Neuville-en-Ferrain

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Neuville-en-Ferrain
Neuville-en-Ferrain
L'hôtel de ville.
Blason de Neuville-en-Ferrain
Blason
Neuville-en-Ferrain
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Marie Tonnerre-Desmet
2020-2026
Code postal 59960
Code commune 59426
Démographie
Gentilé Neuvillois
Population
municipale
10 160 hab. (2021 en diminution de 2,63 % par rapport à 2015)
Densité 1 644 hab./km2
Population
agglomération
1 058 439 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 44′ 50″ nord, 3° 09′ 32″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 52 m
Superficie 6,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Tourcoing-1
Législatives Dixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Neuville-en-Ferrain
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Neuville-en-Ferrain
Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Voir sur la carte topographique de Métropole européenne de Lille
Neuville-en-Ferrain
Géolocalisation sur la carte : Nord
Voir sur la carte administrative du Nord
Neuville-en-Ferrain
Liens
Site web www.neuville-en-ferrain.fr

Neuville-en-Ferrain est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune frontalière avec la Belgique (ville de Mouscron et Menin (section Rekkem) et, en France, limitrophe d'Halluin, Roncq et Tourcoing.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Neuville-en-Ferrain
Halluin Menin
(Drapeau de la Belgique Belgique)
Mouscron
(Drapeau de la Belgique Belgique)
Roncq Neuville-en-Ferrain
Tourcoing

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 18 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Neuville-en-Ferrain est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[10] et 1 058 439 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

L'ancien village, qui a connu des modifications substantielles au cours des ans, subsiste néanmoins, développé autour du centre-ville et sur les axes menant à la ville voisine, Tourcoing, ou en direction d'Halluin dans la vallée de la Lys. À partir des années 1960, une majorité des terres agricoles a disparu au profit de nombreux lotissements. La population est très peu diversifiée.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (76,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (49 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (40,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (33,1 %), terres arables (23,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,8 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Elle est au cœur d’un important nœud autoroutier comprenant l'A22.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 82, Citadine de Tourcoing, Z1 et par les lignes de transport à la demande 24R et 82R du réseau Ilévia[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

XIe siècle et XIIe siècle[modifier | modifier le code]

Fondation de la ville due au grand défrichement, aux progrès agricoles et à l’augmentation de la population de la région du Nord.

XVIIe siècle[modifier | modifier le code]

En 1609, un acte autorise les habitants à fabriquer des ouvrages de bourgeterie (fabrication d'étoffe de laine en patois lillois). Le village devient français en 1668, avec le traité d’Aix-la-Chapelle

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

Sur Neuville-en-Ferrain, la Hamayde était le siège d'une seigneurie avant la Révolution française. Un des derniers titulaires du fief fut Romain Albert Ingiliard. Romain Albert Ingiliard (1702-1762), fils d'Édouard II Ingiliard, chevalier, seigneur des Wattines sur Linselles, de la Mairie, du Plouich à Pérenchies, de Fromelles, de Maisnil, bourgeois de Lille, et de Marie Catherine de Fourmestraux (1680-1723), est chevalier, seigneur du Plouich, de la Hamayde à Neuville-en-Ferrain. Il nait à Lille en septembre 1702 (baptisé le ). Il se destine d'abord à une carrière ecclésiastique : il est chanoine dans la collégiale Saint-Pierre de Lille. Puis il rentre dans la vie civile, devient contrôleur des États de Lille, bourgeois de Lille le . Inscrit au rôle des nobles de la province de Flandre par ordonnance du , marguillier de l'église Sainte-Catherine de Lille, il meurt à Lille le , est inhumé dans le chœur de cette église près du buffet des marguilliers. Il épouse à Lille le Catherine Françoise Cardon (1713-1763), dame du Bourg, fille de Jean-Baptiste, écuyer, seigneur du Bourg, et de Françoise Claire Wullems. Elle nait à Lille en novembre 1713 (baptisée le ) et y décéde le . Elle est enterrée dans l'église Sainte-Catherine, vis-à-vis le chœur, près du pilier de l'adoration. Le couple n'a pas eu d'enfants[17].

La ville est envahie par les Prussiens en 1792 et en 1793 la bataille de Tourcoing touche la ville. Elle se soldera par une victoire neuvilloise en 1794

La frontière, la contrebande de tabac, pétrole, café, chocolat, dentelles, animaux d’élevage et d’essence se fait de la Belgique vers la France mais aussi en sens inverse du fait de l'interdiction du parfum et de l’alcool en Belgique.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Neuville-en-Ferrain dans son canton et son arrondissement.

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 Georges Dhalluin PCF Président de la délégation municipale puis élu maire
Rodolphe Kesteloot[18] SFIO Cheminot
Georges Ménart MRP  
Jean Depoortere    
Fernand Lecroart    

(décès)
Pierre Myter    
Gérard Codron[19] SE Premier adjoint au maire (1989 → 1995)
En cours
(au 11 juillet 2023)
Marie Tonnerre-Desmet UMP-LR Responsable marketing opérationnel
Conseillère départementale de Tourcoing-1 (2015 → )
Vice-présidente du conseil départemental du Nord (2021 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La ville est jumelée avec Offenbach an der Queich en Allemagne depuis 1992. Ce jumelage concerne quatre communes regroupées (Offenbach, Bornheim, Hochstadt, Essingen) situées à environ 600 km de Neuville-en-Ferrain, la ville est aussi jumelée avec la communauté rurale Keur Madiabel au Sénégal depuis 2002.

La ville possède aussi une charte d’amitié avec la ville de Sainte-Anne-des-Plaines dans la province du Québec au Canada.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[20],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 10 160 habitants[Note 4], en diminution de 2,63 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3301 1921 3641 7202 0392 0652 2502 5762 644
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9043 4213 7123 9274 3244 2664 3994 3034 248
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 2744 2304 3993 9633 9064 1844 3094 0134 238
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2011
4 2715 5538 0909 0409 8959 5279 4339 28610 266
2016 2021 - - - - - - -
10 37110 160-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 4 997 hommes pour 5 234 femmes, soit un taux de 51,16 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,3 
6,9 
75-89 ans
9,2 
14,2 
60-74 ans
16,8 
20,4 
45-59 ans
20,5 
19,0 
30-44 ans
19,4 
17,3 
15-29 ans
15,0 
21,8 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Neuville-en-Ferrain fait partie de l'académie de Lille. Il y a plusieurs établissements scolaires :

  • Collège Jules-Verne.
  • Collège Saint-Joseph (privé).
  • École Saint-Joseph (privé)
  • École primaire Sacré-cœur (privé).
  • Groupe scolaire Lacordaire (privé).
  • Groupe scolaire européen Lamartine.
  • Groupe scolaire Ambroise-Paré.
  • Groupe scolaire Camille-Claudel.

Santé[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

La ville a une intense activité sportive (football, handball, tennis, tennis de table, basket-ball, taekwondo, judo, karaté...).

Le handball notamment est bien représenté : l'équipe féminine des moins de 15 ans de l'amicale laïque a été sacrée championne d'excellence départementale.

Le club de football (FAN 96) avec ses 700 licenciés est un des plus importants de la Région Nord-Pas-de-Calais.

ses seniors À évoluent en division d honneur

Économie[modifier | modifier le code]

Jusque dans les années 1880 le tissage à domicile domine, puis il est remplacé par le travail à l’usine. Actuellement[Quand ?], l'activité est dominée par l'industrie et le commerce de gros (présence d'une zone industrielle directement accessible depuis l'autoroute, sur l'axe Lille-Gand). Le commerce y est actif.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Quirin.
  • L'église Saint-Quirin (1500), en centre-ville. Elle est fermée en 1793 par le gouvernement révolutionnaire, démolie puis reconstruite entre 1860 et 1873. Elle est aussi occupée durant les deux guerres mondiales.
  • Le presbytère, près de l'église Saint-Quirin, demeure l'un des bâtiments remarquables de la commune. De construction XVIIIe siècle, il a subi plusieurs remaniements ; un « jardin de curé » subsiste à l'arrière, ultime morceau de jardins plus vastes que les plans de conception d'époque dessinent à la française. La façade est surélevée par rapport à la rue et dessine une espèce de quai ; cette élévation rappelle que par le passé, le presbytère était entouré d'une douve emplie d'eau.
  • La ferme du vert bois (XIXe siècle), qui est un exemple de ferme que l’on peut trouver un peu partout dans le Ferrain.
  • Les maisons de tisserands, qui datent du milieu du XIXe siècle. Elles servaient de lieu de travail et d’habitation.
  • L’église Sainte-Thérèse 1928, dans le quartier du Risquons-Tout (lieu-dit « Le Berquier ») limitrophe de la ville de Mouscron (Belgique), église créée pour faciliter l'accès des paroissiens à la messe, l’église de Neuville se situant à trente minutes de marche à pied.Ce quartier de NEUVILLE EN FERRAIN lieu de passage avec la ville de Mouscron en Belgique possédait un poste de douane important créé en 1815
  • Le Bourloire du cercle Saint-Joseph, 20, place Roger-Salengro, inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 2006[25].

Il y avait, jusqu'à récemment, la ferme des Caudreleux construite au Moyen Âge et qui a été rasée en 2001 afin de laisser place à des terrains de tennis et à un espace public paysager. De l'ancienne ferme, subsiste le pont (rénové) enjambant une partie de la douve se trouvant originellement à l'arrière des bâtiments, auquel on accédait par un étroit passage entre le corps de logis et les bâtiments agricoles. Il reste aussi, isolé dans un espace herbeux, l'un des piliers de l'entrée de la cour, couvert de lierre.

Une autre ferme remarquable a disparu ; située au lieu-dit « Le petit Menin », limitrophe de la commune de Roncq, on y accédait par un chemin pavé conduisant du quartier des Orions, à Tourcoing, vers le centre du village. Elle a été rasée après le rachat des terrains en vue de l'extension d'un centre commercial proche. Le porche, de construction estimée XVIIe siècle, conservait dans sa partie intérieure sa conception originelle dite « en rouges barres », alternance de lits de briques et de moellons calcaires. Un chaînage de grès ourlait l'entrée principale vers la cour intérieure. La façade du porche supportait une fleur de lys métallique sertie dans la brique, de même que le blason des Preud'homme d'Ailly, seigneurs de Neuville durant près de deux siècles (écu de sinople -vert- portant un aigle écartelé d'argent becqué et membré de gueules-bec et serres de couleur rouge. L'écu était surmonté d'un tortil, couronne baronnale autour de laquelle était passé en spirale un collier de perles).

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Le Géant Honoré de Noefville
  • Il existe un festival de la biographie qui a toujours lieu le dernier week-end de septembre.
  • Les fêtes d'été : les feux de la Saint-Jean (fin juin), la fête des craquelins (début juillet), le .
  • Un marché aux puces le 1er mai dans le centre-ville et un autre au Risquons-Tout début septembre.
  • Un orchestre d'harmonie s'appelant " La Renaissance".

Équipement culturel[modifier | modifier le code]

  • Une bibliothèque associative Bibliothèque pour tous (les anciennes bibliothèques paroissiales).
  • Il y a aussi à Neuville-en-Ferrain, une école de musique et des ateliers d'arts plastiques.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Noel Liétaer, (1908-1941) footballeur français, né à Neuville-en-Ferrain

Pierre Michelin, (1937-) footballeur français, né à Neuville-en-Ferrain

Robert Desmettre, (1901-1936) champion olympique de Waterpolo, né à Neuville-en-Ferrain

Aymeric Lompret, (1988-) humoriste qui a passé toute sa scolarité à Neuville-en-Ferrain

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Neuville-en-Ferrain se blasonnent ainsi : « D'or à trois bandes de gueules ».

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Neuville-en-Ferrain et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
  17. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.84-86 (lire en ligne).
  18. a et b Notice KESTELOOT Rodolphe, Auguste par Jean Piat, version mise en ligne le 30 juin 2008, dernière modification le 28 mars 2012
  19. Hugues Ballois, « Le maire de Neuville-en-Ferrain a-t-il tenu ses promesses ? », Nord Éclair,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Neuville-en-Ferrain (59426) », (consulté le ).
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  25. « Bourloire du cercle Saint-Joseph », notice no PA59000119, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :