Upie

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Upie
Upie
La mairie.
Blason de Upie
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Jean-Jacques Bruschini
2020-2026
Code postal 26120
Code commune 26358
Démographie
Gentilé Upiens, Upiennes
Population
municipale
1 524 hab. (2021 en diminution de 0,39 % par rapport à 2015)
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 20″ nord, 4° 58′ 46″ est
Altitude Min. 158 m
Max. 415 m
Superficie 19,53 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Crest
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Upie
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Upie
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Upie
Liens
Site web http://www.mairie-upie.com/

Upie est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Avec une population de 1 524 habitants en 2021 et une superficie de 1 953 hectares, la commune fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune d'Upie est située dans la vallée du Rhône, à 13 km au sud de Chabeuil (chef-lieu du canton), à 20 km au sud de Valence, à 15 km au nord-est de Livron-sur-Drôme et à 12 km au nord de Crest.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers[1] :

  • Mont Miéry (335 m) ;
  • Serrelong (281 m).

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • le Sanguinaire ;
  • Ruisseau de Jalatte ;
  • Ruisseau de Loye (ou le Pétochin d'une longueur de 16,93 kilomètres[2]) ;
  • Ruisseau de Riaille ;
  • Ruisseau d'Ourches.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 888 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 904,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Upie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Elle appartient à l'unité urbaine de Beaumont-lès-Valence, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[12] et 9 891 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,7 %), forêts (25,6 %), zones agricoles hétérogènes (12,1 %), zones urbanisées (2,4 %), prairies (1,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Village perché, maisons en terrasse[18].

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Barthalène
  • Beauregard
  • Bellevue
  • Bois de Beauplanel
  • Bourbousson
  • Bouvier
  • Chabeluc
  • Chabonnet
  • Chambaud
  • Champ Girard
  • Côte Froide
  • Coucourdon
  • Dardus
  • Didier
  • Favier
  • Fournier
  • Fricadon
  • Gresse
  • Guillambelle
  • la Ferlette
  • la Freydière
  • la Lioure
  • l'Alouette
  • la Maladière
  • la Martine
  • la Tapie
  • la Vialle
  • le Calvaire
  • le Cognet
  • le Milanais
  • les Blaches (est)
  • les Blaches (ouest)
  • les Bruyèras
  • les Chaberts
  • les Chanetons
  • les Chatans
  • les Chaux
  • les Combes
  • les Cornerets
  • les Echevis
  • les Grandes Terres
  • les Grands Gourds
  • les Manchères
  • les Naurouzes
  • les Pins
  • les Plots
  • les Quintonnes
  • les Riailles
  • les Sapins
  • les Trides
  • les Tuilières
  • les Valletons
  • les Vésonières
  • les Vignarets
  • Lion
  • Marcellin
  • Marcou
  • Maugrasse
  • Miéry
  • Mignon
  • Montmillan
  • Moulin d'Angrane
  • Pascadelle
  • Picat
  • Rabot
  • Rigaud
  • Romezon
  • Ruinelle
  • Saint-Baudile
  • Sallecru
  • Vaugelas

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est situé à l'écart des grandes voies de circulation mais il est traversé par quelques routes secondaires qui relient le bourg avec les communes voisines.

  • la route départementale 142 (RD142) qui relie Vaunaveys-la-Rochette à Montmeyran après avoir traversé le bourg ;
  • la route départementale 342 (RD342) qui relie le bourg à la commune de Montoison ;
  • la route départementale 509 (RD509) qui relie le bourg à Crest par Eurre.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

La totalité du territoire de la commune d'Upie est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 5), comme la plupart des communes situées dans la vallée du Rhône[19].

Terminologie des zones sismiques[20]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[21] :

  • 1231 : castrum de Ulpiano (Bull. d'hist. ecclés., VIII, 207).
  • 1238 : castrum Upiani (Gall. christ., XVI, 114).
  • 1307 : Upianum (archives de la Drôme, E 453).
  • 1391 : le Chastel du Piet (choix de documents, 213).
  • 1421 : Upian et Upien (Duchesne, Comtes de Valentinois, 6 et 71).
  • 1442 : castrum Uppiani (choix de documents, 275).
  • XVe siècle : mention de la paroisse : cura Upiani (pouillé de Valence).
  • 1617 : Ulpian (terrier de Montvendre).
  • 1627 : Uppie (rôle de corvées).
  • 1685 : Hupie (rôle de tailles).
  • 1891 : Upie, commune du canton de Chabeuil.

Étymologie[modifier | modifier le code]

L'étymologie du nom Upie serait « difficile à déterminer car on ne connaît pas de nom analogue dans le Dauphiné ou dans les provinces voisines, ni de radical celtique capable de l'expliquer »[22][source insuffisante].

Le latin nous donne une possibilité : Ulpianus[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Protohistoire[modifier | modifier le code]

Durant la période antique, le territoire d'Upie appartient à la tribu gauloise des Segovellaunes.

Antiquité : les Gallo-romains[modifier | modifier le code]

Au Ier siècle avant notre ère, le territoire de la commune entre dans l'Histoire avec l'occupation romaine. Le général Marius traverse ce territoire[18].

De nombreuses découvertes datant de l'époque romaine ont été effectuées au lieu-dit Champ de Bataille[18].

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie :

  • Au point de vue féodal, Upie était une terre (ou seigneurie) du patrimoine des comtes de Valentinois.
  • 1521 : elle est acquise par les Peccat.
  • Elle est cédée aux Rabot.
  • 1544 : elle est échangée contre celle d'Illins avec Diane de Poitiers.
  • Elle passe aux Gelas de Léberon.
  • 1784 : vendue aux Vesc, derniers seigneurs.

Démographie :

  • 1688 : 140 familles.
  • 1787 : 217 habitants.

Avant 1790, Upie était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et de la sénéchaussée de Crest.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont les dîmes appartenaient au prieur du lieu qui présentait à la cure (voir Saint-Baudille).

Saint-Baudille[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[24] :

  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Upiano (pouillé de Valence).
  • XVe siècle : mention de l'église : ecclesia Sancti Baudilli (pouillé de Valence).
  • 1549 : mention de l'église : ecclesia Sancti Bodilli (rôle de décimes).
  • 1641 : mention du prieuré : le prioré d'Huppie (rôle de décimes).
  • 1690 : Sainte-Serville et Sainte-Baudille (archives de la Drôme, B 815).
  • XVIIIe siècle : Saint Bodille (carte de Cassini).
  • 1891 : Saint-Baudille, chapelle et cimetière de la commune d'Upie.

Ancien prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (de la dépendance de l'abbaye de Saint-Géraud d'Aurillac) connu dès 1315. Son titulaire était collateur et décimateur dans la paroisse d'Upie.

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton d'Étoile. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Chabeuil.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

En 2019, le conseil municipal d'Upie est composé de dix-neuf membres (dix hommes et neuf femmes) dont un maire, quatre adjoints au maire, et quatorze conseillers municipaux. La moyenne d'âge de cette assemblée est de 58 ans[25],[26].

En 2020, le conseil municipale est composé du maire, de cinq adjoints et de treize conseillers municipaux[27][source insuffisante].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 René Arnoux    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Alain Terrasse    
2008 2014 Martine Vincenot    
2014 2020 Jean-Jacques Bruschini (sans étiquette) professeur des écoles
2020 En cours
(au 22 décembre 2020)
Jean-Jacques Bruschini[27][source insuffisante]   maire sortant

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Upie est une commune adhérente à la Communauté d'agglomération Valence Romans Agglo créée le .

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants d'Upie sont dénommés les Upiens et les habitantes sont dénommées Upiennes[28].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 1 524 habitants[Note 3], en diminution de 0,39 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9398861 1141 1771 3231 3531 3301 4191 455
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3581 3321 3081 3101 3061 2041 1741 1461 211
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0821 1151 034918909845824835826
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7807187429389561 0961 2131 3141 432
2014 2019 2021 - - - - - -
1 5291 5191 524------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune relève de l'académie de Grenoble

Elle dispose d'un groupe scolaire (comprenant une école maternelle et une école élémentaire) situé dans le bourg et qui présentait un effectif de 84 élèves lors de la rentrée scolaire de 2018/2019[33].

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Cette fête commémore la célébration du « roi des bouviers », fête ancestrale des campagnes de la région, organisée autrefois en plein cœur de l'hiver[réf. nécessaire].

Loisirs[modifier | modifier le code]

  • Réserve de chasse[18].

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est situé dans la zone de distribution de plusieurs journaux :

  • Le Dauphiné libéré est le quotidien régional à grand tirage qui consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de Valence-Drôme, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune, ainsi que des informations sur les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
  • L'Agriculture Drômoise est un journal agricole et rural. Il couvre l'actualité de tout le département de la Drôme.
  • Drôme Hebdo (anciennement Peuple Libre) est un journal hebdomadaire catholique basé à Valence. Il couvre l'actualité de tout le département de la Drôme.

Cultes[modifier | modifier le code]

  • La communauté catholique et l'église d'Upie (propriété de la commune) dépendent de la Paroisse Sainte Famille du Crestois qui est rattachée au diocèse de Valence[35].
  • La paroisse réformée de La Véore relève de l'Église protestante unie et couvre les communautés protestantes d'Upie et des communes riveraines[36].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : céréales, polyculture, ovins[18].

  • Marché : le jeudi[18].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chapelle Saint-Baudille d'Upie.
Notre-Dame de Miery.
  • Ruines du château fort (au nord du mont Miery)[18].
  • Vestiges de l'enceinte du village[réf. nécessaire].
  • Chapelle du cimetière (MH) et restes du prieuré[18].
La chapelle Saint-Baudille (XIIe siècle) correspond au chœur de l'église d'un ancien prieuré bénédictin. L'édifice est situé dans l'enceinte du cimetière d'Upie[37]. Il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques[réf. nécessaire].

Au lieu-dit Vaugelas se trouve une église médiévale[18].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Artisanat d'art[18].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean de Rabot (XVe siècle : seigneur d'Upie, ministre de la Justice du royaume de Naples sous l'occupation française (1494-1495).
  • Jean-Paul Didier, né à Upie en 1758 dans le Dauphiné, exécuté le à Grenoble, avocat, personnalité politique, professeur de droit à Grenoble et enfin conspirateur .
  • Paul Mially (né à Upie en 1909) : résistant[38], exécuté le 23 avril 1944 à Vassieux-en-Vercors (Drôme)[39].

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de Upie Blason
D'argent à cinq pals flamboyants de gueules, deux mouvant du chef et trois mouvant de la pointe; au chef d'azur chargé d'un lion léopardé d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Géoportail », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau (V4040500) ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Upie et Étoile-sur-Rhône », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Étoile », sur la commune d'Étoile-sur-Rhône - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Beaumont-lès-Valence », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le )
  18. a b c d e f g h i j k l et m Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Upie.
  19. Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques
  20. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
  21. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 399 (Upie).
  22. site officiel de la mairie.
  23. « Ulpian • Dictionnaire Gaffiot latin-français », sur lexilogos.com (consulté le ).
  24. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 331 (Saint-Baudille).
  25. Site webvilles.fr, page sur le conseil municipal d'Upie, consulté le 22 mai 2019
  26. Site de la mairie d'Upie, page sur le conseil municipal, consulté le 22 mai 2019
  27. a et b Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  28. « le nom des habitants des communes de la Drôme » (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « École primaire d'Upie », sur education.gouv.fr (consulté le ).
  34. Site du Dauphiné libéré, page sur la fête de bouviers, consulté le 22 mai 2019.
  35. Site du docièse de Valence, page sur la paroisse Sainte Famille du Crestois, consulté le 22 mai 2019.
  36. Site de l'église protestante unie, page sur la Paroisse réformée de La Véore, consulté le 22 mai 2019.
  37. Site Du côté de chez Ma', page sur la chapelle Sainte-Baudialle, consulté le 19 mai 2019.
  38. https://www.ledauphine.com/societe/2020/11/13/l-histoire-de-paul-mially.
  39. https://fusilles-40-44.maitron.fr/?article183528.