Aubers

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Aubers
Aubers
Aubers, vu depuis Fauquissart (commune de Laventie).
Blason de Aubers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Alain Leclercq
2020-2026
Code postal 59249
Code commune 59025
Démographie
Gentilé Aubersois
Population
municipale
1 722 hab. (2021 en augmentation de 8,58 % par rapport à 2015)
Densité 170 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 35′ 46″ nord, 2° 49′ 33″ est
Altitude Min. 18 m
Max. 41 m
Superficie 10,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Annœullin
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Aubers
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Aubers
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Aubers
Liens
Site web aubers.fr

Aubers [obɛʁ] est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Aubers faisait partie de la communauté de communes de Weppes, en Flandre française, qui a choisi de rejoindre la Métropole Européenne de Lille en 2017.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Aubers se situe dans le pays des Weppes, en Flandre romane, à 20 km au sud-ouest de Lille et 15 km à l'est de Béthune.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Aubers

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière des Layes séparant le Nord et le Pas-de-Calais à Aubers.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 698 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 20 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aubers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), zones agricoles hétérogènes (26 %), prairies (4,5 %), zones urbanisées (4,2 %), forêts (0,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 62 et 236 ainsi que par les lignes sur réservation 22R, 25R, 29R, 62R et 74R du réseau Ilévia[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Noms anciens : Obertio, 1152, bulle d'Eugène III, en faveur des évêques d'Àrras, Mir. III, 340. Obert, 1203, ch. d'Et. de Tournai, Mir. II, 839. Oberch, 1210, titre de St-Àmé de Douai. Auberch , 1344> 1er cart. de la Dame de Cassel. Les évêques d'Arras jouissaient de l'autel d'Àubers, en vertu delà bulle de 1152 sus-rappelée.

Histoire[modifier | modifier le code]

Aubers était avant la Révolution française, qui abolit les titres de noblesse et les seigneuries, le siège de plusieurs seigneuries, celle d'Aubers, mais aussi celle du Plouich, de Piètre, de Pommereau[14].

Guillaume du Plouich d'Aubert, issu de la branche cadette des châtelains de Lille, à laquelle paraît avoir appartenu ce village, et Pierron d'Aubers se mirent, en 1340, du parti du duc de Bourgogne, contre Robert d'Artois, qui faisait le siège de Saint-Omer.

Au XVIe siècle, Guillaume Hangouart Ier, chevalier, est seigneur de Piètre et président du Conseil provincial d'Artois.

Guillaume Hangouart II, fils de Guillaume Ier, écuyer, est seigneur de Piètre. Il épouse Antoinette de Croix, fille du seigneur de La Fresnoy, appartenant à une noble et ancienne famille de la province de Lille.

Bartholomé Hangouart, fils de Guillaume II, chevalier, seigneur de Le Court et de Piètre prend pour femme Marie de Pressy, issue de la noble et ancienne famille de Pressy.

Michel Hangouart, fils de Bartholomé, écuyer, seigneur du Plouich, Piètre, Pommereay, reçoit le des lettres de chevalerie données à Madrid (à l'époque la région appartient à l'Espagne). Il a servi son roi cinq ans dans l'infanterie et dans la cavalerie. Il est le petit-neveu de Walerand Hangouart, de son vivant, prévôt de la collégiale Saint-Amé de Douai et de la collégiale Saint-Barthélémy de Béthune, également aumônier de Charles Quint et de Philippe II. Il est également petit-neveu et héritier de Jean de Croix, de son vivant, seigneur de Le Court, gentilhomme de la chambre des jeunes princes d'Autriche, enfants de Maximilien II[14].

Robert-Ignace Hangouart, fils de Bartholomé, frère de Michel, écuyer, seigneur de le Court, reçoit le des lettres de chevalerie données à Madrid[15].

Les derniers titulaires de la seigneurie d'Aubers relevaient de la famille Blondel qui, par la suite, a porté le nom de Blondel d'Aubers. Roland Blondel achète la seigneurie en 1698. Elle consiste en un village à clocher, possédant toute la justice seigneuriale relevant du bourg et château de Warneton. Elle correspond à différentes terres, rentes, prés, ferme, etc.. Elle est achetée 85 000 livres de France. Roland Blondel commence la construction du château d'Aubers que son fils va continuer[16].

En 1794, lors de sa vente, le château d'Aubers s'étendait sur neuf hectares[16].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Grand-place et église d'Aubers, détruits par les tirs d'obus, dès le début de la guerre. Un planton semble garder la pompe communale (à cette époque beaucoup de maisons n'avaient pas encore ou n'avaient plus accès au réseau d'eau potable) sur la place qui a été déblayée de ses décombres (photo prise en 1914 par W. Braemer, soldat de l'armée allemande).

La commune, un temps située sur le front a été fortement marquée par la Première Guerre mondiale qui a laissé de nombreuses séquelles dans le paysage et dans les communautés.

Comme à Fromelles, de violents combats visant le contrôle de la plaine située entre la Deûle et la Lys ont détruit une grande partie de la commune forçant la plupart des habitants à fuir. Le village sera ensuite quasiment rasé par les obus alors que les soldats s'enterraient dans les réseaux de tranchées creusés à la hâte. Seul un tilleul déjà considéré comme remarquable (en 1721, il avait survécu à la foudre qui l'avait fendu en deux parties) sera miraculeusement épargné. Ce tilleul, qui atteint aujourd'hui environ 8 mètres de circonférence, est protégé par la commune d'Aubers et par le Cercle Historique d'Aubers[17].

Beaucoup de soldats anglais et du Commonwealth sont morts sur place. Les cadavres trouvés sur place et les corps déplacés de cimetières provisoires seront rassemblés dans l'Aubers Ridge British Cemetery.

La reconstruction sera entreprise dès 1919 en commençant par un travail de déminage (fait sous le contrôle de l'armée anglaise), car de nombreuses munitions non-explosées jonchaient le sol ou étaient enterrées. Ces milliers de munitions (obus de tous calibres) seront pétardées sur place ou transportées vers des centres de tri et de démantèlement (ferrailleurs spécialisés disposant de concessions spéciales).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Situation administrative[modifier | modifier le code]

Aubers dans son canton et son arrondissement.

Tendance politique[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Maire de 1802 à 1807 : L. J. Cousin[18],[19].

Maire en 1881 : Waymel[20].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2004 Pierre Descamps    
2004 mars 2014 Annie Lung DVD  
2014 En cours Alain Leclercq DVD  
Les données manquantes sont à compléter.
Aubers.- La mairie

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Tilleul de Joncquoy à Aubers

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau du Royaume-Uni Wadhurst (Royaume-Uni)

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 1 722 habitants[Note 3], en augmentation de 8,58 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2091 2921 3851 4311 4571 5581 6601 7041 766
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7401 8401 9631 9421 9451 8351 8121 8241 730
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7581 7021 566747826871868855873
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8478919081 3111 5711 5841 5271 5351 610
2021 - - - - - - - -
1 722--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 815 hommes pour 840 femmes, soit un taux de 50,76 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,9 
5,9 
75-89 ans
8,2 
19,9 
60-74 ans
19,7 
23,4 
45-59 ans
20,9 
17,1 
30-44 ans
17,3 
14,2 
15-29 ans
14,9 
19,1 
0-14 ans
18,1 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Santé[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Aubers fait partie de l'académie de Lille.

Sports[modifier | modifier le code]

Aubers.- Nord Aventure Paintball
  • L'ESC Illies Aubers (football)[27]
  • La Raquette Aubersoise (tennis de table)
  • Le Guidon Aubersois (cyclisme): Il organise également le "Rayon Aubersois" (en association avec Fromelles) course cycliste catégorie 2,3 & Juniors.
  • Nord Aventure Paintball[28].

Média[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune abrite l'École de spectacle équestre le Domaine de L'Hippocrate[29].

Le camping, le Camp des Roses, est en activité sur le village.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le chœur de l'ancienne église était autrefois orné de huit vitraux dont cinq furent donnés par Wallerand de Beaufremez, et trois par des membres de la famille de Noyelles. Ils portaient les armes de ces familles. Dans la nef de gauche était un vitrail offert par un membre de la famille Preudhomme d'Ailly ; dans la nef de droite un vitrail donné par un membre de la famille Castelain. On y voyait un tableau attribué à Van Dyck.
  • Le tilleul du Joncquoy (planté en 1490).
  • Les mottes et douves des deux châteaux de Piètre.
  • Le site des étangs : 5 ha ouvert à la pêche depuis 1970.
  • La grotte Notre-Dame de Lourdes, réalisée en 1958.
Aubers dans la campagne des Weppes

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Seigneurs d'Aubers[modifier | modifier le code]

  • Claude De Richardot, prince de Steenhuyse, comte de Gamarage, général des armées de sa majesté catholique (le roi d'Espagne) et colonel d'un régiment de dragons possède la seigneurie d'Aubers avant 1698[16].
  • Roland Blondel (1642-1722), nait à Ransart en 1642. Il devient bourgeois d'Arras le , puis secrétaire du roi en la chancellerie du Parlement de Flandres le . Il épouse Isabelle de Vauchelles. Il achète en 1698 la seigneurie d'Aubers à Claude de Richardot. Il acquiert le la moitié de la seigneurie de Vendin-le-Vieil. Il meurt à Aubers le , à l'âge de 80 ans[16].
  • Adolphe-Roland-Liévin Blondel (1689-1739), fils de Roland, nait à Neuville-Saint-Vaast le . Seigneur d'Aubers après son père, il devient bourgeois d'Arras le , échevin d'Arras en 1715, 1716, 1731, puis conseiller du roi, trésorier payeur des gages, alternatifs et triennal des officiers de la chancellerie d'Artois le . Il épouse à Arras le Marie-Claire Caudron, fille d'Antoine, bourgeois marchand d'Arras et de Jeanne de Warlincourt. Il meurt à Aubers le [16].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes d'Aubers se blasonnent ainsi : « De gueules à la croix d'or. »[34]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Aubers et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
  14. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 250, lire en ligne.
  15. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 255-256, lire en ligne.
  16. a b c d e f et g Sébastien Bocquillon, « Fortune d'un premier président au Parlement de Flandre, Eugène-Roland-Joseph Blondel d'Aubers (1714-1767) », Revue du Nord 2007/3 (n° 371), pages 507 à 529, sur Cairn info..
  17. Circuit de visite permettant de voir le Tilleul remarquable historique d'Aubert
  18. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  19. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 118-119, lire en ligne.
  20. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2-3..
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Aubers (59025) », (consulté le ).
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  27. « ILLIES AUBERS ETOILE S. C. ».
  28. « Terrain de Paintball d'Aubers . ».
  29. « CENTRE ÉQUESTRE DOMAINE DE L HIPPOCRATE . ».
  30. a et b Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 55-59.
  31. Raoul d'Entragues, « Notice biographique sur M. de Blondel d'Aubers. ».
  32. « Recherche - Base de données Léonore », sur leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ), Notice LH//260/21..
  33. Éléonore Paul Constant Baron DU CHAMBGE DE LIESSART, Notes historiques relatives aux offices et aux officiers du Bureau des finances de la généralité de Lille, L. Leleu, (lire en ligne), p. 59.
  34. « 59025 Aubers (Nord) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).