Aoste (Isère)

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Aoste
Aoste (Isère)
Centre d'Aoste : l'église et la mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté de communes Les Vals du Dauphiné
Maire
Mandat
Roger Marcel
2020-2026
Code postal 38490
Code commune 38012
Démographie
Gentilé Outards, Outardes
Population
municipale
2 869 hab. (2021 en augmentation de 0,24 % par rapport à 2015)
Densité 292 hab./km2
Population
agglomération
21 374 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 21″ nord, 5° 36′ 34″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 256 m
Superficie 9,82 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Pont-de-Beauvoisin
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Chartreuse-Guiers
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Aoste
Liens
Site web http://www.mairie-aoste.org www.mairie-aoste.org

Aoste (prononciation /a.ɔst/) est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes. La commune d'Aoste est adhérente à la communauté de communes Les Vals du Dauphiné depuis le .

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

La plaine d'Aoste au XIXe siècle, illustrée par Victor Cassien (1808 - 1893).

Aoste est située dans la partie septentrionale du département de l'Isère à 15 km à l'est de La Tour-du-Pin, en bordure du Rhône. Le Guiers borde la commune.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 097 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pont-de-Beauvoisin », sur la commune du Pont-de-Beauvoisin à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 166,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

D'une longueur de 50 kilomètres[7], le Guiers borde le territoire communal dans sa partie oriental avant de rejoindre le Rhône qui bord la commune dans sa partie nord-est.

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

La gare d'Aoste - Saint-Genix, située sur la commune, est mise en service en . Issue de la création de la ligne de Pressins à Virieu-le-Grand, elle ferme ses services voyageurs en et marchandises en [8],[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aoste est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine du Pont-de-Beauvoisin, une agglomération inter-départementale regroupant 13 communes[13] et 21 374 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,4 %), zones urbanisées (19,6 %), forêts (17,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,7 %), eaux continentales[Note 2] (2,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Logement[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune d'Aoste est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[19].

Terminologie des zones sismiques[20]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les noms antiques successifs sont Vicus Augustus au Ier siècle, puis Augustum au IIIe siècle (dédié à l'empereur Auguste) qui apparaît sur la Table de Peutinger, Augusta au IVe siècle[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Détail de la Table de Peutinger, Augustum est à l'intérieur du coude fait par le Rhône.

Vicus Augustus est une agglomération secondaire à l'époque romaine, et représente l'équivalent de « La Porte des Alpes ». Elle se trouve au carrefour de plusieurs voies romaines, une menant à Vienne, capitale de la province, puis Lyon ; une menant par les plateaux suisses en Italie ou en Germanie ; et une menant directement en Italie (Aoste puis Rome) via Lemencum (Chambéry).

Quelques inscriptions funéraires datées par les consuls éponymes indiquent un habitat christianisé et romanisé persistant au VIe siècle[22].

Un musée gallo-romain présente la vie quotidienne des habitants gallo-romains, ainsi qu'une maquette illustrant l'activité artisanale de la céramique. Aoste est connue dans l'Antiquité pour sa spécialité, le mortier, ustensile pour fabriquer les sauces et bouillies de céréales, qui était exporté en Afrique, et les Îles Britanniques. Une superbe collection de verreries est présentée au musée.

La place d'Aoste au XIXe siècle, par Victor Cassien.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le doyenné d'Aoste, du diocèse de Belley, situé au sud-ouest du Rhône et du Guiers, appartenait au Dauphiné, et ne fut plus considéré comme faisant partie du Bugey après que la maison de Savoie eu réalisé l'unité politique du territoire[23].

En 2006, des fouilles archéologiques ont mis au jour un atelier de potier daté de la fin du Moyen Âge[24].

En 2016, ce sont des fouilles menées par Marie-José Ancel (Archeodunum) qui ont permis la découverte d'une église paléochrétienne remarquablement bien conservée accompagnée de bâtiments témoignant d'un possible monastère des Ve – VIe siècle[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Pierre Fège    
1947 1977 Daniel Joseph Blanc-Jolicoeur    
1977 1983 Aimé Burtin    
1983 1991 Jacques Perrod    
1991 décembre 2002 Jean-Michel Ruynat    
décembre 2002 mars 2014 Raymond Bertrand    
mars 2014 En cours Roger Marcel LR puis DVC Cadre, conseiller départemental depuis 2021
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 2 869 habitants[Note 3], en augmentation de 0,24 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3931 4641 6801 7661 1531 1521 1471 1001 222
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2371 1291 1301 1231 1661 2171 2421 2001 203
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2981 2161 1631 0271 1011 1181 1251 1081 159
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1821 2481 3281 5371 5481 7151 9142 0002 463
2014 2019 2021 - - - - - -
2 7972 8822 869------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Équipements et clubs sportif[modifier | modifier le code]

  • Randonnées.
  • Club de football lié : Vallée du Guiers FC.

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité à la communauté de communes et du canton, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église d'Aoste (propriété de la commune) dépendent de la paroisse Saint-Jacques de la Marche qui comprend vingt autres églises du secteur. Cette paroisse est rattaché au diocèse de Grenoble-Vienne[30].

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de la commune est liée à divers services et industries dont, notamment[31] :

  • une entreprise de transports
  • une société d'ambulances
  • des entreprises de constructions mécaniques
  • des entreprises du bâtiments

et une entreprise de produits alimentaires.

Usine Aoste[modifier | modifier le code]

Usine de transformation agroalimentaire du Groupe Aoste dans la commune d'Aoste en Isère.

Les charcuteries transformées dans la ville iséroise, en particulier un jambon commercialisé sous la marque « Aoste », proviennent d'une usine du Groupe Aoste, marque commerciale du groupe espagnol Campofrío Food Group, lui-même détenu depuis 2013 par Sigma Alimentos, division alimentaire du conglomérat mexicain Alfa.

Il ne faut pas confondre la marque « Aoste » et ses jambons mi-cuits avec la production agricole de jambon de Bosses faite dans la vallée d'Aoste (appellation d'origine enregistrée à la Commission européenne : vallée d'Aoste Jambon de Bosses), une appellation pour un jambon cru séché issu de cochons élevés et transformés en Italie et préservée via une AOP. Le jambon transformé à Aoste en France est une simple marque déposée identifiant commercialement un jambon mi-cuit issu de la transformation de parties arrière de carcasses de cochons élevés en France, Chine et États-Unis[32],[33].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Didier.
  • Ancienne ville romaine avec son superbe musée ;
  • Four de poterie du Ier siècle, très bien conservé[31] ;
  • Église Saint-Clair avec des inscriptions paléo-chrétiennes et antiques[31] ;
  • Église Saint-Didier, d'époque romane[31]. Son tabernacle et son trésor liturgique datant des XVIIe et XVIIIe siècles, conservé au musée gallo-romain de la ville[34].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

L'entrée du musée gallo-romain d'Aoste.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune compte deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I[36] :

Personnalités liées à Aoste[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Aoste (Isère) possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Aoste et Le Pont-de-Beauvoisin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Pont-de-Beauvoisin », sur la commune du Pont-de-Beauvoisin - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pont-de-Beauvoisin », sur la commune du Pont-de-Beauvoisin - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Guiers (V15-0400) » (consulté le ).
  8. Histoire de lignes oubliées, « Ligne de Pressins à Virieu-le-Grand », sur lignes-oubliees.com, (consulté le ).
  9. Vélos Rails du Bugey, « Il était une voie... dans le Bugey »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur velorail01.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 du Le Pont-de-Beauvoisin », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  20. [1]
  21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, p. 618.
  22. Consulat de 522 de Symmaque et Boethius CIL XII, 02404, consulat de Paulinus CIL XII, 02405, etc.
  23. Jacques Dubois, « L'implantation monastique dans le Bugey au Moyen Âge », dans Journal des savants, 1971, no 1, p. 15.
  24. Rapport d'activité 2006 de l’Inrap p. 112.
  25. Marie-José Ancel, « Ensemble monastique ou domaine privé du haut Moyen Âge ? Le site des Communaux – ZAC PIDA à Aoste (Isère) », Archéologie médiévale, no 50,‎ , p. 1–46 (ISSN 0153-9337, DOI 10.4000/archeomed.30175, lire en ligne, consulté le )
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Site messe info, page sur la paroisse Saint-Jacques de la Marche, consulté le 5 mai 2022.
  31. a b c et d Daniel Delattre et al., L'Isère - les 533 communes. Grandvilliers : Éditions Delattre, 2008 (ISBN 2-915907-40-4 et 978-2-915907-40-7).
  32. Eric De Legge, « Le jambon Aoste n'est pas produit à Aoste », sur Le Journal du Net (consulté le ).
  33. « Vrai Faux produits artisanaux : le jambon Aoste », sur ConsoGlobe, (consulté le ).
  34. Site pays-lac-aiguebelette.com, article "Église Saint-Didier d'Aoste".
  35. Site du musée
  36. « Portail des données communales », Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]