Méthamis

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Méthamis
Méthamis
Le village perché.
Blason de Méthamis
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Ventoux Sud
Maire
Mandat
Jean-Marc Teste
2020-2026
Code postal 84570
Code commune 84075
Démographie
Gentilé méthamissiens, méthamissiennes
Population
municipale
447 hab. (2021 en augmentation de 4,68 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 00′ 55″ nord, 5° 13′ 29″ est
Altitude 318 m
Min. 228 m
Max. 891 m
Superficie 36,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Carpentras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pernes-les-Fontaines
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Méthamis
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Méthamis

Méthamis [metamis] est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont les Méthamissiens et les Méthamissiennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Méthamis et le mont Ventoux.

Méthamis est un village type provençal du Comtat Venaissin, construit à flanc de rocher à la sortie des gorges de la Nesque et accolé aux contreforts des monts de Vaucluse, entre le Luberon et le mont Ventoux.

Communes limitrophes de Méthamis
Malemort-du-Comtat Blauvac
Méthamis Monieux
Venasque Murs Lioux

Accès et transports[modifier | modifier le code]

La route départementale 5 traverse la commune d'est en ouest. L'autoroute le plus proche est l'autoroute A7 et la gare TGV celle d'Avignon. La ville de Carpentras est située à 17 kilomètres.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse, dont celui de Mormoiron auquel appartient la commune, sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Passage de la Nesque.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 784 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 3,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Murs », sur la commune de Murs à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 13,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,2 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Le mistral[modifier | modifier le code]

Dans cette commune qui produit des ventoux (AOC), aucun vigneron ne se plaint du mistral - même violent, car celui-ci a des avantages bénéfiques pour le vignoble. Il élimine toute humidité superflue après les orages, dégage le ciel et lui donne sa luminosité, préserve les vignes de nombre de maladies cryptogamiques et les débarrasse d'insectes parasites[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Méthamis est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carpentras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), cultures permanentes (4,6 %), prairies (1,1 %), zones urbanisées (0,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom attesté le plus ancien du village date de 1206 et est celle de « Nometana ». En 1253 et 1313, le village est surnommé « Nometamiis ». En 1414, sur un cadastre, il est dénommé « Nometameis »[16]. Malgré de nombreuses appellations, la racine est la même et viendrait du gaulois « Nemeton » qui signifie « sanctuaire, temple, lieu sacré »[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Une présence importante tout au cours du Néolithique a été identifiée sur tout le territoire de la commune. Les sites de Sous Roque Plane et Génestriers ont fourni un outillage lithique très diversifié. Quant à l'Abri de l'église, dans les gorges de la Nesque, il a été constamment occupé du Néolithique ancien jusqu'au Moyen Âge.

Durant l'indépendance gauloise, le territoire de la commune se trouvait sur celui de la tribu gauloise des Meminii dans la confédération des Cavares.

La colonisation romaine a fourni une tête de marbre, un cippe épigraphique et une monnaie d'argent d'Auguste.

Lors de fouilles en 1987 au lieu-dit le clos Sainte-Ursume dans le massif des Auzières, à la limite des communes de Blauvac et Méthamis, un sanctuaire antique dédié au dieu Mars a été découvert sur l'emplacement d'une ancienne chapelle[18]. L'occupation de ce sanctuaire est attestée entre le Ier siècle av. J.C et le IVe siècle ap. J.C. Sur ce lieu, des lampes à huile et deux dédicaces ont été découverts. Ces dernières sont dédiés au dieu Mars[19].

Sur la dédicace la mieux conservée, il est écrit : M(arti), u(otum) s(oluit) l(ibens) m(erito), M(arcus) Acilius Aui+ [pro fili]o su[o] RO+. Dont la traduction serait : À Mars, Marcus Acilius Av... (sûrement Avitius devant la similarité avec un épigraphe à Saint-Didier) s'est acquitté de son vœu de bon gré, à bon droit ... pour son fils (?)...[20].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La première citation du village est attestée en 1206. Il est alors dénommé « Nometana ». Fief des Alphanti au XIIIe siècle puis des Thézan du XVe siècle à la Révolution, la commune eut à subir les guerres de religion.

Très peu peuplée au Moyen Âge, avec une vingtaine de maisons (soit moins de 100 habitants), Méthamis avait néanmoins construit une muraille pour se protéger[21].

Période moderne[modifier | modifier le code]

Méthamis fut prise et occupée par les protestants en 1563.

Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes. Il y a alors 767 Méthamisiens[22].

À la fin du XIXe siècle, les mines de Lignite à proximité du village se ferment[22].

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Au cours des XIXe et XXe siècles, Méthamis a malheureusement souffert de l'exode rural. Aujourd'hui, le village reprend vie grâce à la qualité de sa production viti-vinicole. En 1900, apparaît pour la première fois l’appellation « côtes-du-ventoux ». Ces vins sont ensuite classés en « vins délimités de qualité supérieure » (VDQS) dès 1953[23] et accèdent enfin à l’AOC le (ventoux).

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Méthamis

Les armes peuvent se blasonner ainsi :

Écartelé : au premier et au quatrième d'or à la bande d'azur, au deuxième et au troisième de gueules plain ; sur le tout d'argent à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces de gueules.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
vers 1945 vers 1957 Paul Gassin    
vers 1957 1988 Hélène Grandpierre Parti socialiste Institutrice
1988 mars 2001 Roger Brès Divers droite Agriculteur
mars 2001 mars 2008 Marie-Hélène Dacos-Burgues Divers gauche Professeur
mars 2008 mai 2020 Claude Pages PCF Postier
mai 2020 présent Jean-Marc Teste    
Les données manquantes sont à compléter.

La commune de Methamis, qui était du comtat Venaissin dans les états pontificaux en 1789, est passée dans le département des Bouches-du-Rhône en 1792, puis dans celui de Vaucluse en 1793, dans le district de Carpentras et le canton de Venasque, puis en 1801 dans le canton de Mourmoiron ou Mormoiron.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 447 habitants[Note 4], en augmentation de 4,68 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7678078441 0551 0201 020955840861
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
856861836767751681631596542
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
484457465481344355294265303
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
297287282330352397399395396
2015 2020 2021 - - - - - -
427446447------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'agriculture est principalement concentrée sur la partie ouest de la commune. On y trouve la culture de fruitiers, mais aussi de vignes, qui constituent une des importantes ressources économiques de la zone. On y cultive essentiellement du raisin de table, notamment du muscat de Hambourg qui est produit sous l'appellation AOC et AOP muscat du Ventoux. On trouve aussi divers cépages de cuve qui donnent naissance au vin AOC ventoux (anciennement côtes-du-ventoux).

Tourisme[modifier | modifier le code]

La plaine du Comtat bénéficie de l'attrait touristique qu'engendre l'histoire de ses villages, le mont Ventoux qui la domine au sud de son relief particulier, la richesse de ses sols et le résultat de son agriculture (œnotourisme en plein développement) et bien sûr son ensoleillement.

Le mont Ventoux et le village de Méthamis.

L'on peut aussi ajouter à cela les gorges de la Nesque.

Équipements ou Services[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les collèges et lycées (classique ou d'enseignement professionnel) se trouvent sur Carpentras et Mazan.

Sports[modifier | modifier le code]

Le cadre des Monts de Vaucluse et des gorges de la Nesque sont propices aux randonnées pédestres, cyclotouristiques, VTT et moto, ainsi qu'à la pratique de l'escalade.

Santé[modifier | modifier le code]

Pas de pharmacie ni d'équipement particulier de santé. Les spécialistes, hôpitaux et cliniques se trouvent à Carpentras.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le village possède en son sommet une église à la fois de style roman (origine du XIIe siècle) et gothique provençal. L'église paroissiale Saint-Pierre-et-Saint-Paul fut une dépendance de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon et sa présence à Méthamis est attestée dès le début du XIIe siècle, elle a pour patron Saint Denis[28]. Sa nef romane et son chœur gothique aux chapiteaux sculptés de tradition romane ont été inscrits monument historique le . Au XIXe siècle ont été agrandies et rajoutées des chapelles latérales, une nouvelle sacristie et le campanile a été reconstruit entre 1875 et 1878[29]. L'intérieur, sobre, bénéficie de la beauté de ses pierres. Elle est surmontée d'un clocher mur formant trois élégantes arcades.

Le gisement mésolithique dit de Gramari a été classé monument historique le .

Le château de Graille est situé au sud-ouest du bourg et le château de Vignal à l'est du bourg.

La chapelle de Sainte-Foi ou Sainte-Foy, à l'est du bourg daterait du XVe siècle, mais n'a pas été répertoriée par la DRAC.

Deux oratoires :

  • au centre du village : Notre-Dame-de-Grâces ;
  • au sud du bourg : Notre-Dame-des-Champs.

Fontaine de lombarde.

Une école ainsi que sa petite cour.

Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Méthamis.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Ernest Pignon, dit Ernest Pignon-Ernest artiste plasticien a habité au village plusieurs années, autour des années 1965[30].

Yvonne Burgues, qui a écrit en 1956, Les Badaïres de Méthamis, préfacé par Claude Sibertin-Blanc et édité par l'imprimerie Rullière d'Avignon. Il a été réédité par l'association Les Badaïres de Méthamis dans les années 1990.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Méthamis et Murs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Murs », sur la commune de Murs - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Murs », sur la commune de Murs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. Jean-Pierre Saltarelli, op. cit., p. 14.
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Carpentras », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. Philippe Bernardi, Didier Boisseuil, « Les statuts de 1380 de Méthamis (Vaucluse) », sur cairn.info
  17. Alain Jacquemin, « VAUCLUSE : CANTON de MORMOIRON » (consulté le )
  18. Philippe Borgard, « Chapelle : englobée dans un bâtiment ferme : bâtiment agricole », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  19. Philippe Borgard et Michel Piskorz, « BLAUVAC, Sainte-Ursume Sanctuaire gallo-romain », NOTES D'INFORMATION ET DE LIAISON,‎ , p. 157-159
  20. Benoît Rossignol, « Chroniques épigraphiques », Revue Archéologique de Narbonnaise, no Tome 49,‎ , p. 384-385 (lire en ligne Accès libre)
  21. Germain Butaud, « Villages et villageois du Comtat Venaissin en temps de guerre (milieu XIVe-début XVe siècle) », in Christian Desplat, Les villageois face à la guerre : XIVe – XVIIIe siècle, Actes des XXIIe Journées internationales d’histoire de l’abbaye de Flaran, 8, 9, 10 septembre 2000, Toulouse, Presses universitaires du Mirail, 2002, (ISBN 2-85816-603-X), p. 56.
  22. a et b « Méthamis à visiter (84) », sur provence7.com (consulté le )
  23. L'arrêté du définit les conditions de production du V.D.Q.S. côtes-du-ventoux.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Marquis de Monclar, Bulletin Monumental publié sous les auspices de la société française d'archéologie pour la conservation des monuments historiques et dirigé par le comte de Marsy, Tome 53, année 1887, Paris, H. CHAMPION, , 613 p. (lire en ligne), Notes sur l'église et les restes du château de Méthamis, page 71.
  29. Base Mérimée
  30. « Conversation avec Ernest Pignon-Ernest ».

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, , 475 p. (ISBN 978-2-903044-27-5 et 2903044279)
  • Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale, Forcalquier, Alpes de Lumières, (ISBN 978-2-906162-92-1)
  • Philippe Bernardi et Didier Boisseuil, « Les statuts de 1380 de Méthamis (Vaucluse) », Histoire & Sociétés Rurales, vol. 26, no 2,‎ , p. 95 (ISSN 1254-728X et 1950-666X, DOI 10.3917/hsr.026.0095, lire en ligne, consulté le )
  • Yvonne Burgues, Les Badaïres de Méthamis, Imprimerie Rullière,
  • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
  • Jean-Pierre Saltarelli, Les Côtes du Ventoux, origines et originalités d'un terroir de la vallée du Rhône, Avignon, A. Barthélemy, Avignon, , 207 p. (ISBN 978-2-87923-041-2 et 2879230411)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]