Danjoutin
Danjoutin | |||||
La mairie | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Territoire de Belfort | ||||
Arrondissement | Belfort | ||||
Intercommunalité | Grand Belfort | ||||
Maire Mandat |
Emmanuel Formet (EÉLV) 2020-2026 |
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Code postal | 90400 | ||||
Code commune | 90032 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Danjoutinois | ||||
Population municipale |
3 541 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 627 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 36′ 58″ nord, 6° 51′ 52″ est | ||||
Altitude | Min. 342 m Max. 427 m |
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Superficie | 5,65 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Belfort (banlieue) |
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Aire d'attraction | Belfort (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bavilliers | ||||
Législatives | 1re circonscription du Territoire de Belfort | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Territoire de Belfort
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairiedanjoutin.fr/ | ||||
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Danjoutin est une commune française située dans le département du Territoire de Belfort en région Bourgogne-Franche-Comté. Ses habitants sont appelés les Danjoutinois.
Géographie
Description
Danjoutin est une commune franc-comtoise de la périphérie de la ville de Belfort, jouxtant au sud celle-ci et située à 38 km au sud-ouest de Mulhouse, 13 km au nord de Montbéliard, 75 km au nord-est de Besançon et à 17 km de la frontière franco-suisse.
Communes limitrophes
Belfort | Pérouse | |||
Bavilliers | N | Vézelois | ||
O Danjoutin E | ||||
S | ||||
Andelnans |
Hydrographie
Danjoutin est drainé par la Savoureuse, un sous-affluent du Rhône par le Doubs, la Saône et l'Allan.
Le canal de la Haute-Saône, construit pour relier Ronchamp au canal du Rhône au Rhin[1] tangente à l'ouest le territoire communal.
Transports et déplacements
La ville est desservie par :
- les routes départementales D47, D47C, D19 et D23 ;
- l'autoroute A36 ;
- la ligne 3 du réseau d'autobus Optymo, qui donne accès à toutes les autres lignes du même réseau puisqu'elle traverse tous ses pôles d'échanges (Gare, Liberté Follereau/Madrid, Gare TGV, Multiplexe et Clemenceau) ;
- la gare de Danjoutin, implantée sur la ligne de Belfort à Delle. Cela permet d'accéder aux TGV (en effectuant une correspondance en gare de Belfort - Montbéliard TGV), mais aussi au réseau ferroviaire suisse (en changeant de train à la gare TGV précitée ou bien à Delle, selon les horaires). Le territoire communal est également traversé par les lignes de Dole-Ville à Belfort et de Paris-Est à Mulhouse-Ville, ainsi que le raccordement ferroviaire qui relie directement les deux dernières entre elles ;
- la FrancoVéloSuisse, ou grande piste cyclable du Territoire de Belfort, qui relie Belfort, Delle et Porrentruy en Suisse[2].
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La halte ferroviaire
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La liaison cyclable FrancoVéloSuisse
Photo Thomas Bresson.
Urbanisme
Typologie
Danjoutin est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Belfort, une agglomération inter-départementale regroupant 16 communes[6] et 80 035 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belfort dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (43,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (43,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,1 %), zones urbanisées (29,7 %), zones agricoles hétérogènes (21,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,5 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Toponymie
Prope Dampnum Justinum (1317), Danjustin (1342), Danso (1576), Dampjustin (1680)[réf. nécessaire].
Le nom du village viendrait du latin Dominus Justinus ou domus Justini mais on ne le rencontre dans les archives qu'à partir du XIIe siècle.
Histoire
Le village de Danjoutin semble s'être développé au croisement de deux voies romaines dont l'une remontait vers le nord sur la rive gauche de la Savoureuse en venant de Trévenans et l'autre venait de Banvillars en traversant Bavilliers. Des vestiges de cette époque ont été découverts au XIXe siècle suggérant l'existence en cet endroit d'une villa.
Au XIIe siècle Damjustin était le chef-lieu de la « mairie » de l'Assise-sur-l'Eau (rattachée alors à la prévôté de Belfort) qui comprenait également Andelnans, le hameau de Leupe qui fait maintenant partie de Sévenans, Moval, Trétudans et Dorans.
Lors du partage de la succession de Renaud de Bourgogne, en 1347, ces domaines revinrent à Adélaïde, marquise de Bade, fille de Renaud et de la comtesse Jeanne de Montbéliard.
Comme une grande partie de la région, Danjoutin dépend du comté de Ferrette et de la Maison d'Autriche. Après avoir été dévasté par les Écorcheurs en 1441, le village est détruit par les Suédois en 1633 pendant la guerre de Trente Ans.
En 1648, la région de Belfort devint possession du comte de La Suze, mais, en raison de sa participation malheureuse à la Fronde, Louis XIV donne la terre de Belfort en 1654 à son ministre Mazarin.
Pendant la Guerre franco-allemande de 1870, les 7 et , le village est le théâtre de violents combats entre troupes françaises et prussiennes. Danjoutin est témoin d'un des événements majeurs du conflit. Le 3 novembre, l'armée prussienne encercle la région belfortaine et resserre son étau progressivement. Situé au pied de la colline des Perches fortifié par les hommes du colonel Denfert-Rochereau, le village devient un enjeu majeur car sa prise permettrait aux Prussiens d'attaquer le fort qui le domine. Durant plus d'un mois, la localité se trouve en première ligne avec une partie de sa population.
Danjoutin commençe à se développer au cours du XIXe siècle, passant de 400 habitants en 1803 à 694 en 1872 grâce à l'établissement de l'industrie textile dès 1844[13] mais le boom se produit avec l'arrivée de nombreux Alsaciens après 1872 et l'installation de la câblerie de la société Stein qui fournit les câbles des ascenseurs de la Tour Eiffel.
Le village a été desservi par la ligne de Belfort à Sochaux de la compagnie des Chemins de fer d'intérêt local du Territoire de Belfort de 1913 à 1938.
La commune, qui a subi d'importants bombardements alliés le [14] a été décorée le de la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile d'argent[15].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
- Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Belfort du département du Territoire de Belfort.
En 1967, la commune devient le chef-lieu du canton de Danjoutin, créé par redécoupage de l'ancien canton de Belfort[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
- Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bavilliers
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Territoire de Belfort.
Intercommunalité
Danjoutin était membre de la communauté de l'Agglomération Belfortaine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité a fusionné avec la communauté de communes du Tilleul et de la Bourbeuse pour former, le , la communauté d'agglomération dénommée le Grand Belfort, dont Châtenois-les-Forges est désormais membre.
Tendances politiques et résultats
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Territoire de Belfort, la liste menée par le maire sortant EELV Daniel Feurtey obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 809 voix (54,40 %, 18 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant celle UMP de Gilles Dichamp, qui a obtenu 678 voix (5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire), lors d'un scrutin où 35,62 % des électeurs se sont abstenus[17].
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Territoire de Belfort, la liste EELV/DVG menée par Emmanuel Formet — qui avait le soutien du maire sortant Daniel Feurtey, qui ne se représentait pas — obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 541 voix (54,37 %, 21 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant celle DVD menée par Emmanuel Dessaint, qui a obtenu 454 voix (45,63 %, 6 conseillers municipaux élus), lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 56,89 % des électeurs se sont abstenus[18],[19].
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009[23].
Jumelage
Danjoutin est jumelée depuis 1989 avec Leinzell, une ville allemande du Bade-Wurtemberg située à une soixantaine de kilomètres de Stuttgart[24].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].
En 2021, la commune comptait 3 541 habitants[Note 4], en évolution de −4,48 % par rapport à 2015 (Territoire de Belfort : −3,34 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[Quand ?]Il y a trois écoles primaires (2 écoles publiques et 1 école privée sous contrat) ainsi que le Collège Mozart (collège public géré par le conseil départemental du Territoire de Belfort).
Santé
L’hôpital Nord Franche-Comté situé près de Danjoutin à Trevenans est accessible par :
- Ligne 3 du Réseau d’Autobus Optymo depuis l’arrêt « Jacquot » (en référence à l’ancien maire, le docteur Eugène Jacquot) jusqu’à l’arrêt « Hôpital NFC ». Temps du trajet : environ 15 minutes
- Route Nationale en direction de Meroux en passant par le col du Bosmont pour y accéder très rapidement. Temps du trajet : Pas plus de 8 minutes
- Route Départementale via Andelnans, Dorans et Botans dn direction de Trevenans. Temps du trajet : 15 minutes
- Train TER en direction de Delle depuis la gare de Danjoutin, s’arrêter à la gare de Belfort-Montbéliard TGV (Meroux) et marcher jusqu’à l’hôpital. Temps du trajet : 10 minutes
Cultes
- L'église catholique Saint-Just : on y célèbre sous les deux formes du rite romain : ordinaire et extraordinaire.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le fort des Basses Perches[28].
- Le Réduit de Bosmont
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Le fort des Basses Perches
Photo : Thomas Bresson -
L'arrière des chambrées du Fort des Basses Perches.
Photo : Thomas Bresson -
La caponnière double Est du Réduit de Bosmont
Photo : Thomas Bresson. -
Fossé Est du Réduit de Bosmont
Photo : Thomas Bresson.
- La mairie.
- L'église Saint-Just, construite vers 1771 puis agrandie au XXe siècle.
Elle est victime d'un incendie détruisant l'orgue[29] et une partie du clocher en juin 2011[30],[31].
Un nouvel orgue de 24 jeux réalisé par le facteur Londe dans le style baroque d’Allemagne est implanté sur une petite estrade, en bas dans la nef et a été inaugiré en 2015[32].
L'horloge de l'église a été réalisée en 1930 par J & A Ungerer[33]
- Monuments aux morts[34] :
- Monument aux morts, près de l'église ;
- Monument aux morts de la guerre franco-allemande de 1870, au cimetière ;
- Monument commémoratif 1870-1871, en face de la mairie, à l'arrière du monument aux Morts.
- La fontaine Saint-Tiburce[35] ;
- Les monuments commémoratifs :
- Le buste Émile-Louis Heck,
- La place du Souvenir,
- Le circuit de découverte du patrimoine naturel[36].
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Église Saint-Just.
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Un des quatre lions ailés sur le clocher de l'église Saint Just de Danjoutin
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Fontaine saint Tiburce
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Boulets de canon sur une croix , sur une façade de maison
- Patrimoine industriel de la commune :
- Tissage et filature de coton Bornèque, puis de la Société des Filatures et Tissages de Danjoutin, 16 à 30 rue d' Andelnans[13].
- Usine de blanchiment et de teinturerie J. Schmitt, puis Guth et Cie, puis Teinturerie Alsacienne, puis usine de produits chimiques Beauseigneur, 16 rue du Docteur Fréry[37].
- Tréfilerie, puis usine de construction mécanique Stein, 22 rue du Général Leclerc[38]..
Personnalités liées à la commune
- Émile-Louis Heck (1866–1943)[pourquoi ?], premier professeur de littérature française a l'Université impériale de Tokyo, et Grand directeur de l'Étoile du matin
- Paul Éluard[pourquoi ?], poète.
Héraldique
Les armes peuvent se blasonner ainsi : « d'or aux deux loups d'azur passant l'un sur l'autre. » |
Voir aussi
Bibliographie
- « Commune : Danjoutin : Liste des espèces recensées », Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- « Dossier complet : Commune de Danjoutin (90032 ) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Danjoutin », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Un arrêt de la ligne 3 du réseau d’autobus Optymo porte le nom de ce maire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- « Découvrir Trévenans », Vie municipale, sur http://www.trevenans.fr (consulté le ).
- « Une liaison transfrontalière franco-suisse », Pistes cyclables, sur https://www.territoiredebelfort.fr (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Belfort », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Belfort », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Tissage et filature de coton Bornèque, puis de la Société des Filatures et Tissages de Danjoutin : Dossier IA90000035 », Inventaire régional du patrimoine de Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
- « 25 mai 1944 : Bombardements en cascade », L'Histoire en rafale / Les guerres d'hier au jour le jour, (consulté le ).
- Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Résultats officiels pour la commune Danjoutin
- Wassila Guittoune, « Municipales à Danjoutin : la ville comme laboratoire écologique ? : Avant les élections municipales, France Bleu Belfort Montbéliard passe chaque jour les enjeux des communes à la loupe. Septième étape : Danjoutin, ville étiquetée écolo depuis plus de 15 ans. Deux candidatures vont s'y affronter lors de cette élection municipale 2020 », France Bleu Belfort Montbéliard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Elections municipales 2020 », sur elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Daniel Feurtey range son écharpe de maire », L'Est Républicain, (lire en ligne, consulté le ) « À l’issue de son troisième mandat, le maire de Danjoutin, Daniel Feurtey, 59 ans, conseiller pédagogique, ne se représente pas aux prochaines élections municipales ».
- « Emmanuel Formet élu maire », L'Est Républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- Nicolas Wilhelm, « Municipales dans le Territoire de Belfort : des salariés de General Electric candidats : En plein cœur d'un plan social qui frappe leur entreprise, de nombreux salariés de General Electric s'engagent cette année dans la campagne des municipales. Têtes de liste ou co-listiers, ils ne sont pas là pour faire de la figuration », France Bleu Belfort Montbéliard, (lire en ligne, consulté le ).
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Danjoutin, consultée le 26 octobre 2017
- « Jumelage », sur https://www.mairiedanjoutin.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Cavités souterraines : ouvrages militaires
- « Danjoutin, église Saint Just : Orgue Jacquot Lavergne (1937) - Jean-Marc Cicherro (2003) », Les Orgues (consulté le ).
- « Danjoutin (90) : incendie de l'église - France 3 Franche-Comté », sur France 3 Franche-Comté (consulté le ).
- « Orgue (grand orgue) : Dossier IM90000050 », Patrimoine en Franche-Comté, Inventaire régional du patrimoine de Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
- « DANJOUTIN – Église Saint-Just », Orgues neufs, Les Orgues Londe (consulté le ).
- « Danjoutin (Territoire de Belfort - France) », Édifices avec horloges anciennes du Territoire de Belfort, Notre patrimoine horloger (consulté le ).
- « Synthèse des relevés - Danjoutin (90 - Territoire de Belfort) », sur http://www.memorialgenweb.org (consulté le ).
- « La fontaine Saint-Tiburce reconstruite à l’identique : Les travaux de reconstruction de la fontaine Saint-Tiburce ont débuté et devraient s'achever sous une dizaine de jours. Le mur de soutènement de la fontaine située rue des Prés avait été détruit à la suite d'un accident en décembre 2017 », L'Est Républicain, (lire en ligne, consulté le ).
- L’histoire des forêts communales
- « Usine de blanchiment et de teinturerie J. Schmitt, puis Guth et Cie, puis Teinturerie Alsacienne, puis usine de produits chimiques Beauseigneur : Dossier IA90000037 », Inventaire régional du patrimoine de Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).
- « Tréfilerie, câblerie Stein : Dossier IA900000367 », Inventaire régional du patrimoine de Bourgogne-Franche-Comté, (consulté le ).