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Université Paris-Cité

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Université Paris-Cité
Logotype de l'université Paris-Cité.
Entrée d'un des bâtiments, rue de l'École-de-Médecine, Paris 6e.
Histoire
Fondation
Dates-clés

 : décret de création de l'université

 : fusion des universités Paris-Descartes (Paris-V) et Paris-Diderot (Paris-VII)

 : publication du décret remplaçant le nom université de Paris par université Paris-Cité.
Statut
Forme juridique
Établissement public national à caractère scientifique culturel et professionnel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Disciplines
pluridisciplinaire
Nom officiel
Université Paris CitéVoir et modifier les données sur Wikidata
Fondateur
Président
Édouard Kaminski (d) (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
Présidente
Devise
Illuminons le monde de demainVoir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
64 100[1]
Effectif
7 204 ()Voir et modifier les données sur Wikidata
Enseignants-chercheurs
7 250[1]
Classement
Rang national
4e/85 ARWU (2023)
5e/85 THE (2022)
Rang international
73e/1 000 ARWU (2022)
155e/1 600 THE (2022)
Localisation
Pays
Localisation
Localisation sur la carte de France
voir sur la carte de France
Localisation sur la carte de Paris
voir sur la carte de Paris

L'université Paris-Cité, brièvement appelée université de Paris à sa création, est une université française créée par décret le en tant qu'établissement expérimental[2] et issue de la fusion des universités Paris-Descartes et Paris-Diderot ainsi que de l'intégration de l'institut de physique du globe de Paris (IPGP) en tant qu'établissement-composante.

Le , les universités Paris-Descartes et Paris-Diderot ont cédé pleinement leurs droits et obligations à l'université de Paris[3].

Le siège de l'université est situé au cœur de Paris, dans le 6e arrondissement au boulevard Saint-Germain.

Le , le Conseil d'État annule la partie sur le nom de l'établissement du décret portant création de l'université de Paris, après un recours de l'université Paris-II. L'établissement est officiellement renommé université Paris-Cité en .

Histoire

Les universités Paris-III, Paris-V et Paris-VII se rapprochent à partir du milieu des années 2000 dans le cadre de la mise en place de pôles de recherche et d'enseignement supérieur (PRES) et du plan Campus. Un premier rapprochement est opéré en avec la création de l'association Paris-Centre - Universités, qui regroupe alors l'université Paris-VII avec celles de Paris-I et Paris-V[4], alors que les autres universités parisiennes s'étaient unies autour du projet de Paris Universitas l'année précédente. Les projets portés par ces premières réunions d'établissements ne sont pas retenus lors de la première phase du plan campus d', et de nouveaux rapprochements se forment[5]. Paris-VII intègre par la suite le projet Sorbonne-Paris-Cité, qui rassemble aussi les universités de Paris-III, Paris-V et Paris-XIII, ainsi que d'autres établissements d'enseignement supérieur comme SciencesPo[6], et le PRES est officiellement créé le [7].

En 2017, Paris-III et Sciences Po se retirent du projet de fusion[8],[9] mais les universités Paris-V et Paris-VII décident d'une fusion prévue pour le [10] : l’université de Paris est créée par décret le .

Les universités Paris-V et Paris-VII sont dissoutes le alors que l'Institut de physique du globe de Paris, en tant qu'« établissement-composante », conserve sa personnalité morale[2].

Christine Clerici est élue présidente de l'université le [11].

L'université Paris-Cité est alliée[Depuis quand ?] avec les universités d'Aarhus, Belgrade, Louvain, Oslo et Humboldt, ainsi qu'avec le King's College de Londres pour former d'ici 2025[12] Circle U, une des vingt-quatre « universités européennes » sélectionnées lors du deuxième appel à projet de la Commission européenne[13],[14].

Un arrêt du 29 décembre 2021 annule partiellement[15] le décret fondateur de l'université, faisant suite à la requête de l’université Paris-II Panthéon-Assas dont le président contestait « la captation d’un nom collectif et d’une identification historique et géographique commune à toutes les universités issues de l’université de Paris ». Les juges estiment en effet qu’« en attribuant la dénomination d’université de Paris au nouvel établissement, le décret attaqué est susceptible d’induire en erreur les étudiants, les partenaires français et étrangers des universités parisiennes et plus généralement le grand public, cette dénomination laissant entendre que ce nouvel établissement est l’unique successeur de l’ancienne université de Paris et en outre qu’il est la seule université pluridisciplinaire »[16]. Une consultation de la communauté étudiante et enseignante est organisée avec trois propositions : université de Paris-Cité, université de Paris-Descartes-Diderot et université de Paris-Odéon. La dénomination université Paris-Cité (sans préposition « de ») est choisie le , lors d'une séance extraordinaire du conseil d'administration[17]. L'établissement est ainsi officiellement renommé par décret du , publié dans le Journal officiel le de ce mois[18].

« L'établissement public expérimental créé par le décret du 20 mars 2019 susvisé prend le nom de « université Paris-Cité ». »[18]

— Article 1er du décret no 2022-327 du 4 mars 2022 portant dénomination d'établissement public expérimental

Organisation

L'université Paris-Cité est un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel expérimental[19].

Pluridisciplinaire, elle comprend quatre grands secteurs de formation : les disciplines juridiques, économiques et de gestion, les lettres et sciences humaines et sociales, les sciences et technologies et les disciplines de santé[20][source secondaire souhaitée].

Gouvernance

La gouvernance de l'université Paris-Cité est assurée par un président, un conseil d'administration et un sénat académique qui délibèrent, par des organes académiques et techniques qui donnent des avis et orientations.

Le président est élu par le conseil d'administration pour quatre ans, renouvelable une fois, parmi les enseignants-chercheurs, chercheurs, professeurs ou maîtres de conférences, associés ou invités. Le président est assisté d'un vice-président du conseil d'administration, d'une ou un vice-président « Recherche » et d'un vice-président « Formation » et d'un vice-président « Étudiant ».

Le conseil d'administration comprend vingt-huit membres : seize représentants élus par et parmi les personnels et les étudiants de l'université Paris-Cité et de l'IPGP, quatre membres de droit (président du conseil d'administration de l'IPGP, président du CNRS, président de l'Inserm, directeur général de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris), et huit personnalités qualifiées.

Le sénat académique comprend cinquante-trois membres dont quarante-huit représentants des personnels et étudiants de l'université Paris-Cité et de l'IPGP, une personnalité extérieure et quatre membres de droit.

Le , Christine Clerici est élue présidente de l'université[11]. Elle nomme sur propositions des conseils de facultés des facultés : Alain Zider, doyen de la Faculté des Sciences, Xavier Jeunemaitre, doyen de la Faculté de Santé et Sylvain Moutier, doyen de la Faculté Sociétés et Humanités[21].

Le sénat académique de l'université Paris-Cité, réuni le a procédé à l'élection d'Édouard Kaminski, vice-président Recherche, Philippe Roussel-Galle, vice-président Formation et Étienne Matignon, vice-président Étudiant[22].

Le , le conseil d’administration a quant à lui élu Clarisse Berthezène à la fonction de vice-présidente du conseil d'administration[22].

Composantes

L’université Paris-Cité est structurée en unités de formation et de recherche et instituts, regroupés en trois « facultés » :

Implantations

Siège de l'université Paris-Cité - accès par le 12 de l'École-de-Médecine, Paris 6e

Sites

Le siège de l'université Paris-Cité est situé au 85, boulevard Saint-Germain (VIe arrondissement), avec pour accès au 12, rue de l'École-de-Médecine, à proximité de l'un des sites de l'UFR médecine de l'université[25].

Elle compte deux campus :

Une multitude de ses sites se trouvent du Ve au XVIIIe arrondissement mais également au sein de la petite couronne (Boulogne-Billancourt, Malakoff, Montrouge, Saint-Maur-des-Fossés), en Île-de-France (Champs-sur-Marne, Fontainebleau), en région Centre-Val de Loire (Chambon-la-Forêt) mais également outre-mer (Saint-Denis, Gourbeyre, la Plaine des Cafres)[26].

Bibliothèques

L'université Paris-Cité compte 22 bibliothèques dédiées à la formation mais également à la recherche. Elles sont réparties par discipline recouvrant les trois Facultés que comprend l'université (Santé, Sciences, Société et Humanités)[27].

Bibliothèque interuniversitaire de Santé

La bibliothèque interuniversitaire de santé (BIU santé) regroupe, depuis le , la bibliothèque interuniversitaire de médecine et d'odontologie (BIUM) et la bibliothèque interuniversitaire de pharmacie (BIUP), les deux sites restant toutefois distincts. Elles sont interuniversitaires mais administrativement rattachées à l’université Paris-Cité.

Bibliothèque universitaire des Grands-Moulins

La bibliothèque centrale est située sur le campus des Grands-Moulins. Elle occupe 8 000 m2 sur cinq niveaux, et dispose en 2011 de 1 400 places, de 120 postes informatiques, de neuf salles de travail en groupe, de trois espaces de consultation des DVD de la bibliothèque et de deux salles de formation. Ses fonds, organisés en quatre pôles (« Lettres et arts », « Sciences humaines et sociales », « Histoire, géographie, ville », et « Sciences »), comptent en 2011 quelque 180 000 documents (livres, thèses, cartes et DVD), 1 000 revues papier et 16 000 titres de périodiques électroniques, 925 livres électroniques et 101 bases de données.

La Bibliothèque universitaire des langues et civilisations (BULAC), située au Pôle des langues et civilisations sis également rue des Grands-Moulins, est un GIP dont l’université Paris-Cité est l'un des membres avec l'INALCO, l'EPHE, l'EHESS, l'ÉFEO, l'université Panthéon-Sorbonne, l'université Sorbonne-Nouvelle, Sorbonne Université et le CNRS, indépendant de la Bibliothèque universitaire des Grands-Moulins.

Patrimoine

Formations et recherche

Enseignements

Relations internationales

L'université est membre de la Guilde des universités européennes de recherche[28].

Campus des Grands-Moulins

Le campus des Grands Moulins de l'université Paris-Cité.

En 2007-2008, l'ancienne université Paris-Diderot compte 5 152 étudiants étrangers (soit 21 % de sa population étudiante)[29], dont 25 % inscrits dans une formation en sciences, 29 % en santé, 46 % en lettres, langues et sciences humaines. 874 d'entre eux sont doctorants[30] et 927 sont scolarisés dans le cadre d'accords bilatéraux (dont 331 en Erasmus)[29]. L'année suivante, ce chiffre monte à 1 159 étudiants (dont 782 américains)[31]. Parmi cette population entrante, ceux issus d'un échange Erasmus représentent sur la période 2003-2008 entre 0,52 et 0,74 % des étudiants de l'université, plaçant l'établissement entre la 52e et la 61e place des universités françaises pour ce type d'accord[32].

L'université a 1 104 accords d'échange avec 293 institutions étrangères dans 53 pays, dont 188 avec des universités européennes[33]. En 2007-2008, 378 étudiants de l'université ont effectué par Erasmus des séjours d'études à l'étranger (212 en Europe, 113 en Amérique, 38 en Asie, 8 en Océanie et 7 en Afrique)[29]. La mobilité concerne aussi les enseignants-chercheurs : l'équivalent de 161 mois d'invitation a été alloué aux composantes et aux laboratoires en 2008-2009[30].

Aux échanges académiques s'ajoutent des visites ponctuelles de personnalités étrangères, comme l'inauguration en 2007, par le Premier ministre de Corée du Sud, d'un « jardin coréen » dans un patio du campus des Grands-Moulins[34].

Activités de recherche

Le Centre de recherche interdisciplinaire, l'Institut Cochin ainsi que l'Institut Droit et Santé sont des composantes de recherche de l'université Paris-Cité.

Les laboratoires de recherche sont répartis en 102 équipes de recherche (25 en Lettres et Sciences Humaines[35], 38 en Sciences[36] et 39 en Médecine[37]), dont 80 % sont des unités mixtes avec de grands organismes comme le CNRS, l'INSERM, le CEA, l'INRIA ou l'Institut Pasteur.

Environ 500 thèses[38] et 80 HDR sont délivrées par an[39]. Le taux d'enseignants-chercheurs publiants dépasse 80 %, et 72 % d'entre eux sont dans des unités classées A ou A+ par l'AERES[40].

L'université est aussi à l'origine du Prix Diderot Innovation, décerné en 2006[41], 2007 et 2009 en partenariat avec le CNRS et relancé en [42].

Les laboratoires et composantes de recherche

Classement

L'Université Paris-Cité apparaît dans les classements universitaires au niveau international et national[43].

Le classement général :

  • Dans le Leiden Ranking (CWTS Leiden) : en 2020, en termes de proportion de publications du top 10 % de leur discipline, l'université Paris-Cité est 2e en France et 143e dans le monde[48]

Le classement par disciplines :[source secondaire souhaitée]

  • Au niveau international d'après le classement de Shanghai par discipline 2020 - 12e université mondiale en sciences de la Terre. - 21e université mondiale en pharmaceutique. 22e université mondiale en mathématiques. 24e université mondiale en physique. 37e université mondiale en biologie humaine. 41e université mondiale en médecine clinique. 47e université mondiale en odontologie.
  • Au niveau national : - 1re université de France en odontologie. - 1re université de France en sciences de l'éducation. - 2e université de France en médecine clinique. - 2e université de France en santé publique. - 2e université de France en technologie médicale. - 2e université de France en pharmacie. - 2e université de France en biologie. - 2e université de France en biologie humaine. - 2e université de France en sciences de la vie et de la Terre.

Personnalités liées

Enseignants

Dans le domaine scientifique, des personnalités comme le lauréat du prix Nobel de physique 2006[49] George Fitzgerald Smoot[50],[51],[52], ou le lauréat du prix Nobel de physiologie ou médecine 1980[53] Jean Dausset ont enseigné à l'université, de même que le membre de l'Académie des sciences Jean-Michel Savéant, l'astrophysicien découvreur des anneaux de Neptune André Brahic, le recteur de l'Agence universitaire de la Francophonie Bernard Cerquiglini, ou encore le premier président du Comité consultatif national d'éthique Jean Bernard.

Les départements Histoire et Sociologie de l'ancienne université Paris VII ont compté nombre de chercheurs : Jean Duvignaud, Pierre Ansart, Michelle Perrot, Gérard Namer, Claude Liauzu...

Plusieurs personnalités politiques y ont enseigné, comme les anciens ministre français de l'Éducation nationale Claude Allègre et Luc Ferry[54], l'eurodéputé français Jean-Luc Bennahmias, ou encore le ministre estonien Jaak Aaviksoo[55].

Liste des enseignants et anciens enseignants


Docteurs honoris causa

Lors de la cérémonie de remise des titres de docteur honoris causa le en Sorbonne, Benoît Eurin, alors président de l'université Paris-Diderot, décerne, en présence de l'historien du droit français Maurice Quénet, la distinction à neuf personnalités[59] : Aravind Joshi, Stephen K. Krane, Goverdhan Mehta, Edward Said, Reinhart Koselleck, Henry P. McKean, Salman Rushdie, Livio Scarsi et Tatsuo Suda. Vincent Berger, président de l'université en 2011, décerne la distinction à Lee Myung-bak, président de la Corée du Sud[60] le .

Anciens étudiants

Plusieurs étudiants des universités constitutives se sont illustrés dans le domaine des arts, comme le lauréat du prix Médicis 1995 Pascal Bruckner, ou le réalisateur coréen Jeon Soo-il. Des journalistes comme le lauréat du prix Albert-Londres 1984 Jean-Michel Caradec'h, la chercheuse en biologie Alice Meunier, des philosophes comme Gilles Dowek (grand Prix de philosophie 2007), l'eurodéputée allemande Evelyne Gebhardt, la biomathématicienne Dominique Costagliola, la géophysicienne Mioara Mandea, l'avocate Aïcha Kadhafi et la ministre Cécile Duflot ont étudié à l'université.

Liste d'anciens étudiants

Vie étudiante

Identité visuelle

Logotype

Le logotype est composé d’un monogramme, à gauche, et de la dénomination de l'université en deux lignes, à droite. Le monogramme est un entrelacement d’un « U » majuscule (première lettre d'« université ») et de représentations simplifiées de la tour Eiffel et de la Seine (symboles de Paris). Ce monogramme est de couleur bordeaux de référence Pantone 1955C (code hexadécimal : #8A1538) ; la dénomination de couleur noire. La charte graphique précise par ailleurs que « la largeur minimale du logotype pour les versions imprimées est de 20 mm et de 60 px pour les versions numériques »[63].

Police d'écriture

Les documents produits par l'université, ainsi que le logotype ci-dessus, utilisent la police d'écriture Lucida dans ses variantes Lucida Sans et Lucida Grande[64].

Notes et références

  1. a et b Université de Paris, « Les chiffres clés » (consulté le ).
  2. a et b Décret n° 2019-209 du 20 mars 2019 portant création de l'université de Paris et approbation de ses statuts.
  3. « Décret n° 2019-209 du 20 mars 2019 portant création de l'université de Paris et approbation de ses statuts », sur www.legifrance.gouv.fr (consulté le )
  4. Paris Centre Universités - Journal de Paris-I Panthéon-Sorbonne, , p. 5 [PDF].
  5. « Universités parisiennes : l'opération Campus vaut bien quelques rapprochements », sur www.letudiant.fr, (consulté le )
  6. Véronique Soulé, « Mariages arrangés pour les facs parisiennes », sur Libération.fr, (consulté le )
  7. Décret n° 2010-143 du 10 février 2010 portant création de l'établissement public de coopération scientifique « université de Paris ».
  8. Morgane Taquet, « Université Sorbonne-Paris-Cité : Sciences Po sort du jeu », sur letudiant.fr, (consulté le ).
  9. Morgane Taquet, « Sorbonne-Paris-Cité : un nouveau projet d'université se dessine... sans Paris-III », sur letudiant.fr, (consulté le ).
  10. Camille Stromboni, « Le projet de fusion de trois universités parisiennes est lancé », LeMonde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. a et b « Christine Clerici est élue présidente de l'université de Paris », sur u-paris.fr, (consulté le ).
  12. https://www.circle-u.eu/
  13. « Circle U. labellisée « université européenne » », sur u-paris.fr, (consulté le )
  14. (en) « Circle U. selected as a pilot ‘European University’ - Circle U. », sur www.circle-u.eu (consulté le )
  15. « La dénomination "université de Paris", contenue dans le décret de création de l'EPE, est annulée par le Conseil d’État », sur AEF info, (consulté le )
  16. « L’Université de Paris sommée de changer de nom par le Conseil d’Etat », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. Soazig Le Nevé, « L’Université de Paris bientôt renommée Université Paris-Cité », Le Monde,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  18. a et b « Décret n° 2022-327 du 4 mars 2022 portant dénomination d'établissement public expérimental », sur www.legifrance.gouv.fr, (consulté le )
  19. L'établissement expérimental est celui qui résulte des termes de l'ordonnance du Ordonnance n° 2018-1131 du 12 décembre 2018 relative à l'expérimentation de nouvelles formes de rapprochement, de regroupement ou de fusion des établissements d'enseignement supérieur et de recherche.
  20. Article 1er des statuts, annexés au décret de création de l'université.
  21. « Christine Clerici nomme les doyens des facultés ».
  22. a et b « Élection des vice-président·e·s statutaires d’Université de Paris ».
  23. « Création d’une UFR d’odontologie unique », le
  24. « Décret n° 2021-1673 du 15 décembre 2021 portant association de l'Institut Pasteur à l'université de Paris et modifiant le décret n° 2019-209 du 20 mars 2019 portant création de l'université de Paris et approbation de ses statuts »
  25. « Siège : un symbole universitaire au cœur de Paris », sur Université de Paris, (consulté le )
  26. « Nos sites et campus », sur Université de Paris, (consulté le )
  27. « Bibliothèques », sur Université de Paris, (consulté le )
  28. (en) « Members of The Guild », sur the-guild.eu
  29. a b et c Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur février 2009, p. 51
  30. a et b Université Paris-Diderot 2010, p. 16
  31. Université Paris-Diderot 2010, p. 15
  32. Programme Erasmus : Classement français des universités françaises les plus performantes par années académiques - Agence Erasmus+ France, , p. 1 [PDF]
  33. Accords d'échange, www.univ-paris-diderot.fr, consulté le
  34. Inauguration des premiers bâtiments du nouveau campus Paris Rive Gauche
  35. Laboratoires de Lettres, Langues, Sciences Humaines et Sociales à Paris Diderot, Université Paris Diderot, consulté sur www.univ-paris-diderot.fr le
  36. Laboratoires de Sciences à Paris Diderot, Université Paris Diderot, consulté sur www.univ-paris-diderot.fr le
  37. Laboratoires de Médecine à Paris Diderot, Université Paris Diderot, consulté sur www.univ-paris-diderot.fr le
  38. Soutenances de thèses à Paris Diderot
  39. Chiffres de la recherche à Paris Diderot
  40. Agence d'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur février 2009, p. 8
  41. Prix Diderot Innovation - Communiqué de presse, site officiel, [PDF]
  42. Prix Diderot Innovation 2016 : découvrez les lauréat.e.s - Site officiel,
  43. « Université de Paris entre dans les classements internationaux », sur Université de Paris, (consulté le )
  44. (en) « Academic Ranking of World Universities 2020 »
  45. https://cwur.org/2020-21.php Center for World University Rankings (CWUR)
  46. https://www.topuniversities.com/university-rankings/world-university-rankings/2021 QS World University Rankings
  47. https://www.timeshighereducation.com/world-university-rankings/2021/world-ranking#!/page/0/length/25/locations/FR/sort_by/rank/sort_order/asc/cols/stats Times Higher Education World University Rankings
  48. https://www.leidenranking.com/ranking/2020/list CWTS Leiden Ranking
  49. Lauréats du prix Nobel de physique 2006
  50. Le prix Nobel américain George Smoot travaille désormais pour Paris Diderot - Actualités de l'Université Paris Diderot, [PDF]
  51. Le Nobel Georges Smoot embauché à Paris-7 - Sylvestre Huet, {sciences²},
  52. Les leçons du recrutement d'un Prix Nobel américain à Paris-Diderot, par Vincent Berger - Le Monde,
  53. (en) The Nobel Prize in Physiology or Medicine 1980 - Site officiel du prix Nobel
  54. Avec la loi sur l'autonomie, Luc Ferry ne peut plus sécher ses cours - Philippe Jacqué, Le Monde,
  55. (en) Jaak Aaviksoo, Minister of Defence, The governement of the republic os Estonia, consulté sur www.valitsus.ee le
  56. « Le prix Nobel américain George Smoot travaille désormais pour Paris Diderot », sur univ-paris-diderot.fr, (consulté le )
  57. Sylvestre Huet, « Alain Carpentier élu président de l'Académie des sciences », blogue Libération, , consulté le .
  58. Anne-Laure Gannac, entretien avec Alberto Eiguer, « Ce que notre maison dit de nous », sur psychologies.com, Psychologies Magazine, (consulté le ).
  59. Cérémonie de remise des titres de docteur honoris causa le jeudi en Sorbonne - Site officiel,
  60. Remise du titre de Docteur Honoris Causa - Site officiel,
  61. Les 20 ans de Cécile Duflot : « Mes études n'ont fait que renforcer mes convictions » - Isabelle Maradan, L'Étudiant,
  62. « Le CV de François Fillon »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Challenges, (consulté le ).
  63. Université de Paris, « Utilisation du logotype Université de Paris » Accès libre [PDF], sur u-paris.fr, (consulté le ), p. 2
  64. Université Paris-Cité, « Charte graphique et outils » Accès libre, sur u-paris.fr (consulté le )

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes