Felleries

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Felleries
Felleries
La mairie
Blason de Felleries
Blason
Felleries
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Avesnes-sur-Helpe
Intercommunalité CC
Maire
Mandat
Pascal Noyon
2023-2026
Code postal 59740
Code commune 59226
Démographie
Gentilé Fleurisiens, Fleurisiennes
Population
municipale
1 455 hab. (2021 en augmentation de 2,97 % par rapport à 2015)
Densité 75 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 08′ 37″ nord, 4° 01′ 33″ est
Altitude Min. 160 m
Max. 236 m
Superficie 19,49 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Fourmies
Législatives 3e circonscription du Nord
Localisation
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Felleries
Géolocalisation sur la carte : France
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Felleries
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Felleries
Liens
Site web https://www.felleries.fr/

Felleries est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

vue générale.

Felleries est un bourg de l'Avesnois sitié situe dans le sud-est du département du Nord (Hainaut), et limitrophe de la Belgique en plein cœur du Parc naturel régional de l'Avesnois, à 8 km d'Avesnes-sur-Helpe, sous-préfecture, et 100 km de Lille, préfecture du Nord. Valenciennes, Mons et Charleroi se trouvent à 45 km.

Felleries fait partie administrativement de l'Avesnois, géologiquement des Ardennes, historiquement du Hainaut et ses paysages rappellent la Thiérache[réf. nécessaire].

Felleriess se trouve dans la zone d'emploi de Maubeuge et le bassin de vie d'Avesnes-sur-Helpe[I 1]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Sars-Poteries, Ramousies, Sémeries, Solre-le-Château, Willies, Beugnies, Clairfayts, Flaumont-Waudrechies et Liessies.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 19,49 km2 ; son altitude varie de 160 à 236 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydropgraphique de la commune.

La commune est traversée par un cours d'eau, la Belleuse, qui se jette dans l'Helpe Majeure à Sémeries.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 905 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 802,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Paysages[modifier | modifier le code]

L'Avesnois est connu pour ses prairies, son bocage et son relief un peu vallonné dans sa partie sud-est (début des contreforts des Ardennes), dite « petite Suisse du Nord ».

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Felleries est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51 %), prairies (34,4 %), terres arables (8,6 %), zones urbanisées (6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 626, alors qu'il était de 625 en 2015 et de 605 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 88,1 % étaient des résidences principales, 1,8 % des résidences secondaires et 10,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 91,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Felleries en 2020 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,8 %) supérieure à celle du département (1,7 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %).

Le logement à Felleries en 2020.
Typologie Felleries[I 3] Nord[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 88,1 90,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,8 1,7 9,7
Logements vacants (en %) 10,1 7,7 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Felgeriis, 1122, cart. de l'abb. de Liessies. — Feleries, 1186, J. de Guise, XII, 339. — Fullerines, 1250, cart. de l'abb. de Liessies — FeeleriesFecleriesFleury, dans titres divers[14]

L'origine du nom provient de Filuhari, anthroponyme d'origine germanique et du suffixe -iacas (le domaine de)[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

843 : avec le traité de Verdun, le partage de l'empire carolingien entre les trois petits fils de Charlemagne octroie à Lothaire Ier, la Francie médiane qui comprend le Hainaut dont fait partie le village.

855 : avec le Traité de Prüm qui partage la Francie médiane entre les 3 fils de Lothaire Ier, le Hainaut est rattaché à la Lotharingie dont hérite Lothaire II.

870 : avec le traité de Meerssen après la mort de Lothaire II, une partie de la Lotharingie dont fait partie le Hainaut est rattachée à la Francie occidentale.

880 : avec le traité de Ribemont, le Hainaut est rattaché à la Francie orientale qui deviendra le Saint-Empire romain germanique en 962.

Le village tire son origine d'une clairière défrigée pendant le haut Moyen Âge. L'église dédiée à Saint Lambert remonte probablement au VIIIe siècle et est donnée à l'abbaye de Liessies avant 1128. Felleries devient le siège d'une paroisse en 1186[15].

Felleries, quoique n'étant encore, au XVIe siècle, qu'un hameau de Ramousies, formait cependant, déjà, en 1180, une paroisse particulière figurant dans la liste donnée par J. de Guise, XII, 339, à l'occasion des tailles imposées au clergé du Hainaut par les évêques de Cambrai et d'Arras (cf "Bulletin de la commission historique du département du Nord" - tome IX - 1866).

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En 1602, une nouvelle paroisse est créée. Felleries développe un artisanat puis une industrie de la boissellerie aussi appelé localement bois-jolis. Dès 1600, les habitants fabriquent des sabots, des louches et d'autres ustensiles en bois liés au textile tels que les fuseaux à dentalle, ailettes de rouets, etc. Ce développement se fait en lien avec le développement textile qui s'étend de Fourmies à Avesnes-sur-Helpe[15].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Felleries figure sur les Plans du cadastre napoléonien (1813 et 1868)[16].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Extrait du livre Description du Nord de F. Grille 1825-1838 : « L'arrondissement d'Avesnes étant couvert de bois, offre de grandes ressources pour le commerce de la boissellerie. Felleries est le centre de cette fabrication, qui s'étend ensuite dans plus de trente à quarante communes aux alentours. Il n'est sorte d'ustensiles que les boisseliers n'exécutent, depuis les cuillers, les écuelles, les égrugeoirs, les livrettes ou machines à mesurer le beurre, les éclissons ou moules pour les fromages, jusqu'aux boîtes à poivre, gobelets d'enfans, pièges pour les souris, robinets, etc. On compte plus de cinquante objets différents fabriqués à Felleries : pelles à remuer le grain, manches d'alênes et de faucilles, attelés pour harnois, ellettes pour filer le lin et la laine, bobines, fuseaux, rouets de toutes qualités, cercles de tambours, sabots ordinaires, sabots flamands, sabots longs dits incroyables. Ces produits et tous ceux de la même nature obtenus dans le Nord sont consommés pour moitié dans le département même ; l'autre moitié s'expédie dans les provinces voisines, soit françaises, soit belges et hollandaises : il en est fait aussi des pacotilles pour l'Amérique. »

L'ancienne gare

La ligne de chemin de fer Avesnes-sur-Helpe - Sars-Poteries. Inscrite dans le plan Freycinet (loi du 17 juillet 1879), concédée à la Compagnie des chemins de fer du Nord par une loi du 20 novembre 1883, est ouverte au public le 20 juillet 1901. Elle relie Avesnes-sur-Helpe à Solre-le-Château, via Flaumont-Waudrechies, Sémeries, Felleries, Sars-Poteries. Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale (16 août 1941), le transport des voyageurs est assuré. Ensuite, seul le transport de marchandises composé essentiellement par la livraison de fournitures agricoles (paille, engrais...) subsiste jusqu'en 1953. Les bâtiments existent encore aujourd'hui.

Première Guerre mondiale : après avoir envahi la Belgique, les Allemands entrent en France. Les Français cèdent devant leur poussée. Le 25 août 1914, des soldats français battent en retraite et se dirigent vers Avesnes-sur-Helpe. Les Allemands suivent. Ils incendient l'église de Felleries et 46 maisons dans le village. Felleries se trouvera en zone occupée jusqu'à l'Armistice du 11 novembre 1918.

Le 7 janvier 1929, le Conseil général du Nord adopte le principe de construction d'un sanatorium de 500 lits à cheval sur les communes de Felleries et Liessies. Les travaux débutent en 1931 au lieudit "Beausart". Il comprend 3 pavillons, 2 pour les femmes avec chacun une capacité d'hébergement pour 150 malades, 1 pour les hommes pour 206 malades. Le premier pavillon ouvre en 1933

Seconde Guerre mondiale : venue de Belgique, la 7e Panzer (Division blindée), commandée par le maréchal Erwin Rommel, arrive dans l'Avesnois le 16 mai 1940 en passant par Clairfayts. Elle progresse très rapidement, rejoignant la route qui mène de Solre-le-Château aux "3 pavés" de Semousies, près de la ferme du Trianon, puis poursuit en passant à Avesnes-sur-Helpe (en empruntant l'avenue du Pont-Rouge) et continue vers Landrecies. Felleries sera ensuite occupée par les Allemands et libérée début septembre 1944 par des troupes américaines.

L'éléphante Jenny en 1915.

2015 : Le maire Pascal Noyon et son adjoint aux travaux Jean-Luc Vander Goten initient la création d'un éléphant grandeur nature, en osier sur armature d'acier, en souvenir de Jenny, éléphante du parc zoologique Tierpark Hagenbeck de Hambourg, amenée par les Allemands, durant la Première Guerre mondiale[17], pour servir de bête de somme et de trait. Aujourd'hui encore, la présence d'un pachyderme dans la campagne avesnoise paraîtrait pour le moins saugrenue ; on conçoit donc aisément qu'il y a un siècle - avant l'invention de la télévision, à une époque où l'on voyageait peu, où les livres et encyclopédies étaient peu répandus, où les jardins zoologiques étaient rares - la vue d'un tel animal, dont certains ignoraient jusqu'à l'existence, ait pu à ce point frapper les esprits et se maintenir dans les mémoires jusqu'à nos jours, par-delà les générations... Cette impressionnante réalisation de deux mètres cinquante de haut pour quatre mètres de long, pesant près de deux cent vingt kilogrammes, est l'œuvre de deux artisans locaux ; Florent Tilmant, coutelier, a construit le squelette métallique, tandis que Pascal Harbonnier, vannier, a réalisé l'habillage en osier[18]. Bien sûr baptisée Jenny, elle est désormais la mascotte de la commune et ne manque aucune festivité...

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Avesnes-sur-Helpe du département du Nord[I 1].

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Avesnes-sur-Helpe-Nord[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Fourmies[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Nord.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Felleries était membre de la communauté de communes du Pays d'Avesnes, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Conformément aux prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du , qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Cœur de l'Avesnois, dont est désormais membre la commune[I 1]..

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1802[19] après 1807[20]. Jean Jos. Hazard    
         
juin 1995 mars 2001 Colette Sandrard[21]    
mars 2001 2014[22] Pascal Lambret DVD conseiller commercial chez Orange
2014 En cours
(au 30 novembre 2023)
Pascal Noyon[23] DVG Employé de commerce
Réélu en avril 2023 après la démission d'une partie du conseil municipal[24],[25]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 1 455 habitants[Note 2], en augmentation de 2,97 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3041 0981 5811 5991 6501 7381 7531 7461 752
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6861 7231 7691 7291 8461 9322 0491 9551 922
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9921 9431 9501 6491 6611 7271 7072 0482 035
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 6561 6511 8801 8821 6211 3871 4891 4831 590
2014 2019 2021 - - - - - -
1 4261 4541 455------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,7 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 724 hommes pour 713 femmes, soit un taux de 50,38 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,9 
7,2 
75-89 ans
10,3 
17,9 
60-74 ans
17,6 
26,3 
45-59 ans
21,9 
17,7 
30-44 ans
18,4 
14,0 
15-29 ans
14,8 
16,5 
0-14 ans
15,1 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Cultes[modifier | modifier le code]

Pour le culte catholique, le village fait partie de la paroisse Sainte-Hiltrude en Avesnois (Diocèse de Cambrai)[31]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Anciennes brasseries : la brasserie-malterie Sirot devenue brasserie-malterie coopérative des Trois-Cantons ; la brasserie-malterie Danhiez.
  • Un calvaire et quelques chapelles disséminées.
  • L'éléphante Jenny

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Felleries Blason
Bandé d’or et de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Commune de Felleries (59226) - commune actuelle », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2024), sur https://www.insee.fr (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Felleries - Section LOG T1 » (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Felleries - Section LOG T2 » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans le Nord - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Felleries et Saint-Hilaire-sur-Helpe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « St-hilaire-sur-helpe » (commune de Saint-Hilaire-sur-Helpe) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Bulletin de la commission historique du département du Nord - tome IX - 1866
  15. a b et c Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 140-145
  16. site internet Archives départementales du Nord
  17. Dan Koehl, « Jenny, an Asian elephant at Circus Strassburger », sur elephant.se (consulté le ).
  18. L'Observateur de l'Avesnois du vendredi 20 mars 2015
  19. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 276, lire en ligne.
  20. « Annuaire statistique département du nord année 1807 », p. 130-131..
  21. « La ville remercie six aînés pour leur investissement », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  22. « Pascal Lambret conduit la liste d’Union pour l’avenir de Felleries », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pascal Lambret, le maire sortant, conduit la liste d’Union pour l’Avenir de Felleries. Ce conseiller commercial à temps partiel chez Orange, a succédé à Colette Sandrart en 2001. Le voilà candidat à un troisième mandat. ».
  23. Réélu aux municipales de 2020 : « Felleries : Pascal Noyon élu maire par le conseil municipal », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Pascal Noyon a été, samedi matin, élu maire de Felleries au conseil municipal et entamera donc son deuxième mandat, lui qui avait été élu pour la première fois en 2014. ».
  24. « Second tour des élections municipales à Felleries, la liste de Pascal Noyon l’emporte », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est la liste portée par le maire, Pascal Noyon, qui a fini en tête des suffrages à Felleries, avec 329 voix. La liste de Claire de Groote obtient 3 sièges de conseillers ».
  25. « À Felleries, Pascal Noyon a été réélu maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il recueille 11 voix sur 15. Trois bulletins étaient pour Claire De Groote, qui a mené une liste face au maire lors des dernières élections, recueillant trois sièges de conseillers sur quinze. Un bulletin était blanc ».
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Felleries (59226) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  31. Site internet du Diocèse