Saint-Marcel-lès-Valence

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Saint-Marcel-lès-Valence
Saint-Marcel-lès-Valence
Mairie de Saint-Marcel-lès-Valence.
Blason de Saint-Marcel-lès-Valence
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Jean-Michel Valla
2020-2026
Code postal 26320
Code commune 26313
Démographie
Gentilé Saint-Marcelois, Saint-Marceloises
Population
municipale
6 252 hab. (2021 en augmentation de 1,41 % par rapport à 2015)
Densité 415 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 58′ 18″ nord, 4° 57′ 27″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 201 m
Superficie 15,05 km2
Unité urbaine Valence
(banlieue)
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valence-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Marcel-lès-Valence est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Elle se trouve dans l'agglomération valentinoise.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Marcel-lès-Valence est au nord-est (limitrophe) de la ville de Valence, préfecture de la Drôme.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • Canal secondaire n° 2 de la Bourne ;
  • la Barberolle.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Guillonville », sur la commune de Guillonville à 429 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 617,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Marcel-lès-Valence est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[11] et 131 695 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,2 %), cultures permanentes (28,3 %), zones urbanisées (17,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,4 %), terres arables (3,2 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Bois de Gotheron
  • Bornel
  • Caillat
  • Carabony
  • Chambaud
  • Château de Plovier
  • Conflan
  • Dony
  • Gotheron
  • Laye
  • Lébry
  • le Chantre
  • le Peuplier
  • le Rat
  • les Barris
  • les Blancs
  • les Champs
  • les Combes
  • les Debeaux
  • les Grandes Terres
  • les Margillières
  • les Mirabeaux
  • les Oboussiers
  • les Petits Eynards
  • les Plaines
  • les Reys
  • les Robins
  • les Vernets
  • l'Étrau
  • Marquet
  • Marquet
  • Mathias
  • Meillet
  • Mordecet
  • Patry
  • Peycat
  • Plovier
  • Ponsoye
  • Rousset
  • Sandon
  • Sapière
  • Surel
  • Thodure
  • Trapier

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le périphérique valentinois traverse le territoire communal du nord au sud :

  • Sortie 2 : Saint-Marcel-lès-Valence, Le Plovier ;
  • Aire de repos des Fruitiers (sens Valence > Grenoble) ;
  • Sortie 3 : Saint-Marcel-lès-Valence, Est' ;
  • Sortie 4 : Gare de Valence TGVRovaltain.

La commune est desservie par le réseau de bus Citéa (lignes 14 et 15).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17].

  • 1192 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Marcelli de Javeysano (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 28).
  • 1218 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Marcelli de Gavaisano (cartulaire de Léoncel, 83).
  • 1245 : tenementum de Gavaisa (cartulaire de Léoncel, 138).
  • 1261 : terra de Javaysano (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 79).
  • 1276 : Javaysan (cartulaire de Bourg-lès-Valence, 90).
  • 1285 : mention de la paroisse :ecclesia Sancti Marcelli secus iter publicum Romanense (cartulaire de Léoncel, 255).
  • 1779 : Sainct Marcel au mandement de Bourg lès Valence (Aff. du Dauphiné).
  • 1891 : Saint-Marcel-lès-Valence, commune du canton de Valence.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Présence de « villas » gallo-romaines[18].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie : au point de vue féodal, la terre est une possession des comtes de Valentinois, puis des Poitiers-Saint-Vallier[18].

Avant le XVe siècle : le territoire de Saint-Marcel formait une paroisse distincte du diocèse de Valence et du mandement de Châteauneuf-d'Isère[17].

Avant 1790 : Saint-Marcel-lès-Valence est une simple annexe de la paroisse du Bourg-lès-Valence, dont les dîmes appartenaient au chapitre du Bourg-lès-Valence, qui présentait à la cure[17].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

La paroisse est rétablie après la Révolution et composée alors de parties des communes d'Alixan, de Bourg-lès-Valence, de Châteauneuf-d'Isère et de Valence[17].

Cette paroisse est érigée en commune du canton de Valence le [17].

Le , le conseil municipal et les plus forts contribuables votent une imposition extraordinaire :

  • pour les dépenses de toute nature occasionnées par la création sur la commune du hameau de Saint-Marcel-lès-Valence : 1 200 francs ;
  • pour les réparations urgentes de l’église (chapelle de Surel) : 400 francs[20],[source insuffisante].

1850 : les Saint-Marcellois sont en majorité occupés à travailler la terre pour se nourrir. On produit des végétaux et on élève des animaux en priorité pour les besoins familiaux[réf. nécessaire].

1851 : le recensement indique le nombre de 1 350 habitants[19].

1857 : le ministère de l'Intérieur autorise la constitution d’un corps de sapeurs-pompiers[réf. nécessaire].

1866 : 523 Saint-Marcellois sur un total de 1 226 habitants ne savent ni lire ni écrire[réf. nécessaire].

À partir de 1922, les Saint-Marcellois peuvent se réunir et exercer leurs activités festives dans la chapelle de Surel, ancienne église Saint-Marcel-de-Javaisan, dont l'activité religieuse a été transférée vers la nouvelle église. Le lieu est remplacé en 1943 par les bâtiments de la mairie actuelle[réf. nécessaire].

1968 : la place du monument est créée. Elle permet d'édifier le nouveau monument aux morts, ainsi qu'une aire de jeux très appréciée par les boulistes[réf. nécessaire].

1979 : Noël Lambert, collectionneur de vieilles automobiles, décide de construire un musée pour les exposer, le musée de la Vieille Auto ; ce dernier ferme en 1987 par manque d'argent. Le site a aujourd'hui été complètement réaménagé[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

À la suite des élections municipales françaises de 2020, le conseil municipal se compose du maire, de sept adjoints et de vingt conseillers municipaux[21][source insuffisante].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : depuis 1850
1850 1855 Jean-Louis Bouvier    
1855 1863 Laurent Morel    
1863 1868 Jean de Labareyre   baron, général de brigade
1868 1870 Jacques Barnaud    
1870 1871 Claude Eynard    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 Ferdinand Ducros    
1874 1890 Laurent Morel    
1878 1884 Laurent Morel   maire sortant
1884 1888 Laurent Morel   maire sortant
1888 1890 Laurent Morel   maire sortant
1890
(élection ?)
1892 Benjamin Barnaud    
1892 1896 Joseph Rollet    
1896 1900 Joseph Rollet   maire sortant
1900 1904 Joseph Rollet   maire sortant
1904 1908 Joseph Rollet   maire sortant
1908 1912 Jules Bleton    
1912 1919 Jules Bleton   maire sortant
1919 1925 Henri Bard    
1925 1929 Henri Berne    
1929 1935 Henri Berne   maire sortant
1935 1942 Henri Berne   maire sortant
1942
(élection ?)
1945 Benjamin Chovet    
1945 1947 Frédéric Delaye    
1947 1953 Joseph Duc    
1953 1959 Fernand Courthial    
1959 1965 Jules Perreton    
1965 1971 Pierre Stevenin    
1971 1977 Pierre Stevenin   maire sortant
1977 1983 Pierre Stevenin   maire sortant
1983 1989 Roger Dietz    
1989 1995 Laurent Jullien    
1995 1996 Pierre Stevenin    
1996
(élection ?)
2001 Jacques Barnaud    
2001 2008 Dominique Quet   instituteur
2008 2014 Dominique Quet   maire sortant
2014 2020 Dominique Quet   maire sortant
2020 En cours
(au 29 avril 2021)
Jean-Michel Valla[21][source insuffisante]   arboriculteur

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Finances locales de Saint-Marcel-lès-Valence de 2000 à 2018[22] (cliquez sur le lien wiki[23]).

Jumelages[modifier | modifier le code]

  • Halmeu (Roumanie) à 2000 km de la commune.
  • Ingoldigen (Allemagne) à 650 km de Saint-Marcel-lès-Valence.
Chaque année, des familles et notamment des jeunes se retrouvent afin de partager des moments ensemble. Il existe en fait un jumelage adulte et un jumelage des jeunes. Le jumelage des jeunes a lieu fin août et dure une semaine. Une année sur deux les allemands sont reçus dans les familles françaises, l'année suivante les saint-marcellois sont accueillis à Ingoldigen. Il n'est pas nécessaire de parler allemand ou français pour participer à cet échange. Les activités changent régulièrement mais elles sont généralement articulées autour de l'art, des jeux et du sport comme moyen d'expression. Par exemple, les ateliers culinaires permettent le mélange des cultures des deux pays. Les ateliers d'arts plastiques que réalisent les enfants sensibilisent quant à eux aux enjeux environnementaux[24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1851. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 6 252 habitants[Note 3], en augmentation de 1,41 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
1 3501 3331 3051 2261 2331 1511 0661 0371 001
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
1 0051 0291 025982858940915929973
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007
1 0281 2561 4572 6523 3423 7194 1144 6724 762
2012 2017 2021 - - - - - -
5 7466 2366 252------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fêtes : le et le deuxième dimanche de septembre[18].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : bourg de plaine agricole, céréales, vergers, vignes, caprins, porcins, volailles, pisciculture, coopératives agricole et céréalière[18].

Industrie[modifier | modifier le code]

Une partie du parc technologique et scientifique Rovaltain est située au nord-est de la commune. Cette partie-ci du site est dénommée quartier de la Gare.

Présence de plusieurs carrières[1].

Recherche scientifique[modifier | modifier le code]

L'un des sites de l'INRA est installé sur la commune[18].
Cette unité expérimentale de recherches intégrées développe des programmes sur les systèmes de production durable en arboriculture fruitière (fruits à noyau et à pépins) sur un domaine de 86 hectares. Dans les années 1980 la station a été confrontée à la contamination et l'extériorisation de la maladie de la sharka dans ses vergers[réf. nécessaire].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 33 551 €, ce qui plaçait Saint-Marcel-lès-Valence au 8 412e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[28].

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Château de Laye[18].
  • Château (manoir) des Robins[18].
  • Château du Plovier construit à partir de 1895 à la place d'un autre (Louis XIII[18]) détruit à la même période[réf. nécessaire].
  • Église Saint-Marcel de Saint-Marcel-lès-Valence du XIXe siècle[18].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Associations

La Ligue pour la protection des oiseaux est installée au Domaine de Gotheron[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Nicole Algan : peintre et sculpteur abstrait français. Elle réalise en 1968 le monument aux morts de Saint-Marcel-lès-Valence ;

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
Parti : au 1er de sable à la main bénissante d'argent en chef et posée en fasce, d'où partent cinq rayons d'or en éventail vers la pointe, au 2e de gueules à la croix d'argent chargée en cœur de cinq monts d'azur ordonnés en croix.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine, afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Marcel-lès-Valence et Guillonville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Guillonville », sur la commune de Guillonville - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Guillonville », sur la commune de Guillonville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 347 (Saint-Marcel-lès-Valence).
  18. a b c d e f g h et i Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Marcel-lès-Valence.
  19. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Archives départementales de la Drôme.
  21. a et b Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  22. « Villes du département de la Drôme », sur marielaure.monde.free.fr (consulté le ).
  23. « Pour Saint-Marcel-les-Valence wikicode », sur marielaure.monde.free.fr (consulté le ).
  24. « Jumelage – Ville de Saint Marcel les Valence », sur mairiesmlv.org (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Indicateurs de structure et de distribution des revenus en 2010. Insee », sur insee.fr (consulté le ).