Saint-Genest-Lerpt

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Saint-Genest-Lerpt
Saint-Genest-Lerpt
Blason de Saint-Genest-Lerpt
Blason
Saint-Genest-Lerpt
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Etienne Métropole
Maire
Mandat
Christian Julien
2020-2026
Code postal 42530
Code commune 42223
Démographie
Gentilé Lerptiens
Population
municipale
6 183 hab. (2021 en augmentation de 1,16 % par rapport à 2015)
Densité 488 hab./km2
Population
agglomération
374 643 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 26′ 49″ nord, 4° 20′ 15″ est
Altitude 576 m
Min. 437 m
Max. 698 m
Superficie 12,68 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Étienne-3
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.ville-st-genest-lerpt.fr

Saint-Genest-Lerpt [sɛ̃ ʒənɛ lɛʁ] est une commune française située dans le département de la Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Cité touchant la ville de Saint-Étienne, elle fut par le passé un berceau de la rubanerie, abritant de nombreux passementiers, nom donné aux tisseurs de ruban. Elle est aujourd'hui une ville résidentielle dans la banlieue de Saint-Étienne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Saint-Genest-Lerpt est située à 7 km de Saint-Étienne[1].

À 555 m d'altitude moyenne, Saint-Genest est sur une colline.

Elle est bordée sur son flanc oriental par la rocade est, D 201. Un accès ZAC du Tissot dessert la commune.

Le quartier du Chasseur au nord, route de Saint-Just, se détache nettement du reste de la ville.

Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.

La superficie de la commune est de 12,68 km2 ; son altitude varie de 437 à 698 mètres[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 760 mm, avec 8,7 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 793,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records SAINT-ETIENNE (42) - alt : 640m, lat : 45°26'07"N, lon : 4°22'05"E
Records établis sur la période du 01-06-2002 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 −0,1 2,5 5,8 9,1 13,1 14,7 14,2 11 8,3 4,2 1,1 7
Température moyenne (°C) 3 3,4 7,1 10,8 14,1 18,6 20,5 19,9 16,1 12,2 7,4 4,1 11,4
Température maximale moyenne (°C) 5,9 6,9 11,6 15,8 19,1 24 26,3 25,6 21,3 16,2 10,6 7,1 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−12,9
13.01.03
−15,6
05.02.12
−16,5
01.03.05
−4,5
08.04.21
0,1
06.05.10
4,4
02.06.06
7,4
10.07.07
7,4
31.08.06
2,1
27.09.10
−5
26.10.03
−8,7
28.11.13
−11,1
26.12.10
−16,5
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
10.01.15
20,9
23.02.20
24
30.03.21
27,8
22.04.18
32
13.05.15
36,8
27.06.19
39
07.07.15
38,6
24.08.23
33,5
05.09.23
29,9
02.10.23
23,1
02.11.20
18,3
05.12.06
39
2015
Précipitations (mm) 41,8 38,7 39,7 62,7 83,7 80,6 78,7 79,4 65,1 81 87,1 55,4 793,9
Source : « Fiche 42218011 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Genest-Lerpt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes[12] et 374 643 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (54,2 %), zones urbanisées (20,8 %), forêts (20 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom Sanctus Genesius Lerpt est attesté dès le XIe siècle. En découlent les toponymes Genès, Genis[18]. St-Genest-Lerpt tient peut-être son nom de Genesius qui était un évêque lyonnais très révéré pour une vie de sainteté. La typographie Genest n’apparaît qu'au XVIIIe siècle. Lerpt, utilisé dès le XIe siècle serait un dérivé de Lerm qui aurait désigné un sol pauvre avec des pâturages et des forêts[19].

Le déterminant Lerps (Sancti Genesi l’Erm en 1225) est dérivé du mot gaulois erm. Le latin classique utilisait un mot hérité du grec eremus pour désigner le désert, la solitude. Eremus a gardé ce sens de désert, de solitude, d’ermitage, mais, parallèlement, est apparu le sens rural de « lande stérile », en bas latin herma terra. Le latin chrétien a emprunté au grec le terme « ermite », « celui qui vit dans la solitude »

Une autre source historique dit que "Lerpt" est l'abréviation de "le repentant" (Le Rpt). Placée ici après "Saint-Genest", elle peut être l'identification du comédien romain et martyr chrétien, ayant vécu au IIIe siècle et "repenti" de sa vie païenne[20].

Environnement[modifier | modifier le code]

Parc départemental du Chasseur, d'environ 20 ha, et ses nombreuses essences arboricoles : douglas, pin noir, érable sycomore, chêne rouge, etc. Desserte en bus STAS via ligne 13[21].

Étang Colcombet, aussi appelé « La Mare aux Fées » à quelques minutes à pied du centre-ville.

Divers chemins de randonnée, dont un du côté sud-ouest longeant les vestiges de l’industrie minière[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Histoire de la commune[modifier | modifier le code]

En 1085, le doyen du chapitre de l'Église Métropolitaine de Lyon, nommé Blandin, fit don de sa terre de Saint-Genest-Lerpt à ce chapitre. Or le premier soin des Chanoines, en prenant possession d'un territoire habité, était d'y construire une église et d'y établir un culte religieux[23].

Saint-Genest-Lerpt ("Saint-Genis") est mentionnée en 1173 dans la permutation réalisée lors de la séparation des comtés du Lyonnais et du Forez. À la suite de cet acte, Saint-Genest fit partie d'une enclave directement dépendante du chapitre de Lyon, aux confins du Jarez et du Forez et finalement rendue au Forez en 1278[24].

Le hameau de Landuzière-Cizeron est absorbé en 1828.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1947 1963 Louis Thouilleux    
1963 1987 Louis Richard    
1987 1989 Elda Grangette    
1989 1992
(démission)
Jean Barlet DVD  
1992 2001 Roland Vacher DVD  
2001 En cours Christian Julien[25] DVG  

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 6 183 habitants[Note 3], en augmentation de 1,16 % par rapport à 2015 (Loire : +1,27 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7635747519491 3081 4011 6001 6931 824
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3982 5152 7242 8413 6323 4253 7303 9594 144
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 3314 2814 1284 5544 5704 2394 2384 5715 115
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
5 1475 3315 2655 3085 4825 6725 5665 5475 867
2017 2021 - - - - - - -
6 1316 183-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Pèlerinage paroissial au XIXe siècle

Église Notre-Dame-de-Pitié de Saint-Genest-Lerpt[modifier | modifier le code]

Son ancienne église datait du XVe siècle, remplacée en 1902 par une église plus grande. Chaque année a lieu le pèlerinage de Notre-Dame-de-Pitié, avec des marches convergentes au départ de Saint-Étienne et de Roche-la-Molière, suivies d'une procession dans les rues[30].

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune de Saint-Genest-Lerpt bénéficie du label « ville fleurie » avec « 2 fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[31].

Édifices et sites[modifier | modifier le code]

  • Chapelle Notre-Dame-de-Pitié au nord de l'église, construite par les habitants en 1753 après une épidémie.
  • Fresques Nicolaï Greschny, peintes en 1973-74 ; fortement dégradées par le temps, elles sont restaurées en 2009. Fresques peintes suivant une technique al fresco[32].
  • Un monument aux morts en l'honneur des soldats morts à la guerre, anciennement situé place Jacquard et déplacé à la Verchère, daterait de 1924-1925[33]. Description de ce monument aux morts : sur une base cubique, une colonne en marbre rouge avec chapiteau corinthien portant une tête de poilu en bronze, avec pour seule inscription : 1914-1918.
  • Un monument aux morts du cimetière de Pierrafoy, inauguré le . Le monument est élevé à la « mémoire des enfants de la Commune morts pour la Patrie » par le conseil municipal de l'époque[33].

Châteaux[modifier | modifier le code]

Château Colcombet.

De nombreux châteaux sont édifiés sur le territoire de cette commune[34]

  • Château du Minois ou Colcombet (1804), abritant le lycée privé hôtelier « le Renouveau » depuis 1995, jouxtant le parc municipal dit Le parc du Minois. Le domaine appartint aux Neyron, puis, par mariage, aux Colcombet[35],[36].
  • Château de la Mure au nord du bourg ; les derniers héritiers vendent les terres dans les années 1950, des lotissements sont progressivement construits autour.
  • Domaine de Cizeron : propriété du département, le château est loué à l’État. C'est depuis 1960 la résidence de fonction du préfet.
  • Château de la Réardière.
  • Château de Landuzière : perché sur une butte à l'ouest de la commune, à l'origine de l'essor du hameau éponyme qui devient Landuzière-Cizeron, avant son intégration à Saint-Genest courant 19e.
  • Château dominant la vallée du Cluzel, au lieu-dit le Bois des Sœurs. Le bâtiment est vendu début 20e à la compagnie des Mines de la Loire, qui y loge son personnel.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Antoine Neyron (1738-1807), maire de Saint-Étienne entre 1790 et 1800, a fait construire le château du Minois sur ses terres de Saint-Genest. Son fils André-Antoine Neyron (1772-1854) fut maire de St-Genest-Lerpt en 1808, de St-Etienne en 1809-1813, enfin d'Outre-Furan en 1815-1826 et 1836-1848. Son frère aîné Jacques Neyron (1733-1811), maire de St-Etienne en 1778-1783, fut le dernier seigneur de Roche-la-Molière[37].
  • Jean-Baptiste Buisson (1813-1874), maire en 1865, a légué par testament 50 000 francs à la commune de Saint-Genest-Lerpt où il est né, pour la canalisation des fontaines et la buanderie. En 1911, la ville, reconnaissante, lui a érigé un monument place Carnot, buste en bronze réalisé par Joseph Lamberton.
  • Blaise Neyret (1861-1931), homme politique né à Saint-Genest-Lerpt.
  • André Elbogen (1922-1944), résistant âgé de 22 ans, et Henri Klein (1914-1944), résistant âgé de 29 ans, y sont fusillés par les Allemands le .
  • Laurent Pinatel (1970), porte-parole de la Confédération paysanne depuis , y est éleveur de bovins bio.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Genest-Lerpt Blason
Parti : au 1er coupé au I de gueules à la coquille d'argent posée en bande, au II d’argent aux ciseaux de tailleur ouverts en sautoir et brochant sur une aiguille à coudre en pal, le tout de sable, au 2e d’azur à la lampe de mineur d’argent[38].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de l'Italie Palau (Italie) depuis 2005[39].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Limitrophe de Roche au sud-ouest, Villars au nord et Saint-Étienne à l'est par le quartier Côte Chaude.

Vie de la commune[modifier | modifier le code]

Évènements[modifier | modifier le code]

Le Printemps de la Photographie[modifier | modifier le code]

Chaque année, la ville accueille le Printemps de la Photographie. Ce festival est organisé par le club de photographie de la ville, Maraudeurs d'images[40].

Ce festival est ouvert aux membres du club et aux artistes extérieurs. Des expositions se tiennent dans la salle des fêtes, dans la maison de retraite du Chasseur, et chez les commerçants de la ville.

Là où va l’indien[modifier | modifier le code]

Un festival d'arts de rue se déroule tous les ans depuis 2018 : Là où va l’indien[41].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Distance par la route entre Saint-Genest-Lerpt et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  2. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Genest-Lerpt et Saint-Étienne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. Cf. Saint-Genis Laval ou les Ollières, à l'ouest de l'agglomération lyonnaise.
  19. Il est possible que l'ajout de "Lerpt" dut jouer le rôle de le distinguer des autres villages du même nom. Ceci à l'instar de l'historique du nom du village Saint-Genis-Laval pour lequel le qualitatif de « de la vallée » fut rajouté au début du XIIIe siècle, qui au XVe siècle se transforma en « Laval ». Cf aussi l'historique de Saint-Genis-Laval.
  20. La lecture de "Lerpt" comme l'abréviation "Le Rpt" est rapportée par Pierre Dubanchet, ayant passé sa vie durant dans cette ville.
  21. Les espaces naturels sensibles sur le site loire.fr
  22. Page "Balades à Saint-Genest-Lerpt" sur le site de la mairie.
  23. Archives sur la ville de Saint-Genest-Lerpt, données historiques établies par l'historien Raymond Curtet.
  24. "L'Église de Lyon s'était en outre réservé, dans les terres de Guy II, une enclave qui comprenait Saint-Victor-sur-Loire, Saint-Genest-Lerpt et Villars (n.d.r.: ainsi que Saint-Jean-Bonnefonds). Mais ces paroisses furent assez vite restituées au Forez. En 1278, c'était fait accompli." J.-E. DUFOUR, Dictionnaire topographique du département de la Loire, PUSE, 1946 (rééd. 2006), p. XXII.
  25. Saint-Genest-Lerpt sur le site de l'association des maires de France, consulté le 29 juin 2015.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Le pèlerinage du 14 septembre
  31. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  32. Bulletin-magazine municipal "Nouvelles Lerptiennes" no 16, avril 2009.
  33. a et b Bulletin-magazine municipal "Nouvelles Lerptiennes" no 16, avril 2009, p. 20.
  34. page municipale consacrée aux châteaux
  35. « Le château du Minois ou Colcombet », sur Forez Info
  36. « Les Colcombet : André-Thomas Colcombet épouse en 1827 Aglaé Neyron, fille d'André-Antoine Neyron », sur Noms de rues, Saint-Etienne
  37. « Les Neyron », sur Noms de rues, Saint-Etienne
  38. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.
  39. Jumelage de Saint-Genest-Lerpt avec Palau
  40. Le site du club de photographie Maraudeurs d'images
  41. LOVI : un festival des arts de rue, ville de Saint Genest Lerpt

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]