Utilisateur:Roland45/Brouillon
39,9 °C
La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1]
https://www.pappers.fr/entreprise/estp-grande-ecole-dingenieurs-de-la-construction-325002111#_
[1].
Ain Albarine Allondon Ange Annaz Ardière Arène Arvière Azergues Bief Bourbon Bief d'Avignon Bief de Enfer Bief de Malivert Bief de Menthon Bief de Pommier Bief de Rollin Bief des Guillets Bienne Bourbonne Bourbre Brive Buizin Câline Callonne Canal de Savières Chalaronne Cotey Cozance Dérivation de Belley Durlande Flon Formans Furans Gland Grand Grande Loëze Huert Irance Jugnon Longevent Longviry Mandorne Mâtre Menthon Merdanson Moignans Morbier Morgon Oignin Oiselon Oudar Petite Grosne Renon Reyssouze Reyssouzet Rhône Riez Rivière Grand Journans Ruisseau Besançon Ruisseau de Leschère Ruisseau de Manziat Ruisseau des Echets Salençon Sane Sane-Morte Saône Seille Semine Séran Sereine Sevron Seymard Solnan Suran Toison Valouse Valserine Versoix Veyle Vieux Jonc Voye
du au
La température maximale relevée sur cette station est de 39,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de -17,8 °C, atteinte le [Note 2].
P4179 (« tableau de population »)
Tableau[modifier | modifier le code]
Bocognano Bonifacio Calvi Conca Corbara Corte Evisa Figari Bastia Marignana Oletta Pila-canale Porto-Vecchio Quenza Renno Rusio Sampolo Sartene Sisco Sari-Solenzara
Désolé, mais l'application de la règle définie ci-dessus n'est pas exactement celle-ci. Pour Jugon-les-Lacs, si on regarde les anciennes communes au 1er janvier 2024, on a :
- Lescouët-Jugon = cas 2a (ancienne commune de 1793 à 1973, de durée de vie supérieure à 6 ans), donc admissible. Il faudrait donc en réalité créer Lescouët-Jugon (ancienne commune
- Saint-Igneuc = cas 2a (ancienne commune de 1793 à 1973, de durée de vie supérieure à 6 ans), donc admissible. Il faudrait donc en réalité créer Saint-Igneuc (ancienne commune
- Dolo = cas 2a (ancienne commune de 1793 à 1973, de durée de vie supérieure à 6 ans), donc admissible. Il faudrait donc en réalité créer Dol (ancienne commune
- Jugon-les-lacs = cas 2b (ancienne commune de 1973 à 1973 homonyme), donc non admissible ;
- Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle = cas 2a (ancienne commune de durée de vie supérieure à 6 ans), donc admissible. Il faudrait donc en réalité créer Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle (ancienne commune).
C'est là qu'on voit qu'il y a un problème dans la règle qui aboutit à avoir dans le même nom commune nouvelle et ancienne commune, mais surtout un article où il n'y a rien dedans. C'est pourquoi, je pense qu'il faut simplement remplacer dans le cas 2a « de durée de vie supérieure à 6 ans » par « créées antérieurement à 2016 »
Population | Toutes communes | Communes avec station | Articles correspondants |
---|---|---|---|
> 2000 | 5 422 | 556 | 5 422 |
> 5000 | 2 195 | 293 | 2 751 |
> 10000 | 1 013 | 172 | 1 862 |
> 20000 | 478 | 101 | 1 499 |
Total | 34 938 | 1426 |
Articles admissibles : 1. les communes du COG ;
|
Le cas de Jugon-les-Lacs est réglé dès lors comme suit :
- maintien de l'article Jugon-les-Lacs dont le contenu devient celui de la commune post-2024 avec ajout d'une section « évolution du territoire » ;
- suppression de l'article Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle
Pour Castelnau-Monratier, c'est pareil.
Suite[modifier | modifier le code]
Risques[modifier | modifier le code]
- Mairie d'Orelle, Plan local d'urbanisme de la commune d'Orelle, , 227 p. (lire en ligne).
Le territoire de la commune d'Orelle est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à divers risques technologiques (rupture de barrage, risque minier et de transport de matières dangereuses), ainsi qu'à deux risques particuliers (radon et engins de guerre)[6],[7].
Risques naturels[modifier | modifier le code]
La commune peut être affectée par un débordement de l’Arc qui a connu des crues importantes en , en , en , en et en [G 1]. L'aléa est toutefois globalement faible : les zones d’aléa fort et moyen sont limitées au lit actif de l'Arc et à ses berges. Aucune habitation n‘est soumise à un risque de débordement en cas de crue centennale : seuls des débordements ponctuels sur la RD1006 pourraient se produire, notamment dans le secteur de Prémont et au droit du hameau du Poucet[PLU112 1].
Les torrents du Poucet et, dans une moindre mesure, du Bonrieu, sont sujets à des crues torrentielles fréquentes, souvent de nature laves torrentielles lorsqu'elles charrient des matériaux. Déjà au XIXe siècle, des mesures de replantation forestière avaient été prises pour tenter de ralentir l’érosion et les crues torrentielles sur le bassin du Pousset[PLU112 2].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrains soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles qui représentent toutefois un risque faible (46 % du territoire communal sont exposés à un aléa faible)[G 2]. Le glacier du Bouchet est situé sur la partie nord de la commune d'Orelle et pourrait endommager des installations de remontées mécaniques dans le domaine skiable d'Orelle[G 3].
L'incendie le plus marquant dans le département est celui d' qui a détruit 126 ha à Orelle[G 4]. L'incendie de la forêt des Essarts à proximité du pont des Chèvres a lieu les 26, 27 et , où de nombreux ouvriers et habitants se mobilisent pour combattre le feu. Les habitations orellinches ne sont pas ménagées. La disposition des maisons, granges et remises, où hommes et bêtes cohabitent incite à la prudence car elles sont très serrées[D 1].
Risques technologiques[modifier | modifier le code]
La commune d’Orelle est située à l’aval des barrages de Bissorte, un barrage de 65 mètres de hauteur construit entre 1931 et 1935, et du Pont des Chèvres. La rupture d'un de ces ouvrages est le principal risque technologique pour la commune. L’onde de submersion s’étendrait d'Orelle à Grenoble, en suivant le tracé de l'Arc et de l’Isère. Orelle est concernée par la zone de proximité immédiate. L’onde de submersion toucherait Francoz en 3 minutes et atteindrait le Poucet en 5 minutes. Le plan particulier d'intervention du barrage de Bissorte a été approuvé par arrêté préfectoral du [PLU148 1],[G 5],[I 1].
Le risque minier, du fait de la présence sur la commune d'ancienne carrières[G 6] et de transport de matières dangereuses, du fait de la traversée e la commune par l'autoroute A43 [G 7] sont également à prendre en compte.
Risques particuliers[modifier | modifier le code]
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Orelle est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[8].
Le champ de tir temporaire des Rochilles Mont-Thabor se trouve sur la commune Orelle et constitue un risque d'engins résiduels de guerre si certaines pièces ne sont pas retrouvées lors des entraînements de l'armée[G 8].
WD[modifier | modifier le code]
- Pyrénées-Orientales/Wikidata/Communes
- Pyrénées-Orientales/Wikidata/Dolmens
- Pyrénées-Orientales/Wikidata/Lacs
- Pyrénées-Orientales/Wikidata/Menhirs
- Pyrénées-Orientales/Wikidata/Montagnes
- Pyrénées-Orientales/Wikidata/Monuments historiques
- Pyrénées-Orientales/Wikidata/Tumulus
- Pyrénées-Orientales/Wikidata/Vierges à Enfant
- Pyrénées-Orientales/Wikidata/Églises
Brantôme La Coquille Coulounieix Domme Les Eyzies-de-Tayac Lamothe-Montravel Monpazier Montignac Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt Prats-de-Carlux Saint Aulaye-Puymangou Saint-Laurent-des-Vignes Saint-Martial-Viveyrol Saint-Martin-de-Fressengeas Saint-Martin-de-Ribérac Salignac-Eyvigues Sarlat-la-Canéda Terrasson-Lavilledieu Thenon
Tablo2[modifier | modifier le code]
section de niveau 1 | section de niveau 2 | |
---|---|---|
1. Géographie | Description des éléments naturels caractérisant le territoire | Localisation - Géologie et relief - Hydrographie - Climat - Paysages /- Milieux naturels et biodiversité |
2. Urbanisme | Descriptif de l'action de l'homme sur le territoire | Typologie - Occupation des sols - Morphologie urbaine - Lieux-dits, hameaux et écarts - Logement - Planification de l'aménagement - Projets d'aménagement - Voies de communication et transports - Énergie - Risques naturels et technologiques - Qualité de l'environnement |
3. Toponymie | Descriptif des origines du nom de la commune, voire des différents toponymes | |
4. Histoire | Mise en perspective des événements qui ont marqué la commune | Préhistoire - Antiquité - Moyen Âge - Temps modernes - Révolution française et Empire - Époque contemporaine |
5. Politique et administration | Description des institutions et des élus gérant ou ayant géré le territoire | Élections municipales et communautaires - Autres élections - Instances de démocratie participative - Finances communales - Jumelages |
6. Équipements et services publics | Descriptif de l'action publique et des services offerts aux habitants | Eau et déchets - Espaces publics - Enseignement - Culture - Santé - Postes et télécommunications - Justice, sécurité, secours et défense |
7. Population et société | Descriptif de la population et des actions menées à son initiative | Démographie - Manifestations culturelles et festivités - Sports et loisirs - Vie associative - Cultes - Médias |
8. Économie | Indicateurs et descriptif des acteurs économiques locaux | Revenus de la population et fiscalité - Emploi - Entreprises et commerces |
9. Culture locale et patrimoine | Sites, monuments, culture, traditions | Lieux et monuments - Patrimoine culturel - Personnalités liées à la commune - Héraldique, logotype et devise |
10. Voir aussi | Bibliographie - Articles connexes - Liens externes | |
11. Notes et références | Notes - Références |
Abjat-sur-Bandiat (24)
Viviane Le Guen CARTE - Décarbonation : découvrez où sont les sites industriels les plus polluants de France https://www.francebleu.fr/infos/environnement/decarbonation-emmanuel-macron-reunit-les-industriels-les-plus-polluants-1667907454 8 novembre 2022
Stéphanie Denevault et Océane Zitouni https://www.francebleu.fr/infos/environnement/dfsd-1668053467 10 novembre 2022
Majuscule |
|
Minuscule |
|
Auvergne-Rhône-Alpes | Ardèche | Lafarge Ciments - Site du Teil |
Isère | Vicat - site de Montalieu | |
Rhône | Lafarge Ciments - site de Val d'Azergues | |
Savoie | Trimet - site de Saint-Jean-de-Maurienne | |
Bourgogne-Franche-Comté | Jura | EQIOM - site de Rochefort-sur-Nenon, Solvay - site de Tavaux |
Centre-Val de Loire | Cher | Ciments Calcia - site de Beffes |
Indre-et-Loire | Ciments Calcia - site de Villiers-au-Bouin | |
Grand Est | Haut-Rhin | Borealis - site d'Ottmarsheim, Alsachimie - site de Chalampé, HOLCIM - site d'Altkirch, Butachimie - site de Chalampé |
Marne | Ciments Calcia - site de Couvrot, Cristal Union - site de Bazancourt | |
Meurthe-et-Moselle | Solvay - site de Dombasle-sur-Meurthe, Novacarb - site de Laneuveville-devant-Nancy, Saint-Gobain PAM - site de Pont-à-Mousson, Vicat - site de Xeuilley | |
Meuse | Société des fours à chaux de Sorcy - site de Sorcy | |
Moselle | EQIOM - site d'Héming, ArcelorMittal - site de Florange | |
Hauts-de-France | Aisne | Tereos - site d'Origny |
Nord | ArcelorMittal - site de Dunkerque, Versalis France - site de Mardyck, Aluminium Dunkerque - site de Dunkerque | |
Pas-de-Calais | Chaux et dolomies du boulonnais - site de Réty, EQIOM - site de Lumbres, Roquette Frères SA - site de Lestrem, Verrerie d'Arques - site d'Arques, Tereos - site de Lillers | |
Île-de-France | Seine-Saint-Denis | Carrières et fours à chaux de Dugny - site de Dugny |
Normandie | Calvados | Ciments Calcia - site de Ranville |
Manche | TotalEnergies - site de Gonfreville | |
Seine-Maritime | ExxonMobil Chemical France - site de Notre-Dame-de-Gravenchon, Yara France - site du Havre]], Borealis - site de Grand-Quevilly | |
Seine-Maritime | Borealis - site de Grandpuits | |
Nouvelle-Aquitaine | Charente-Maritime | Ciments Calcia - site de Bussac-Forêt |
Deux-Sèvres | Ciments Calcia - site d'Airvault | |
Occitanie | Aude | Lafarge Ciments - site de Port-la-Nouvelle |
Gard | Ciments Calcia - site de Beaucaire | |
Haute-Garonne | Lafarge Ciments - site de Martres Tolosane | |
Pays de la Loire | Mayenne | Lafarge Ciments - site de Saint-Pierre-la-Cour, Lhoist France Ouest- site de Neau |
PACA[9] | Alpes-Maritimes | Vicat - site de Peille |
Bouches-du-Rhône | Air Liquide Hydrogène - site de Lavéra, ArcelorMittal - site de Fos-sur-Mer, Naphtachimie - site de Lavéra, LyondellBasell - site de Berre (Usine chimique de l'Aubette), Lafarge Ciments - site de La Malle[10] (Bouc-Bel-Air) |
1 | 2026-2030 | 4 à 8,5 MTCO2/an | Grands ports industriels : Dunkerque, Le Havre et Fos-sur-Mer | L'idée est de pouvoir mutualiser l'investissement dans les grandes zones industrielles et de favoriser, dans un premier temps, les sites qui peuvent évacuer le CO2 par voie maritime vers des lieux de stockage à l'étranger (en mer du Nord - Norvège, Pays-Bas - ou en Méditerranée - Italie), en attendant de développer des sites nationaux de stockage. |
2 | 2028-2033 | 8 à 12 MTCO2/an | Piémont pyrénéen (Lacq - Sud-Ouest) et l'estuaire de la Loire (projet Pycasso) | des projets de transport (projet GoCO2) sont envisagés. Le potentiel des bassins aquitain et parisien sera également examiné. |
3 | à partir de 2033 | 12 à 15 MTCO2/an | Grand Est | « via le développement éventuel de stockage à terre, en mobilisant éventuellement des capacités nationales, ou un raccordement à un réseau de transport de CO2 prolongeant l'axe Rhône à une échelle européenne ». |
Horizon 2050 | 15 à 30 MTCO2/an |
Secteur | 2015 | 2016 | 2017 | 2018 | 2019 | 2020 | 2021 | 2022 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Agriculture | 83,1 | 81,7 | 81,3 | 80,4 | 78,6 | 78,2 | 76,5 | 76,5 |
transport | 137,9 | 138,1 | 138,3 | 135,3 | 134,4 | 113,5 | 127,6 | 130,5 |
Bâtiments | 84,8 | 84,8 | 84,1 | 79 | 76 | 71,3 | 75,1 | 64 |
Energie | 50 | 53,5 | 57,3 | 48 | 46,2 | 41,3 | 42,5 | 44,6 |
Industrie | 83,7 | 83,2 | 82,9 | 82,8 | 79,8 | 72 | 78 | 73 |
Déchets | 15 | 15 | 15,1 | 14,8 | 16 | 15,9 | 15,2 | 15,2 |
Total | 454,5 | 456,4 | 458,9 | 440,4 | 431,1 | 392,3 | 414,8 | 403,8 |
En 2010, le climat de la commune est qualifié de climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000. La température annuelle moyenne est de 11,9 °C et le nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C est de 3 et avec une température supérieure à 30 °C est de 5,9. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 122 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,6 j en juillet[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine qui comprend cinq grands types et 29 régions climatiques. Dans ce nouveau cadre, la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré. Elle est en outre dans la région climatique « Aquitaine, Gascogne »[12].
Avec le changement climatique, les valeurs des variables climatiques évoluent. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982 et fermée en 2021[15] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[16],[Note 3], permet de connaître les paramètres pour la période 1981-2010 où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm[17]. Pour observer les changements sur trois normales climatiques successives, il faut se reporter à la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 48 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 11,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[21]. |
Agudelle (17) :
- Observations sur article existant. Le tableau intitulé « données climatiques » correspond à la ville de La Rochelle et non Agudelle et les données sont relatives à la période 1961-1990 - Le tableau suivant n'est pas sourcé ni référencé temporellement et les données de Paris, Nice ou Strasbourg sont hors sujet.
’Aquitaine, Gascogne’’
Abzac (16) Littoral charentais et aquitain
Tablo3[modifier | modifier le code]
Climat com[modifier | modifier le code]
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[22]. En 2010, le climat de la commune est qualifié de climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000 et comportant 8 zones climatiques. La température annuelle moyenne est de 12,9 °C et le nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C est de 1.8 et avec une température supérieure à 30 °C est de 5.9. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 893 mm, avec 12.2 jours de précipitations en janvier et 6.5 j en juillet[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine qui comprend cinq grands types et 29 régions climatiques. Dans ce nouveau cadre, la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques Poitou-Charentes et Aquitaine, Gascogne[23].
Les différents paramètres climatologiques sont modifiés par le réchauffement climatique tant au niveau national[24] qu'au niveau régional ou local[25],[26]. La station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cognac », sur la commune de Châteaubernard et mise en service en 1945[27] et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[28],[Note 4], permet d'observer les changements sur trois normales climatiques consécutives. La température moyenne annuelle y évolue de 12,9 °C pour la période 1971-2000[29], à 13,3 °C pour 1981-2010[30], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[31]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune attendus pour 2050 selon différents scénarios sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[32].
Avec le changement climatique, les valeurs des variables climatiques évoluent. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[33] complétée par des études régionales[34] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1991 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,8 | 1,5 | 3,8 | 5,9 | 9,8 | 12,5 | 14,6 | 14,5 | 10,8 | 8,7 | 4,3 | 2,1 | 7,6 |
Température moyenne (°C) | 5,5 | 6,2 | 9,3 | 11,5 | 15,7 | 18,8 | 21 | 21,1 | 16,9 | 13,5 | 8,3 | 5,7 | 12,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,1 | 10,9 | 14,8 | 17,1 | 21,5 | 25,1 | 27,4 | 27,8 | 23 | 18,4 | 12,3 | 9,4 | 18,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−10 31.01.10 |
−12 15.02.10 |
−8 06.03.10 |
−4 07.04.08 |
−1,5 05.05.1991 |
1 29.06.1991 |
7,5 11.07.09 |
5,5 31.08.10 |
0 27.09.10 |
−6 26.10.03 |
−9 18.11.07 |
−12 19.12.09 |
−12 2010 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19 02.01.03 |
22,5 15.02.1998 |
26 20.03.05 |
31 30.04.05 |
33 28.05.01 |
39,5 22.06.03 |
39,5 13.07.03 |
41,5 12.08.03 |
35 03.09.05 |
30,5 06.10.09 |
23 03.11.05 |
18,5 08.12.10 |
41,5 2003 |
Précipitations (mm) | 78,8 | 68,2 | 67,8 | 101,9 | 97,9 | 87,7 | 79,3 | 71,6 | 86,7 | 91,5 | 101,6 | 88,9 | 1 021,9 |
Climat com[modifier | modifier le code]
En 2010, le climat de la commune est qualifié de climat méditerranéen altéré, selon une étude s'appuyant sue une série de données couvrant la période 1971-2000. La température annuelle moyenne est de 12 °C et le nombre de jours avec une température inférieurenormale climatique| à −5 °C est 4,2 et une température supérieure à 30 °C est 7. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 055 mm[11].
En 2020, Météo-France publie une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine qui comprend désormais cinq grands types et 29 régions climatiques. Dans ce nouveau cadre, la commune est dans une zone de type climat de montagne. Elle est en outre dans la région climatique « Pyrénées centrales »[35].
Les différents paramètres climatologiques sont modifiés par le réchauffement climatique tant au niveau national[36] qu'au niveau régional ou local[37],[38]. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pamiers Lycagri », sur la commune de Pamiers, mise en service en 1985 et fermée en 2008[39] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[40],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 785,8 mm pour la période 1981-2010[41]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 44 km[42], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[43], à 12,3 °C pour 1981-2010[44], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[45].
Tablo2[modifier | modifier le code]
Orelle (station de ski)
Orelle | |
Centre de la station de ski d'Orelle (Plan-Bouchet) avec les gares de quelques remontées mécaniques. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Localité | Orelle |
Géographie | |
Massif | Vanoise |
Altitude | 890 m |
Altitude maximum | 3 230 m |
Altitude minimum | 2 350 m |
Ski alpin | |
Lié à | Val Thorens (par la cime Caron, la brèche de Rosaël, le col de Thorens et le col du Bouchet) |
Domaine skiable | Les Trois Vallées |
Remontées | |
Nombre de remontées | 5 |
Télécabines | 2 |
Télésièges | 3 |
Fils neige | 1 |
Pistes | |
Nombre de pistes | 10 |
Noires | 1 |
Rouges | 3 |
Bleues | 5 |
Vertes | 1 |
Installations Nouvelles glisses |
1 |
modifier |
Orelle est une station de sports d'hiver de la vallée intra-alpine de la Maurienne située dans la commune d'Orelle, dans le département de la Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes. Dotée d'une télécabine en 1996, elle fait partie du domaine skiable des Trois Vallées.
Histoire[modifier | modifier le code]
Création de la station de ski d'Orelle[modifier | modifier le code]
L'activité économique d'Orelle s'oriente vers le tourisme, en lien avec le développement des sports d'hiver dans la vallée voisine des Belleville. La commune entre au capital de la Société de développement touristique de la vallée des Belleville en 1965, puis dans celui de la SETAM (Société d'exploitation des téléphériques de Tarentaise Maurienne), en 1972[46],[47].
En 1989, le ski est possible sur le versant d’Orelle, mais accessible seulement depuis le domaine de Val Thorens, avec la création du télésiège de Rosaël[48].
La Société des téléphériques d'Orelle, communément appelée la STOR, voit le jour le et elle gère depuis cette date l'ensemble des installations, systèmes, véhicules et remontées mécaniques de la station skiable d'Orelle[49].
Première télécabine (1996)[modifier | modifier le code]
À partir de , l'accès peut se faire depuis le hameau de Francoz par la télécabine 3 Vallées Express, en 15 minutes. L'ouvrage présente une longueur de cinq kilomètre, sur 1 470 mètres de dénivelé. L'accès peut se faire depuis l'un des quatre parkings prévus sous la gare de départ de la télécabine[50],[51],[52],[53].
Le domaine skiable s'étend en 2001 : ledit télésiège de Rosaël est complété par les télésièges du Peyron et du Bouchet. Ce dernier permet aux skieurs d'atteindre le col du Bouchet, point le plus haut des Trois Vallées avec la pointe du Bouchet qui culmine à 3 420 mètres d'altitude[48],[54],[55],[56].
Un chalet-restaurant s'implante sur le domaine et des cours de ski de l'École du ski français (ESF) deviennent fréquents[57].
-
Gare de départ de la télécabine 3 Vallées Express.
-
Vue de Plan-Bouchet.
-
Ligne ferroviaire à Orelle (2020).
-
Vue de la télécabine d'Orelle à Francoz depuis l'office de tourisme.
Des villages d'Orelle qui se métamorphosent pour intégrer une dynamique touristique[modifier | modifier le code]
Une résidence 3 étoiles, dans le Hameau des Eaux d’Orelle, qui compte actuellement plus de 1000 lits, est construite. Elle se nomme la Résidence des Eaux d'Orelle et ouvre l’opportunité aux clients de séjourner sur la commune, alors qu'il fallait venir à la journée auparavant[58].
La même année, de nombreuses rénovations d’appartements de particuliers dans les villages sont réalisées, offrant d’une part la possibilité aux vacanciers de loger dans ces hameaux, avec des résidences locatives, mais aussi à la commune de voir ses bâtiments restaurés[59].
L'office de tourisme et la centrale de réservations d'Orelle voient le jour en 2008 avec l’objectif de faire connaître la station mauriennaise et d'offrir des services. Dès lors, l'attractivité d'Orelle augmente. L'office a été déplacé dans une nouvelle construction moderne début 2022[60],[61].
En 2011, « Le Mazot des Croés » ouvre ses portes : il s'agit d'une halte-garderie-crèche municipale située dans la rue Saint-Jacques à Francoz.
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Vue de la vitrine et de l'entrée de l'office de tourisme d'Orelle.
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Le Mazot des Croés.
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Face Sud de l'office de tourisme (de nuit).
Tyrolienne d'Orelle[modifier | modifier le code]
En 2014, la « Tyrolienne d'Orelle » est créée. C'est une première mondiale car jamais une tyrolienne aussi haute en altitude et aussi longue n’avait jamais été réalisée[62],[63].
La base de départ se situe au col du Bouchet, sur Orelle, tandis que la base d'arrivée se situe sur le col de Thorens, entre les communes d'Orelle et des Belleville ; son titre de plus haute en altitude d'Europe lui a permis de remporter, la même année, l’Award de la meilleure « innovation transport » dans la catégorie sports d’hiver[64].
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Piste de ski Bouchet à Orelle.
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La piste Lory passe par le glacier du Bouchet.
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Le hameau orellin de Francoz en rénovation (2007).
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La Tyrolienne d'Orelle.
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Vue d'une partie de la commune d'Orelle dans le centre de Francoz en 2020.
La télécabine d'Orelle[modifier | modifier le code]
Une liaison trans-valléenne entre Orelle et Val-Thorens voit le jour en décembre 2021. La télécabine 3 Vallées Express doit être remplacée pour offrir un débit plus important, une meilleure sécurité et plus de confort[65],[66].
La nouvelle télécabine d'Orelle aura ainsi un débit deux fois supérieur (2 000 visiteurs par heure) avec une vitesse de 7 mètres par seconde[67].
La télécabine d'Orelle et la télécabine Orelle-Caron sont équipées d'un système permettant de ranger toutes les cabines dans la gare de départ respective la nuit[68].
Télécabine Orelle-Caron[modifier | modifier le code]
Une seconde télécabine sera créée entre Plan Bouchet, centre de la station skiable d'Orelle, et la Cime Carron. En plus du télésiège de Rosaël, de la piste de ski « Lory » et de la Tyrolienne d'Orelle, elle est ainsi un nouveau point de liaison entre Orelle et Val Thorens[69],[70].
Les 2 appareils seront les plus rapides de France avec 7 mètres par seconde de vitesse, moins de 20 minutes de télécabine du village à la cime Caron. Ces aménagement contribuent à une augmentation du prix des forfaits de ski ainsi que des achats ou locations de résidences orellinches[71],[72].
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Gare de départ en 2022 de la nouvelle télécabine d'Orelle, située au centre de Francoz (Savoie).
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Montée dans la Télécabine d'Orelle (hiver 2022).
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Tracé forestier.
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Vue de nuit.
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Panneau de soutien de la Région avec passerelle de Francoz.
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Conduit en verre du rangement des cabines de la gare de départ de la Télécabine d'Orelle.
La commune d'Orelle s'est dotée depuis 1996 d'une télécabine permettant, au départ du hameau de Francoz, d'accéder au domaine skiable des Trois Vallées en vingt minutes. Avec une longueur de cinq kilomètres en un seul tronçon, il s'agit de la plus longue ligne de télécabine au monde. Pour la saison hivernale 2021-2022, la télécabine est remplacée par une nouvelle infrastructure en lieu et place de la précédente, vieillissante et sous-dimensionnée au vu de la fréquentation, et complétée par une seconde télécabine permettant de gagner la cime Caron[T 1],[T 2],[OT 1].
Domaine skiable et gestion[modifier | modifier le code]
Orelle fait partie du domaine des Trois Vallées (avec Courchevel, Méribel, Val Thorens, Les Menuires et La Tania), considéré comme un des plus grands domaines skiables du monde avec ses 2100 hectares[73] et ses 493 km de pistes[Note 6] entièrement reliées par des remontées mécaniques[75]. Le domaine de Courchevel correspond à environ 25 % du grand domaine[C 1]. Le domaine des Trois Vallées comprend également 128 km de pistes de ski de fond dont 67 km à Courchevel[73].
Le domaine skiable desservi est ouvert de fin novembre à début mai. Il comprend 600 km de pistes des 3 Vallées, ou 150 km de pistes sur la seule zone Orelle-Val Thorens. Les pistes de la station de ski d'Orelle sont : « Plan-Bouchet » (verte), « le Peyron », « Croix d'Antide », « les Gentianes », « BD Rosaël », « Lory » (bleues), « la Mauriennaise », « Coraïa », « Bouchet » (rouges), « Combe de Rosaël » (noire)[AO 1].
Les skieurs des stations de Maurienne, comme ceux de Valfréjus, Aussois, La Norma, Valloire, Valmeinier, Les Karellis, Val Cenis ou encore Les Sybelles, peuvent, en cas de faible enneigement ou en fin de saison, profiter de l'altitude élevée d'Orelle et de Val Thorens, laquelle est la plus haute station de ski d'Europe.
-
Plan-Bouchet, le centre de la station skiable.
-
Pistes des Gentianes et de la Mauriennaise.
La Société des téléphériques d’Orelle (STOR) est depuis le certifiée ISO 14001 (management de l’environnement)[OT 2]. Catégorie:Station de sports d'hiver en Savoie
Tableau1[modifier | modifier le code]
Période | Temp. moy. janvier |
Temp. moy. juillet |
Record bas |
Record haut |
Précip., (mm/an) |
Précip.
(j/an) |
Saison + arrosée |
Saison - arrosée |
Soleil (h/an) | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Ajaccio | 1981-2010 | 8,9 | 22,8 | -8,1 | 40,3 | 616 | 68 | Automne | Eté | 2 756 |
1991-2020 | 9,4 | 23,2 | -8,1 | 40,3 | 635 | 68 | Automne | Eté | 2 802 |
- Sections absentes ou insuffisamment développées
Histoire du climat – réchauffement climatique – politique climatique – justice climatique - climatoscepticisme en France.
En 2010, le climat de la commune est qualifié de « climat océanique altéré »», selon une typologie qui compte alors huit grands types de climats en France métropolitaine, définis à partir d’un jeu de 14 variables couvrant la période 1971-2000[11]. Les deux variables les plus significatives la concernant sont la température annuelle moyenne (12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitation (893 mm)[11],[Note 7].
En 2020, Météo-France publie une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine qui comprend désormais cinq grands types et 29 régions climatiques. Dans ce nouveau cadre, la commune ressort du « climat océanique altéré ». Ce climat est une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs. Elle est en outre dans la région climatique « Nord-est du Massif Central ».
Suite[modifier | modifier le code]
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Guerre de Cent ans[modifier | modifier le code]
Scénario[76] | actuel (2020-2040) |
Milieu de siècle (2041-2060) |
Fin de siècle (2081- 2100) |
---|---|---|---|
SSP 1-2.6 | 1,5°C | 1,7°C | 1,8°C |
SSP 2-4.5 | 1,5°C | 2°C | 2,7°C |
SSP 5-8.5 | 1,6°C | 2,4 °C | 4 ,4°C |
La guerre de Cent Ans fait entrer Jargeau dans la Grand histoire, notamment avec la bataille de Jargeau. Plusieurs personnalités sont liées à cette bataille : Jeanne d'Arc (1412-1431), délivre la ville des Anglais en 1429 et est secondée par ses compagnons : Jean V de Bueil (1406-1477) ; André de Lohéac (1408-1486) ; Guy XIV de Laval (1406-1486) ; Gilles de Rais (1404-1440) surnommé Barbe-Bleue ; Louis Ier de Bourbon-Vendôme (1376-1446) ; Ambroise de Loré (1395-1446). D'autre part, le mercenaire Étienne de Vignolles (1390-1443) dit "La Hire", et Jean Poton de Xaintrailles (vers 1390-1461) participent également à la bataille. Jean de Dunois (1402-1468) joint la troupe dont il est capitaine à celles de Jean II d'Alençon et commande la bataille de Jargeau. Le capitaine William de la Pole, duc de Suffolk (1396-1450), dirige les troupes anglaises qui occupaient Jargeau et est capturé par Guillaume Renault, un gentilhomme que le comte adouba chevalier[77] afin de ne pas subir la honte d'avoir été pris par un simple écuyer. Cet adoubement lors de la bataille de Jargeau est même repris par l'écrivain Alexandre Dumas, dans son œuvre Jehanne la Pucelle.
Des rois à Jargeau[modifier | modifier le code]
Charles VII vient à Jargeau en 1430 où il conclut le mariage de sa fille avec le duc d'Autriche en 1430.
Le roi Louis XI (1423-1483), fils de Charles VII, signe lui aussi à Jargeau le contrat de mariage de sa fille ainée Anne (1461-1522) et de Pierre de Beaujeu (1438-1503) en 1473[78].
Personnes politiques[modifier | modifier le code]
Albert Viger (1843-1926), personnalité politique française, né à Jargeau. Ancien député et sénateur du Loiret. Ancien ministre de l'Agriculture sous la Troisième République pendant trois périodes : du au , du au et du au [79], commandeur de la Légion d'honneur[80].
Personnes ayant contribué à la renommée de Jargeau[modifier | modifier le code]
Oscar Roty (1846-1911), dessinateur français de monnaies et de timbres, graveur de médailles, membre de l'Académie des beaux-arts en 1888, grand prix de l'Exposition universelle de Paris de 1889, commandeur de la Légion d'honneur[81]. Auteur de la Semeuse ornant les pièces de monnaie et les timbres français. Le musée et la fondation Oscar-Roty sont implantés à Jargeau.
Personnes nées ou décédées à Jargeau[modifier | modifier le code]
- Drouet de Dammartin ou Dreux de Dammartin (XIVe-1413), sculpteur et architecte français, père de Jean de Dammartin, termine sa vie à Jargeau[82].
- Jean de Dammartin ou Jehan de Dampmartin (fin XIVe-1453), architecte français, né à Jargeau. Il est notamment maitre d'œuvre lors de la construction de la cathédrale du Mans en 1421 puis de la cathédrale de Tours en 1432[83]
- Jeanne Chauvin (1862 - 1926), avocate française, née à Jargeau.
- Octave Denis Victor Guillonnet (1872 - 1967), peintre français, passe son enfance dans la commune.
- Charles Genty (1875 - 1956), caricaturiste, illustrateur et peintre français, chevalier de la Légion d'honneur, est né à Jargeau[84].
- Michel Régnier, réalisateur, directeur de la photographie, monteur et scénariste québécois est né en 1934 à Jargeau.
- Élisabeth Lerminier, journaliste française née à Jargeau en 1947.
Consommation ou pas d'eau | Usages | Influence sur les cours d'eau ou milieux aquatiques |
---|---|---|
Ne consomment pas d’eau. | Usages de loisirs (attrait paysager, baignade, loisirs nautiques, pêche, mares de chasse) - pisciculture | Les apports en eau sont restitués tout au long de l'année. |
Ne consomment pas d'eau à l’échelle annuelle mais influence les débits. | Hydroélectricité | Le régime des débits des cours d'eau peut significativement être influencé par le stockage et le déstockage des flux entrants. |
Consomment effectivement de l'eau. | Eau potable, irrigation, réalimentation / restitution, abreuvement du bétail, neige de culture. | L'eau n'est pas restituée directement au cours d'eau. |
Un champ volcanique monogénétique est un type de champ volcanique constitué d'un groupe de petits volcans monogénétiques, chacun d'entre eux n'entrant en éruption qu'une seule fois, par opposition au volcanisme polygénétique, qui entre en éruption de manière répétée sur une période donnée. Les petits volcans monogénétiques de ces champs constituent le relief volcanique subaérien le plus commun[87].
De nombreux volcans monogénétiques sont des cônes de scories, souvent accompagnés de coulées de lave, comme le Parícutin dans le champ volcanique du Michoacán-Guanajuato, qui est entré en éruption de 1943 à 1952. Certains volcans monogénétiques sont de petits boucliers de lave, comme l'île Rangitoto dans le champ volcanique d'Auckland. D'autres volcans monogénétiques sont des anneaux de tuf ou des maars. Un champ monogénétique contient généralement entre dix et cent volcans. Le champ Michoacán-Guanajuato au Mexique contient plus de mille volcans et est exceptionnellement grand.[88]
Les champs monogénétiques ne se produisent que lorsque le magma du volcan est faible ou lorsque les évents ne sont pas assez proches ou assez grands pour développer des systèmes de plomberie permettant une alimentation continue en magma. Les champs volcaniques monogénétiques peuvent fournir des instantanés de la région sous-jacente sous la surface, et peuvent être utiles pour étudier la génération de magma et la composition du manteau puisque l'éruption unique produite correspondrait à celle de la chambre d'où elle est sortie. [89] On pense que le magma qui alimente ces champs est monté rapidement depuis sa région source, avec seulement de courtes périodes (des décennies ou moins) dans des chambres magmatiques peu profondes[87].
Exemples[modifier | modifier le code]
Conus archiepiscopus Conus arenatus Conus aulicus Conus aureus Conus betulinus Conus blatteus Conus bullatus Conus caillaudii Conus catus Conus chaldaeus Conus coccineus Conus corbieri Conus cymbioides Conus delanoyae Conus ebraeus Conus eburneus Conus excelsus Conus exiguus Conus ferrugineus Conus figulinus Conus floccatus Conus fumigatus Conus fuscatus Conus galeyi Conus generalis Conus geographus Conus glans Conus glaucus Conus gloriamaris Conus granulatus Conus guinaicus Conus hirasei Conus imperialis Conus judaeus Conus kahiko Conus leopardus Conus lienardi Conus litteratus Conus magnificus Conus magus Conus marchionatus Conus marimaris Conus marmoreus Conus mascarenensis Conus mercator Conus miles Conus mustelinus Conus nussatella Conus pertusus Conus praelatus Conus princeps Conus proximus Conus pseudocedonulli Conus pulcher Conus pulicarius Conus purpurascens Conus reticulatus Conus saucatsensis Conus scabriusculus Conus spectrum Conus spurius Conus striatus Conus sugillatus Conus taeniatus Conus taitensis Conus tessulatus Conus textile Conus theodorei Conus trigonus Conus trochulus Conus tulipa Conus variegatus Conus ventricosus Conus vezoi Conus vicweei Conus virgo
L'espèce Conus advertex a été décrite pour la première fois en 1992 par le malacologiste américain Edward James Petuch[90] dans la publication intitulée « La Conchiglia »[91],[92].
<- Il ne s'agit pas d'une liste exhaustive. N'incluez que les exemples qui illustrent la variété ou la distribution mondiale des champs volcaniques monogénétiques, ou qui ont été exceptionnellement bien étudiés.-->.
- Champ volcanique d'Auckland, sous-jacent à une grande partie de la ville d'Auckland, Nouvelle-Zélande.
- Champ volcanique de Wells Gray-Clearwater, centre-est de la Colombie-Britannique, Canada.
- Série volcanique Honolulu, Hawaii, Etats-Unis
- Boring Lava Field, dans et près de Portland, Oregon, États-Unis.
- Champ volcanique de Michoacán-Guanajuato (comprend El Jorullo et Parícutin), Michoacán, Mexique.
- Vulkan Eifel, Allemagne
- Chaîne des Puys, France
- Carrán-Los Venados, Chili
- Zone nord et nord-est de Gran Canaria, Îles Canaries, Espagne.
- Zone volcanique sud de Tenerife, Îles Canaries, Espagne
- Province volcanique de Newer, sud-est de l'Australie
- Bouchons volcaniques de Kachchh, Gujarat Inde
- Système volcanique Maahunui, Bassin de Canterbury, Île du Sud de Nouvelle-Zélande[93]
- Champ volcanique de Cat Hills au Nouveau Mexique, États-Unis.
Motukorea Motukorea ('Māori') (mul) | |||
Vue de Bucklands Beach, Motukorea (au centre) et de l'île Rangitoto en arrière-plan. | |||
Géographie | |||
---|---|---|---|
Pays | Nouvelle-Zélande | ||
Localisation | Golfe de Hauraki | ||
Coordonnées | 36° 49′ 50″ S, 174° 53′ 41″ E | ||
Point culminant | 68 m | ||
Administration | |||
Région | Auckland (Conseil d'Auckland) | ||
Conseil local (LBA) | Aotea / Great Barrier | ||
Autres informations | |||
Géolocalisation sur la carte : Auckland
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Zélande
| |||
modifier |
# Au 1er janvier 2023, il y avait 189 communes dans l'arrondissement de Périgueux
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Genre Conus[modifier | modifier le code]
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Famille Conidae[modifier | modifier le code]
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Suite[modifier | modifier le code]
Une seule forme | Deux formes | ||||||||
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Boucher
|
Boucher, Bouchère
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Développeurs et analystes de logiciels et d'applications | Analystes de systèmes |
Développeurs de logiciels | |
Développeurs Web et multimédia | |
Programmeurs d'applications | |
Développeurs et analystes de logiciels et d'applications non classés ailleurs | |
Professionnels des bases de données et des réseaux | Concepteurs et administrateurs de bases de données |
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Professionnels des bases de données et des réseaux non classés ailleurs |
Hors projet Mille Pages | en:Cheryl Hayashi - en:Elizabeth Peckham - en:Greta Binford |
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Hors projet Mille Pages | en:Ann Hull - en:Anne Kelly Knowles - en:Carolyn Gallaher - en:Elizabeth Cullen Dunn - - en:Emily Talen - en:Janel Curry - en:Jennifer Wolch - en:Julie Michelle Klinger - en:Kären Wigen - en:Katharyne Mitchell - en:Marie Price - en:Marilyn A. Brown - en:Mary Ellen Mazey - en:Pauline Menes - en:Sallie A. Marston - en:Sally P. Horn - en:Sandra Arlinghaus - en:Susanna Hecht - en:Thelma Glass |
Dans projet Mille Pages | Projet:Les_Mille_Pages/Ellen Mosley-Thompson - Projet:Les_Mille_Pages/Karen Seto |
Tableau[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Les records sont établis sur la période du au .
- Records établis sur la période du au .
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Le site officiel du domaine des Trois Vallées revendique, en 2013, 600 km de pistes de ski alpin, comme sur le programme officiel des JO de 1992 (p.115). Cependant, une étude menée par le consultant allemand Christoph Schrahe indique, d'après une analyse des pistes via le logiciel Google Earth, une distance de 493 km[74].
- Parmi les 14 variables ayant permis de caractériser le climat de la commune, peuvent également être cités le nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C (1,8 j) ou supérieure à 30 °C (5,9 j) ou le nombre de jours de précipitation en janvier (12,2 j) ou en juillet (6,5 j)
Références[modifier | modifier le code]
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- « La Denise » sur Géoportail (consulté le 8 décembre 2023)..
- © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Orléans et Paris », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
- Plan local d'urbanisme, 2018, p. 378.
- « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) de la Savoie » [PDF], sur www.savoie.gouv.fr, (consulté le ), chapitre Liste des risques par commune.
- « Les risques près de chez moi - commune d'Orelle », sur Géorisques (consulté le ).
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Inès Guillemot, « Pacte de décarbonation : les six industries les plus polluantes de la région PACA invitées à redoubler d'efforts. », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le )
- « L’usine Lafarge La Malle passe à la biomasse pour réduire la consommation d’énergies fossiles dans la fabrication de ses ciments. », sur www.lafarge.fr, (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ) Erreur de référence : Balise
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incorrecte : le nom « Joly » est défini plusieurs fois avec des contenus différents. - « Pluies extrêmes en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Pluies extrêmes en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
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- Pages Jaunes, « Résidence des Eaux d'Orelle », périodique, , p. 1 (lire en ligne [doc])
- Erreur de référence : Balise
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- « Orelle. Un nouvel office de tourisme et un nouvel hôtel au programme de 2021 », sur www.ledauphine.com (consulté le )
- Erreur de référence : Balise
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- « GoPro Overcapture - La TyrOlienne - Orelle à Val Thorens » (consulté le )
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées:1
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- « Orelle : dernière ligne droite pour la nouvelle télécabine », sur La Vie Nouvelle, (consulté le )
- « Ouverture estivale des télécabines d'Orelle et Orelle-Caron à Orelle Val-Thorens Les 3 Vallées », sur orelle.net (consulté le )
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesProgJO
- Jean-Bernard Litzler, « Quelles sont réellement les plus grosses stations de ski au monde? », Le Figaro, (lire en ligne).
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesTixier 2010
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- Bibliothèque nationale, Fr.3882, folio 153
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- « Cote 19800035/1441/66829 », base Léonore, ministère français de la Culture.
- Bruce Hayward, « Small satellite explosion craters in the Auckland Volcanic Field », Geocene, vol. 13, , p. 5–12 (lire en ligne)
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméesNemeth2012
- Gary S. Michelfelder, Lawrence K. Horkley, Clayton Reinier et Sarah Hudson, « A preliminary assessment of olivine phenocrysts from the monogenetic basalt of the McCartys Flow, Zuni-Bandera Volcanic Field, New Mexico », New Mexico Geological Society Field Conference Series, vol. 72, , p. 141-152 (lire en ligne, consulté le )
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