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Debout la France
Présentation
Président Nicolas Dupont-Aignan
Fondation [note 1]
(Debout la République)

(Debout la France)
Scission de UMP
Siège 55, rue de Concy
91330 Yerres
93, rue de l'Université
75007 Paris
Slogan « Ni système, ni extrêmes »
Positionnement Actuel :
Droite[1],[2],[3], droite radicale[4] ou extrême droite[5],[6]

Historique :
Droite[3],[2]

Idéologie Gaullisme[7]
Gaullisme social[8]
Souverainisme[9],[10]
Euroscepticisme modéré[11],[12],[13],[14]
National-conservatisme[7]
Nationalisme[15]
Républicanisme[8]
Populisme de droite[16]
Affiliation européenne ADDE (2015-2017)
CRE (depuis 2019)
Adhérents 15 500 (revendiqués en 2019)
Couleurs Bleu ciel et rouge clair
Représentation
Députés
1  /  577
Sénateurs
1  /  348
Conseillers départementaux
5  /  4108

Debout la France (DLF) est un parti politique français, fondé en par son actuel président Nicolas Dupont-Aignan sous le nom de Debout la République (DLR) et devenu Debout la France en .

Avant de devenir un parti politique, il était, de 1999 à 2008, un courant du RPR, puis de l'UMP. Se réclamant du gaullisme, le parti est d’abord classé à droite de l'échiquier politique, puis à la droite radicale voire à l'extrême droite.

Le parti soutient la candidature de son président aux élections présidentielles de 2012 (1,79 %) et de 2017 (4,70 %). Au second tour du scrutin de 2017, le parti soutient Marine Le Pen, une association qui prend fin après la défaite de celle-ci.

Historique[modifier | modifier le code]

Débuts comme courant du RPR puis de l'UMP[modifier | modifier le code]

Debout la République est fondé le par Nicolas Dupont-Aignan, en tant que courant « gaulliste authentique » du RPR.

La majorité de ses membres participe à la fondation du Rassemblement pour la France, créé à la suite de la liste souverainiste conduite par Charles Pasqua et Philippe de Villiers aux élections européennes de 1999.

Le courant DLR est relancé une première fois en et devient une passerelle entre les pasquaïens du RPF et les séguinistes du RPR.

Le , DLR est relancé une seconde fois en tant que courant « gaulliste et républicain » de l'UMP, par huit parlementaires[note 2].

Le , les parlementaires Jacques Baudot, Nicolas Dupont-Aignan, Patrick Labaune, Lionnel Luca, Étienne Mourrut et François-Xavier Villain présentent les clubs locaux du mouvement. Candidat à la direction de l'UMP en trio « gaulliste et républicain » avec Sylvie Perrin et Christophe Beaudouin, son président Nicolas Dupont-Aignan crée la surprise[réf. nécessaire] au congrès fondateur en obtenant 14,91 % () des suffrages, arrivant deuxième derrière le trio Juppé-Gaudin-Douste-Blazy (79,42 %). Il obtient ensuite 9,10 % au congrès du (deuxième derrière Nicolas Sarkozy (85,09 %). Debout la République est alors représenté au bureau politique de l'UMP par deux des trente membres élus : Nicolas Dupont-Aignan et Sylvie Perrin[note 3], puis par Élisabeth Laithier.

Le , la motion de Debout la République obtient 19,7 % au conseil national de l'UMP sur l'Europe. Le , DLR ne dépose pas de motion défendant le « non » au projet de Constitution européenne, la motion « L'Europe mérite un “oui” » obtenant 90,8 %.

Transformation en parti[modifier | modifier le code]

En janvier 2007, le président de DLR quitte l'UMP et annonce son intention de se porter candidat à l’élection présidentielle de 2007[17]. Dès lors, DLR se structure sur l’ensemble du territoire et participe à la pré-campagne de Nicolas Dupont-Aignan, ce dernier ne parvenant pas à réunir les parrainages nécessaires. Au premier tour, DLR ne soutient aucun candidat, même si Nicolas Dupont-Aignan envisage de soutenir François Bayrou. Pour le second tour, DLR appelle à voter pour Nicolas Sarkozy[18].

Aux élections législatives suivantes, le parti présente 62 candidats sans alliance avec l'UMP. Cependant celle-ci ne présente pas de candidat face à Nicolas Dupont-Aignan dans la 8e circonscription de l'Essonne, ce qui facilite sa réélection au premier tour. Après cette élection, le président de DLR quitte tout de même le groupe UMP et siégera désormais en tant que non-inscrit. En septembre 2007 DLR accentue la distance prise avec l'UMP en ne se positionnant plus au sein de la majorité présidentielle de Nicolas Sarkozy.

Le congrès fondateur du parti a lieu le . À la Mutualité, lors du meeting qui voit les statuts approuvés et Nicolas Dupont-Aignan être élu président, plus de 1 000 personnes sont présentes, parmi lesquelles des gaullistes et des républicains, mais aussi des anciens du MPF, du MRC et des villepinistes. À cette occasion, le président nouvellement élu annonce qu'il présentera des listes aux élections européennes de 2009.

Période d’ascension[modifier | modifier le code]

Élections européennes de 2009[modifier | modifier le code]

Nicolas Dupont-Aignan et les têtes de listes lors du meeting de fin de campagne, le .

Le parti participe pour la première fois à une élection en toute indépendance lors des élections européennes de 2009. Une alliance avec Libertas a été repoussée du fait de certaines positions libérales du parti et ambiguës de Declan Ganley sur la Turquie en Europe. Nicolas Dupont-Aignan déclare : « J'ai beaucoup d'admiration pour Declan Ganley, qui a fait un immense travail pour faire gagner le non en Irlande. Je l'ai rencontré longuement cet été. Nous n'avons pas «conclu» car il est favorable à l'entrée de la Turquie dans l'Europe, hostile à la PAC et partisan d'un libre-échangisme économique total »[19]. Crédité de 0,5 à 2 % dans les sondages, le parti rassemble 1,77 % des suffrages au niveau national (0,59 à 2,44 % dans les différentes circonscriptions), ce qui ne lui permet pas d'obtenir d'élu. La liste Libertas (MPF-CPNT) recueillera 4,80 % des suffrages et un élu. Aux élections européennes de 2009, pour sa première campagne en tant que parti indépendant, Debout la République présente des listes dans les sept circonscriptions européennes métropolitaines. Le parti réalise un score national de 1,77 %, avec 304 769 voix[20].

Élections locales de 2010-2011[modifier | modifier le code]

Lors de son conseil national du , Debout la République valide les noms des chefs de file pour les élections régionales de mars 2010 et prévoit de présenter des listes dans la moitié des régions seulement, en raison du coût important des campagnes régionales[21]. Le mouvement conclut une alliance avec le CNIP et ne présente finalement des listes que dans trois régions : en Haute-Normandie (1,79 %, aucun élu), en Île-de-France (4,15 %, aucun élu) et en Lorraine où DLR s'allie également avec l'Alliance centriste (2,25 %, aucun élu).

Aux élections régionales de 2010, Debout la République présente des listes dans trois régions :

  • en Haute-Normandie où la liste menée par Brigitte Brière obtient 10 237 voix, soit 1,79 % des suffrages exprimés[22].
  • en Île-de-France où la liste menée par Nicolas Dupont-Aignan obtient 119 844 voix, soit 4,15 % des suffrages exprimés[23], devançant les listes du MoDem et du NPA.
  • en Lorraine où la liste menée par Jean-Luc André obtient 14 861 voix, soit 2,25 % des suffrages exprimés[24].

Aucune liste n'atteint le seuil de 5 % des suffrages exprimés et ne peut donc se qualifier au second tour ni fusionner avec une autre liste. Pour le second tour, Nicolas Dupont-Aignan fait « le choix de l'indépendance » et ne donne aucune consigne de vote[25].

Pour les élections cantonales de 2011, Debout la République présente une centaine de candidats en France. Sept sont élus conseillers généraux.

En pleine crise grecque, Nicolas Dupont-Aignan se rend à une manifestation à Athènes en pour dénoncer « l’autorité illégitime du FMI et de l’Union européenne »[26].

Élection présidentielle de 2012[modifier | modifier le code]

Meeting pour la campagne présidentielle, .

En , Nicolas Dupont-Aignan annonce sa candidature à l'élection présidentielle de 2012 lors du deuxième congrès national[27]. Il recueille 708 parrainages de maires[28] et se présente alors pour la première fois à cette élection. Il y pointe l'euro comme la cause de la « misère », des « délocalisations », du « chômage » et de la « pauvreté »[29]. Nicolas Dupont-Aignan est candidat à cette élection au nom de Debout la République. Il totalise 643 907 voix au premier tour, soit 1,79 % des suffrages exprimés[30]. Il arrive septième sur les dix candidats, devançant Jacques Cheminade, Nathalie Arthaud et Philippe Poutou.

En , dans le cadre du financement public des partis politiques et de la deuxième tranche pour l'année 2013, deux députés se déclarent rattachés à Debout la République : Nicolas Dupont-Aignan et Lionnel Luca[31],[32].

Nicolas Dupont-Aignan au congrès fondateur de Debout la France. Paris, .

En , ce sont cette fois six députés[note 4],[33] qui se déclarent rattachés financièrement à Debout la République, ainsi que quatre sénateurs[note 5],[34].

Élections législatives de 2012[modifier | modifier le code]

Debout la République présente des candidats dans 300 circonscriptions aux législatives de 2012[35]. Au total, malgré le manque de moyens souligné par Nicolas Dupont-Aignan et une forte abstention, les candidats rassembleront 151 935 voix. Parmi eux, 101 dépasseront le seuil de 1 % des voix. Nicolas Dupont-Aignan est réélu député de l'Essonne avec 61,4 % des voix, tandis que François-Xavier Villain est réélu avec 57,63 % des voix député du Nord.

En 2017, Debout la France présente des candidats dans environ 400 circonscriptions[36]. Les candidats sont opposés à des candidats du Front national malgré l'alliance entre les deux partis entre les deux tours de la présidentielle[37]. Nicolas Dupont-Aignan est le seul à se qualifier pour le second tour. Il est réélu député de l'Essonne avec 52,05 % des voix.

À l'occasion d'un congrès le , Debout la République change de nom et devient Debout la France. Ce changement de nom est validé par 87 % des 1 300 militants présents lors du congrès refondateur[38]. Deux anciens de l'équipe de campagne de Jean-Pierre Chevènement de 2002 prononcent les discours argumentaires : l'un en faveur du changement de nom (François Morvan) tandis que Claude Rochet s'y oppose (il quitte le parti en 2014).

Debout la France est membre du parti européen de l'Alliance pour la démocratie directe en Europe, après avoir été membre de EUDemocrats.

Lors du premier tour de l'élection présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan obtient 4,70 % des voix, arrivant en sixième position sur onze candidats.

Élections européennes de 2014[modifier | modifier le code]

À l'occasion des élections européennes de 2014, Debout la République présente des listes partout en France, sous l'appellation « Debout la France ! Ni système, ni extrêmes avec Nicolas Dupont-Aignan ». Le parti réalise un score de près de 3,9 % des voix[39], se plaçant directement après le Front de gauche qui a obtenu près de 6,25 % des voix. Ce score, s'il ne permet pas à Debout la République d'envoyer des députés au Parlement européen, lui assure d'être remboursé de ses frais de campagne dans toutes les circonscriptions électorales[39]. De plus, le parti a gagné 80 000 voix entre l'élection présidentielle et les élections européennes. Il est l'un des rares mouvements à ne pas avoir perdu de voix entre ces deux élections.

Élections locales de 2014-2015[modifier | modifier le code]

En 2014, Debout la République investit 132 listes, bien que Nicolas Dupont-Aignan ait affirmé que « les élections municipales ne sont pas politisées »[40]. Il ajoute également que des listes candidates souhaitant « se revendiquer de [lui] » se présenteront comme sans étiquette, même si elles s'inscrivent en préfecture comme des listes Debout la France[40]. Nicolas Dupont-Aignan est réélu maire de Yerres après que sa liste l’a emporté dès le premier tour du scrutin avec 77,1 % des voix exprimées.

Aux départementales de 2015, Debout la France présente des candidats dans 156 cantons, soit moins de 8 % des cantons[41]. Il rallie plusieurs anciens conseillers généraux dont Patrick Bassot, Philippe Olivier ou encore Jean-Luc Manoury, anciens du FN, et Claude Marcou, ex-UMP. Le mouvement recueille 81 981 votes, soit 0,40 % des suffrages exprimés[42].

Aux élections régionales de 2015, Debout la France présente des têtes de liste dans les treize régions métropolitaines et à La Réunion[43]. Les listes DLF obtiennent 827 262 voix, soit 3,81 % des suffrages exprimés, ce qui est considéré comme un score non négligeable et qui pourrait avoir une influence sur le second tour[44]. Hormis à La Réunion, en Corse et en Provence-Alpes-Côte d'Azur, DLF obtient partout des scores au-dessus de 2 %, et pouvant aller jusqu'à plus de 6 %. Deux des listes obtiennent plus de 5 % des suffrages exprimés, ce qui leur donne la possibilité de fusionner avec une liste présente au second tour :

  • en Île-de-France où la liste menée par Nicolas Dupont-Aignan obtient 207 280 voix, soit 6,57 % des suffrages exprimés.
  • en Bourgogne-France-Comté où la liste menée par Maxime Thiebaut obtient 49 774 voix, soit 5,17 % des suffrages exprimés.

On peut également noter, dans d'autres régions, les bons scores de Laurent Jacobelli en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine (4,78 %), Alix Penloup en Centre-Val de Loire (4,58 %), Nicolas Calbrix en Normandie (4,14 %), Cécile Bayle de Jessé dans les Pays de la Loire (4,09 %), Damien Lempereur en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées (3,91 %) et Yvon Setze en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes (3,35 %).

Debout la France choisit de ne pas fusionner ses listes là où il a obtenu plus de 5 % des voix et ne donne aucune consigne de vote au niveau national pour le second tour des élections régionales de 2015[45].

Relatif succès et alliance avec Marine Le Pen[modifier | modifier le code]

Élection présidentielle de 2017[modifier | modifier le code]

Le , éliminé au premier tour, Nicolas Dupont-Aignan annonce son soutien à la candidature de Marine Le Pen en vue du second tour, ce qui provoque notamment le départ du parti de trois des quatre vice-présidents de son parti (Dominique Jamet, Anne Boissel et François Morvan), ainsi que d'Éric Anceau, responsable du projet, et Olivier Clodong, délégué national aux élections et premier adjoint de Dupont-Aignan à Yerres[46]. Cette union avait été facilitée par l'entremise de l'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy Patrick Buisson, du maire de Béziers Robert Ménard et Philippe Olivier beau-frère de Marine Le Pen et ancien de DLF[47].

Élections législatives de 2017[modifier | modifier le code]

Aux élections législatives de 2017, aucun accord programmatique ou de répartition des circonscriptions n'ayant pu être conclu avec le FN, Debout la France présente 577 candidatures autonomes[48]. Nicolas Dupont-Aignan enregistre en retour quelques défections comme celles de son porte-parole Laurent Jacobelli, qui est investi par le FN aux législatives, et de son directeur adjoint de son cabinet, Maxime Thiébaut, également investi par le FN aux législatives, nommé vice-président de l’association Les Patriotes fondée par Florian Philippot[47]. Il affirme que Debout la France a enregistré plus de 2 000 adhésions dans l'entre-deux-tours[49].

Perte de vitesse[modifier | modifier le code]

Élections européennes de 2019[modifier | modifier le code]

Le , en vue des élections européennes de 2019, Nicolas Dupont-Aignan lance la plateforme « Amoureux de la France » (ADLF) sous la forme d'un site internet participatif[50],[51]. Après un changement de ses statuts, ADLF devient juridiquement un parti politique en novembre 2018[52]. Il se compose alors de DLF, le Centre national des indépendants et paysans (CNIP) et le Parti chrétien-démocrate (PCD).

Des tensions apparaissant au sein de l’alliance à quelques mois des élections européennes de 2019 entre les composantes des Amoureux de la France. En vue du scrutin, Nicolas Dupont-Aignan écarte Emmanuelle Gave en raison de tweets polémiques, ainsi que son père, Charles Gave, qui finançait sa campagne[53]. Il peine ensuite à constituer sa liste et se voit critiqué pour sa stratégie et ses coups d’éclat médiatiques[54]. Contrairement aux attentes, le Parti chrétien-démocrate n’est pas représenté sur la liste, son président, Jean-Frédéric Poisson, ayant été écarté[55]. Également un temps pressentis, les députés européens sortants Bernard Monot, Sylvie Goddyn ou Joëlle Bergeron ne figurent pas sur la liste. Donnée à 8 % à la fin de l’année 2018, juste derrière la liste de LR[56],[57], la liste des ADLF voit les intentions de vote passer sous les 5 % en mars 2019[56].

Après le retrait du PCD, la liste devient « Le courage de défendre les Français, avec Nicolas Dupont-Aignan ». Elle obtient 3,51 % des suffrages, se plaçant en septième position et échouant à atteindre le seuil des 5 % pour avoir des élus[58].

En , le seul vice-président resté fidèle, Patrick Mignon, démissionne, dénonçant l'« ego surdimensionné » de Dupont-Aignan[59]. Cécile Bayle de Jessé, Anne-Sophie Frigout, Gerbert Rambaud et Philippe Torre sont alors nommés à sa place[59].

Positionnement politique[modifier | modifier le code]

Debout la France se présente comme un « rassemblement républicain et gaulliste » au-dessus du clivage gauche-droite, en mettant en avant son programme et la composition de son électorat et de ses adhérents. Le parti est également présenté comme faisant partie de la mouvance du « gaullisme social »[60].

Nicolas Dupont-Aignan s'est positionné par ses critiques, parfois virulentes, à l'égard de ce qu'il nomme le « système », c'est-à-dire les partis politiques majoritaires: UMP et PS (et, dans une moindre mesure, UDI et EELV). Il les accuse notamment d'avoir monopolisé des décennies durant le pouvoir à la tête de l'État en n'ayant eu d'autre résultat que celui d'avoir « échoué lamentablement »[61], notamment en ayant, selon lui, encouragé à l'établissement des institutions européennes au travers de plusieurs traités (Traité de Maastricht, Traité de Lisbonne), ce qui aurait, d'après son raisonnement, porté atteinte à la souveraineté nationale française sur de nombreux points (monétaire, budgétaire, financière…). Assimilant le « système » à ce qu'il nomme l'« UMPS »[61], il dénonce fréquemment le chômage, la baisse du pouvoir d'achat des Français, les mauvais résultats économiques ou encore l'insécurité croissante comme étant les résultats des politiques générales des deux grands partis (RPR/UMP et PS) qui se sont succédé au pouvoir depuis les années 1980 et qui ont continuellement, d'après lui, favorisé le renforcement politique et décisionnel de l'Union européenne au détriment de l'indépendance nationale[62]. Dupont-Aignan pense ainsi qu'il n'y a plus de véritable clivage gauche/droite, la gauche (PS) comme la droite traditionnelle (UMP puis LR) ne faisant plus, pour lui, qu'obéir aux directives de l'Union européenne[63].

Une partie des cadres du mouvement au Salon de l'Agriculture 2015.

Sur le plan sociétal, Debout la France est plutôt conservateur[64]. Le parti est opposé à l’euthanasie, la PMA, la GPA et l'adoption homoparentale[65].

De plus, le parti souhaite réduire très fortement l'immigration en France[66].

Au niveau européen, DLF est membre du mouvement européen EUDemocrats.

Debout la France est considéré par certains comme un parti de droite[67],[2],[3], de droite « dure » [68], voire d'extrême droite[69],[70]. Cependant le 31 janvier 2020 le Conseil d'État [71] a contraint le ministre de l’intérieur à retirer Debout la France du bloc de clivage « extrême-droite » dans sa circulaire relative aux élections municipales 2020 [72] au motif qu'elle « méconnaît le principe d'impartialité ».

Programme politique[modifier | modifier le code]

Le programme de Debout la France peut se résumer par la volonté de retrouver à l'échelon national la maîtrise du budget, de la monnaie, des frontières, des lois et de la politique étrangère[73],[74].

Économie[modifier | modifier le code]

Debout La France souhaite un compromis sur la question de l'euro en gardant les « bons côtés » avec une « coordination monétaire » mais aussi de la « souplesse »[75].

Sur une ligne gaulliste[76], Dupont-Aignan souhaite un « État-stratège », qui puisse organiser des coopérations solides (voiture propre, panneau photovoltaïque de nouvelle génération, géant du numérique, recherche scientifique...) avec des partenaires européens dans le cadre d'une « Europe des nations et des projets »[77].

Protectionnisme[modifier | modifier le code]

Présentées comme des mesures de « protectionnisme intelligent »[78], Debout la France propose dans son programme des mesures de protectionnisme ciblé, dont l'objectif est de relocaliser un million d'emplois sur cinq ans. L'une des mesures-phare de ce programme est l'accord d'un bonus fiscal à destination des entreprises qui produisent, embauchent et investissent sur le territoire français[79]. Debout La France propose également la mise en place de droits de douane et de quotas dont le produit serait affecté au financement de la protection sociale[78].

Retraite[modifier | modifier le code]

Le parti souhaite le maintien de la réforme de 2010 avec la retraite à 62 ans. En revanche, il propose de passer à un système de points[80],[81].

Dette publique[modifier | modifier le code]

Nicolas Dupont-Aignan entend retrouver la liberté de création monétaire et souhaite donc se libérer des marchés. Concrètement, il souhaite donner la possibilité à la Banque de France de monétiser la dette publique[82] et permettre à l'État d'emprunter à taux zéro auprès de la Banque de France[83].

Finance[modifier | modifier le code]

Nicolas Dupont-Aignan et ses conseillers reçus à l'Élysée

DLF prend une mesure souvent reprise par les courants altermondialistes, la création d'une Taxe Tobin d’au moins 0,1 % sur toutes les transactions financières avec les États européens volontaires[84].

Fiscalité[modifier | modifier le code]

Le parti fait de la réduction des niches fiscales une de ses priorités[85],[86] et de la lutte contre la fraude fiscale un élément majeur de son programme. La lanceuse d'alerte Stéphanie Gibaud, impliquée dans l'affaire UBS, est ainsi candidate auprès de Nicolas Dupont-Aignan aux élections européennes de 2019[87].

S'il est récurrent d'entendre Debout la France s'indigner souvent contre la hausse des impôts en France[88], le mouvement demande la création d'un « impôt de citoyenneté » perçu sur chaque Français qui réside à l'étranger[89]. Une réforme de l'impôt serait instaurée en cas d'accession au pouvoir du parti, par une nouvelle tranche d’Impôt sur le revenu à 50 % pour les revenus les plus élevés[90]. De plus, par souci d'égalité, le mouvement réclame l'alignement de la fiscalité des revenus du capital sur celle des revenus du travail. Ainsi, une réforme de la fiscalité aurait lieu pour les grands groupes en mettant fin à la loi Copé[91].

Société[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Nicolas Dupont-Aignan au Salon de l'Agriculture le .

Le parti demande la restauration des aides directes aux agriculteurs[92] en supprimant la PAC accordée par l'Union européenne[93].

Justice et police[modifier | modifier le code]

Discours de Nicolas Dupont-Aignan au Pacte pour la Justice en 2012.

Le candidat entend recruter 10 000 postes dans la police et la gendarmerie pour combler les départs à la retraite[94].

Comme l'action du ministère de l'Intérieur et du ministère de la Justice sont liés, Nicolas Dupont-Aignan demande que les résultats des enquêtes judiciaires soient reconnus par la justice[95], en d'autres termes que celle-ci ne soit pas laxiste vis-à-vis des criminels[96].

Face au terrorisme, Nicolas Dupont-Aignan s'était à demandé la réouverture du Bagne de Cayenne pour les terroristes[97]. Il défend en 2017 l'isolement des détenus radicalisés aux îles Kerguelen[98] et s'oppose au rapatriement des djihadistes de nationalité française[99].

Santé[modifier | modifier le code]

En défense de la France rurale, l'ex candidat à la présidentielle proposait dans son programme de 2012 la création de maisons de santé en zone rurale afin de lutter contre les déserts médicaux[100].

Droit de la famille[modifier | modifier le code]

En matière sociétale, le parti adopte une ligne assez conservatrice, s'opposant à la légalisation de la PMA[101], de la GPA[102], de l'euthanasie[103] (mais se dit favorable à la Loi Leonetti) ou de l'adoption homoparentale[104]. En outre, il refuse toute abolition de la notion de « filiation » dans le cadre de cette dernière. Néanmoins, Nicolas Dupont Aignan se dit favorable à une union civile entre personnes de même sexe[105] (sans toutefois cautionner le mot « mariage ») et ne s'est pas élevé contre le remboursement de l'IVG. Il se dit contre l'avortement à titre personnel mais favorable à la Loi Veil[106].

Discriminations[modifier | modifier le code]

En matière de discriminations, le parti demande que chaque main courante de violence conjugale soit automatiquement communiquée au procureur[107]. De plus, il souhaite à ce que dans la pratique, il y ait des ouvertures de centres d'hébergement pour les femmes victimes de violences conjugales dans chaque intercommunalité[108].

Le parti ne se réclame pas du féminisme, il se dit hostile à la création d’un ministère du Droit des femmes, idée que Nicolas Dupont-Aignan juge « dégradante ». Il est aussi hostile à la loi sur la parité. Cependant, il se donne pour objectif l'égalité salariale entre les hommes et les femmes et veut ainsi supprimer les exonérations de cotisations des entreprises pour le temps partiel[109].

En matière de handicap, le parti souhaite revaloriser le métier des auxiliaires de vie[110] et améliorer l'accès des enfants handicapés à l'école[111].

Institutions[modifier | modifier le code]

L'une des promesses de candidature de Dupont-Aignan à l'élection présidentielle de 2012 fut la tenue, en cas d'accession à la présidence de la République du candidat de DLF, de cinq référendums devant porter sur la sortie de l'euro, une réforme de la Justice en matière de politique pénale, la réforme territoriale, la réforme de l'Éducation nationale et la reprise en main du contrôle des frontières et de la régulation de l'immigration[112].

Les élus coupables de corruption seront inéligibles à vie[113].

Nicolas Dupont-Aignan distribuant des tracts contre la privatisation des autoroutes et leur « racket » le dans les Yvelines.

Le parti se montre favorable au cumul des mandats[114].

En matière de représentativité politique, DLF demande l'instauration d'une dose de proportionnelle aux élections législatives[115]. Il souhaite que le vote soit obligatoire en contrepartie d'une reconnaissance du vote blanc[116],[117].

Fonction publique[modifier | modifier le code]

Il veut aussi nationaliser les autoroutes[118].

Pour ce qui est de l'organisation territoriale de l'État, le parti souhaite une France basée sur le modèle : État-Département-Commune[119]. Il veut donc supprimer les intercommunalités et les conseils régionaux[120] pour les substituer en assemblée de regroupements des départements. Le parti se montre hostile de façon générale aux excès de la décentralisation et aurait plutôt tendance à défendre une France déconcentrée.

Souveraineté[modifier | modifier le code]

Politique internationale[modifier | modifier le code]

Pour DLF, la France doit sortir de l'OTAN afin de retrouver une politique militaire souveraine et en fonction de ses intérêts[121]. Le parti, à travers son leader, s'était opposé à l'intervention de la France en Afghanistan[122], en Irak et en Libye[123],[124].

Environnement[modifier | modifier le code]

Écologie[modifier | modifier le code]

Nicolas Dupont-Aignan souhaite favoriser le « produire français »[125].

Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France.

Il demande la fermeture des centrales nucléaires vieillissantes situées dans des zones sismiques et le renforcement de la recherche sur les centrales de 4e génération, « plus sûres et plus propres ». À long terme, il souhaite un rééquilibrage de la filière énergétique en fonction du coût, du respect de l’indépendance nationale, de la sûreté et du respect de l’environnement en développant les énergies renouvelables (notamment le solaire)[126].

Pour se donner les moyens de cette politique, le parti demande la réquisition de Total pour mieux réguler le prix de l'essence et pour qu’une partie de ses bénéfices soit consacrée à la transition énergétique[127]. Il propose aussi une fiscalité bonus/malus afin de lutter contre les « comportements pollueurs »[128].

Défense des animaux[modifier | modifier le code]

Nicolas Dupont-Aignan s'engage concrètement pour certains animaux[129]. Sur sa commune de Yerres dont il est maire, il refuse par exemple la venue de cirques avec animaux sauvages[130]. En revanche, il défend la chasse[131].

Il reçoit le soutien de Brigitte Bardot pour avoir demandé que le cheval soit reconnu comme animal de compagnie[132].

Selon le site politique-animaux, Debout la France est le seul parti de la droite française à se positionner « pour les animaux » sur les thématiques les concernant[133].

Logotypes[modifier | modifier le code]

Positionnement stratégique[modifier | modifier le code]

Nicolas Dupont-Aignan et Nigel Farage à Strasbourg, le .

Sur le plan européen, il est l'allié de l'UKIP de Nigel Farage en Grande-Bretagne, des Grecs indépendants du ministre de la Défense Pános Kamménos en Grèce[134]. En , son parti tient un meeting sur l'Europe regroupant des personnalités eurosceptiques (Nigel Farage, Timo Soini, Slavi Binev) issus : de l'UKIP, des Vrais Finlandais, de l'Union nationale Attaque[135].

Pános Kamménos, président des Grecs indépendants, au congrès de Debout la République en 2013.

Par la suite, il a toujours tenu à marquer sa différence avec le FN, évoquant même de possibles listes d'union avec le MRC aux élections européennes de 2014[136]. Debout la République se présentera cependant seul, toutefois allié au niveau européen avec l'UKIP, parti eurocritique[137].

Le parti soutient en 2014 la candidature de Robert Ménard à la mairie de Béziers où ses membres figurent sur sa liste, aux côtés[138]. À l'occasion des européennes de 2014, Nicolas Dupont-Aignan se rapproche de Éric Zemmour à qui il propose d'être candidat dans la région Ile-de-France avant que ce dernier refuse[139].

Depuis 2014, DLF entretient des liens avec la Ligue du Sud, parti localiste identitaire présidé par le député-maire d'Orange Jacques Bompard. Ce dernier s'étant rattaché à la formation souverainiste pour des raisons financières, Dupont-Aignan a voulu nuancer le positionnement de cet ancien membre du bureau politique du FN : « Bompard n’est pas d’extrême droite, il est de droite »[33]. Lors des départementales de 2015, DLF et la Ligue du Sud ont présenté plusieurs binômes communs dans le Vaucluse et les Alpes-de-Haute-Provence[140].

Après la victoire de SYRIZA en Grèce en 2015, Nicolas Dupont-Aignan n'écarte pas l'hypothèse de participer à un gouvernement mené par le Front de gauche « si c'est pour sauver la France »[141].

Nicolas Dupont-Aignan refuse de participer à la primaire de la droite et du centre dont il qualifie le scénario d'« écrit d'avance »[142]. Entre les deux tours de l'élection présidentielle de 2017, Nicolas Dupont-Aignan conclut une alliance avec Marine Le Pen, qui indique qu'il sera son Premier ministre en cas de victoire. Un accord est également annoncé à cette occasion en vue des législatives : portant d'abord sur 120 circonscriptions, il se réduit rapidement à 50 avant d'être abandonné. Néanmoins, plusieurs cadres de DLF se présentent sous les couleurs du FN à cette occasion : Le Figaro estime que le parti « a été noyauté par des cadres pro-FN », en particulier par une jeune garde proche de celle de Florian Philippot[143]. Ce choix stratégique ne semble pas avoir d'influence sur les effectifs des adhérents : en janvier 2018, Nicolas Dupont-Aignan indique avoir reçu 5 000 nouvelles adhésions depuis mai 2017, « pour seulement 222 cartes d’adhérent renvoyées »[144].

Structures et fonctionnement[modifier | modifier le code]

Direction[modifier | modifier le code]

Congrès de Debout la France le .

Le , Nicolas Dupont-Aignan nomme un nouveau bureau national pour Debout la France Les vice-présidents sont Gerbert Rambaud, Anne-Sophie Frigout, Philippe Torre et Cécile Bayle de Jessé. Claude Lévy est nommé trésorier, et Benjamin Cauchy et Jean-Philippe Tanguy sont nommés porte-paroles[145]. À cette équipe viennent s'ajouter les secrétaires et les délégués nationaux ainsi que le président des Jeunes de Debout la France[146],[147].

Le , Dupont-Aignan est réélu président du parti, avec 97,6 % des voix, sans opposition. Les bulletins blancs représent 1,7 % des votes et les nuls 0,7 %. Les électeurs sont au nombre de 8 183, pour 15 632 inscrits[148].

Adhérents[modifier | modifier le code]

Le parti revendique 15 632 adhérents en , soit 4 500 de moins que l'année précédente[148].

Debout les Jeunes[modifier | modifier le code]

Présidents de Debout les Jeunes
Dates Nom
2009-2011 Laurent Seurot
2011-2012 Bruno Potier
2012-2015 Nicolas Calbrix
2015-2018 Alexandre Loubet
2018-2019 Valentin Rebuffat
depuis 2020 Alexandre Sabatou
Logo de Debout les jeunes

Debout les Jeunes est le mouvement jeune de Debout la France.

Dans chaque département, les jeunes adhérents et militants de DLF sont représentés par un « délégué Jeunes ». Un coordinateur régional permet de faire le lien entre chaque département et de coordonner les actions.

Par ailleurs, son assemblée générale fondatrice a lieu le , aux universités de rentrées de Debout La République, à Dourdan dans l'Essonne, où fut élu le premier président de Debout les jeunes, Laurent Seurot. Puis en 2011, ne souhaitant pas continuer, un nouveau président fut élu, Bruno Potier, qui était auparavant chargé de la gestion quotidienne de DLJ[149][réf. souhaitée]. Avant Alexandre Loubet, Nicolas Calbrix dirigeait la structure élu lors de l'Assemblée générale de DLJ du avec 52 % des voix au poste de président face à Maxime Thiébaut, avec une participation de 52 % des adhérents. Celui-ci a nommé quelques jours après le nouveau bureau national de DLJ et engage une réforme des statuts de DLJ[150][réf. souhaitée].

Lors des universités d'été de Debout la France fin , Alexandre Loubet est élu président de DLJ avec 68 % des voix[151]. En juin 2018, Valentin Rebuffat est nommé par Nicolas Dupont-Aignan pour lui succéder. Il quitte ses fonctions en septembre 2019, et Alexandre Sabatou est nommé en janvier 2020 à la présidence de Debout les jeunes.

Personnalités[modifier | modifier le code]

Debout la France compte une sénatrice, l'ex-Front national Claudine Kauffmann, et deux sénateurs divers droite qui lui sont rattachés financièrement, Jean-Louis Masson et Christine Herzog[152],[153].

Le parti obtient un élu aux élections législatives de 2017, Nicolas Dupont-Aignan. José Évrard, membre des Patriotes, et Marie-France Lorho, de la Ligue du Sud, y sont rattachés[154].

Résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Élections présidentielles[modifier | modifier le code]

Année Candidat 1er tour
Voix % Rang
2012 Nicolas Dupont-Aignan 643 907 1,79 7e
2017 1 695 000 4,70 6e

Élections législatives[modifier | modifier le code]

Année 1er tour 2e tour Sièges Gouvernement
Voix % Rang Voix % Rang
2012 151 935 0,59 14e 54 530 0,24 NC[155]
2  /  577
Opposition
2017 265 451 1,17 13e 17 344 0,10 16e
1  /  577
Opposition

Élections régionales[modifier | modifier le code]

Année 1er tour Conseillers Présidents
Voix %
2010 144 942 0,74
0  /  1749
0  /  26
2015 827 262 3,81
0  /  1722
0  /  22

Élections départementales[modifier | modifier le code]

Année 1er tour 2d tour Conseillers Présidents
Voix % Rang Voix % Rang
2011 NC NC[155] NC[155] NC NC[155] NC[155]
7  /  2026
0  /  101
2015[42] NC 0,40 13e NC 0,05 17e
5  /  4042
0  /  101

Élections européennes[modifier | modifier le code]

Année Voix % Rang Sièges Tête de liste
2009 304 585 1,77 10e
0  /  72
Circonscriptions interrégionales
2014 724 441 3,82 7e
0  /  74
2019 795 508 3,51 7e
0  /  79
Nicolas Dupont-Aignan

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Debout la République existe en tant que courant du RPR puis de l'UMP jusqu'au .
  2. Les députés Nicolas Dupont-Aignan, Yves Jégo, Lionnel Luca, Michel Terrot, René André, et les sénateurs Jean-Claude Étienne, Bernard Fournier et Adrien Gouteyron.
  3. Sylvie Perrin est exclue de l'UMP à la suite de sa candidature aux élections européennes de 2004 en deuxième position sur la liste du Mouvement pour la France en Île-de-France.
  4. Jacques Bompard, Véronique Besse, Maurice Leroy, Jean-Pierre Decool, Gilles Bourdouleix et Nicolas Dupont-Aignan.
  5. Jean-Pierre Chevènement, Philippe Darniche, Alex Türk et Jean-Louis Masson.

Références[modifier | modifier le code]

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