Deneuvre

Deneuvre
Deneuvre
La mairie.
Blason de Deneuvre
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Lunéville
Intercommunalité Communauté de communes du Territoire de Lunéville à Baccarat
Maire
Mandat
Jean-Marie Claudel
2020-2026
Code postal 54120
Code commune 54154
Démographie
Gentilé Danubrien(ne)s [1]
Population
municipale
470 hab. (2021 en diminution de 12,15 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 26′ 39″ nord, 6° 44′ 14″ est
Altitude Min. 262 m
Max. 377 m
Superficie 9,7 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Baccarat
(banlieue)
Aire d'attraction Baccarat
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Baccarat
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Deneuvre
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Deneuvre
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle
Deneuvre
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Deneuvre

Deneuvre est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Danubriens.

Géographie[edit | edit source]

La commune de Deneuvre est intimement limitrophe de la cité de Baccarat. Elle occupe un petit plateau qui domine la rive gauche de la Meurthe.

Le territoire de la commune est limitrophe de 5 communes, dont Sainte-Barbe et Bazien se trouvent dans le département limitrophe des Vosges.

Communes limitrophes de Deneuvre
Baccarat
Fontenoy-la-Joute Deneuvre
Bazien (Vosges) Sainte-Barbe (Vosges) Lachapelle

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 041 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 10,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « St Maurice », sur la commune de Saint-Maurice-aux-Forges à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 837,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,9 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Deneuvre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Baccarat, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[12] et 4 852 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Baccarat, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,1 %), terres arables (15,4 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,6 %), zones urbanisées (3,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[edit | edit source]

Histoire[edit | edit source]

La situation de Deneuvre sur un éperon dominant la Meurthe lui a valu dans l'histoire une occupation précoce. Des monnaies (première moitié du Ier siècle avant notre ère) et des fossés attestent de l'occupation du site dès l'époque gauloise. Le nom de la commune est issu de deux mots gaulois, Donos (même origine que le nom du Donon ?) et peut-être briga, "forteresse", devenu ultérieurement *Danobriga. Des Romains, il subsiste de visible la tour du Bacha, bâtiment tardif, dont l'utilisation reste incertaine mais qui, contrairement à la tradition n'avait pas d'usage militaire. C'est une bourgade, dont une partie a été fouillée dans les années 1960 par la Société d'archéologie du canton de Baccarat, avec des activités artisanales (poterie dont on a retrouvé quelques ateliers, taille de la pierre, travail du bois) et religieuse puisque deux sanctuaires y ont été décelés, l'un dédié à Jupiter et l'autre à Hercule, ce dernier ayant fait l'objet de fouilles menées par G. Moitrieux avec le soutien de la Société d'archéologie de Deneuvre entre 1974 et 1986, dont le musée reconstitue l'organisation. La sculpture retrouvée à Deneuvre tant dans le sanctuaire herculéen (c'est le site de l'Occident romain qui a livré le plus de représentations de ce dieu, soit plus de 100) que sur le reste du territoire, atteste d'une certaine richesse pour cette agglomération secondaire située sur un axe routier secondaire mais très fréquenté. Il devait y séjourner quelques militaires sans doute à l'origine du sanctuaire d'Hercule et d'un sanctuaire dédié au dieu Mithra. Le sanctuaire d'Hercule fut détruit sans doute par les chrétiens (une stèle funéraire chrétienne précoce a été mise au jour à Deneuvre) à la fin du IVe siècle sans doute sous le règne de Valentinien Ier (364-375). L'agglomération elle-même est détruite et incendiée au début du Ve siècle (monnaie d'Arcadius, 383-408 sans doute lors de l'invasion des Alamans en 406) et aucun témoignage de présence humaine n'est connu avant l'époque carolingienne.
La ville et le château sont acquis par les comtes de Salm[18] au XIIe siècle qui possèdent l'avouerie de l'abbaye de Senones et auprès de laquelle ils édifient le château de Salm.

À la suite d'un partage vers 1240, le territoire de Deneuvre entre dans le patrimoine de Frédéric sire de Blâmont de la famille de Salm.

En 1305, Henri, sire de Blâmont, est voué de Deneuvre pour l'évêque de Metz. Il fait construire la tour des Voués pour s'assurer le contrôle de la ville. Endetté, Adémar de Montil, évêque de Metz, lui rachète cette tour en 1332 et agrandit le château. Les murs de 2 m d’épaisseur (qu’on voit encore derrière l’église actuelle) forment un rempart de 25 m de haut.

Un faubourg se développe dès le XIIIe siècle et deviendra Baccarat, dont le nom (écrit successivement Bacquarat, Bakarroit, Beckarrat, puis Backarrat, l'étymologie Bacchi Ara à la suite de la découverte hypothétique d'une autel à Bacchus est fantaisiste)) apparaît pour la première fois en 1291. Si son vin est bien connu localement la cité l'est surtout pour ses drapiers. Aux alentours de 1600, le commerce du bois est le plus lucratif et on en vend jusqu’à Nancy.

La ville fortifiée est démantelée sur ordre de Richelieu en 1636 lors de la guerre de Trente Ans.

En 1760, la saline de Rosières, principale cliente en bois de la ville, ferme. Alors que tous se demandent comment utiliser ce bois, l’évêque de Metz songe à installer une verrerie. Louis XV en autorise la création en 1764, et dès lors Baccarat se développe au détriment de Deneuvre[19].

Politique et administration[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Paul Colin    
    Albert Sister (1913-2005)    
  mars 2001 Jean-Marie Keyser    
mars 2001 mai 2020 Michel Boquel[20]   Retraité salarié du secteur privé
mai 2020 En cours Jean-Marie Claudel[20],[21]   Ancien cadre

Population et société[edit | edit source]

Démographie[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 470 habitants[Note 4], en diminution de 12,15 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5104735796256859001 0091 0201 058
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0081 0821 0681 0219491 025965909925
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
820836675704632591531514506
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
497506446509571587585534535
2020 2021 - - - - - - -
476470-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[edit | edit source]

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Lieux et monuments[edit | edit source]

Édifices civils[edit | edit source]

Tour gallo-romaine du Bacha.
  • Vestiges de monuments gallo-romains ; tour antique du Bacha inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [26].
  • Le site archéologique du sanctuaire antique du premier Silorit, découvert en 1974 et dont les fouilles systématiques jusqu'en 1984 ont permis de montrer que ce sanctuaire était dédié à Hercule, est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [27].
  • Grottes de la Rochotte, très ancien habitat d'ermites.
  • Un trésor monétaire des IIe et IIIe siècles y a été découvert en 1973.
  • Château fondé au Xe siècle par Adalbéron Ier de Metz, évêque de Metz, remanié et démantelé par les Français en 1636. Le donjon s'est écroulé en 1880, il reste encore une partie des remparts voisins.

Édifices religieux[edit | edit source]

Église Saint-Rémy.
  • Église Saint-Rémy construite en 1747 sur les fondations du château médiéval entièrement rasé : clocher à bulbe, quatre statues de pierre 16e, Vierge à l'Enfant en bois polychrome 16e, toile 18e de Girardet ; lustres en cristal de Baccarat, orgue de 1704, restauré, buffet. Le clocher est classé au titre des monuments historiques et l'église inscrite par arrêté du [28].
  • Tombe au cimetière de l'aide-major général Thibaut de Ménonville, compagnon de Rochambeau aux États-Unis.
  • Vestiges de l'ancien prieuré du Moniet dédié à saint Étienne, fondé en 1126 par Étienne de Bar évêque de Metz, remanié 15e : ancien chœur et croisée du transept de la chapelle.
  • Ruine d'une ancienne église collégiale Saint-Georges de 1301 (il ne reste qu'un pan de mur).
  • Chapelle de cimetière.

Équipements culturels[edit | edit source]

  • Musée au presbytère : produits des fouilles ; Vierge de pitié XVIe siècle. "Les Sources d'Hercule" : musée archéologique gallo-romain, reconstitution d'un sanctuaire de source dédié à Hercule, fréquenté du IIe au IVe siècle apr. J.-C., sculptures d'Hercule, bassins antiques remis en eau, qui présente une gigantesque mosaïque romaine.

Personnalités liées à la commune[edit | edit source]

Héraldique[edit | edit source]

Blason de Deneuvre Blason
De gueules à deux saumons adossés d'argent au chef de même chargé d'un écu d'azur mis en cœur à une fleur de lys d'or.
Détails
Les saumons représentent les comtes de Blâmont de la maison de Salm. En 1470, Louis XI récompensa Olry de Blâmont, lui permettant d'ajouter l'écu à la fleur de lys.
En 1608, Deneuvre portait d'or au sautoir de gueules chargé de deux saumons adossés d'argent, d'après Constant Lapaix.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[edit | edit source]

Bibliographie[edit | edit source]

  • BERNHARDT Ch-G, Deneuvre et Baccarat d'après des documents inédits, Nancy, 1895, 296 p.
  • MANGIN Charles, Études historiques et critiques ou Mémoires pour servir à l'histoire de Deneuvre et de Baccarat, L. Hachette et Cie, Paris, 1861, 268 p.
  • MOITRIEUX Gérard, Hercules salutaris, Hercule au sanctuaire de Deneuvre, nancy, 1992, 270 p., 38 pl. (disponible au musée des Sources d'Hercule)
  • MOITRIEUX Gérard, "Un siècle de fouilles archéologiques à Deneuvre", Revue archéologique de l'Est et du Centre-Est, XXXII, p. 1981, p. 65-88.
  • PARISSE Michel, Les comtes de Salm et l’évêché de Metz, XIe – XIIe siècles, Histoire des Terres de Salm, Soc. Philomatique Vosgienne, 1994.
  • SCHAUDEL Louis, Les Comtes de Salm et l'abbaye de Senones aux XIIe et XIIIe siècles. Contribution à l'histoire de Senones, Pierre-Percée, Badonviller, Blamont, Deneuvre, Berger-Levrault, 1921

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[edit | edit source]

Notes[edit | edit source]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[edit | edit source]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Deneuvre et Saint-Maurice-aux-Forges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « St Maurice », sur la commune de Saint-Maurice-aux-Forges - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « St Maurice », sur la commune de Saint-Maurice-aux-Forges - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Baccarat », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Site officiel du Château de Salm
  19. office de tourisme de Baccarat
  20. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  21. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. « Tour antique du Bacha », notice no PA54000017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. « Site archéologique d'Hercule », notice no PA54000013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Église Saint-Rémy », notice no PA00106021, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.