Cunlhat

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Cunlhat
Cunlhat
Vue générale de Cunlhat.
Blason de Cunlhat
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Ambert
Intercommunalité Communauté de communes Ambert Livradois Forez
Maire
Mandat
Chantal Facy
2020-2026
Code postal 63590
Code commune 63132
Démographie
Population
municipale
1 307 hab. (2021 en augmentation de 4,73 % par rapport à 2015)
Densité 44 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 37′ 58″ nord, 3° 33′ 36″ est
Altitude Min. 540 m
Max. 1 014 m
Superficie 29,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Monts du Livradois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Cunlhat
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Cunlhat
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Cunlhat
Liens
Site web cunlhat.fr

Cunlhat (prononcé /kɛ̃.ja/, ou /kœ̃.ja/) est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

L'Alleyras Basse, la Barde, Beauregard, Boscène, le Bouchet, Bouffoux, le Bourg, la Bravardie, la Brugère, les Bruneilles, la Brunelie, Cammas, Campines, Chabrol, le Chalard, Chalendrat, le Chapioux, Chardy, le Coin, le Colombier, Coudeix, Courteisseire, le Cros, l'Espinassière, les Faidides, la Font, Fontbonne, Fontrias, Forest, le Feder, Puissochet, Gathier, Gonteix, Gouttebessis, la Grainetie, Grange, la Gravière (à cheval sur la commune d'Auzelles), la Guelle, la Guillaumie, Lacost, Lescure, Ligonie, Lossedat, le Malberton, Mandet, Marèche, Mas du Bost, les Meules, le Monneyroux, Montabrut, la Morille, Mounoux, Olagnier, l'Olme, Omaly, Pacher des Bœufs, Palasse, le Pénafet, le Perrier, le Petit Chignat, le Petit Verdier, la Petite Mouliche, les Pins, le Pont de Palasse, les Prades (1), les Prades (2), les Prades (3), les Rouchoux, Roussy, Ruinoux, Sagnes, le Sardier, Terrol (château), la Vaissière, le Verdier, le Vernet, Vialatte, la Vironne (2), Vironne (1).

Transports[modifier | modifier le code]

Cunlhat est desservie le lundi et le vendredi par la ligne 24 des bus du réseau départemental Transdôme en direction et en provenance de Clermont-Ferrand via Billom.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 987 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,2 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].

Statistiques 1991-2020 et records CUNLHAT (63) - alt : 700m, lat : 45°38'04"N, lon : 3°33'27"E
Records établis sur la période du 01-01-1947 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1 −1,2 1,2 3,5 7,2 10,5 12,2 12,1 8,8 6,5 2,4 −0,1 5,2
Température moyenne (°C) 2,6 2,9 6,1 8,8 12,7 16,4 18,4 18,4 14,4 11 6,1 3,4 10,1
Température maximale moyenne (°C) 6,1 7 11 14,1 18,3 22,2 24,7 24,8 20,1 15,5 9,8 6,9 15
Record de froid (°C)
date du record
−22,5
12.01.1987
−23
12.02.1956
−18,5
01.03.05
−8,5
13.04.1958
−3,5
06.05.1957
−2
07.06.1962
2,5
01.07.1962
1
23.08.1969
−3
22.09.1948
−8
27.10.1947
−13
22.11.1998
−18
25.12.1962
−23
1956
Record de chaleur (°C)
date du record
22,5
01.01.22
24,5
28.02.1960
27
28.03.1948
31
17.04.1949
34
17.05.1953
36,7
26.06.19
39
01.07.1952
38
12.08.03
35
07.09.1970
31
10.10.1967
24,9
08.11.15
21,5
03.12.1985
39
1952
Précipitations (mm) 67,2 60,8 60,3 85,2 110,2 100,6 84 90,6 91,8 94,6 97,3 67,6 1 010,2
Source : « Fiche 63132002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cunlhat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (48,3 %), forêts (41,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), zones urbanisées (3,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

L'origine de Cunlhat est vraisemblablement liée à la présence d'une villa gallo-romaine. Le nom de la commune provient du nom propre romain Cumiliacus. Sous l'Ancien Régime, Cunlhat était une viguerie et constituait une des terres les plus riches de la seigneurie de Montboissier[réf. nécessaire].

Le bourg s'est constitué autour de l'abbatiale devenue église paroissiale. Les moines bénédictins ont fondé le marché qui depuis le XIIIe siècle a toujours lieu le mercredi.

Durant la Révolution française, Cunlhat a connu des journées insurrectionnelles qui ont conduit à la décapitation du meneur, Coiffier de Terraules[12].

Sous la Troisième République, Cunlhat a pour maire entre 1882 et 1907 Edmond Guyot-Dessaigne. Il a été député du Puy-de-Dôme et plusieurs fois ministre. C'est en tant que garde des Sceaux de 1906 à décembre 1907 qu'il a eu à mettre en œuvre la loi de 1905.

Pendant plus de dix ans (1988-2001), Cunlhat a accueilli le plus grand rassemblement européen de Harley-Davidsons[13].

De 2002 à 2008, il a été organisé un symposium d'art moderne, Chantiers d'art, de réputation internationale[réf. nécessaire] où de nombreux artistes ont été primés, comme le sculpteur espagnol Dinoja.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1881 1907 Edmond Guyot-Dessaigne radical de gauche Président du conseil général (1901-1907)
ministre de la Justice (1889, puis 1906-1907)
ministre des Travaux publics (1895-1896) député radical
1971 1976 Albert Clément DVG  
1976 2001 Henri Rigal (4 mandats + 1 an) PS Conseiller général[précision nécessaire]
2001 2008 Jean Bernard UMP  
2008 2014 Gilbert Bonnefoy DVG Conseiller général[précision nécessaire]
mars 2014 mai 2020 Frédéric Fargette[14]    
mai 2020 En cours
(au 10 août 2020)
Chantal Facy[15]   Retraitée[16]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

En 2021, la commune comptait 1 307 habitants[Note 2], en augmentation de 4,73 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 8262 8252 9903 0393 4703 3253 4343 4713 000
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 9962 9822 8882 9342 9963 1683 1073 0162 813
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7492 7842 6142 2842 2121 9511 8531 6691 524
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 4091 4291 4081 4161 4111 3501 3231 3221 292
2015 2020 2021 - - - - - -
1 2481 3191 307------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin.
Plan d'eau de Cunlhat.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin de Cunlhat fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [21].

Des éléments de mobilier ecclésiastique sont répertoriés par l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • Calice (4e quart du XVIIIe siècle, réalisé par l'orfèvre Jean Charles Duchesne) ;
  • Calice et patène (XVIIIe siècle, réalisés par l'orfèvre Mathieu Vincent Delarbre) ;
  • Encensoir (1re moitié du XIXe siècle) ;
  • la Trinité, groupe statuaire (XVIe siècle) ;
  • Cloche (3e quart du XVe siècle) ;
  • Croix d'autel (crucifix) (XVIIe siècle) ;
  • Pentures et verrou (XIIIe siècle) ;

L'église est en fait une abbatiale qui faisait partie d'un monastère bénédictin.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Demeure des Montboissier dans le bourg, XVe siècle (bâtiment privé).
  • Motte castrale de Ramia[22]. située près du Mas du Bost sur le parcours de randonnée : le chemin de l'An Mil.
  • Motte castrale du Chalard[22].
  • Motte castrale de Cunlhat[22] : (au-dessus de l'actuelle place Lamothe (quartier de La Motte au cadastre de 1819)). La maison de retraite a été construite en 1896 en lieu et place de l'ancienne chapelle castrale dédiée à Notre-Dame. L'hospice était confié à la congrégation des sœurs Saint-Vincent-de-Paul. C'est aujourd'hui un EHPAD (Etablissement pour personnes âgées dépendantes) public, couplé à un SSIAD (Service de soins infirmiers à domicile), un service de portage de repas à domicile et une location de logements annexes.
  • Ces établissements publics sont réunis en direction commune depuis 2017 avec un Etablissement d'aide au travail (ESAT), des Foyers pour personnes en situation de handicap (Foyer de vie, Foyer d'accueil médicalisé, Foyer d'hébergement), ainsi qu'un Service d'accompagnement à la vie sociale, tous installés depuis les années 80 sur le site de l'ancien IME créé en 1973. Au total, la direction commune de Cunlhat accompagne plus de 300 personnes vulnérables et promeut leur autonomie et leur inclusion dans la cité.
  • Château de Terrol : XVe siècle (privé).
  • Château du Verdier : XVIIe siècle, château de la famille des Rochon du Verdier, bailli de Montboissier, jusqu'au XXe siècle (privé)
  • La résidence du Collombier (XIXe siècle), ancien hôtel, actuellement transformé en résidence d'artiste avec salle d'exposition[23].
  • L'École des frères : ancien couvent transformé en école, en contrebas de la maison de retraite, bâtisse du XIXe siècle, maintenant devenue résidence secondaire privée.
  • En 2008, le centre omnisports Roger-Fayet (ancien maire de Ceilloux) ouvre ses portes.
  • La place principale du village, aujourd'hui appelée place du Marché était appelée sur le cadastre du XIXe siècle place des Fossés-du-Prieuré . Elle conservait jusque dans les années 1980 de vieux arbres dont un gros tilleul que la légende locale disait avoir été planté à l'occasion d'une visite en Auvergne de Louis XIV (peut-être un souvenir de l'inventaire des forêts initié par Colbert). Les registres municipaux signalent également la plantation d'un arbre de la Liberté vers 1792. Fragilisés par une taille mutilante, ces arbres ont dû être abattus.
  • Le Collombier, la résidence d'accueil d'artistes de Cunlhat. Au cœur de Cunlhat, cet ancien hôtel-restaurant est un lieu de rencontre autour des arts plastiques.
  • Hôtel de la Caisse d'épargne, inauguré en 1935.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Joseph Groisne (1768 - 1812), général des armées de la République et de l'Empire, décédé à Dantzig des suites de ses blessures reçues à la bataille de la Bérézina.
  • André Eugène Costilhes est né à Cunlhat en 1865. Artiste peintre, il fut l'élève de Léon Bonnat et exposa au Salon des artistes français entre 1910 et 1932. Il peint un décor dans un café de Cunlhat.
  • Maurice Pialat y est né le 21 août 1925, actuelle rue du 8-Mai-1945. Il tourne un de ses premiers courts métrages à Cunlhat (congrès eucharistique de 1952), quelques scènes de La Gueule ouverte sont également tournées en Auvergne et l'on pourra repérer dans certains de ses films des allusions directes ou plus cachées à sa région d'origine (Van Gogh, Nous ne vieillirons pas ensemble. Son dernier film Le Garçu, a été tourné en partie à Cunlhat, notamment dans les locaux de la maison de retraite. Fin 2004, la commune de Cunlhat a donné le nom de Maurice Pialat à une petite place au centre du bourg face à l'immeuble où ses parents ont tenu un commerce à la fin de leur vie.
  • Edmond Guyot-Dessaigne, avocat natif de Brioude, il devint Maire de Cunlhat dès 1881 et le resta jusqu'à sa mort en 1907. Il fut choisi comme ministre de la Justice en 1889 par Charles Floquet puis par Clemenceau en 1906-1907, et comme ministre des Travaux publics en 1895-1896 par Léon Bourgeois.
  • Antoine Richard (1890-1947), historien, professeur, militant communiste et syndicaliste français né à Cunlhat.

Héraldique[modifier | modifier le code]

D'azur semé de croisettes d'or, au château de trois tours du même, celle du milieu surélevée, ouvert du champ et maçonné de sable, brochant sur le tout. Le semé de croisettes rappelle les armoiries de la famille de Montboissier, ancien seigneur de Cunlhat.

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Station Météo-France « Cunlhat » - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Cunlhat » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  6. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  8. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. Marc de (1841-1918) Auteur du texte Vissac, Le tribunal criminel du Puy-de-Dôme, 1791 à 1800 / par Marc de Vissac, (lire en ligne).
  13. Centre France, « Centenaire de La Montagne - Il y a trente ans, le Free Wheels débutait à Cunlhat : retour sur quinze éditions vues dans La Montagne », sur lamontagne.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  15. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
  16. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 26 (édition du Puy-de-Dôme).
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Notice no PA00092109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. a b et c Joseph Gagnaire, Les fortifications médiévales de l'arrondissement d'Ambert et ses abords, Éditions ACVAM, Issoire, 2002.
  23. Le Collombier.