Cheval-Blanc

Cheval-Blanc | |
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![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur |
Département | Vaucluse |
Arrondissement | Apt |
Canton | Cheval-Blanc (bureau centralisateur) |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Luberon Monts de Vaucluse |
Maire Mandat |
Christian Mounier 2014-2020 |
Code postal | 84460 |
Code commune | 84038 |
Démographie | |
Gentilé | Chevalblanais Chevalblanaises |
Population municipale |
4 215 hab. (2016 ![]() |
Densité | 72 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 48′ 06″ nord, 5° 03′ 50″ est |
Altitude | 81 m Min. 76 m Max. 725 m |
Superficie | 58,56 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.ville-chevalblanc.fr |
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Cheval-Blanc est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ses habitants sont appelés les Chevalblanais[1].
Sommaire
Géographie[modifier | modifier le code]
Cheval-Blanc est une commune située à la pointe ouest du petit Luberon.
Transports[modifier | modifier le code]
La route départementale 973 passe par la « Canebière » de Cheval-Blanc, ainsi que la route départementale 31.
La ligne TGV Lyon-Marseille passe sur le territoire de la commune sans qu'il n'y ait d'arrêt. La gare TGV la plus proche est la gare d'Avignon TGV, et l'autoroute la plus proche, l'A7 avec un accès depuis Cavaillon. Lors de la construction de cette ligne SNCF, une grande base de travaux et un dépôt d'engins de travaux ferroviaires portant le même nom que le village furent implantés sur la commune.
Relief[modifier | modifier le code]
Il est très contrasté. La commune est divisée en deux, d'un côté la plaine irriguée dans le lit majeur de la Durance, de l'autre le début de la surrection du Luberon.
Géologie[modifier | modifier le code]
Le sol en plaine est formé de dépôts duranciens[1]. Le massif du Luberon compose l'autre partie de la commune. Cette chaîne a commencé à se former au Crétacé inférieur, c'est-à-dire entre -135 et -95 millions d'années pour finir de se plisser à partir de -15 millions d'années d'abord dans un axe nord-sud, puis N.NE-S.SO. entre -7 et -3 millions d'années. Ces compressions successives ont trouvé leurs termes au Pliocène[2].
Sismicité[modifier | modifier le code]
Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[3].
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Le territoire de la commune est limité au sud par la Durance et il est traversé par le Régalon. Cette rivière, au débit pluvial, prend sa source dans le Luberon où elle a creusé des gorges dont les parois, hautes de plus de 50 mètres, sont, par endroits, rapprochées à moins d'un mètre. Dérivé des eaux de la Durance, le canal Saint-Julien ainsi que ceux du Cabedan Vieux et Neuf irriguent la commune[1].
Climat[modifier | modifier le code]
La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare. Protégée par le Massif du Luberon, la commune est partiellement abritée du mistral.
La station météorologique de référence est située à Cavaillon[4].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2 | 3 | 6 | 8 | 12 | 15 | 18 | 18 | 14 | 11 | 6 | 3 | 9,6 |
Température moyenne (°C) | 6 | 8 | 11,5 | 13 | 17,5 | 22 | 24,5 | 24 | 19 | 15 | 10 | 6,5 | 15,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 10 | 12 | 16 | 18 | 23 | 27 | 30 | 30 | 24,7 | 20 | 13,1 | 10 | 20,3 |
Précipitations (mm) | 36,5 | 23,3 | 24,9 | 47,7 | 45,6 | 25,4 | 20,9 | 29,1 | 65,8 | 59,6 | 52,8 | 34 | 437 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
10 2 36,5 | 12 3 23,3 | 16 6 24,9 | 18 8 47,7 | 23 12 45,6 | 27 15 25,4 | 30 18 20,9 | 30 18 29,1 | 24,7 14 65,8 | 20 11 59,6 | 13,1 6 52,8 | 10 3 34 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Toponymie[modifier | modifier le code]
Son nom est issu d'une enseigne d'auberge.
Histoire[modifier | modifier le code]
Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]
Dans les gorges du Régalon dont les parois, par endroits, atteignent plus de 50 mètres de haut dans un couloir n’excédant pas un mètre, certaines grottes furent occupées du néolithique à l’âge du bronze comme celle du Puceu. Le vallon de Vidauque a, lui aussi, livré des traces d’implantation préhistorique. Mais le site utilisé le plus tôt fut la «Baumo doù Luce» qui a été caractérisé comme un abri moustérien et daté de –350 000 ans. À l’époque phocéenne, le commerce avec les « emporiès » (négociants) de Massalia fut florissant si on en croit le nombre de monnaies retrouvées datant de cette époque[5].
Moyen Âge[modifier | modifier le code]
Tout au long du Moyen Âge, des communautés tentèrent de s’implanter sur les sites de Saint-Phalès, Saint-Ferréol et la Roquette. En 1096, le prieuré de Saint-Phalès était une dépendance de Saint- André de Villeneuve-lès-Avignon[6]. Cette abbaye le céda en précaire à celle de Sénanque de 1178 à 1202, puis à l’évêque de Cavaillon[7].
Saint-Ferréol fut au XIIe siècle un des prieurés de Saint-Eusèbe de Saignon (1154). Il était situé près d’une source, sur le vieux chemin ligure menant à Mérindol par le col du Grand Devens, mais il ne parvint pas à devenir le centre d’une agglomération[7]. En 1178, il passa à l’abbaye Saint-André de Villeneuve[8].
Au XIIe siècle, en 1171 précisément grâce à un acte notarié de déviation des eaux de la Durance, la création du canal Saint-Julien permet l’irrigation des terres arables[7].
Le château de la Roquette, qui est cité en 1245 dans le «Livre Rouge» d’Alphonse de Poitiers (Castro Roqueta), faillit arriver à être le point de concentration d’un village. Mais il ne constitue plus aujourd’hui qu’un domaine où se trouvent quelques vestiges des murailles du XIIe siècle et les vestiges de la Tour de Guet[7].
Quant au prieuré de Saint-Phalès, il rentra ensuite, par échange, dans la mense de Bermundus, l’évêque de Cavaillon. Il était sous la gouverne d’André II, administrateur du pape avignonnais Benoît XIII, en 1397, quand au printemps, les troupes de Raymond de Turenne, conduites par Gantonnet d'Abzac, le mirent à sac et firent fuir les habitants qui se pressaient autour[7].
Renaissance[modifier | modifier le code]
Les évêques de Cavaillon surent profiter, quelques décennies plus tard, du repeuplement de Mérindol pour accueillir à Saint-Phalés déserté des familles vaudoises. Mais les massacres de 1545 ruinèrent cette bastide qui était encore cartographiée au XVIIIe siècle comme le village de Saint-Falez. Les co-seigneurs du fief de la Roquette étaient le vicomte et l’évêque de Cavaillon, les consuls de la ville prirent leur succession. Les évêques avaient inféoder leur part aux Grillet des Taillades du XVe au XVIe siècle. Au nord de ce site, la Bastide des Mayorques est plus récente n’ayant été construite qu’au XVIIIe siècle par un réfugié politique anglais[7].
Période moderne[modifier | modifier le code]
La décision de créer un véritable village fut prise le par Louis-Joseph Crispin des Achards de la Balme, évêque de Cavaillon, en fondant une paroisse sous le nom de Saint-Paul près de l’Auberge du Cheval Blanc, à l’arrivée du bac sur la Durance. Le territoire de cette paroisse qui allait devenir commune était retranché de celui de Cavaillon qui s'étendait alors jusqu’aux portes de Mérindol[9]. Saint-Paul de Cheval-Blanc se constitua en commune en 1790 et changea son nom en Blanc-Montagne quatre ans plus tard pour suivre le décret de la Convention. Ce n’est que sous l’Empire, en 1804, que ses édiles optèrent définitivement pour Cheval-Blanc[1].
Le quartier de la Canebière, tout comme la célèbre avenue de Marseille, doit son nom au chènevis (cannabis).
Le 12 août 1793 fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.
Période contemporaine[modifier | modifier le code]
Toute une série de travaux d'aménagement ont été réalisés ou sont en cours à la fois pour l'irrigation des cultures avec l'aménagement du canal Saint-Julien, et pour l'accueil : parkings, enfouissement des lignes et des câbles, aménagement d'un jardin d'enfants.
Héraldique[modifier | modifier le code]
Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'azur au cheval d'argent rampant[10]
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Politique et administration[modifier | modifier le code]
Cheval-Blanc fait partie de l'aire urbaine de Cavaillon.
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Fiscalité[modifier | modifier le code]
Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
---|---|---|---|---|
Taxe d'habitation (TH) | 8,36 % | 0,00 % | 7,55 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 15,45 % | 0,00 % | 10,20 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 29,44 % | 0,00 % | 28,96 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 00,00 % | 20,97 % | 13,00 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[13].
En 2016, la commune comptait 4 215 habitants[Note 1], en augmentation de 2,58 % par rapport à 2011 (Vaucluse : +2,27 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Économie[modifier | modifier le code]
Agriculture[modifier | modifier le code]
La grande richesse de Cheval-Blanc reste les fruits et légumes grâce à un important réseau d’irrigation. Le premier canal créé fut celui de Sain-Julien au XIIe siècle, c'est le plus ancien de toute la Provence. Il fut creusé à la suite d'une concession faite en mai 1171 par Raymond V de Toulouse, comte de Provence, à Benoït, évêque de Cavaillon. Originellement, cette capture des eaux de la Durance devait uniquement servir à faire tourner les moulins. Mais en février 1225, le droit d'arrosage fut acquis[16].
Le canal de Cabedan Vieux, réalisé par l'architecte Marie-Joseph Brun a été mis en eau en 1776, les travaux de celui de Cabedan Neuf, sur ordre du vice-légat Salviati, commencèrent en décembre 1765 et furent achevés deux ans plus tard[7].
Village pilote en matière d'installation photovoltaïque (école, salle des fêtes, etc.).
La commune produit des vins AOC côtes-du-luberon. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément le label Vin de pays d'Aigues[17].
Activités[modifier | modifier le code]
Quelques entreprises sont encore installées sur la commune.
Tourisme[modifier | modifier le code]
Comme l'ensemble des communes proche du Luberon, le tourisme joue un rôle, directement ou indirectement, dans l'économie locale.
On peut considérer trois principales sortes de tourisme en Luberon. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon et ses environs[18].
À cela se rajoute la proximité de la Durance, des gorges de Régalon et de divers autres lieux à fort potentiel touristique.
Il existe un office de tourisme intercommunal sur la commune, au niveau de la Canebière[19].
Vie locale[modifier | modifier le code]
- Marché hebdomadaire de Cheval-Blanc se tient tous les mercredis matins.
- Marché nocturne dinatoire (août) organisé par la mairie.
- Maison des Associations, salle des fêtes et bibliothèque intercommunale[19].
Santé[modifier | modifier le code]
On trouve sur la commune un docteur seulement, un cabinet dentaire, ainsi qu'un centre de secours et un foyer du 3e âge (L'Oustau)[19].
Sports[modifier | modifier le code]
La commune dispose de plusieurs stades et tennis, d'une salle des sports[19].
Un club de football, le Football Club Cheval Blanc (F.C.C.B) évoluant actuellement en Première division[20] du district Rhône Durance fondé en 1973.
Un club de Rugby à XIII, le Cheval-Blanc XIII.
Enseignement[modifier | modifier le code]
La commune dépend de l'Académie d'Aix-Marseille[21]. La commune dispose d'une école maternelle et primaire[19] avec cour de récréation équipée de toboggans et bacs à sable. L'école maternelle de la Roquette accueille 36 enfants[22]. L'école primaire Marius André accueille 219 élèves[23].
Cultes[modifier | modifier le code]
Catholique, église paroissiale Saint-Paul.
Culture[modifier | modifier le code]
La commune bénéficie d'une grande médiathèque de l'agglomération LMV ainsi que d'une salle des fêtes (la salle des moulins ) où de nombreuses manifestations ont lieu.
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Site Saint Phalès ou Saint Féli est un ensemble de plusieurs bâtiments situés dans le Luberon. Il fut tour à tour la propriété des moines de l'abbaye Saint Victor de Marseille, de l'évêché d'Arles et des chartreux de Villeneuve lez Avignon.
- La chapelle Saint Ferréol est une chapelle du XIe siècle située au hameau du même nom. Cette chapelle inscrite au patrimoine est aujourd'hui privée.
- L'église Saint-Paul est une ancienne chapelle, datée de 1650, agrandie en 1744, et consacrée le . Elle fut à nouveau agrandie en 1850. Les cloches proviennent de deux chapelles aujourd'hui disparues aux quartiers des Tuilières et des Grands Terres[1].
- La chapelle Sainte-Thérèse
- Roue à aubes du canal Saint-Julien
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Knud Viktor, artiste plasticien sonore, vidéaste et compositeur d’art sonore danois né à Copenhague en 1924 et décédé le 10 juin 2013, a vécu cinquante ans dans la commune de Cheval-Blanc, près des gorges de Régalon.
Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876.
- Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références[modifier | modifier le code]
- Robert Bailly, op. cit., p. 156.
- Jacques Buisson-Catiln Le Luberon des origines, Notice 4 d'archéologie vauclusienne, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1997. p. 9.
- Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
- « Station météo la plus proche : Cavaillon », MSN Météo
- Jacques Buisson-Catiln Le Luberon des origines, Notice 4 d'archéologie vauclusienne, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1997. p. 46.
- Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du Xe au XIIIe siècle », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN 1254-9371), (ISBN 2-906162-54-X), p. 217.
- Robert Bailly, op. cit., p. 157.
- Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, op. cit., p 217
- Jules Courtet, op. cit., p. 151.
- Armorial des communes du Vaucluse
- « Impôts locaux à Cheval-Blanc », taxes.com
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- C. Charretier, Un village comtadin : Cheval-Blanc, Éd. du Bulletin des Engrais, paris, 1939, cité par Robert Bailly, op. cit., p. 157.
- Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse : Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
- Voir Massif du Luberon
- http://www.ville-chevalblanc.fr/equipements/equipements.htm
- « Site officiel District de Rhône-Durance : Championnats, Coupes, Clubs », sur rhone-durance.fff.fr (consulté le 26 mai 2016)
- académie d'Aix Marseille
- école maternelle de la Roquette
- école primaire Marius André