Vielle-Aure

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Vielle-Aure
Vielle-Aure
Le village de Vielle-Aure.
Blason de Vielle-Aure
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Aure Louron
Maire
Mandat
Maryse Beyrié
2020-2026
Code postal 65170
Code commune 65465
Démographie
Gentilé Viellaurois
Population
municipale
311 hab. (2021 en diminution de 7,72 % par rapport à 2015)
Densité 8,8 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 49′ 48″ nord, 0° 19′ 33″ est
Altitude Min. 773 m
Max. 2 730 m
Superficie 35,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Neste, Aure et Louron
Législatives Première circonscription
Localisation
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Vielle-Aure
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Vielle-Aure

Vielle-Aure est une commune française située dans le sud-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Neste, le ruisseau Saint-Jacques et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « Néouvielle » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (la réserve naturelle nationale du Néouvielle) et huit zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Vielle-Aure est une commune rurale qui compte 311 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968.

Ses habitants sont appelés les Viellaurois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune de Vielle-Aure se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 49 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 30 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 30 km de Capvern[3], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arreau[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Vignec (1,0 km), Bourisp (1,0 km), Sailhan (1,4 km), Saint-Lary-Soulan (1,6 km), Cadeilhan-Trachère (1,8 km), Estensan (2,0 km), Camparan (2,5 km), Guchan (2,7 km).

Sur le plan historique et culturel, Vielle-Aure fait partie du pays de la vallée d'Aure ou pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau)[5].

La commune de Vielle-Aure se compose de deux exclaves séparées par la commune d'Aulon.

La partie ouest (exclave du Néouvielle) est limitrophe de quatre autres communes.

Les communes limitrophes sont Bagnères-de-Bigorre, Aulon, Bourisp, Guchan, Guchen, Sailhan, Saint-Lary-Soulan, Vignec et Barèges.

Communes limitrophes de Vielle-Aure (exclave du Néouvielle)
Bagnères-de-Bigorre
Barèges Vielle-Aure (exclave du Néouvielle) Aulon
Saint-Lary-Soulan (exclave de Soulan)

La partie est (exclave du village) est limitrophe de sept autres communes, dont Sailhan au sud-est sur environ deux-cents mètres, et Saint-Lary-Soulan en deux endroits disjoints.

Communes limitrophes de Vielle-Aure (exclave du village)
Aulon Guchen Guchan
Saint-Lary-Soulan (exclave de Soulan) Vielle-Aure (exclave du village) Bourisp
Vignec (exclave du village) Saint-Lary-Soulan (exclave du village de Saint-Lary) Sailhan

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Si la partie du territoire communal centrée sur le bourg a une superficie de seulement 5,38 km2[6], la commune s'étend au total sur 35,2 km2[7] ; son altitude varie de 773 à 2 730 mètres[6].

À l'est dans la vallée, le village[modifier | modifier le code]

Vue depuis la route du col du Pla d'Adet.
Vue depuis Estensan.
Vue depuis la route du col du Pla d'Adet.
La Neste d'Aure à Vielle-Aure.

Les deux parties de la commune de Vielle-Aure sont reliées par un chemin est-ouest[8] d'environ 40 mètres de large qu'emprunte en grande partie le GR 10, joignant la fontaine du Pla du Castillon, à l'est[9], à la Hourquette ou Cap de Portet, à l'ouest[10], en passant par Terre-Nère. Ce sentier sépare la commune d’Aulon au nord, de l'exclave de Soulan (partie de la commune de Saint-Lary-Soulan) au sud.

La rivière de la Neste d'Aure (affluent de la Garonne) traverse le bas des villages de Vielle-Aure, de Vignec et de Saint-Lary (commune de Saint-Lary-Soulan) ; ces trois villages forment aujourd'hui une petite agglomération consacrée essentiellement au thermalisme et au tourisme. L'activité liée aux sports d'hiver (et aux départs de parapente et de vol libre) a cependant lieu dans les hauteurs de ces villages associés pour exploiter la station.

C'est du village de Vielle-Aure que part la route de montagne D 123 reliant les trois villages à la station de sports d'hiver du Pla d'Adet (donnant accès au domaine skiable situé sur les trois communes), tandis que c'est de chacun des deux autres que partent les téléphériques qui y montent (bien plus rapidement et plus facilement en hiver).

À l'ouest dans les hauteurs, l’exclave : le domaine skiable et la réserve naturelle du Néouvielle[modifier | modifier le code]

L'exclave séparée à l'ouest de celle du village comprend deux parties bien distinctes : la partie orientale de l'exclave comprend la partie nord du domaine skiable accessible depuis la station du Pla d’Adet à Soulan (dans la commune de Saint-Lary-Soulan depuis 1964 pour la création de la station de ski et l'installation de la gare d'arrivée du premier téléphérique montant depuis la vallée du village de Saint-Lary), tandis que la partie occidentale constitue une partie de la réserve naturelle nationale du Néouvielle, gérée depuis 1968 par le Parc national des Pyrénées.

La partie orientale de l'exclave est délimitée au nord-est par le pic du Pichaley (culminant à 2 626 m d'altitude) qui marque la frontière avec la commune d’Aulon et dont la face sud est utilisée par le domaine skiable jusqu'à quelques centaines de mètres de son sommet, au nord par le pic de Portarras (2 697 m) où convergent les frontières avec les communes d’Aulon et Bagnères-de-Bigorre, la face nord-est du pic de Bastan (2 718 m), au nord-ouest le pic du Contadé (2 724 m) où convergent les frontières avec Bagnères-de Bigorre et Barèges, et à l'ouest la face sud-est du pic d'Aygues-Cluses (2 620 m) ; elle borde ensuite la rive nord du lac de Gourguet[11] puis suit vers l'est un le chemin le long d'un petit cours d'eau, le ruisseau de Port-Bielh (qui se déverse ensuite vers le sud, hors de cette zone, à la pointe nord du lac de l'Oule à Soulan, commune de Saint-Lary-Soulan) ; cette partie inclut également les lacs de Bastan en aval du pic de même nom.

La partie occidentale de l'exclave fait en majorité partie de la réserve naturelle nationale du Néouvielle.

Elle inclut la partie sud du ruisseau issu du lac de Gourguet (et du chemin qui le longe), puis est délimitée au sud-est par la rive nord-est du lac de l'Oule (presque entièrement situé à Soulan). L'exclave est ensuite limitée au sud par la frontière avec Soulan pour inclure, toujours dans l'exclave et la réserve, le pic d’Anglade (2 511 m) et le petit lac d'Anglade à son pied nord. Ce secteur boisé situé à l'est de la réserve et qui ne comprend que des sentiers de montagne entre les lacs, n'est accessible qu'aux randonneurs, pas aux véhicules.

La partie occidentale de l'exclave et de la réserve incluent également la totalité du lac d'Aumar et la plus grande partie du lac d'Aubert (sauf une partie des rives sud-est à Soulan). Ces deux derniers lacs, fermés chacun par un barrage près du « refuge du Lac d'Aubert-Néouvielle » et de la « zone de bivouac du lac d'Aubert », peuvent être rejoints à pied ou à ski en hiver depuis un parking touristique, situé au cœur de la réserve à Vielle-Aure ; ce lieu est situé au bout de la petite route de montagne D 177 qui descend en traversant la réserve et Soulan du nord au sud (près du « chalet-hôtel du Lac d'Orédon-Néouvielle » et du barrage du lac d'Orédon) pour traverser ensuite la frontière sud de Soulan et nord d'Aragnouet : c'est là qu’on peut rejoindre cette petite route, en remontant depuis le village d'Aragnouet la route de montagne D 929, laquelle se poursuit également vers l'ouest jusqu’au barrage du lac de Cap de Long dont la rive nord marque la limite sud de la réserve naturelle.

La partie occidentale de l'exclave et de la réserve sont ensuite limitées au nord-ouest par la face sud du pic de Madamète (2 657 m) avec à son pied sud le lac de Gourg de Rabas (ou Gourguet de Madaméte, d'où part un chemin longeant un ruisseau qui alimente le lac d'Aumar cité précédemment), et les faces sud et est du Pic d'Estibère (2 663 m) avec (à son pied sud) le lac d'Estibère. Ces sommets successifs suivent également la frontière commune avec la commune de Barèges et l'arrondissement d'Argelès-Gazost.

Enfin au nord, l'exclave et la réserve sont limitées par le pic de Gourguet (2 619 m) et sa crête montante au nord-est : la face est du pic alimente le lac de Gourguet (presque tout entier dans la réserve sauf sa rive nord) et la face sud (ou face de l'Ours) alimente le petit lac Supérieur puis le lac de l'Ours (ces deux derniers lacs étant tout entiers inclus dans la réserve) ; la face nord-ouest du pic est située hors de la réserve naturelle, sur la commune de Barèges.

Cette dernière commune pourrait être associée dans le futur pour étendre dans ce secteur la réserve naturelle actuelle, dont la gestion est confiée depuis 1968 au Parc national des Pyrénées auquel adhère déjà la commune de Barèges pour une toute petite partie frontalière de la réserve naturelle, au sud-est de son territoire, à moins qu'elle ne trouve les budgets et ne décide de reprendre l'activité de sa station de ski, quasiment à l'arrêt depuis le démontage dans les années 1980 de ses anciennes principales remontées mécaniques.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[12]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[13].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

  • Moyenne annuelle de température : 9,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 017 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[15] complétée par des études régionales[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Génos », sur la commune de Génos, mise en service en 1969[17] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 7,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 483,6 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 49 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,6 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[23].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

La table d'orientation du lac d'Aubert.

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24],[25]. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc National des Pyrénées[Note 5]. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[26],[27],[28]. Un autre espace protégé est présent sur la commune : l'« Adour et affluents », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 215,8 ha[29].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[31] :

  • le « Néouvielle », d'une superficie de 6 176 ha, présente une végétation caractéristique de la haute montagne pyrénéenne siliceuse et des milieux humides et tourbeux d'altitude, avec des pineraies de pins à crochets à trés haute altitude, des pineraies sylvestres et introgression des deux pins[32] ;
  • « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste », d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[33].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[34] :

  • le « cirque de Cloutou et sud de la Mongie » (2 257 ha), couvrant 5 communes du département[35] ;
  • « la Neste, amont » (100 ha), couvrant 18 communes du département[36] ;
  • le « massif en rive gauche du Bastan » (8 315 ha), couvrant 10 communes du département[37] ;
  • la « réserve du Néouvielle et vallons de Port-Bielh et du Bastan » (6 427 ha), couvrant 8 communes du département[38] ;
  • la « vallée d'Aulon et soulane de Vielle-Aure » (4 377 ha), couvrant 9 communes du département[39] ;

et trois ZNIEFF de type 2[Note 8],[34] :

  • le « bassin du Haut Adour » (27 303 ha), couvrant 18 communes du département[40] ;
  • la « Haute vallée d'Aure » (43 605 ha), couvrant 38 communes du département[41] ;
  • les « vallées de Barèges et de Luz » (22 843 ha), couvrant 24 communes du département[42].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vielle-Aure est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[43],[I 2],[44]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (59,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), forêts (13,7 %), eaux continentales[Note 10] (3,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), prairies (1,7 %), zones urbanisées (1,5 %)[45].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par la route départementale D 929 et la D 19.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Vielle-Aure est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[46]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[47].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Neste et la Mousquère. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[48]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2009 et 2013 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2013[49],[46].

Vielle-Aure est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[50]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vielle-Aure.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[51].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 1,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 209 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 0 sont en aléa moyen ou fort, soit 0 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[52],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[53].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[46].

La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[54],[55].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval d'un barrage de classe A[Note 11]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[57].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Vielle-Aure est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[58].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée de l'agglomération de Vielle-Aure
Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Vielle-Aure à l'ouest de Saint-Lary.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[59] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Étymologie : du latin villa (= domaine rural, village).

Nom occitan : Vièla d’Aura.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les Hospitaliers[modifier | modifier le code]

La Chapelle Saint-Pierre d'Agos appartenait aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, elle date du XIIe siècle et est restaurée au XIXe siècle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2015.
Le monument aux morts municipal.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
         
mars 1977 1995 Jean Mouniq SE Médecin, conseiller général du canton de Vielle-Aure (1992-1995)
         
mars 2001
(réélue en mai 2020)
en cours Maryse Beyrié PS Agent immobilier, Conseillère générale du canton de Vielle-Aure (1995-2015)
Conseillère départementale du canton de Neste, Aure et Louron depuis 2015

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Historique administratif[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Vielle-Aure fait partie de la communauté de communes Aure Louron, créée au et qui réunit 47 communes.

Services publics[modifier | modifier le code]

La commune de Vielle-Aure dispose d'une agence postale.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[62].

En 2021, la commune comptait 311 habitants[Note 12], en diminution de 7,72 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
271264294329401410394416436
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
368383383426372340328317403
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
517514512511513283272215294
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
230196221205285343358357355
2014 2019 2021 - - - - - -
341325311------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[63] puis Insee à partir de 2006[64].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L’école élémentaire en 2021.
L’école primaire.

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2019[65].

Sports[modifier | modifier le code]

Stage de sabre japonais en altitude, Hyōhō niten ichi ryū.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 162 ménages fiscaux[Note 13], regroupant 310 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 310 [I 5] (20 420  dans le département[I 6]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 1,8 % 3,2 % 4,1 %
Département[I 8] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 197 personnes, parmi lesquelles on compte 83,7 % d'actifs (79,6 % ayant un emploi et 4,1 % de chômeurs) et 16,3 % d'inactifs[Note 14],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 10]. Elle compte 84 emplois en 2018, contre 116 en 2013 et 135 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 158, soit un indicateur de concentration d'emploi de 53,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 56,7 %[I 11].

Sur ces 158 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 72,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,9 % les transports en commun, 19,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'or à la levrette dressée de gueules, colletée et laissée d'azur, à la bordure aussi de gueules chargée de huit besants du champ[72].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[14].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
  6. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[30].
  7. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  11. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[56].
  12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  13. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  14. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Vielle-Aure » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Vielle-Aure » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
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  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vielle-Aure » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Vielle-Aure et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Vielle-Aure et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Vielle-Aure et Capvern », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Vielle-Aure », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 281-282.
  6. a et b Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. Vielle-Aure sur lion1906, consulté le 28 août 2015.
  8. Cadastre de Vielle-Aure, section D.
  9. Cadastre de Vielle-Aure, section B, feuille 1.
  10. Cadastre de Vielle-Aure, section C, feuille 5.
  11. Lac de Gourguet sur le site Lacs des Pyrénées, consulté le 12 octobre 2012.
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  15. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le ).
  17. « Station Météo-France Génos - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  18. « Orthodromie entre Vielle-Aure et Génos », sur fr.distance.to (consulté le ).
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