Delanoë[9], alors maire de Paris, puis à partir de 2014 comme secrétaire général adjoint.

Il rejoint en le cabinet du Premier ministre Manuel Valls comme directeur de cabinet adjoint et conseiller social[10]. Il y suit en particulier les affaires sociales, parmi lesquelles les questions de santé, ainsi que l'éducation, la culture et l'agriculture. Il est l'interlocuteur des syndicats pendant la période d'élaboration de la loi travail[11],[12]. Il poursuit ses fonctions auprès de Bernard Cazeneuve, qui succède à Manuel Valls au poste de Premier ministre le [4].

Direction de la Monnaie de Paris[modifier | modifier le code]

Aurélien Rousseau est nommé président-directeur général de la Monnaie de Paris le [13]. Il engage un plan de transformation particulièrement centré sur les activités industrielles de l'entreprise. Il poursuit par ailleurs la politique de développement des marchés à l’exportation[14],[15].

Direction de l'Agence régionale de santé Île-de-France[modifier | modifier le code]

Le , Aurélien Rousseau est nommé directeur général de l'Agence régionale de santé Île-de-France[16] par le conseil des ministres, à la suite de Christophe Devys[17]. Il prend ses fonctions le [18]. Il est notamment chargé de mettre en œuvre dans la région les orientations du plan Ma Santé 2022. Il est membre du comité de pilotage national de ce plan. Il fait face à deux crises importantes au printemps 2019 : le mouvement de grève dans les services d'urgence et la gestion des conséquences sanitaires de l'incendie de Notre-Dame de Paris[19].

Lors de la deuxième vague de pandémie de Covid-19, l’ARS Île-de-France profite des effets induits par la gestion de l'épidémie et tire les leçons de la première vague en souhaitant encore mieux articuler les professionnels de ville et l’hôpital[20]. Le 7 juillet 2021, il annonce son départ de l'ARS[21].

Il quitte ses fonctions en août 2021 à sa demande et réintègre le Conseil d'État, son corps d’origine. Il est par ailleurs à partir de la rentrée 2021 professeur associé à l'École des hautes études en sciences sociales, où il conduit un séminaire sur la transformation de l'État[22].

Matignon[modifier | modifier le code]

Le , il est nommé directeur de cabinet d'Élisabeth Borne, après la nomination de cette dernière comme Première ministre[23]. À ce poste, il est l'artisan principal de la réforme des retraites, à la loi Travail[24] et aux 49-3 de la Première ministre pendant le budgétaire. Il est notamment le négociateur, avec Eric Ciotti, pour tenter de trouver un accord avec LR sur la réforme des retraites. A Matignon, il prépare également la loi immigration.

Il démissionne le 17 juillet 2023, en affirmant n'avoir pas de différend idéologique avec le Président de la République et la Première ministre[réf. souhaitée].

Ministre de la Santé et de la Prévention[modifier | modifier le code]

Le , il est nommé ministre de la Santé et de la Prévention, succédant à François Braun[25],[26].

Lors de sa nomination, la presse relève que le poste de son épouse, directrice déléguée de la CNAM, fait craindre une situation de conflit d'intérêts[27],[28],[9]. Le secrétariat général du gouvernement estime dans une note que sa femme peut conserver son poste à condition que le ministre « se déporte de toute décision qui concernerait la situation personnelle de sa conjointe au sein de la Caisse nationale de l'assurance maladie »[29],[30]. Saisie, la HATVP juge que le décret de déport « satisfait aux exigences de prévention des conflits d’intérêts »[31].

Décrit comme faisant partie de l’aile gauche macroniste[32], il annonce son intention de démissionner le soir du , en réaction à l'adoption par le Parlement du projet de loi sur l'immigration[33],[34],[35]. Olivier Véran confirme sa démission lors d'une conférence de presse à la suite du Conseil des ministres du [36]. Agnès Firmin-Le Bodo lui succède à la tête du ministère[37].

Autres fonctions[modifier | modifier le code]

En 2020, il est élu conseiller municipal de Saint-Hilaire-de-Brethmas[3] sur la liste conduite par le maire Jean-Michel Perret[38].

Le 14 juin 2024, sa candidature est annoncée sur le quota Parti socialiste et Place publique dans le cadre du Nouveau Front populaire aux législatives anticipées du 30 juin 2024. Il est candidat dans la septième circonscription des Yvelines de Conflans-Sainte-Honorine, ancienne circonscription de Michel Rocard[39],[24],[40] ; il arrive en tête au premier tour[41].

Il est élu député de la 7e circonscription des Yvelines le 7 juillet 2024 face à la sortante, Nadia Hai[42].

Publications[modifier | modifier le code]

Articles et contributions à des ouvrages collectifs[modifier | modifier le code]

  • Une collection politique ?, en coll. catalogue d’exposition, Paris, 2002.
  • La décentralisation depuis 1945, en coll., LGDJ, Paris, 2005[43].
  • Paris-banlieues, conflits et solidarités, sous la direction d’Annie Fourcaut, Paris, 2007[44].
  • « La Banlieue, mythe politique français », avec Hugo Bevort, in Esprit, Paris, 2013 (mars-avril)[45].
  • « Pierre Tissier, un homme de l’État », avec Matthieu Schlesinger in Faire des choix ? Les fonctionnaires dans l'Europe des dictatures, 1933-1948, sous la direction de Marc Olivier Baruch, Paris, 2014[46].
  • « Les deux visages d’un trésor », in Paris, théâtre des opérations, sous la direction de Sylvain Venayre, Le Seuil, Paris, 2018[47].

Pièces de théâtre[modifier | modifier le code]

  • Traces, interprétée par la compagnie Le petit théâtre de pain à la Scène nationale de Bayonne, 2009[48]
  • Le Siphon, interprétée par la compagnie Le petit théâtre de pain à la Scène nationale de Bayonne, 2012[49]

Roman[modifier | modifier le code]

Essai[modifier | modifier le code]

  • La Blessure et le Rebond : Dans la boîte noire de l'État face à la crise, Paris, Odile Jacob, , 320 p. (ISBN 9782415003029)

Décorations[modifier | modifier le code]

Vie privée[modifier | modifier le code]

Il est marié avec Marguerite Cazeneuve, directrice déléguée au sein de la Caisse nationale de l'assurance maladie (CNAM) depuis 2021[9], fille de Jean-René Cazeneuve et sœur de Pierre Cazeneuve, tous deux députés Renaissance. Sa belle-mère, Béatrice Cazeneuve, est retraitée depuis juin 2023 du comité de direction de la branche française du laboratoire pharmaceutique Eli Lilly and Company[9].

Il a trois enfants[52].

Références[modifier | modifier le code]

  1. BNF 16687327.
  2. STEPHANE BARBIER, « "Le cuir dur", "papa en or" et "frère rigolo" : Aurélien Rousseau, le ministre alésien de la Santé raconté par », Midi libre,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  3. a b c d et e Chloé Hecketsweiler et Solenn de Royer, « Covid-19 : les « tristes printemps » d’Aurélien Rousseau », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  4. a et b Tristan Quinault-Maupoil, « Aurélien Rousseau, du cabinet de la première ministre à la Santé », Le Figaro,‎ , p. 2 (lire en ligne).
  5. LesBiographies.com, « Moteur de recherche biographique », sur lesbiographies.com (consulté le ).
  6. « Équipe enseignante - master stratégies territoriales et urbaines », sur École urbaine (consulté le ).
  7. Aurélien Rousseau et Laurent Ladouari, « Pour un livre numérique créateur de valeurs », Rapport,‎ (Lire en ligne)
  8. Aurélien Rousseau, « Soutenir la librairie pour consolider l’ensemble de la chaîne du livre : une exigence et une responsabilité partagées », Rapport,‎ (Lire en ligne)
  9. a b c et d Marius Matty, Réseaux ex-PS… et risques de conflits d'intérêts : qui est Aurélien Rousseau, le nouveau ministre de la Santé ?, marianne.net, 20 juillet 2023
  10. « Aurélien Rousseau officiellement nommé directeur adjoint de cabinet,... », sur www.aefinfo.fr (consulté le )
  11. Laure Bretton, « Aurélien Rousseau Le démineur de Matignon », sur Libération (consulté le )
  12. « Qui est Aurélien Rousseau, nouveau dir cab' d’Élisabeth Borne ? », sur www.marianne.net,
  13. Jean-Christophe Castelain, « Le directeur adjoint du cabinet de Bernard Cazeneuve prend la présidence de la Monnaie de Paris », sur Le Journal Des Arts (consulté le )
  14. « Aurélien Rousseau, un social et un modernisateur à la Monnaie de Paris », sur LEFIGARO (consulté le )
  15. « Comment la Monnaie de Paris gère sa mutation », sur Les Echos, (consulté le )
  16. « Agence régionale de santé Ile-de-France : la santé avance en Île-de-France », sur www.iledefrance.ars.sante.fr (consulté le )
  17. « Décret du 25 juillet 2018 portant nomination du directeur général de l'agence régionale de santé d'Ile-de-France : M. ROUSSEAU (Aurélien) », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
  18. « Aurélien Rousseau prend la tête de l’Agence régionale de santé Île-de-France », sur www.iledefrance.ars.sante.fr (consulté le )
  19. « Pollution au plomb : pas « d’alerte rouge » liée à l’incendie de Notre-Dame, selon l’Agence de santé », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. Nathalie Raulin, « Covid : «80% de déprogrammation ce lundi, c’est trop» », sur Libération (consulté le )
  21. Par Carole Sterlé et Nolwenn Cosson et Marcelo Wesfreid Le 7 juillet 2021 à 12h05, « Pourquoi le patron de la lutte anti-Covid en Ile-de-France quitte son poste », sur leparisien.fr, (consulté le )
  22. « Journal Officiel », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
  23. « Alexis Kohler reconduit comme secrétaire général de l’Elysée, Aurélien Rousseau nommé directeur du cabinet à Matignon : suivez notre direct politique », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. a et b John Timsit, « Législatives : Aurélien Rousseau, ancien ministre du gouvernement Borne, candidat… pour le «Nouveau Front populaire» », lefigaro.fr, 14 juin 2024
  25. « Remaniement : la surprise Aurélien Rousseau, nouveau ministre de la Santé », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le )
  26. « Remaniement : qui est Aurélien Rousseau, le nouveau ministre de la Santé ? », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  27. Aurélien Rousseau ministre de la Santé, un risque de conflit d’intérêts ? La HATVP tranchera dit Olivier Véran, huffingtonpost.fr, 21 juillet 2023
  28. Caroline Robin, Nomination d’Aurélien Rousseau à la Santé : y a-t-il un risque de conflit d’intérêts avec la Sécu ?, capital.fr, 20 juillet 2023
  29. Angelina Lenez, « Conflit d'intérêts pour Aurélien Rousseau ? », Ouest-France, no 24076,‎ , p. 5 (ISSN 0999-2138, lire en ligne).
  30. Mattea Battaglia et Camille Stromboni, « Conflit d’intérêts et incompatibilité éventuels… Le cas d’Aurélien Rousseau, le nouveau ministre de la santé, en passe d’être tranché » Accès payant, sur Le Monde, (consulté le ).
  31. « Nomination d’Aurélien Rousseau au ministère de la santé : pas de « situation de conflit d’intérêts » liée aux fonctions de son épouse, selon la HATVP », sur Le Monde, (consulté le ).
  32. Loris Boichot, Martin Lagrave et Tristan Quinault-Maupoil, Loi immigration : des ministres de l’aile gauche macroniste menacent de démissionner en cas de texte trop dur, lefigaro.fr, 19 décembre 2023
  33. Loris Boichot, « Loi immigration : le ministre de la Santé, Aurélien Rousseau, présente sa démission pour s’opposer au texte droitisé » Accès payant, Le Figaro, (consulté le ).
  34. Sur France Bleu
  35. Sur Huffingtonpost.fr
  36. Camille Romano, « Aurélien Rousseau démissionne du gouvernement, "Agnès Firmin-Le Bodo assurera l’intérim", annonce Olivier Véran », Public Sénat, (consulté le ).
  37. Noémie Lair, « Agnès Firmin Le Bodo, nouvelle ministre de la Santé, est l'invitée de France Bleu Normandie ce vendredi », France Bleu, (consulté le )
  38. https://mobile.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__municipales-2020/(path)/municipales-2020/030/030259.html.
  39. « Législatives 2024 : l’ancien ministre de la santé, Aurélien Rousseau, investi sous la bannière du Nouveau front populaire », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  40. « Législatives 2024 : Aurélien Rousseau, ancien ministre de la Santé d'Elisabeth Borne, représentera le Nouveau Front populaire dans les Yvelines », francetvinfo.fr, 14 juin 2024
  41. « L’ancien ministre de la santé, Aurélien Rousseau, en tête dans les Yvelines face à la députée sortante, Nadia Hai », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  42. « 7ème circonscription (7807) - Elections Législatives 2024 - Publication des résultats des élections en France », sur www.resultats-elections.interieur.gouv.fr (consulté le )
  43. La décentralisation depuis 1945 (ISBN 978-2-275-02662-6, lire en ligne)
  44. « Créaphis - Paris/Banlieues, conflits et solidarités », sur www.editions-creaphis.com (consulté le )
  45. Hugo Bevort et Aurélien Rousseau, « La Banlieue, mythe politique français », Esprit, vol. Mars/Avril, no 3,‎ , p. 83–97 (ISSN 0014-0759, lire en ligne, consulté le )
  46. Marc Olivier Baruch, Faire des choix ? Les fonctionnaires dans l'europe des dictatures 1933-1948, Paris, La documentation française, (lire en ligne)
  47. « Sous la direction de Sylvain Venayre. Paris, théâtre des opérations. 30 promenades à travers l’histoire. | Le blog » (consulté le )
  48. PTDP, « TRACES… – Le Petit Théâtre de Pain » (consulté le )
  49. PTDP, « LE SIPHON – Le Petit Théâtre de Pain » (consulté le )
  50. Agathe Auproux, « Aurélien Rousseau, "Boucle d'or", au Passage », Livres Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le )
  51. Jacques Paquier, « Légion d’honneur : les Grands-Parisiens promus ou nommés », sur lejournaldugrandparis.fr,
  52. Solenn de Royer, « Aurélien Rousseau, un ex-communiste nommé directeur du cabinet d’Elisabeth Borne », Le Monde,‎ (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]