La Roque-sur-Pernes

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La Roque-sur-Pernes
La Roque-sur-Pernes
La Roque-sur-Pernes et ses cerisiers en fleur.
Blason de La Roque-sur-Pernes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin
Maire
Mandat
Phillipe Delebecque
2023-2026
Code postal 84210
Code commune 84101
Démographie
Gentilé Roquérois, Roquéroises
Population
municipale
427 hab. (2021 en augmentation de 2,4 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 58′ 47″ nord, 5° 06′ 33″ est
Altitude 290 m
Min. 142 m
Max. 502 m
Superficie 11,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Carpentras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pernes-les-Fontaines
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Roque-sur-Pernes
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La Roque-sur-Pernes

La Roque-sur-Pernes est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de La Roque-sur-Pernes
Saint-Didier
Pernes-les-Fontaines La Roque-sur-Pernes Le Beaucet
Saumane-de-Vaucluse

Le bourg est situé à environ cinq kilomètres de Pernes-les-Fontaines, perché sur les monts de Vaucluse à proximité du Beaucet.

L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7 et la gare TGV celle d'Avignon.

Géologie[modifier | modifier le code]

La commune est posée sur l'extrémité sud-ouest des monts de Vaucluse, massif formé de calcaires de l'ère secondaire, souvent perméables. L'eau s'enfonce dans la roche, créant des réseaux souterrains (système karstique), ressortant aux points bas comme la Fontaine-de-Vaucluse.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse, dont celui de Pernes-les-Fontaines auquel est rattachée la commune, sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 753 mm, avec 6 jours de précipitations en janvier et 2,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cabrières d'Avignon », sur la commune de Cabrières-d'Avignon à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 696,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 43,2 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,2 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Le mistral[modifier | modifier le code]

Dans cette commune qui produit des ventoux (AOC), aucun vigneron ne se plaint du mistral, même violent, car celui-ci a des avantages bénéfiques pour le vignoble. Appelé le « mango-fango », le mangeur de boue, il élimine toute humidité superflue après les orages, dégage le ciel et lui donne sa luminosité, préserve les vignes de nombre de maladies cryptogamiques et les débarrasse d'insectes parasites[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Roque-sur-Pernes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Carpentras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (66,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,9 %), zones agricoles hétérogènes (25,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,5 %), zones urbanisées (3,6 %), prairies (2,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Des fouilles de l'hypogée de la Sanguinouse ont permis de mettre au jour un cimetière chalcolithique (entre -2300 et -1900 ans). Ce sont entre 50 et 60 corps, inhumés dans un espace de 10 m2 qui ont été exhumés. À leurs côtés se trouvaient des lames de silex, des pointes de flèches, des grattoirs ainsi que des reliefs de repas mortuaires : mouton, sanglier, cerf, cheval et lapin[16].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le village est cité en 1113 sous le nom de Rocha[16].

Renaissance[modifier | modifier le code]

Dans la nuit du , les religionnaires de Ménerbes, avec l'aide de ceux de Joucas, s'emparèrent du village[17]. Ils en repartirent six jours après, traînant derrière eux une caravane de cent mulets chargés de butin, de soixante bœufs et de trois cents cochons[17].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Les premiers écrits relatant l'apparition de la culture de la vigne sur le territoire datent du XVIIe siècle[16]. Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1900, pour la première fois apparait l’appellation côtes-du-ventoux. Ce baptême a lieu pour un repas de noce. Sur le menu est calligraphié vins des Côtes du Ventoux et des Crans. Ces vins sont tous millésimés et datés de 1870, 1890 et 1895, soit des vins vieux de 5 à 30 ans. C'est à partir de 1939 que les vignerons du secteur constituent un syndicat des vins du Ventoux. Grâce à leur action, leurs vins sont classés en Vin Délimité de Qualité Supérieure (VDQS) dès 1953[18] puis accèdent enfin à l’AOC le .

En 1950, sur une action de Robert Schuman le village, dépeuplé, accueille des personnes d'origine française venues du Banat de Temesvar et contraintes de fuir la région après la Seconde Guerre mondiale[19],[20]. Leurs ancêtres étaient partis de Lorraine s'installer en Roumanie après le départ des Ottomans[16] et l'émigration paysanne occidentale qui avait suivi, principalement germanophone, dans la plaine du Banat au XVIIIe siècle.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la Roque-sur-Pernes sont empruntées à la famille de Seguins, dont Sébastien de Seguins fut un des premiers seigneurs de la Roque-sur-Pernes, qui était auparavant directement inféodé au gouvernement du Comtat Venaissin, avant de passer par les mains de Boniface de Pérussis, êvéque de Lescar et Recteur du Comtat Venaissin en 1499, puis Sébastien de Seguins. Sébastien de Seguins fit même renommé le village de la Roque-sur-Pernes en la Roque-des-Seguins.

blason officiel de la Commune de La Roque sur Pernes

Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'azur à la huppe essorante d'argent, becquée et onglée de gueules, accompagnée de sept étoiles d'or, quatre rangées en chef et trois en pointe 2 et 1.[21]

Cependant, au XVIIe siècle, la seigneurie de la Roque-sur-Pernes passe aux mains de la famille de Serre de la Roque, puis en 1741, la seigneurie est vendue 16000 livres à André-Marie de Centenier, Viguier de Pernes.


Armes de la famille de Perussis du Comtat

Les armes de Perussis du Comtat peuvent se blasonner ainsi : D’azur à trois poires d’or tigées et feuillées du même.[22]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  1976 Édouard Delebecque SE Professeur de grec à la faculté d'Aix-en-Provence
1976 1990 Marcel Fally SE Instituteur
1990 juin 1995 Léo Labarbarie SE Notaire
juin 1995 En cours Joseph Bernhardt SE Professeur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

En 1861, il y avait à La Roque 383 habitants, en 1948 seulement 88. En 1950, 30 familles de réfugiés originaires du Banat roumain et du Banat serbe, baptisés par la presse « Français du Banat » en raison de leurs origines lorraines et alsaciennes (voir Allemands du Banat), furent installées dans la commune[23],[24].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 427 habitants[Note 4], en augmentation de 2,4 % par rapport à 2015 (Vaucluse : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
325297305325352332341346358
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
347383381368344291245260253
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2592422261501301329586149
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
175233235262357447425411431
2015 2020 2021 - - - - - -
417417427------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'agriculture tient une place importante. On trouve entre autres la culture de vignes, de cerisiers, d'oliviers, de chênes truffiers, d'amandiers, etc.

La commune produit du vin en appellation d'origine contrôlée ventoux.

Autres[modifier | modifier le code]

Comme de nombreuses communes du département de Vaucluse, le tourisme tient aussi une part importante de l'économie locale. Les locations saisonnières, gites, etc. permettent l'accueil des touristes. La commune est située entre plusieurs pôles d'attraction : le Luberon, le golf de Saumane, la Fontaine de Vaucluse et L'Isle-sur-la-Sorgue au sud, Pernes-les-Fontaines, le Comtat Venaissin et le mont Ventoux à l'ouest et au nord, et enfin le Beaucet, petite commune sujette à un pèlerinage à Saint-Gens une fois par an, le 16 mai.

Les Éditions VDB, éditeurs de livres parlés, y ont leur siège.

Enfin, on peut noter la présence d'un petit artisanat d'art.

Vie locale[modifier | modifier le code]

La plus ancienne association locale est le Foyer rural des jeunes et d'éducation populaire (FRJEP). Cette association organisa cinq éditions de la coupe de France de course de landaus, attirant près de 5 000 personnes dans le village.

Aujourd'hui d'autres associations participent à l'animation du village : le football club roquerois, l'amicale laïque, la bibliothèque, la maison de l'histoire locale[29].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de La Roque-sur-Pernes possède une école primaire publique.

Ensuite les enfants vont au collège Charles-Doche à Pernes-les-Fontaines, les lycées les plus proches se trouvent à Carpentras et L'Isle-sur-la-Sorgue.

Sports[modifier | modifier le code]

Nombreux équipements sportifs à Pernes-les-Fontaines.

Possibilités de randonnées pédestres, équestres et cyclistes.

Santé[modifier | modifier le code]

Hôpital à Carpentras, centre de radiographie à Pernes-les-Fontaines et L'Isle-sur-la-Sorgue.

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et traitement des déchets des ménages et déchets assimilés et la protection et mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération Ventoux-Comtat Venaissin.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Un château du XIe siècle.
  • Une église Saint-Pierre-et-Saint-Paul datant de 1758.
  • Plusieurs fontaines et lavoirs.
  • Ruelles caladées.
  • Les fouilles ont permis de mettre au jour un vase et des objets de l'industrie lithique du Néolithique final[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Les Pérussis et les Brantes furent seigneurs du village[17] de Seguins.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre La Roque-sur-Pernes et Cabrières-d'Avignon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Cabrières d'Avignon », sur la commune de Cabrières-d'Avignon - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Cabrières d'Avignon », sur la commune de Cabrières-d'Avignon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. Jean-Pierre Saltarelli, op. cit., p. 14.
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Carpentras », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. a b c et d Jean-Pierre Saltarelli, Les Côtes du Ventoux, origines et originalités d'un terroir de la vallée du Rhône, page 95
  17. a b et c Jules Courtet, op. cit., p. 182.
  18. L'arrêté du définit les conditions de production du V.D.Q.S. côtes-du-ventoux.
  19. La Roque-sur-Pernes, un village ressuscité ! sur Vaucluse matin.com
  20. Reportage TV 1963
  21. « La Roque-sur-Pernes », sur armorialdefrance.fr.
  22. Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France, t. V, , p. 261
  23. Smaranda Vultur, De l’Ouest à l’Est et de l’Est à l’Ouest : les avatars identitaires des Français du Banat, Texte présenté a la conférence d'histoire orale "Visibles mais pas nombreuses : les circulations migratoires roumaines", Paris, 2001
  24. Institut National de l’Audiovisuel- Ina.fr, « Ces provençaux qui viennent de l'Est », sur Ina.fr (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. http://maisondelhistoirelocale.asso-web.com
  30. Photothèque de la DRAC Base Mérimée.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
  • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)
  • Jean-Pierre Saltarelli, Les Côtes du Ventoux, origines et originalités d'un terroir de la vallée du Rhône, Le Pontet, A. Barthélemy, Avignon, , 207 p. (ISBN 2-87923-041-1)
  • Guy Barruol, Nerte Dautier, Bernard Mondon (coord.), Le mont Ventoux. Encyclopédie d'une montagne provençale, Forcalquier, Alpes de Lumières, , 348 p. (ISBN 978-2-906162-92-1)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]