Châtillon-Saint-Jean

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Châtillon-Saint-Jean
Châtillon-Saint-Jean
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Daniel Barruyer
2020-2026
Code postal 26750
Code commune 26087
Démographie
Gentilé Châtillonnais, Châtillonnaises
Population
municipale
1 289 hab. (2021 en diminution de 3,73 % par rapport à 2015)
Densité 146 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 20″ nord, 5° 07′ 54″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 343 m
Superficie 8,82 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Romans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romans-sur-Isère
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Châtillon-Saint-Jean
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Châtillon-Saint-Jean

Châtillon-Saint-Jean est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Châtillonnais(es).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Châtillon-Saint-Jean est située à sept kilomètres au nord-est de Romans. Elle est limitrophe, à l’est, du département de l’Isère.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

  • Combe Chapoize[1] ;
  • Combe des Morts[1] ;
  • Petite Combe[1] .

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 913 mm, avec 8,4 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romans_sapc »sur la commune de Romans-sur-Isère à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 876,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

  • L'entrée principale du village se fait au sud par la départementale 123 qui relie Châtillon aux villages environnants et à Romans-sur-Isère.
  • Les autres entrées du village sont à l'ouest et à l'est (départementale 112).
  • Une déviation, construite en 1999, contourne le village.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Châtillon-Saint-Jean est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,7 %), terres arables (29,5 %), forêts (9,9 %), zones urbanisées (6 %), cultures permanentes (3,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Beuvert
  • Bochinard
  • Bramefaim
  • Chapoize
  • Châtillon
  • Côte Rousse (nord)
  • Côte Rousse (sud)
  • Croix Haute
  • Gillons
  • la Croisette
  • la Croix de Juzan
  • la Croix Mane
  • la Déserte
  • la Guiguière
  • la Pierrela
  • le Château
  • le Châtelar
  • le Clot
  • les Barges
  • les Flottes
  • les Guilhomonts
  • les Marais
  • les Molhens
  • les Plantards
  • les Sables (nord)
  • les Sables (sud)
  • les Volays
  • le Truchet
  • Montjuvin
  • Peroux
  • Palaye
  • Saint-Izier
  • Tancot

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Depuis 2007, de nombreuses rues ont été aménagées pour permettre aux habitants de se déplacer plus aisément : trottoirs plus larges, nouveaux passages-piétons, nouvelle signalisation routière.

En 2009, de nouveaux lampadaires ont été installés dans plusieurs rues. Cependant, à des fins d'économie et de diminution de la pollution lumineuse, l'éclairage public est éteint la nuit.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :

  • 1100 : Sanctus Johanes ab Altevedone (cartulaire de Romans, 146).
  • 1104 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Johannis de Altaveione (cartulaire de Romans, 178).
  • 1150 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Johannis de Auteveone (cartulaire de Romans, 316).
  • 1217 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Johannis d'Auteveun (cartulaire des Hospitaliers, 49).
  • 1220 : mention de la paroisse : la gleisa Sain Johan (cartulaire des Hospitaliers, 25).
  • 1220 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Johannis d'Auteveon (cartulaire de Léoncel, 86).
  • 1248 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Johannis d'Authaveon (cartulaire de Romans, 375).
  • 1361 : Sanctus Johanes Alteveonis(archives de la Drôme, E 3584).
  • 1393 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Johannis Alteveyonis (cartulaire de Romans, 2289).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Sancti Johannis de Altaveone (pouillé de Vienne).
  • 1449 : Sanctus Johannes Alteveyronis sive Alteveyans (terrier de Vernaison).
  • 1521 : mention de la paroisse : ecclesia Sancti Johannis Altabernis (pouillé de Vienne).
  • 1788 : Saint-Jean d'Octavéon (alman. du Dauphiné).
  • 1891 : Châtillon-Saint-Jean, commune du canton de Romans.

Voir la commune de Romans-sur-Isère pour l'archiprêté de Romans appelé archiprêté d'Octavéon (800 : archipresbyteratus Altavensis, id est de Romanis (Charvet, Hist. de Vienne, 242))[14].

Étymologie[modifier | modifier le code]

Châtillon dérive du bas latin castellum, diminutif de castrum, avec le suffixe -ionem. Castrum a d'abord désigner tous les types de forteresse, du simple donjon à l'enceinte urbaine. Il s'est par la suite spécialisé au sens de « château fort » puis à celui de « grande maison de plaisance »[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Découverte de la plus ancienne faune avec renne connue en France[15].

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Découverte de médailles et d'antiquités romaines près du village[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

L'Ager Etelvensis (cartulaire de Romans, 30) ne comprenait, avec la commune de Châtillon-Saint-Jean (Drôme), que celles de Montagne, de Bessins, de Saint-Apollinard et de Chevrières (Isère)[14].

La terre est disputée entre les dauphins et les religieux de Romans[15].

La seigneurie[14] :

  • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) est un fief du chapitre de Romans. Elle était plus connue sous le nom de Châtillon (voir ce nom) à cause du château de ce nom qui en était le chef-lieu.
  • Possession des Bressieu.
  • La terre passe aux Clermont-Chatte.
  • 1438 : elle est vendue aux Vinay.
  • 1590 : passe (par mariage) aux Montchenu.
  • 1686 : passe aux Béatrix-Robert.
  • Vers 1720 : passe aux Moret de Bourchenu.
  • 1730 : passe (par héritage) aux Bally, derniers seigneurs (une autre version la fait passer des Bailly de Montcarra aux Grattet du Bouchage[réf. nécessaire]).

La communauté de Saint-Jean-d'Octavéon comprenait deux paroisses : celle de Saint-Jean-d'Octavéon et celle de Gilles[réf. nécessaire].

Avant 1790, Saint-Jean-d'Octavéon était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
Elle formait une paroisse du diocèse de Vienne. Son église était dédiée à saint Jean-Baptiste. Les dîmes, qui avaient appartenu au chapitre de Romans, échurent vers la fin du XVIIe siècle au chapitre métropolitain de Vienne qui présenta dès lors à la cure[14].

Châtillon[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1070 : Castellonium (cartulaire de Romans, 18 bis).
  • 1080 : mention du mandement : mandamentum Castellionis (cartulaire de Romans, 178)
  • 1150 : Chasteillo (cartulaire de Romans, 315).
  • 1203 : de Chastellon (cartulaire des Hospitaliers, 32).
  • 1204 : Chasteillun (cartulaire des Hospitaliers, 63).
  • 1210 : Chastilon (cartulaire des Hospitaliers, 66).
  • 1211 : Chastilo et Chastillo (cartulaire des Hospitaliers, 67).
  • 1212 : de Castellione (cartulaire des Hospitaliers, 69).
  • 1215 : Chastelon (cartulaire des Hospitaliers, 76).
  • 1216 : Chasteillon (cartulaire des Hospitaliers, 84).
  • 1390 : locus Chastillionis (choix de documents, 197).
  • 1891 : Châtillon, hameau de la commune de Châtillon-Saint-Jean.

Ancien château dont le mandement, comprenant à l'origine les paroisses de Saint-Jean-d'Octavéon, de Triors et de Saint-Paul-lès-Romans, fut limité par la suite à la seule paroisse de Saint-Jean-d'Octavéon qui devint, en 1790, la commune de Châtillon-Saint-Jean[16].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton de Saint-Paul-lès-Romans. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Romans[14].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 Roger Bois    
1995 2001 Roger Bois   maire sortant
2001 2008 Jean-Paul Pernaut    
2008 2014 Daniel Ardin    
2014 2020 Gérard Fuhrer (sans étiquette) retraité
2020 En cours
(au 12 mars 2021)
Daniel Barruyer[17][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

En 2021, la commune comptait 1 289 habitants[Note 3], en diminution de 3,73 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
441421446730762793824837951
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
978979895881891861879874899
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
839845786753739741697676665
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
6696726807547908881 1561 1791 178
2015 2020 2021 - - - - - -
1 3391 2941 289------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

En 2014, une micro-crèche a été ouverte dans la zone artisanale Les Flottes[réf. nécessaire].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune compte deux établissements scolaires :

  • l'école maternelle intercommunale Étienne Jean Lapassat qui accueille les élèves de toute petite, petite et moyenne sections de Châtillon-Saint-Jean, mais aussi de Triors et Parnans[22] ;
  • l'école élémentaire des Trois Platanes qui accueille les enfants de la commune, de la grande section au CM2[23].

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Les événements de l'année sont indiqués sur le panneau d'affichage de la commune (près de la mairie). Ils se déroulent généralement à la salle des fêtes du village[réf. nécessaire].

  • Juin (le 24) : la Saint-Jean d'été est la fête patronale[15].
  • La fête locale est célébrée le [15].
  • Août (dernier dimanche) : lors de la fête communale[15], une brocante est organisée dans le village par l'orchestre d'harmonie (fanfare) de Châtillon Les enfants de la Joyeuse. Ce vide-grenier attire beaucoup de gens. Le même jour, diverses animations sont proposées à côté de la salle des fêtes[réf. nécessaire].
  • La foire du Dauphiné se déroule à l'extérieur du village[réf. nécessaire].
  • L'animation « De fermes en fermes » est très populaire[réf. nécessaire].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Randonnées
  • Vallée de la Joyeuse[15].
  • Anciennes carrières[15].

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de la commune vient essentiellement du secteur primaire (agriculture). Le secteur secondaire s'est développé grâce aux industries installées sur la commune et le secteur tertiaire propose de nouveaux services. Malgré sa petite taille, Châtillon prolonge ainsi l'activité économique du canton de Romans-sur-Isère 2, avec la zone artisanale les Flottes[réf. nécessaire].

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : céréales, vignes, vergers, tabac, aviculture[15].

Commerce[modifier | modifier le code]

La commune possède un restaurant, un bar, un buraliste, une boulangerie, une pizzeria-kebab[réf. nécessaire].

Le village est très proche de la zone industrielle de Saint-Vérant, à environ quatre kilomètres. On y trouve un centre commercial et différentes boutiques[réf. nécessaire].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château Bady (privé) du XVe siècle[réf. nécessaire].
Église Saint-Théobald de Gillons : église romane (XIIe siècle) restaurée. Elle fut l'église paroissiale jusqu'à la Révolution[réf. nécessaire].
Le prieuré de Gillons a été fondé par des moines bénédictins et il dépendait du diocèse de Vienne. Son église romane fut d’abord désignée sous le vocable de Sainte-Marie puis elle a été placée sous le celui de Saint-Theobald[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Grottes (Chapoize, le Châtelar)[1].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Châtillon-Saint-Jean possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g https://www.geoportail.gouv.fr/ Site Géoportail (carte IGN).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Châtillon-Saint-Jean et Romans-sur-Isère », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a b c d e et f J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 81 (Châtillon-Saint-Jean).
  15. a b c d e f g h i j k l et m Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Châtillon-Saint-Jean.
  16. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 80 (Châtillon).
  17. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « École maternelle - Châtillon-Saint-Jean - Site officiel de la commune ».
  23. « Ecole élémentaire - Châtillon-Saint-Jean - Site officiel de la commune ».