Beauvallon (Drôme)

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Beauvallon
Beauvallon (Drôme)
La mairie.
Blason de Beauvallon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Bernard Ripoche
2020-2026
Code postal 26800
Code commune 26042
Démographie
Gentilé Beauvallonnais, Beauvallonnaises
Population
municipale
1 616 hab. (2021 en augmentation de 2,73 % par rapport à 2015)
Densité 518 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 51′ 29″ nord, 4° 54′ 26″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 200 m
Superficie 3,12 km2
Unité urbaine Valence
(banlieue)
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valence-3
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Beauvallon
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Beauvallon
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Beauvallon
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Beauvallon

Beauvallon est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Beauvallonnais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Beauvallon est située dans l'agglomération valentinoise, à 10 kilomètres au sud de Valence, préfecture du département de la Drôme.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par deux canaux : celui d'Aurelle et celui des Moulins de l'Étoile[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 835 mm, avec 7,2 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Guillonville à 437 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 617,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route départementale 111, axe reliant Valence à Crest et à Gap.

L'autoroute la plus proche est l'A7 (sortie 15).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Beauvallon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Elle appartient à l'unité urbaine de Valence, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[11] et 131 695 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,1 %), zones urbanisées (18,7 %), forêts (14,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Donay
  • Gréolon
  • Lambruchet
  • la Garde
  • l'Arizona
  • la Roue
  • le Bosquet
  • le Château
  • le Clos des Vicherolles
  • le Mas du Castellet
  • le Point du Jour
  • les Blachères
  • les Blaches
  • les Corneilles
  • les Fiérattes
  • les Gamelles
  • les Grands Horizons
  • les Granges
  • les Gros Pays
  • les Patios
  • les Puits
  • les Tournesols
  • Vicherolle

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :

  • 1332 : Vacha (Gall. christ., XVI, 130).
  • 1349 : Vaca et mandamentum Vachie (archives de la Drôme, fonds de Saint-Ruf).
  • XVe siècle : mention de la paroisse : cura Vachie (pouillé de Valence).
  • 1442 : Vachia (choix de documents, 275).
  • XVIe siècle : Vacha (inventaire de la chambre des comptes).
  • 1891 : La Vache, commune du canton de Valence (le dictionnaire topographique n'a pas tenu compte du changement de nom de novembre 1890).

Avant 1890, le territoire s'appelait La Vache comme le montre la carte de Cassini (XVIIIe siècle)[réf. nécessaire].

1890 (12 novembre) : la commune prend le nom de « Beauvallon »[réf. nécessaire].

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le toponyme, créé en 1890, vient du français bel (beau) et vallon.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Présence préhistorique[18] : deux sites néolithiques ont été répertoriés[19].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[17] :

  • Au point de vue féodal, La Vache (Beauvallon) était une possession des Chabeuil.
  • Vers 1250 : elle est acquise par les comtes de Valentinois.
Les comtes de Valentinois auraient acheté le château et ses terres à Lambert, seigneur de Chabeuil, en 1259[19].
  • 1345 : elle est inféodée aux Mareuil.
  • Passe aux Poitiers-Saint-Vallier.
  • Vendue aux Gaston du Cheylard.
  • 1487 : rachetée par les Poitiers-Saint-Vallier (vendue en 1594 par le duc d'Aumale, un des gendres de Diane).
  • 1594 : vendue à Bertrand Manuel de La Faye qui la revend peu après.
  • Peu après : vendue aux Chastellier qui s'en dessaisissent trente ans après.
  • Acquise par les Bressac, derniers seigneurs de la Vache.

Démographie[17]. :

  • 1688 : 48 chefs de famille.
  • 1789 : 34 chefs de famille.

Avant 1790, la Vache était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et de la sénéchaussée de Crest.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, unie à celle de Fiancey (nom de la commune de Portes-lès-Valence avant 1908)[17].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton d'Étoile. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Valence[17].

Le nom de la commune fait l’objet de plaisanteries[19] :

  • de la part du curé : « Fils de La Vache, soyez dévots sinon vous serez détruits ».
  • de Madier de Montjau, s'adressant au lieutenant Bonaparte qui se rendait souvent au château de Laurent de Bressac : « pour quel motif, tenez-vous tant à La Vache, enragé ! ».

Dès 1883, le maire, Alphonse Pomarel, entreprend les démarches pour un changement de nom. Par le décret du 12 novembre 1890, Lavache devient Beauvallon, ce dont témoignent les deux plaques de cocher apposées sur deux maisons qui ont dû être corrigées, et le monument près du lac érigé pour le centenaire du changement de nom en 1990[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19.

À la suite de l'élection municipale de 2020, le conseil municipal est composé de cinq adjoints et de treize conseillers municipaux[20][source insuffisante].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Marie-Josée Faure PS conseiller général
2008 2014 Marie-Josée Faure   maire sortante
2014 2020 Bernard Ripoche DVG retraité (fonction publique)
2020 En cours
(au 21 décembre 2020)
Bernard Ripoche[20][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2021, la commune comptait 1 616 habitants[Note 3], en augmentation de 2,73 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
249273310348399410368391405
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
360381366322320310295251228
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
182220207240295308331303444
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
4244819751 6141 5191 6851 6361 6281 582
2017 2021 - - - - - - -
1 5911 616-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école maternelle et primaire[réf. nécessaire]. Le collège le plus proche est situé à Beaumont-lès-Valence (transport assuré par bus)[réf. nécessaire].

Santé[modifier | modifier le code]

La commune dispose de deux médecin, d'un cabinet de kinésithérapie et d'une pharmacie[réf. nécessaire].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : second dimanche de mai[18].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

  • Club de football ASVM (association sportive Véore Montoison), regroupant les communes de Montoison, Étoile-sur-Rhône et de Beauvallon[25].
  • Club de rugby de l'intercommunalité Véore XV, issu de la fusion du club de Beauvallon et de celui de Portes-lès-Valence[26].
  • Club de tennis[réf. nécessaire].
  • Club de pétanque, de boules lyonnaises[réf. nécessaire].

Médias[modifier | modifier le code]

La commune publie chaque trimestre un bulletin municipal : Les échos du Lac (exemplaire[27]).

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : céréales, vergers, vignes, ovins[18].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Rues pittoresques[18].
  • Lac[1].
  • Plaine vallonnée de la Véore[18].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Beauvallon Blason
Écartelé : au 1er d'or à un dauphin d'azur, crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules, au 2e d'argent à la fasce dentée de sable, chargée de trois molettes de huit rais du champ et soutenue de deux mouchetures d'hermine de sable, au 3e d'argent à un cerf saillant d'or*, au 4e de gueules plain[29].
Détails
* Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Beauvallon et Guillonville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Guillonville », sur la commune de Guillonville - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Guillonville », sur la commune de Guillonville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Valence », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  17. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 400 (La Vache).
  18. a b c d e f g h et i Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Beauvallon.
  19. a b c et d « Histoire - Beauvallon - Site officiel de la commune », sur beauvallon.fr (consulté le ).
  20. a et b Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Le club », sur ASVM Football (consulté le ).
  26. « https://www.ffr.fr/clubs/union-sportive-veore-xv », sur Fédération Française de Rugby (consulté le ).
  27. http://cdn2_4.reseaudespetitescommunes.fr/cities/826/documents/4zu0riryrumwvks.pdf
  28. Zineb Dryef, « « Pourquoi m’en voudrait-on d’être lesbienne ? » : Natalie Clifford Barney, l’Amazone de la rue Jacob », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  29. « 26042 Beauvallon (Drôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).