Le Chambon-Feugerolles

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Le Chambon-Feugerolles
Le Chambon-Feugerolles
Vue générale du Chambon-Feugerolles.
Blason de Le Chambon-Feugerolles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Étienne Métropole
Maire
Mandat
David Fara
2020-2026
Code postal 42500
Code commune 42044
Démographie
Gentilé Chambonnaires[1]
Population
municipale
11 857 hab. (2020 en diminution de 5,76 % par rapport à 2014)
Densité 677 hab./km2
Population
agglomération
375 389 hab. (2020)
Géographie
Coordonnées 45° 23′ 49″ nord, 4° 19′ 33″ est
Altitude 496 m
Min. 464 m
Max. 849 m
Superficie 17,51 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Étienne-2
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web https://lechambon.fr

Le Chambon-Feugerolles est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune située à 11 km de Saint-Étienne[2], se trouve sur l'axe de communication reliant l’Auvergne à Rhône-Alpes. La ville est située au cœur de la vallée de l’Ondaine[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Chambon-Feugerolles est traversé par la rivière Ondaine et de quelques-uns de ses affluents (le Cotatay, le Valchérie, le Malval, l'Echapre et le Borde-Matin).

Géologie[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 17,51 km2 ; son altitude varie de 464 à 849 mètres[4].

Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par trois lignes de la STAS (Société de l'agglomération stéphanoise) pour le compte de Saint-Étienne Métropole, la gare TER (tarification STAS avec un pass Oùrà) et une ligne du réseau Cars Région Loire :

La ligne de TER Firminy / Châteaucreux permet de rejoindre en 10 minutes les lignes T1 et T3 du tramway de Saint-Étienne à Bellevue ou en 4 minutes le centre de Firminy.

L'accès au TER + réseau STAS est permis grâce aux pass Oùra. Circulant tous les jours, l'offre est importante (21 allers et 25 retours), tout comme l'amplitude (de h 55 à 22 h 55 vers Bellevue, et de h à 22 h 25 vers Firminy).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Chambon-Feugerolles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes[8] et 375 389 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (43,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (41,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,2 %), prairies (22,8 %), zones urbanisées (20,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La cité de la Romière-Bouchet, excentrée et séparée du reste de la ville par la RN 88, est considérée comme le quartier avec le plus de difficultés sociales de la vallée de l'Ondaine. Il est classé quartier prioritaire et fait l'objet d'un programme Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU).

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Chambon : Cambo en gaulois signifiant « courbe », méandre de la rivière, le toponyme peut désigner par extension une « étroite bande de terre ».

Feugerolles évoque les fougères[14],[15],[16] ; ce toponyme entre abusivement en résonance avec la famille d'Ogerolles/d'Augerolles (issu du latin Algirolis), maison ancienne selon La Mure[17], active en Forez et Roannais, mais qui n'a jamais possédé Feugerolles (seulement Roche aux XVe-XVIe siècles, l'héritière Françoise d'Augerolles de Roche-la-Molière épousant Alexandre Capponi de Feugerolles en 1586).

Histoire[modifier | modifier le code]

Origines et âge d'or[modifier | modifier le code]

Le puits du Marais.

Au Moyen Âge, le bourg existait, dominé par le seigneur de Feugerolles qui avait le privilège de la justice et de l’administration. Il comptait, comme de nombreux villages, quelques forgerons et fabricants d’arbalètes.

La permutation de 1173 entre le comte de Forez et l'Église de Lyon indique que quiconque aura le château de Feugerolles devra hommage lige et fidélité au comte[18].

L'église Saint-Clément du Chambon apparaît en 1183 dans les possessions de l’abbaye de l’Île Barbe[19] et la cure de la paroisse était à la nomination de celle de Firminy dépendant du même monastère.

Nous donnons ci-après le schéma de la succession des sires de Feugerolles[16],[20], particulièrement les Lavieu aux XIIIe-XVe siècles.

Au XVIe siècle, l’activité de la coutellerie se développe.

La métallurgie apparaît dans la seconde moitié du XIXe siècle avec l’installation des usines Crozet-Fourneyron[26], Claudinon, Chambert[27], puis pendant la Première Guerre mondiale celle de Froges-et-Camargue[28] qui produisait des aciers spéciaux[29],[30]. Les fabrications étaient assez variées : limes, pièces forgées ou moulées, éléments pour l’armement, outils… En 1880, la ville recensait 480 métallurgistes (772 en 1912), environ 1 000 ouvriers de forge et 900 pour la taille des limes.

Au XIXe siècle, Le Chambon-Feugerolles était le chef-lieu du canton de la vallée de l’Ondaine et donc le siège des fonctionnaires (juges de paix, greffiers, notaires, percepteur…).

À cette époque, le cadre de vie était plutôt médiocre du fait d’une forte activité industrielle. Il s’améliora sous l’impulsion de la municipalité de Pétrus Faure, à qui les Chambonnaires renouvelèrent leur confiance de 1925 à 1971 (sauf pendant la guerre).

Le Chambon-Feugerolles est né de la fusion de deux communes en 1832.

En 1843, la commune cède une partie du territoire lors de la création de la commune voisine de La Ricamarie.

Histoire récente[modifier | modifier le code]

Le [31], une importante crue de l'Ondaine et des petits rus qui descendent du plateau du Bessy au nord de l'Ondaine, provoquée par d'importants orages, a inondé une partie de la ville du Chambon-Feugerolles et provoqué de nombreux dégâts mais aucune victime[32]. Malgré le caractère rapide de la crue (environ une demi-heure), l'eau est montée jusqu'à 1,7 m dans certaines habitations. Les services météorologiques avaient pourtant émis une alerte aux orages pouvant être localement forts.

En 2008, un incendie ravage le gymnase Guy-et-Alain, l'un des principaux lieux sportifs de la commune depuis 1980[33].

Entreprises notables[modifier | modifier le code]

La forge Blaise Frères, créée en 1885, fabrique des lames pour l'escrime sportive de haut niveau.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

L'hôtel de ville, place Jean-Jaurès.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1947 Antoine Thevenon    
1947 1971 Pétrus Faure SFIO puis PS  
Mars 1971 mars 1983 Jean Moulin PS  
Mars 1983 1988 André Cognet UDF  
Mai 1988 Mai 2020 Jean-François Barnier UDF puis SE
puis UDI
Vice-président du conseil départemental de la Loire
Vice-président de Saint-Étienne Métropole
Président de l'Association des Maires de la Loire
2020 En cours David Fara[34] DVD Secrétaire général de l'École nationale supérieure des mines de Saint-Étienne

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Chambonnaires.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[35],[Note 3].

En 2020, la commune comptait 11 857 habitants[Note 4], en diminution de 5,76 % par rapport à 2014 (Loire : +1,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1801 2451 2341 4261 6004 0134 0283 6743 868
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4 3075 5146 9546 7728 3148 1608 5329 0169 915
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
11 52812 01112 71413 51614 78915 10614 80215 65317 695
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
20 32021 98720 09118 14916 07014 09012 77612 49612 486
2020 - - - - - - - -
11 857--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Clément.
Le château de Feugerolles.
La Forge, ancienne usine reconvertie en salle de spectacle.

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune obtient le niveau « trois fleurs » au concours des villes et villages fleuris[40].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armoiries du Chambon-Feugerolles[42] :
D’azur à l’engrenage d’or posé sous la bande aux attributs de mine, boulonnerie et limes posés au-dessus de la bande, à la bande de gueules brochant, chargée de trois abeilles d’argent, au chef de vair qu’est Lavieu¹, à la couronne murale de quatre tours.

¹ Le château de Feugerolles est vendu en 1260 à Hugues de Lavieu.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Loire », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Le Chambon-Feugerolles et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. « Les habitants de l’Ondaine fuient les grandes communes », sur www.leprogres.fr (consulté le ).
  4. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Toponymes évoquant la "fougère", p. 1240-1243 », sur Toponymie générale de la France, vol. II, par Ernest Nègre, chez Droz, à genève, 1991
  15. « D'où vient le nom des villes et villages de la Loire », sur Département de la Loire
  16. a et b « Le château de Feugerolles, p. 337-460, dont Toponymie p. 337-338, et Généalogies seigneuriales, p. 390-460 », sur Etudes historiques sur le Forez : Chronique des châteaux et des abbayes, vol. I, par Jean-Antoine de La Tour de Varan, chez Montagny, à Saint-Etienne, 1856
  17. J.-M. de la Mure, Histoire des Ducs de Bourbon et des Comtes de Forez, Volume 2. p. 14. Lire en ligne
  18. "Mais quiconque aura le château de Saint-Priest, ou de Rochetaillée, ou le Château-Roche, ou de Fougerolles, ou de Grangent, doit hommage lige & fidélité au Comte". Bulle du Pape Alexandre III confirmant la permutation de 1173-1174 http://museedudiocesedelyon.com/MUSEEduDIOCESEdeLYONlettrepapepermutation1174.htm
  19. Masures de l'Ile-Barbe, Tome 1, p. 65. Lire en ligne
  20. « Seigneurie de Feugerolles : les blasons des familles seigneuriales », sur ChambonHistorique
  21. Par exemple Guichard de Jarez, cité en 1173 alors que Feugerolles était déjà alors un château important. Le blason des Jarez arbore un Parti d'azur et d'argent, à la fasce de gueules brochant sur le parti
  22. voir des précisions et des sources indexées à l'article Roche
  23. Édouard Perroy, Les Familles nobles du Forez, t. Ier, p. 431-447
  24. « Lavieu, p. 416-457, notamment p. 417, 436 et 446 », sur Les familles nobles du Forez, t. Ier, par Edouard Perroy, Centre d'Etudes foréziennes (à St-Etienne), et la Diana (à Montbrison), 1976
  25. cf. Geneanet : arbre de Gilles Lecomte
  26. cf. les sites Ateliers Crozet-Fourneyron et Emile Crozet-Fourneyron
  27. cf. Les Aciéries électriques du Chambon, p. 69-71, par Denis Varaschin, 1998 ; et la Société d'Histoire du Chambon-Feugerolles, p. 54, 2000 : « En 1877, la famille Chambert créa une petite aciérie la Sauvanière. Elle procédait au laminage de barres en acier L'usine possédait une annexe dans la vallée de Cotatay où se trouvaient des martinets pour l'étirage des lames »
  28. cf. Péchiney, p. 160, 164, par Monique Périères, Revue de Géographie Alpine, 1955)
  29. « LA MÉTALLURGIE (1) », sur chambonhistorique.e-monsite.com (consulté le ).
  30. « Acier, et acier spécial : Définitions », sur Dictionnaire du BTP, aux Editions Eyrolles
  31. « Re-directed to here », sur www.forez-info.com (consulté le ).
  32. Dépêche AFP sur le site de France 3 « Copie archivée » (version du 7 novembre 2004 sur Internet Archive).(attention, une erreur dans la source France3 : l'Ondaine n'a aucun affluent qui porte le nom d'Ecotay mais un affluent du nom de Cotatay[réf. nécessaire])
  33. cf. Complexe sportif Guy-et-Alain et Gymnase Guy-et-Alain
  34. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  38. « Le Chambon-Feugerolles : l’église Saint-Clément et la place Claudinon-Giraudet », sur www.leprogres.fr (consulté le ).
  39. cf. sur le site diocésain : Notre-Dame de Cotatay
  40. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  41. [PDF] « Amiral Edouard Scott de Martinville Chargé de mission auprès du ministère de la défense », sur archives.livreblancdefenseetsecurite.gouv.fr, Ministère de la Défense (France) (consulté le ).
  42. blason

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • La Société d'Histoire du Chambon-Feugerolles, Le Chambon-Feugerolles, collection « Mémoire en images », éditions Alan Sutton (Grande-Bretagne), 2000.

Liens externes[modifier | modifier le code]